Les parents de Nick Suzuki discutent du parcours de leur fil (Forum)

par Jéromec, lundi 19 décembre 2022, 16:47 (il y a 502 jours)

#14 début 20 ans.... Nick Suzuki, tout le monde ou presque, ne pensait pas à ses chances d'être le Capitaine de l'équipe, il est un redoutable passeur et leader de la meute...

il continue d'apprendre le français... et pourrait éventuellement nous surprendre à parler la langue de Molière faisant de lui le plus grand ambassadeur de la langue du Pays... Rien de moins... en faisant davantage que la CAQ évidemment C'est pas dur à battre avec la quantité d'anglicisme et d'erreurs de français qu'ils vont...
:mouche:

Les parents de Nick Suzuki discutent du parcours de leur fils | Papas du CH

Rob et Amanda Suzuki discutent du parcours de Nick et de leur fierté pour leur fils avant son premier match dans la LNH

https://www.youtube.com/watch?v=DZZdqzZDuiE

promotion du sport, de la langue française, Suzuki a plus d'une corde à son arc afin de faire rayonner la poubelle Province...

Enterrez pas le club trop vite cette année, ça pourrait vous surprendre...

:cafe:

Nick Suzuki pratique son français

par Jéromec, lundi 19 décembre 2022, 17:04 (il y a 502 jours) @ Jéromec

Nick Suzuki#14 va en faire plus que les mongols de la CAQ pour la promo du français...

:cafe:

Nick Suzuki pratique son français

De passage dans l'Antichambre, le nouveau capitaine des Canadiens, Nick Suzuki, répond aux questions de notre animateur Luc Bellemare et de nos panélistes, Gaston Therrien, Vincent Damphousse et Bruno Gervais.

https://www.youtube.com/watch?v=o8Jo-xHVs8Q

:cafe:

Et donner le goût à bien des angloFun d'apprendre la langue de Molière, et devenir un peu moins tête carrée par la même occasion....

:amour:

Je me prépare à commenter la prochaine défaite du Ch à la Râdio... :-D

L'équipe semble m'apprécier pour mon positivisme dans la défaite...

A défaut d'Avoir été prof au secondaire, commentateur amateur de partie de hockey pour faire un peu de littérature, de philosophie, et de culture générale....

Quelles sont les compétences transversales au primaire ?
Construire son opinion
Construire son opinion.
Cerner la question, l'objet de réflexion • En apprécier. ...
Exprimer son opinion.
Articuler et communiquer son point de vue. ...
''

Le sport un LEVIER... vers l'infini... :-D

Relativiser son opinion.
Comparer son opinion à celles des autres • La reconsidérer • Évaluer la part de. ...
Exercer son jugement critique.

Viggo Mortensen a appris le Français grâce au CH!

par Jéromec, lundi 19 décembre 2022, 17:08 (il y a 502 jours) @ Jéromec


:cafe:
je vais le ''plugguer''avec la victoire ou défaite du CH à la Râdio...

https://www.nhl.com/fr/canadiens/news/le-dernier-mot-viggo-mortensen/c-509041

Le dernier mot: Viggo Mortensen
par Staff Writer / Montréal Canadiens
8 décembre 2009

Viggo Mortensen avec Guy Lafleur le 4 décembre 2009

Même les vedettes de cinéma ne sont pas immunisées contre la passion pour le
bleu-blanc-rouge. Mieux connu dans son rôle d’Aragorn dans la trilogie du Seigneur des Anneaux, Viggo Mortensen, esprit universel des temps modernes, maîtrise les beaux-arts?: ceux de la scène, le chant, la peinture et encourager ses Canadiens. Nous avons discuté avec l’acteur en nomination pour l’Oscar du meilleur acteur en 2008 pendant une pause lors de sa tournée de promotion du nouveau film The Road, pour en apprendre plus sur la façon dont il est devenu un des plus grands partisans du Tricolore à Hollywood.

Comment un jeune né à New York et élevé en Argentine et au Danemark est-il devenu partisan du Tricolore?

Viggo Mortensen: J’ai grandi en regardant le soccer à la télé et j’aime toujours ce sport. Quand j’ai déménagé dans le nord de l’État de New York en 1970, nous n’avions pas Internet ni le câble. Je regardais les matchs des Canadiens à Radio-Canada et c’est ainsi que j’ai commencé à apprendre le français. Regarder Montréal jouer au début des années 1970 a été le moment où j’ai commencé à apprendre le hockey. Mon joueur favori a toujours été Guy Lafleur.

