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Elle n'a que 31 ans et s'en est sortie ! (Forum)

par Dédé ⌂ @, dimanche 20 décembre 2020, 11:18 (il y a 1245 jours)

Source : «J’ai eu extrêmement peur de mourir»

Catherine Bouchard du Journal de Quebec, vendredi le 29 mars 2019. STEVENS LEBLANC/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI)
CATHERINE BOUCHARD
Dimanche, 20 décembre 2020 00:00
MISE À JOUR Dimanche, 20 décembre 2020 00:00

Une blogueuse de 31 ans, qui se remet péniblement de son infection à la COVID-19 qui l’a menée aux soins intensifs pendant une semaine, a eu peur de mourir et de ne plus revoir ses enfants.

Catherine Cloutier-Charrette, qui tient le blogue L’emmèredeuse — suivi par plus de 43 000 personnes sur Facebook — a reçu un diagnostic à la mi-octobre.

Elle a commencé par avoir des symptômes s’apparentant à ceux d’une gastro. Rapidement, une fièvre importante est apparue, en plus de maux de tête, d’une perte du goût et de l’odorat et de grosses courbatures. Puis, la toux s’est mise de la partie.

« Et ensuite, ç’a été de gros symptômes respiratoires. J’étais essoufflée », raconte Mme Cloutier-Charrette, qui affirme avoir toujours été en excellente santé.

Deux jours après avoir reçu son résultat positif, la mère de famille s’est rendue à l’urgence de l’hôpital de Saint-Eustache.

« La fièvre ne descendait pas et j’avais de la misère à respirer », se souvient-elle.

On l’a avisée qu’elle avait une pneumonie dans chacun de ses poumons. Elle a rapidement été transférée à l’hôpital de Saint-Jérôme.

Coma évité de justesse

La blogueuse a été hospitalisée aux soins intensifs pendant une semaine. Elle a souffert d’une double pneumonie en même temps qu’elle combattait le virus.

La blogueuse a été hospitalisée aux soins intensifs pendant une semaine. Elle a souffert d’une double pneumonie en même temps qu’elle combattait le virus.
« J’ai eu extrêmement peur de mourir. Quand je suis arrivée aux soins intensifs, on m’a mis sur le ventre pour aider mes capacités pulmonaires. Les médecins voulaient m’intuber et me mettre dans le coma », raconte-t-elle.

Finalement, elle n’a pas été placée dans le coma, mais Mme Cloutier-Charrette dit avoir vécu une grande détresse à ce moment. « J’étais certaine que je ne reverrais plus mes enfants », confie-t-elle, en parlant de ses deux garçons âgés de quatre et huit ans.

La blogueuse est retournée chez elle après huit jours d’hospitalisation, dont sept aux soins intensifs.

Séquelles redoutées

Même si elle va mieux, ses capacités pulmonaires mettront plusieurs mois avant de se rétablir, selon ses médecins. Elle dit craindre les répercussions à long terme. « Ça me fait très peur », dit-elle.

Elle a raconté ce qu’il lui est arrivé sur les réseaux sociaux pour inciter les gens à suivre les consignes sanitaires.

« Autour de moi, j’ai des personnes proches qui continuent de faire des soupers, de voir des amis, mais qui, en public, font comme s’ils étaient exemplaires, se désole-t-elle. Je faisais super attention, on m’appelait capitaine COVID, et c’est moi qui l’ai eue et qui ai été si malade. »

« J’ai reçu des milliers de messages pour me faire dire que je n’avais pas l’air malade, que j’avais besoin d’attention. Je me suis même fait dire que j’avais reçu de l’argent pour faire ça. Si j’ai pu conscientiser une seule personne, ce sera au moins ça », termine-t-elle.
_______________

Là là, je vais être cru dans mon commentaire. Ne prenez rien de personnel, mes propos concernent qu'une minime partie de notre population québécoise. Et en passant, si ça vous choque, prenez la porte, pas de téquila pour vous ! :D

Au pire me faire détester, ce qui ne me dérange pas en passant, je ne peux pas plaire à tout le monde. Cette mère de 31 ans qui raconte sa mésaventure avec la covid-19, assez claire comme la plupart des témoignages à cette dite évolution de ce coronavirus. Elle donne de son temps pour le partager afin d'avoir une meilleure visibilité, de la transparence médiatique de la prévention et des mesures prises par la santé public et le gouvernement qui l'a décrété.

Elle raconte comment elle faisait attention justement pour ne pas être contaminée et de contaminer. Tout ce qu'elle retient dans le plus fort de sa sortie des soins intensifs et de l'hôpital, c'est sa dernière phrase après avoir eu une relaxe afin d'ouvrir son ordi pour recevoir des messages dignes de malades mentaux. Un gang de petits macaques sans cervelle qui se terrent sur un clan en s'appuyant sur une idéologie des principaux gourous qui désinforment afin que ces petits macaques se soulèvent et qu'ils grossissent leur coffre-fort.

