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Du zèle pur et simple ! (Forum)

par Dédé ⌂ @, samedi 03 décembre 2022, 08:00 (il y a 518 jours)

Source : Une infirmière suspendue pour avoir mangé une toast au beurre d’arachide


HÉLOÏSE ARCHAMBAULT
Vendredi, 2 décembre 2022 12:15
MISE À JOUR Vendredi, 2 décembre 2022 19:15

Une infirmière d’un CHSLD de Longueuil est suspendue trois jours sans salaire en pleine pénurie de main-d’œuvre pour vol parce qu’elle a mangé... une toast au beurre d’arachide.

L’infirmière en question, qui a souhaité garder l’anonymat par peur de représailles, s’est fait une toast le matin du 2 octobre dernier, au Centre d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) du Chevalier-De Lévis, à Longueuil.

Dans la lettre de suspension datée de jeudi, obtenue par Le Journal, on peut lire que ce vol de nourriture destinée aux résidents constitue « un manquement grave à vos obligations de loyauté et d’honnêteté », écrit la direction des soins infirmiers du centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS).

« Vos manquements ont des conséquences négatives importantes tant sur la réputation de l’établissement que sur votre crédibilité professionnelle ainsi que sur la qualité des services offerts à notre clientèle », lit-on plus loin.

Pas eu le temps de manger

La direction du CISSS a rencontré l’employée à ce sujet le 3 novembre dernier, pour obtenir sa version des faits.

Selon la lettre, l’infirmière a admis avoir mangé la toast puisqu’elle avait « mal à l’estomac » et n’avait pas eu le temps de déjeuner avant de venir travailler. Elle aurait aussi mentionné « ne pas savoir » que c’était interdit.

« Je trouve ça épouvantable, pour une toast, réagit Brigitte Petrie, la présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), qui représente les infirmières de la Montérégie-Est. Elle était sûrement plus efficace après avoir mangé sa toast... »

« Je ne dédouane pas le fait de prendre du matériel. Mais un avis verbal aurait peut-être été suffisant, dit-elle. Que tu voles une miette de pain ou des médicaments, c’est le même bateau » déplore Mme Petrie.

Selon la FIQ, il y a souvent des tranches de pain à la portée des employés dans les CHSLD, au cas où des résidents auraient faim. Les infirmières doivent même parfois en jeter, parce que le pain devient périmé.

C’était la première fois que cette infirmière se faisait avertir pour un tel comportement, assure son syndicat. La jeune employée, qui n’a que deux ans d’ancienneté, pense même démissionner, nous dit-on.

« Elle a été très brassée, avoue Mme Petrie. C’est une gestion très coercitive. [...] On est vraiment offusqués de ce genre de gestion là, en pleine crise. »

Qui va la remplacer ?

Ainsi, l’infirmière sera suspendue sans salaire les 5, 9 et 11 décembre prochains.

« Ils vont la remplacer avec des infirmières imaginaires », ironise Mme Petrie, qui hésite entre rire ou pleurer devant cette situation.

En cas de récidive, le CISSS écrit même qu’un congédiement pourrait être envisagé.

Écoutez l'entrevue de Guillaume Lavoie avec Brigitte Petrie, présidente du Syndicat des professionnelles en soins de Montérégie-Est. sur QUB radio :

Pas de commentaire

Appelée à réagir, la direction du CISSS a refusé de commenter le dossier publiquement, mais dit « tendre la main » au syndicat pour poursuivre les discussions dans ce dossier.

« Nous comprenons la perception que cela peut laisser dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre. Nous ne pouvons malheureusement pas commenter ce dossier précis afin de préserver la confidentialité de la salariée », écrit la porte-parole Caroline Doucet par courriel.

Le syndicat contestera cette mesure disciplinaire, mais le processus prendra probablement des années, indique Mme Petrie.

[image]

Un avertissement verbal aurait été requis pour ce délit. Le pire, elle n'a pas pris un repas complet qui bien souvent se retrouve aux poubelles parce que des bénéficiaires ne veulent tout simplement pas manger cette marde. Une toast calisse avec du beurre de peanut tabarnack !

Le CISSS de cet endroit, n'ont rien d'autre à faire que ce genre de sanction niaiseuse et abusive, surtout face à une pénurie de main-d'oeuvre. Crisse de pousseux de crayons de ciboire ! :enrage:

On dirait un régime totalitaire d'une république de banane ciboire ! :boss:

Ça fait dure en tabarnack ! :conteste:

Dédé

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Du zèle pur et con (un autre exemple)

par Jéromec, samedi 03 décembre 2022, 09:54 (il y a 517 jours) @ Dédé

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Un autre exemple de la stupidité québécoise

La loi sur le changement de pneus obligatoire le 1 décembre d'applique de façon uniforme partout au québec....

donc C'est légal de rouler sur la neige et la glace un 15 novembre à la Baie James ou à Percé mais illégal de rouler le 3 décembre à Montréal quand il pleut!