À quel point es-tu partisan des Canadiens?

V. M. : Je suis un très grand partisan, et ce, depuis le début des années 1970. Outre le fait que c’était tellement une bonne équipe, elle possédait un style hors du commun. Lafleur, Bob Gainey puis Guy Lapointe, Serge Savard, Larry Robinson, Yvan Cournoyer, Steve Shutt et tous les autres à la fin de cette décennie nous en offraient tellement sur la patinoire. On pouvait composer n’importe quelle formation de ces grandes légendes à n’importe quel moment et elle aurait gagné. Ce club profitait tellement de sa profondeur. Ce sont surtout les partisans qui m’ont subjugué. La façon qu’ils s’impliquaient me rappelait les partisans de mon club de soccer à San Lorenzo. Il existe un esprit et une tradition qui accompagne ce type d’histoire glorieuse. Je crois que c’est facile d’être accroc comme partisan puisque Montréal a connu tellement de succès, mais l’équipe est quand même soutenue par des partisans passionnés qui ne perdront pas leur fougue, peu importe ce qui se passe.

As-tu pratiqué le hockey plus jeune?

V.M. : Non, je suis certain qu’il y a quelqu’un quelque part qui pratique ce sport en Amérique du Sud, mais je n’ai jamais vraiment été exposé au hockey sur glace durant mon enfance. C’est à la fin de mon adolescence que j’ai rencontré et adopté ce sport comme partisan.

Tu n’es pas un partisan qui suit simplement les modes. Ne t’es-tu pas présenté sur le plateau de « Histoire de violence » à Toronto avec un chandail des Canadiens?

V. M. : (rires) Oui, je le portais tout le temps. Je me suis fait achaler au début parce que David Cronenberg et toute son équipe sont basés à Toronto et ils sont donc de très grands partisans des Leafs. Ils ont été corrects, mais je me suis assuré de le porter souvent sur le plateau.

Nous avons entendu parler d’une rumeur qu’Aragorn était aussi un partisan du Tricolore. As-tu vraiment porté un chandail des Canadiens sous ton armure durant le tournage de la trilogie du Seigneur des Anneaux?

V. M. : Certainement et je l’ai mis assez souvent. Je cherche toujours si le chandail paraît à l’écran, mais je n’ai jamais pu le voir. Dans “The Road”, vous le verrez à quelques occasions. Il ressort parce que c’est un film très terne au chapitre des couleurs alors vous le verrez.


Est-ce que c’est une bénédiction ou une malédiction d’être surtout reconnu pour ton rôle dans cette trilogie épique?

V. M. : Je n’ai pas de problème avec cela. Je n’aurais pas eu l’occasion de travailler avec David Cronenberg si « Le Seigneur des Anneaux » n’avait pas été un succès. Même si David voulait que je joue dans « Une histoire de violence », je n’aurais pas eu la chance si je n’avais pas si bien fait dans la trilogie et je serai toujours reconnaissant pour cela. Sans compter que je n’aurais jamais pu narguer autant de partisans des Leafs à la fois sur le plateau et plus tard au Festival international du film de Toronto. (rires)

On dit que tu es un acteur très engagé dans tes rôles. Est-ce que tu apportais vraiment ton épée avec toi en dehors du plateau?

V.M. : (rires) Cette histoire a été prise un peu hors contexte et a été très exagérée. Ce qui s’est vraiment produit c’est que j’ai signé mon contrat pour le Seigneur des Anneaux sur le tard – le tournage était déjà entamé – et j’ai eu le droit d’apporter mon épée à la maison et de m’entraîner chez moi. Je ne courais pas dans la forêt, comme j’ai pu le lire à certains endroits.

Explique comment tu as fait appel au Alex Kovalev en toi dans ta préparation pour le rôle du mafieux russe dans « Promesses de l’ombre »?

V. M. : (rires) J’ai fait appel à lui et à quelques autres aussi. C’était davantage son attitude très calme et son langage corporel que j’ai tenté de reproduire, mais c’était un personnage tellement complexe. Je suis allé passer du temps en Russie, apprenant en interagissant là-bas, mais j’aime la façon dont Kovalev se comporte.