Ça peut bien aller dans le sud sacrament !

Je suis écœuré de voir et de lire les commentaires de ces gens qui ne pensent qu'à leur petite personne sans se soucier des autres qui les entourent. Heilles, faut pas toucher à leur LIBÂÂÂÂRTÉ, ils deviennent des petits macaques sans cervelle en oubliant totalement le tort que ces personnes causent à autrui. Non seulement de petits macaques sans cervelle, ces gens font le perroquet et braient comme des ânes à la Q Ânon. Ils disent exactement ce que leur gourou dit de dire. C'est quasiment aussi net que de lire la Bible sacrament !

Pour les gens encore plus bas que ces petits macaques sans cervelles, puisque en fait, ils me font plus penser aux «bawbottes» de l'ésotérisme qui est devenu une scientologie avec à bord l'abominable trou du cul, ben eux autres se font fourrés d'aplomb en sacrament. La dernière fois que j'ai vu autant de «bawbottes», c'était dans les rassemblements du FLQ. Vous vous souvenez, c'est comme un virus cette idéologie, on croit que c'est mort mais c'est toujours vivant. Ces «bawbottes» sont pour la plupart, tout juste après la génération des bébés boomers, jusqu'à la plus jeune génération afin de faire préserver ce virus qu'est la folie humaine. Allez mes «bawbottes», jetez votre fric par la fenêtre, engraissez vos gourous fous qui se foutent de vous. Préparez votre aloi, ressusciter le FLQ !

Lorsqu'une Fondation des droits et libertés du peuple se cache derrière un parti politique, et que ce parti prend tous les moyens pour suffire à lever le parti pour entrer dans le salon Bleu, en brandissant l'Étendard de la Liberté comme seul moyen de terrasser et de détruire toutes les mesures sanitaires décrétées par notre gouvernement, c'est signe avant-coureur d'une cabale digne de petits macaques sans cervelle. Il faut se poser la question, peut-on faire confiance à un tel parti au pouvoir durant une pandémie ? Deviendrons-nous la 53ième étoile du drapeau américain ? C'est beau les États-Unis, ils l'ont l'affaire les amoricains sti, ça tombe comme des mouches sacrament !

Hey les «babottes», allez tous chier sacrament !

Dédé

--
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Elle n'a que 31 ans et s'en est sortie !

par Blake, dimanche 20 décembre 2020, 13:19 (il y a 1245 jours) @ Dédé

Source : «J’ai eu extrêmement peur de mourir»

Catherine Bouchard du Journal de Quebec, vendredi le 29 mars 2019. STEVENS LEBLANC/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI)
CATHERINE BOUCHARD
Dimanche, 20 décembre 2020 00:00
MISE À JOUR Dimanche, 20 décembre 2020 00:00

Une blogueuse de 31 ans, qui se remet péniblement de son infection à la COVID-19 qui l’a menée aux soins intensifs pendant une semaine, a eu peur de mourir et de ne plus revoir ses enfants.

Catherine Cloutier-Charrette, qui tient le blogue L’emmèredeuse — suivi par plus de 43 000 personnes sur Facebook — a reçu un diagnostic à la mi-octobre.

Elle a commencé par avoir des symptômes s’apparentant à ceux d’une gastro. Rapidement, une fièvre importante est apparue, en plus de maux de tête, d’une perte du goût et de l’odorat et de grosses courbatures. Puis, la toux s’est mise de la partie.

« Et ensuite, ç’a été de gros symptômes respiratoires. J’étais essoufflée », raconte Mme Cloutier-Charrette, qui affirme avoir toujours été en excellente santé.

Deux jours après avoir reçu son résultat positif, la mère de famille s’est rendue à l’urgence de l’hôpital de Saint-Eustache.

« La fièvre ne descendait pas et j’avais de la misère à respirer », se souvient-elle.

On l’a avisée qu’elle avait une pneumonie dans chacun de ses poumons. Elle a rapidement été transférée à l’hôpital de Saint-Jérôme.

Coma évité de justesse

La blogueuse a été hospitalisée aux soins intensifs pendant une semaine. Elle a souffert d’une double pneumonie en même temps qu’elle combattait le virus.

La blogueuse a été hospitalisée aux soins intensifs pendant une semaine. Elle a souffert d’une double pneumonie en même temps qu’elle combattait le virus.
« J’ai eu extrêmement peur de mourir. Quand je suis arrivée aux soins intensifs, on m’a mis sur le ventre pour aider mes capacités pulmonaires. Les médecins voulaient m’intuber et me mettre dans le coma », raconte-t-elle.

