Sortez la matraque tabarnack ! (Forum)

par Dédé , lundi 22 août 2022, 15:13 (il y a 617 jours)

Source : Trois policiers américains suspendus après la diffusion d'une vidéo choquante

AFP
Lundi, 22 août 2022 10:54
MISE À JOUR Lundi, 22 août 2022 10:54

Trois policiers américains ont été suspendus après la diffusion en ligne d'images les montrant en train de frapper violemment un homme durant une arrestation dans l'Arkansas (sud), ont annoncé les autorités dimanche soir.

Dans la vidéo, qui a créé l'indignation sur les réseaux sociaux, les policiers maintiennent un homme blanc à terre, lui assénant de violents coups de poing à la tête et des coups de genou dans les jambes, et frappant son visage contre le sol bétonné.

«C'est grave», dit une personne hors du champ de la caméra. Quand des passants tentent de s'adresser aux policiers, l'un d'entre eux leur ordonnent de rester à distance.

Des vidéos montrant des violences policières, souvent contre des Afro-Américains, font régulièrement les gros titres aux États-Unis, pays encore marqué par le meurtre de George Floyd sous le genou d'un policier en mai 2020.

«Comme beaucoup d'entre vous, j'ai été choqué et écœuré par ce que j'ai vu», a déclaré Gary Baxter, le maire de la ville où a été filmée la vidéo, Mulberry, dans un communiqué annonçant que l'un des policiers avait été placé en «congé administratif» en attendant les résultats d'une enquête.

Les deux autres agents, qui travaillent pour le comté de Crawford, ont eux aussi été suspendus, le shérif promettant qu'il prendrait «les mesures appropriées».

L'arrestation violente s'est produite dimanche autour de 10H40 (15H40 GMT) devant un magasin d'alimentation, selon la police de l'État de l'Arkansas, qui a ouvert une enquête sur «l'usage de la force» par les policiers.

La victime, Randall Worcester, 27 ans, a été transportée vers un hôpital avant d'être incarcérée, selon cette même source. Il est visé par plusieurs chefs d'accusation, notamment refus d'obtempérer, résistance à l'arrestation et agression.

Le suspect est accusé d'avoir menacé un employé d'une station-service, qui avait appelé la police, a précisé le shérif du comté de Crawford, Jimmy Damante, à une chaîne locale 40/29.

Randall Worcester a d'abord été coopératif, avant de devenir violent et d'essayer d'attaquer les policiers, a affirmé M. Damante.

Le gouverneur républicain de l'État, Asa Hutchinson, a déclaré sur Twitter avoir parlé avec le chef de la police de l'État, assurant que les faits feraient l'objet «d'une enquête conformément aux preuves vidéo et à la demande du procureur».

Fiou ! Ce n'était pas un noir !

Là, je vais en faire fâcher quelques-uns qui ne seront pas d'accord avec ce que je vais écrire.

Oui, il est bien visible qu'il y a eu brutalité policière, ils auraient pu le maîtriser, lui passer les menottes et finir le job dans la cellule !

Ben non, je blague !

Le job de policier est scruté à la loupe et ces policiers, n'étaient pas sans savoir qu'ils seraient filmés durant cette arrestation musclée. Hey les Ploucs, nous sommes au 21ième siècle, l'Ère de la Technologie Numérique tabarnack.

Selon l'article, les policiers ont intervenu lorsque l'individu ressortait sa violence et ne voulait absolument pas coopérer. Il a créé un délit en menaçant un employé d'un libre-service, si l'individu en question n'a pas coopéré et qu'il voulait s'en prendre aux policiers, il est évident qu'une telle altercation se produise pour le maîtriser et de l'amener au poste de police. C'est leur devoir de le faire mais évidemment, il y a eu un gros manque d'éthique en s'en prenant à l'individu aussi pourri soit-il leur force de dissuasion.

Oui ils ont outrepassé l'éthique d'intervention en se prenant violemment par des coups physiques sur l'individu, et cela va certainement leurs coûter un congé sans solde pour un temps indéterminé, voire même un congédiement ( sûrement qu'il va se produire s'ils reçoivent une poursuite au pénal ).

Il ne faudrait pas avoir des polices moumounnes tout de même !

C'est malheureux mais on ne va pas à la guerre sans bobo !

Dédé

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