Tu as obtenu ta première nomination aux Oscars pour ton rôle dans ce film. Quelle était l’importance de ce moment pour toi?

V. M. : C’était assez bizarre, un peu comme un grand cirque, mais c’était aussi un grand honneur. Tu ne peux jamais dire si ça se reproduira au cours de ta carrière. Je me suis dit que ce serait peut-être la dernière fois que je me rendais à cet endroit alors je voulais simplement avoir du plaisir. J’y ai amené ma nièce et c’était plaisant de voir tout ce qui se passait à travers ses yeux. J’ai trouvé étrange d’y voir autant de visages longs ou qui étaient dévastés de ne pas avoir gagné. La vie est trop courte pour cela.

Étant toi-même père, combien était-il plus facile de préparer ton rôle de père prêt à tout pour protéger ton fils dans « The Road »?

V. M. : Ce fut certainement utile. Il faut se rappeler à propos du film « The Road », que les gens connaissent le livre de Cormac McCarthy et il est très important pour eux alors tout le monde est plongé dans l’univers du film. C’était presque comme de jouer en direct. Il y a toujours une pression dans une situation comme celle-là, mais je me mets plus de pression sur moi-même que sur quiconque parce qu’en fin de compte, je veux savoir au fond de moi que j’ai mérité ma chance de jouer ce rôle. L’histoire dans « The Road » est aussi très dure sur le plan mental et émotif, plus encore que sur le plan physique. C’est une magnifique histoire, très émotive, et même quand nous tournions, c’était très émotif.

On raconte que tu parles couramment l’espagnol, le danois et l’anglais et que tu te débrouilles très bien en français, en suédois, en italien et en norvégien. Laquelle de ces langues est la meilleure pour draguer les femmes?

V. M. : (rires) Je n’en ai aucune idée! Je sais simplement qu’il est plus facile de communiquer avec les gens si tu peux parler plus d’une langue.


nullTu as utilisé ces langues à bon escient comme interprète pour te retrouver au fameux match de la demi-finale du tournoi olympique de hockey de 1980 entre les États-Unis et l’Union soviétique. Comment as-tu vécu d’être présent à ce match comme New Yorkais et comme partisan de hockey?

V. M. : C’était une expérience à la fois incroyable, surprenante, euphorique et magnifique. Je crois plus que toute autre chose que les gens étaient sous le choc. Les Américains, les Soviétiques, les spectateurs, tout le monde était assommé par le résultat à la fin du match.

Tu as grandi en Argentine alors il y a une forte probabilité que tu aies assisté à un match ou deux de soccer. Comment l’atmosphère à un match de soccer professionnel se compare-t-il à un match au Centre Bell?

V. M. : Vous savez, je n’ai jamais assisté à un match. Je n’ai jamais vu de match au Forum non plus. C’était toujours à la radio ou à la télévision. Quelques fois, mes billets d’avion étaient prêts, mais quelque chose se présentait à la dernière minute. L’an dernier on célébrait le centenaire du club de San Lorenzo, mon équipe de soccer en Argentine et je travaillais à cette période, mais j’ai réussi à me libérer pour aller voir un match. Peu importe, en décembre, je serai à Montréal pour le match du centenaire dans la mesure de ce qui est humainement possible.

Tu joues souvent le rôle du gars dur dans tes films. Si on te demandait quel est ton type de joueur favori sur la glace, irais-tu pour un batailleur, un travaillant ou un buteur?

V. M. : J’aime les gars qui luttent et qui n’abandonnent pas. Au hockey, comme au soccer, je suis amateur de joueurs qui mènent par l’exemple, qui ne se plaignent pas et qui ne parlent pas trop. Leur jeu parle pour eux. C’est pourquoi Andrei Markov est si bon à mes yeux.

Qui est ton joueur favori chez le Tricolore?

V. M. : Je suis plus loyal envers les anciens – les Lafleur, Dryden, Savard et autres membres du Temple de la renommée, mais je suis excité de voir que malgré les nombreux changements, Markov soit encore là. J’aime le style de Cammalleri, mais je crois que ce qui sera le plus intéressant cette saison sera de voir ce que feront les frères Kostitsyn et Carey.

Tu es peintre, musicien, photographe, acteur, poète et tu manipules bien l’épée. Est-ce qu’il y a quelque chose que tu n’essaieras pas au moins une fois?