Finalement, elle n’a pas été placée dans le coma, mais Mme Cloutier-Charrette dit avoir vécu une grande détresse à ce moment. « J’étais certaine que je ne reverrais plus mes enfants », confie-t-elle, en parlant de ses deux garçons âgés de quatre et huit ans.

La blogueuse est retournée chez elle après huit jours d’hospitalisation, dont sept aux soins intensifs.

Séquelles redoutées

Même si elle va mieux, ses capacités pulmonaires mettront plusieurs mois avant de se rétablir, selon ses médecins. Elle dit craindre les répercussions à long terme. « Ça me fait très peur », dit-elle.

Elle a raconté ce qu’il lui est arrivé sur les réseaux sociaux pour inciter les gens à suivre les consignes sanitaires.

« Autour de moi, j’ai des personnes proches qui continuent de faire des soupers, de voir des amis, mais qui, en public, font comme s’ils étaient exemplaires, se désole-t-elle. Je faisais super attention, on m’appelait capitaine COVID, et c’est moi qui l’ai eue et qui ai été si malade. »

« J’ai reçu des milliers de messages pour me faire dire que je n’avais pas l’air malade, que j’avais besoin d’attention. Je me suis même fait dire que j’avais reçu de l’argent pour faire ça. Si j’ai pu conscientiser une seule personne, ce sera au moins ça », termine-t-elle.
_______________

Là là, je vais être cru dans mon commentaire. Ne prenez rien de personnel, mes propos concernent qu'une minime partie de notre population québécoise. Et en passant, si ça vous choque, prenez la porte, pas de téquila pour vous ! :D

Au pire me faire détester, ce qui ne me dérange pas en passant, je ne peux pas plaire à tout le monde. Cette mère de 31 ans qui raconte sa mésaventure avec la covid-19, assez claire comme la plupart des témoignages à cette dite évolution de ce coronavirus. Elle donne de son temps pour le partager afin d'avoir une meilleure visibilité, de la transparence médiatique de la prévention et des mesures prises par la santé public et le gouvernement qui l'a décrété.

Elle raconte comment elle faisait attention justement pour ne pas être contaminée et de contaminer. Tout ce qu'elle retient dans le plus fort de sa sortie des soins intensifs et de l'hôpital, c'est sa dernière phrase après avoir eu une relaxe afin d'ouvrir son ordi pour recevoir des messages dignes de malades mentaux. Un gang de petits macaques sans cervelle qui se terrent sur un clan en s'appuyant sur une idéologie des principaux gourous qui désinforment afin que ces petits macaques se soulèvent et qu'ils grossissent leur coffre-fort.

Ça peut bien aller dans le sud sacrament !

Je suis écœuré de voir et de lire les commentaires de ces gens qui ne pensent qu'à leur petite personne sans se soucier des autres qui les entourent. Heilles, faut pas toucher à leur LIBÂÂÂÂRTÉ, ils deviennent des petits macaques sans cervelle en oubliant totalement le tort que ces personnes causent à autrui. Non seulement de petits macaques sans cervelle, ces gens font le perroquet et braient comme des ânes à la Q Ânon. Ils disent exactement ce que leur gourou dit de dire. C'est quasiment aussi net que de lire la Bible sacrament !

Pour les gens encore plus bas que ces petits macaques sans cervelles, puisque en fait, ils me font plus penser aux «bawbottes» de l'ésotérisme qui est devenu une scientologie avec à bord l'abominable trou du cul, ben eux autres se font fourrés d'aplomb en sacrament. La dernière fois que j'ai vu autant de «bawbottes», c'était dans les rassemblements du FLQ. Vous vous souvenez, c'est comme un virus cette idéologie, on croit que c'est mort mais c'est toujours vivant. Ces «bawbottes» sont pour la plupart, tout juste après la génération des bébés boomers, jusqu'à la plus jeune génération afin de faire préserver ce virus qu'est la folie humaine. Allez mes «bawbottes», jetez votre fric par la fenêtre, engraissez vos gourous fous qui se foutent de vous. Préparez votre aloi, ressusciter le FLQ !

Lorsqu'une Fondation des droits et libertés du peuple se cache derrière un parti politique, et que ce parti prend tous les moyens pour suffire à lever le parti pour entrer dans le salon Bleu, en brandissant l'Étendard de la Liberté comme seul moyen de terrasser et de détruire toutes les mesures sanitaires décrétées par notre gouvernement, c'est signe avant-coureur d'une cabale digne de petits macaques sans cervelle. Il faut se poser la question, peut-on faire confiance à un tel parti au pouvoir durant une pandémie ? Deviendrons-nous la 53ième étoile du drapeau américain ? C'est beau les États-Unis, ils l'ont l'affaire les amoricains sti, ça tombe comme des mouches sacrament !

Hey les «babottes», allez tous chier sacrament !

Dédé


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