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Du zèle pur et simple !

par Blake, samedi 03 décembre 2022, 11:58 (il y a 517 jours) @ Dédé

Source : Une infirmière suspendue pour avoir mangé une toast au beurre d’arachide


HÉLOÏSE ARCHAMBAULT
Vendredi, 2 décembre 2022 12:15
MISE À JOUR Vendredi, 2 décembre 2022 19:15

Une infirmière d’un CHSLD de Longueuil est suspendue trois jours sans salaire en pleine pénurie de main-d’œuvre pour vol parce qu’elle a mangé... une toast au beurre d’arachide.

L’infirmière en question, qui a souhaité garder l’anonymat par peur de représailles, s’est fait une toast le matin du 2 octobre dernier, au Centre d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) du Chevalier-De Lévis, à Longueuil.

Dans la lettre de suspension datée de jeudi, obtenue par Le Journal, on peut lire que ce vol de nourriture destinée aux résidents constitue « un manquement grave à vos obligations de loyauté et d’honnêteté », écrit la direction des soins infirmiers du centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS).

« Vos manquements ont des conséquences négatives importantes tant sur la réputation de l’établissement que sur votre crédibilité professionnelle ainsi que sur la qualité des services offerts à notre clientèle », lit-on plus loin.

Pas eu le temps de manger

La direction du CISSS a rencontré l’employée à ce sujet le 3 novembre dernier, pour obtenir sa version des faits.

Selon la lettre, l’infirmière a admis avoir mangé la toast puisqu’elle avait « mal à l’estomac » et n’avait pas eu le temps de déjeuner avant de venir travailler. Elle aurait aussi mentionné « ne pas savoir » que c’était interdit.

« Je trouve ça épouvantable, pour une toast, réagit Brigitte Petrie, la présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), qui représente les infirmières de la Montérégie-Est. Elle était sûrement plus efficace après avoir mangé sa toast... »

« Je ne dédouane pas le fait de prendre du matériel. Mais un avis verbal aurait peut-être été suffisant, dit-elle. Que tu voles une miette de pain ou des médicaments, c’est le même bateau » déplore Mme Petrie.

Selon la FIQ, il y a souvent des tranches de pain à la portée des employés dans les CHSLD, au cas où des résidents auraient faim. Les infirmières doivent même parfois en jeter, parce que le pain devient périmé.

C’était la première fois que cette infirmière se faisait avertir pour un tel comportement, assure son syndicat. La jeune employée, qui n’a que deux ans d’ancienneté, pense même démissionner, nous dit-on.

« Elle a été très brassée, avoue Mme Petrie. C’est une gestion très coercitive. [...] On est vraiment offusqués de ce genre de gestion là, en pleine crise. »

Qui va la remplacer ?

Ainsi, l’infirmière sera suspendue sans salaire les 5, 9 et 11 décembre prochains.

« Ils vont la remplacer avec des infirmières imaginaires », ironise Mme Petrie, qui hésite entre rire ou pleurer devant cette situation.

En cas de récidive, le CISSS écrit même qu’un congédiement pourrait être envisagé.

Écoutez l'entrevue de Guillaume Lavoie avec Brigitte Petrie, présidente du Syndicat des professionnelles en soins de Montérégie-Est. sur QUB radio :

Pas de commentaire

Appelée à réagir, la direction du CISSS a refusé de commenter le dossier publiquement, mais dit « tendre la main » au syndicat pour poursuivre les discussions dans ce dossier.

« Nous comprenons la perception que cela peut laisser dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre. Nous ne pouvons malheureusement pas commenter ce dossier précis afin de préserver la confidentialité de la salariée », écrit la porte-parole Caroline Doucet par courriel.

Le syndicat contestera cette mesure disciplinaire, mais le processus prendra probablement des années, indique Mme Petrie.

[image]

Un avertissement verbal aurait été requis pour ce délit. Le pire, elle n'a pas pris un repas complet qui bien souvent se retrouve aux poubelles parce que des bénéficiaires ne veulent tout simplement pas manger cette marde. Une toast calisse avec du beurre de peanut tabarnack !

Le CISSS de cet endroit, n'ont rien d'autre à faire que ce genre de sanction niaiseuse et abusive, surtout face à une pénurie de main-d'oeuvre. Crisse de pousseux de crayons de ciboire ! :enrage:

On dirait un régime totalitaire d'une république de banane ciboire ! :boss:

Ça fait dure en tabarnack ! :conteste:

Dédé

Bizarre cette histoire.