V. M. : Je crois que je ne me laisserai jamais tenter par un saut en parachute. Je ne sais pas pourquoi quelqu’un voudrait sauter d’un avion en vol qui fonctionne bien. Je fais des randonnées de marche et j’aime monter à cheval, mais je n’aime pas trop les sports extrêmes comme la planche à roulettes, la planche à neige ou les autres choses du genre.

Tu as travaillé avec les Al Pacino, Michael Douglas, Sylvester Stallone, Denzel Washington et même Demi Moore et Sandra Bullock. Avec qui as-tu le plus aimé travailler au fil des ans?

V. M. : C’est difficile de répondre parce que chaque personne est différente. Ce que j’apprécie chez les athlètes n’est pas différent de ce que j’aime chez d’autres acteurs. J’aime les gens qui sont à leur affaire et quand ils connaissent du succès, ils sont gracieux et ne traitent pas cela comme un acquis ou comme si cela allait durer éternellement. Beaucoup de gens sont chanceux et ils connaîtront une bonne saison ou seront choisis pour un grand rôle, mais c’est ce que tu en fais qui compte le plus.

Qu’est-ce que l’avenir te réserve?

V. M. : Je n’ai pas encore accepté d’autre projet au cinéma et je ne suis pas pressé non plus. Je travaille encore à la promotion du film « The Road », et après je vais jouer dans une pièce en Espagne intitulée Purgatorio d’Ariel Dorfman. Je ne suis pas monté sur les planches en 20 ans. C’est une proposition qui fait peur et la seule façon d’apprendre est de sortir de sa zone de confort et de ne pas faire toujours les mêmes choses. Il y a une certaine nervosité qui s’empare de toi quelques minutes avant que le rideau se lève avec une réflexion du genre : « Pourquoi est-ce que j’ai accepté de faire ça? », mais une fois sur scène, si tu ne places pas de bouclier entre le public et toi et que l’auditoire connecte avec toi, c’est très spécial.

Pourquoi sommes-nous accros au sport professionnel?

par Jéromec, lundi 19 décembre 2022, 17:57 (il y a 502 jours) @ Jéromec


https://www.journaldemontreal.com/2022/12/19/pourquoi-sommes-nous-accros-au-sport-profe...

Pourquoi sommes-nous accros au sport professionnel?

Pourquoi sommes-nous accros au sport professionnel?


AUTRES
Pourquoi sommes-nous accros au sport professionnel?
PHOTO AFP

JOSEPH FACAL
Lundi, 19 décembre 2022 12:01
MISE À JOUR Lundi, 19 décembre 2022 12:01
Vous avez peut-être vu cette extraordinaire finale de la Coupe du monde de soccer, peut-être la plus belle de toutes.

Chez nous, c’était à fond pour l’Argentine, pour Messi et pour d’autres raisons trop longues à expliquer.


Pourquoi?

Ma passion et celle de mes amis ne s’expliquent pas par un manque de lucidité.

Aliénation? Du pain et des jeux? C’est plus complexe.


Nous voyons les scandales, la corruption, les salaires délirants, le dopage, les commotions cérébrales, le marketing cynique, l’effet anesthésiant sur des questionnements sociaux vitaux, etc.

Mais nous y revenons sans cesse. Pourquoi?

Mettons que «mon» équipe gagne. Ce sont les joueurs qui gagnent vraiment. Pas moi. Et pourtant...

Je regarde un affrontement entre deux équipes qui me laissent indifférent et j’adorerai si le match est de qualité. Pourquoi?

Quelle est cette drogue à laquelle des milliards d’humains sont accros, peu importe le pays, la religion, la classe sociale ou l’idéologie?

Le sport, quand il est pratiqué par les plus grands, offre des instants d’une beauté esthétique stupéfiante : un drible de Messi, un revers de Federer, un élan de Pujols, un attrapé d’une main d’Odell Beckham.

Pendant cet instant, la pose reproduit les plus grandes sculptures.

La brièveté du moment le rend précieux et fragile.

Fugace et futile, direz-vous. Mais pourquoi tout devrait être important et permanent?

Chaque match est aussi unique, comme une représentation au théâtre, à la différence d’une chanson enregistrée, toujours identique d’une fois à l’autre.

Dans un stade, vous assistez à quelque chose qui ne reviendra pas. L’enregistrement m’enlève du plaisir.