Qui vole un oeuf vole un boeuf....

par Jéromec, samedi 03 décembre 2022, 12:45 (il y a 517 jours) @ Blake

Source : Une infirmière suspendue pour avoir mangé une toast au beurre d’arachide


HÉLOÏSE ARCHAMBAULT
Vendredi, 2 décembre 2022 12:15
MISE À JOUR Vendredi, 2 décembre 2022 19:15

Une infirmière d’un CHSLD de Longueuil est suspendue trois jours sans salaire en pleine pénurie de main-d’œuvre pour vol parce qu’elle a mangé... une toast au beurre d’arachide.

L’infirmière en question, qui a souhaité garder l’anonymat par peur de représailles, s’est fait une toast le matin du 2 octobre dernier, au Centre d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) du Chevalier-De Lévis, à Longueuil.

Dans la lettre de suspension datée de jeudi, obtenue par Le Journal, on peut lire que ce vol de nourriture destinée aux résidents constitue « un manquement grave à vos obligations de loyauté et d’honnêteté », écrit la direction des soins infirmiers du centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS).

« Vos manquements ont des conséquences négatives importantes tant sur la réputation de l’établissement que sur votre crédibilité professionnelle ainsi que sur la qualité des services offerts à notre clientèle », lit-on plus loin.

Pas eu le temps de manger

La direction du CISSS a rencontré l’employée à ce sujet le 3 novembre dernier, pour obtenir sa version des faits.

Selon la lettre, l’infirmière a admis avoir mangé la toast puisqu’elle avait « mal à l’estomac » et n’avait pas eu le temps de déjeuner avant de venir travailler. Elle aurait aussi mentionné « ne pas savoir » que c’était interdit.

« Je trouve ça épouvantable, pour une toast, réagit Brigitte Petrie, la présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), qui représente les infirmières de la Montérégie-Est. Elle était sûrement plus efficace après avoir mangé sa toast... »

« Je ne dédouane pas le fait de prendre du matériel. Mais un avis verbal aurait peut-être été suffisant, dit-elle. Que tu voles une miette de pain ou des médicaments, c’est le même bateau » déplore Mme Petrie.

Selon la FIQ, il y a souvent des tranches de pain à la portée des employés dans les CHSLD, au cas où des résidents auraient faim. Les infirmières doivent même parfois en jeter, parce que le pain devient périmé.

C’était la première fois que cette infirmière se faisait avertir pour un tel comportement, assure son syndicat. La jeune employée, qui n’a que deux ans d’ancienneté, pense même démissionner, nous dit-on.

« Elle a été très brassée, avoue Mme Petrie. C’est une gestion très coercitive. [...] On est vraiment offusqués de ce genre de gestion là, en pleine crise. »

Qui va la remplacer ?

Ainsi, l’infirmière sera suspendue sans salaire les 5, 9 et 11 décembre prochains.

« Ils vont la remplacer avec des infirmières imaginaires », ironise Mme Petrie, qui hésite entre rire ou pleurer devant cette situation.

En cas de récidive, le CISSS écrit même qu’un congédiement pourrait être envisagé.

Écoutez l'entrevue de Guillaume Lavoie avec Brigitte Petrie, présidente du Syndicat des professionnelles en soins de Montérégie-Est. sur QUB radio :

Pas de commentaire

Appelée à réagir, la direction du CISSS a refusé de commenter le dossier publiquement, mais dit « tendre la main » au syndicat pour poursuivre les discussions dans ce dossier.

« Nous comprenons la perception que cela peut laisser dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre. Nous ne pouvons malheureusement pas commenter ce dossier précis afin de préserver la confidentialité de la salariée », écrit la porte-parole Caroline Doucet par courriel.

Le syndicat contestera cette mesure disciplinaire, mais le processus prendra probablement des années, indique Mme Petrie.

[image]

Un avertissement verbal aurait été requis pour ce délit. Le pire, elle n'a pas pris un repas complet qui bien souvent se retrouve aux poubelles parce que des bénéficiaires ne veulent tout simplement pas manger cette marde. Une toast calisse avec du beurre de peanut tabarnack !

Le CISSS de cet endroit, n'ont rien d'autre à faire que ce genre de sanction niaiseuse et abusive, surtout face à une pénurie de main-d'oeuvre. Crisse de pousseux de crayons de ciboire ! :enrage:

On dirait un régime totalitaire d'une république de banane ciboire ! :boss:

Ça fait dure en tabarnack ! :conteste:

Dédé


Bizarre cette histoire.

Il y a un adage qui dit Qui vole un oeuf vole un boeuf... ou TRANCHER (jeu de mot) la limite d'un ''Vol''

Ceci étant dit, le principal VOL dans la fonction publique c'est le VOL de temps... par exemple pendant les premiers mois de la pandémie plusieurs employés municipaux ou du gouvernement n'ont RIEN fait... particulièrement à l'éducation, ils ont laissé les enfants et les profs à eux-mêmes...

y a du vol de temps qui se poursuit actuellement..
Qui sont les employés les plus rapides... les Fonctionnaires... ils terminent vendredi à 16h00, à 11h00 ils sont déjà chez eux..