Le sport, du point de vue du spectateur, c’est aussi le drame, mais sans danger. Ce n’est pas nous qui nous faisons plaquer. On a le «thrill» sans le risque.

Le sport professionnel est aussi un voyage nostalgique. On retourne dans la cour d’école, quand on rêvait qu’un jour, on jouerait pour le Canadien ou le Real Madrid.


Le temps d’un match, on oublie le bureau, les problèmes familiaux, financiers, ou que sais-je.

Le partisan, lui, se trouve à faire partie d’une communauté, d’une gang, d’une sorte de famille.

Il n’est pas seul. L’humain normal ne peut vivre seul. C’est un animal social.

Passion

La victoire de «son» équipe donne aussi un bref moment de fierté à un travailleur souvent exploité ou méprisé.

Le sport professionnel crée, chez le partisan modeste, une illusion d’égalité : riches ou pauvres, jeunes ou vieux, ils ont en commun leur dévotion.

Voilà pourquoi les chaînes payantes ou les billets ultra-dispendieux, en chassant les pauvres, mettent en danger la poule aux œufs d’or.

Dans un monde où l’on se cherche des repères, votre équipe devient un point stable : elle était là avant vous et sera possiblement là après vous.

Voilà sans doute pourquoi les déménagements de franchises sont souvent vécus comme des deuils.

On fera donc la fine bouche tant qu’on voudra, la passion est là pour rester.

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Nick Suzuki pratique son français

par Blake, lundi 19 décembre 2022, 20:49 (il y a 502 jours) @ Jéromec

Nick Suzuki#14 va en faire plus que les mongols de la CAQ pour la promo du français...

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Nick Suzuki pratique son français

De passage dans l'Antichambre, le nouveau capitaine des Canadiens, Nick Suzuki, répond aux questions de notre animateur Luc Bellemare et de nos panélistes, Gaston Therrien, Vincent Damphousse et Bruno Gervais.

https://www.youtube.com/watch?v=o8Jo-xHVs8Q

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Et donner le goût à bien des angloFun d'apprendre la langue de Molière, et devenir un peu moins tête carrée par la même occasion....

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Je me prépare à commenter la prochaine défaite du Ch à la Râdio... :-D

L'équipe semble m'apprécier pour mon positivisme dans la défaite...

A défaut d'Avoir été prof au secondaire, commentateur amateur de partie de hockey pour faire un peu de littérature, de philosophie, et de culture générale....

Quelles sont les compétences transversales au primaire ?
Construire son opinion
Construire son opinion.
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Exprimer son opinion.
Articuler et communiquer son point de vue. ...
''

Le sport un LEVIER... vers l'infini... :-D

Relativiser son opinion.
Comparer son opinion à celles des autres • La reconsidérer • Évaluer la part de. ...
Exercer son jugement critique.

Y pratique pas pen toute son français dans cette vidéo.

Arizona contre Montréal

par Jéromec, lundi 19 décembre 2022, 21:24 (il y a 502 jours) @ Jéromec

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Ce soir il faut absolument, mais absolument DÉMOLIR les Coyotes... on mange ça en fondu...

Et... le rôle des FANS, être Crinqué, Crinqué Solide, un appui indéflectible au Club parce que notre vie en dépent....
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Mon nouveau drapeau

par Jéromec, lundi 19 décembre 2022, 21:55 (il y a 502 jours) @ Jéromec

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Mon nouveau drapeau fraichement commandé d'Amazon... qui est le VRAI drapeau du Kanada...

:cafe:

les fans vont adorer....:-D

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Mon nouveau drapeau

par Dédé ⌂ @, lundi 19 décembre 2022, 22:14 (il y a 502 jours) @ Jéromec

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Mon nouveau drapeau fraichement commandé d'Amazon... qui est le VRAI drapeau du Kanada...

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les fans vont adorer....:-D

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Y-as-tu de couleur bleu Nordindes ? :mdr:

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Mon nouveau drapeau

par Blake, lundi 19 décembre 2022, 22:40 (il y a 502 jours) @ Dédé

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Mon nouveau drapeau fraichement commandé d'Amazon... qui est le VRAI drapeau du Kanada...

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les fans vont adorer....:-D

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Y-as-tu de couleur bleu Nordindes ? :mdr:

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