:mdr:

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Ceci étant dit encore une fois... où sont passé les 436 millions du fédéral destiné à la ventilaiton dans les écoles?

Le gouvernement Legault refuse de dévoiler comment auront été dépensés les 432 millions $ du gouvernement fédéral destinés à rendre les écoles plus sécuritaires en temps de pandémie. Le motif évoqué: ces renseignements risqueraient de nuire aux relations entre Québec et Ottawa.

Fin août, le gouvernement fédéral avait annoncé un transfert de 2 milliards $ aux provinces pour mieux assurer la sécurité des élèves et des enseignants du pays pendant la pandémie. Québec avait récolté 432 millions $. L’aide devait être distribuée en deux versements, le premier à l’automne 2020, le second au début de 2021, après un exercice de reddition de comptes.

«Ce qu’on a demandé, c’est qu’en décembre, ils [les gouvernements provinciaux] nous disent ce qu’ils ont fait avec l’argent, comment ils ont protégé les enfants, avant qu’on verse la deuxième moitié de cet argent», avait expliqué le premier ministre Justin Trudeau en conférence de presse, en réponse à une question de journaliste.

Le gouvernement fédéral calculait que les écoles pourraient notamment, avec cet argent, améliorer leur système de ventilation, augmenter les mesures d’hygiène ou acheter de l’équipement de protection personnelle et des produits de nettoyage.

Justin Trudeau avait assuré lors de son annonce qu’il ne voulait pas empiéter sur les compétences provinciales. «Ce sont mes collègues, les premiers ministres des provinces, qui ont la responsabilité d’assurer la sécurité de nos enfants en classe et celle des enseignants au travail. Mais notre gouvernement va être là pour les aider», disait-il.

Le premier ministre ontarien Doug Ford avait révélé le 26 août que certains de ses homologues, réunis en conférence téléphonique la veille, n’étaient «pas heureux que quelqu’un leur pile sur les pieds» et qu’ils s’étaient plaints d’un empiétement dans leur compétence.

La Presse Canadienne (PC) s’était alors enquise de la position du gouvernement Legault, qui avait renvoyé les questions au sujet de l’aide d’Ottawa au cabinet de la ministre responsable des Relations canadiennes, Sonia LeBel.

«À l’aube de cette rentrée scolaire bien particulière, nous accueillons favorablement l’annonce du gouvernement fédéral. Il est primordial que nous ayons la flexibilité pour utiliser cet argent selon nos priorités», avait fait savoir la ministre LeBel dans une déclaration écrite transmise à la PC.

Sonia Lebel avait également indiqué que le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, consulterait ses partenaires du réseau scolaire afin de déterminer les priorités pour investir les quelque 216 millions $ auxquels Québec avait droit dès l’automne.

Le Soleil a demandé à la mi-janvier au ministère de l’Éducation comment il avait utilisé ou comptait utiliser les 432 millions $ du fédéral. Pour toute réponse, on nous a écrit ceci: «Concernant les 432M$ d’un nouveau fonds fédéral, le Québec utilise sa juste part de l’ensemble des fonds qui lui sont transférés pour appuyer ses propres priorités visant à maintenir un environnement sain et sécuritaire dans les écoles québécoises au cours de l’année 2020-2021, finançant ainsi des initiatives déjà planifiées ou de nouvelles initiatives.»

Le porte-parole du ministère rappelait ensuite que le ministre Jean-François Roberge avait annoncé le 26 septembre «de nouvelles initiatives pour un montant total de 85 M$ pour répondre aux mesures sanitaires et soutenir la réussite des jeunes dans un contexte de retour en classe après un arrêt prolongé».

«Des sommes supplémentaires avaient aussi été annoncées au réseau pour les frais liés à la COVID-19, notamment pour assurer la cohérence des actions du réseau scolaire avec les recommandations de l’INSPQ», écrivait encore Bryan St-Louis.

Devant le refus du ministère de ventiler les dépenses effectuées jusqu’à maintenant et celles à venir, Le Soleil s’est adressé le 21 janvier au responsable de l’accès à l’information, qui avait en principe 30 jours pour répondre à notre demande.

Après s’être prévalu du délai de 20 jours imparti la loi, celui-ci nous a finalement informé jeudi que «les documents recensés» ne pouvaient nous être transmis «étant donné qu’ils contiennent des renseignements dont la divulgation pourrait porter préjudice à la conduite des relations entre le gouvernement du Québec et un autre gouvernement [article 19 de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels]».

ou est passé le 800 Millions de la ligne Rose?

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Qui va prendre sa place?

par Jéromec, samedi 03 décembre 2022, 19:21 (il y a 517 jours) @ Dédé

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