Le Ygreck à Dédé Université 100% Woke (Forum)

par Jéromec, mercredi 18 janvier 2023, 17:28 (il y a 435 jours)
édité par Dédé, mercredi 18 janvier 2023, 17:35

https://www.qub.ca/article/la-caricature-d-ygreck-1091805277?fbclid=IwAR3de7iHZ4hLlDiab...

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Le Ygreck à Dédé Université 100% Woke inclusive, sauf à ceux qui ne sont pas woke!

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Le Ygreck à Dédé Université 100% Woke

par Dédé ⌂ @, mercredi 18 janvier 2023, 17:36 (il y a 435 jours) @ Jéromec

Dur à battre ce Ygreck-là ! :D

Il n'en manque pas une. :bravo:

Les pauvres petits lapinoux ! :mdr:

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vives les caricaturistes...

par Jéromec, mercredi 18 janvier 2023, 18:14 (il y a 435 jours) @ Dédé

Dur à battre ce Ygreck-là ! :D

Il n'en manque pas une. :bravo:

Les pauvres petits lapinoux ! :mdr:


LEs Caricaturistes sont les plus libres et les plus lus.... davantage que les éditorialissses...

Phaneuf est excellent aussi...

https://caricaturistephaneuf.com/

Radio Canada Le travail acharné d'André-Philippe Côté

par Jéromec, mercredi 18 janvier 2023, 18:21 (il y a 435 jours) @ Jéromec

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1948151/caricature-soleil-cote-andre-philippe

Le quotidien du caricaturiste André-Philippe Côté
André-Philippe Côté dessine ses caricatures directement sur son moniteur.

Le Téléjournal Québec
Le travail acharné d'André-Philippe Côté

André-Philippe Côté dessine ses caricatures directement sur son moniteur.


Alicia Rochevrier
Publié le 13 janvier 2023
Après 25 ans comme caricaturiste éditorial au journal Le Soleil et plus de 40 ans de carrière en tant que dessinateur et illustrateur, André-Philippe Côté a encore la flamme pour son travail.

À 4 h chaque matin, il consulte déjà l’actualité qui l'inspirera à créer sa caricature pour le jour suivant. Café à la main, crayons de plomb sur la table, il se met à la tâche. Le début de cette journée est un moment sacré.

En m’éveillant, j’ai hâte d’aller travailler […]. Le moment le plus stressant, mais aussi le plus agréable, c’est de trouver des idées […]. Le matin, j'ai toujours entre huit à dix idées de caricatures sur différents sujets.

Croquis de jour du CF Montréal en train de frapper un ballon qui lui revient sur la tête. Croquis fait en réaction à la nomination de l'entraineur Sandro Grande.
Cette esquisse a été faite en réaction à la nomination de l'entraineur Sandro Grande.

PHOTO : RADIO-CANADA / ALICIA ROCHEVRIER

La caricature demande un travail de réflexion singulier. Les idées doivent se confronter. Il faut avoir une pensée un peu atypique, bizarre, quand on cherche des idées parce qu'il faut que les choses s'entrechoquent dans ma tête […]. La première chose que je fais quand je fais une caricature c'est : "Qu'est-ce que je pense de ce sujet-là? Qu'est-ce que je veux dire sur ce sujet-là?"

Une fois les esquisses terminées au crayon, une discussion s’en suit avec la rédactrice en chef du journal Le Soleil afin de déterminer conjointement ce qui sera publié. André-Philippe Côté a souvent le dernier mot sur la caricature qu’il publiera.

« 95 % du travail de la caricature est de chercher des idées. Après, c’est la partie plaisir. J’allume la radio et je fais le dessin. »

— Une citation de André-Philippe Côté
Il travaille à partir de la numérisation de son croquis et peut alors commencer à dessiner sur l’ordinateur grâce à Photoshop. André-Philippe ne le cache pas; la technologie a grandement facilité son travail dans les dernières années.

Maintenant, il y a une possibilité de correction. Quand je travaillais à l’aquarelle avant, on faisait un fond, et si on se trompe, on peut pas revenir en arrière. Il fallait tout recommencer.

André-Philippe Côté dessine sur son ordinateur.
Pour André-Philippe Côté, l'humour aide à assimiler les événements dramatiques de l'actualité. La caricature lui permet aussi de dénoncer des enjeux de société.

PHOTO : RADIO-CANADA / ALICIA ROCHEVRIER

Certains dessins prennent plus de temps à réaliser que d’autres. Tout dépend du nombre de personnages, des couleurs et des bulles de textes. Le caricaturiste aime d’ailleurs prendre une longue pause afin de laisser reposer son dessin (et sa tête!).

J'essaie de réveiller le plus d'images mentales possible autour d'un personnage. […] Il faut avoir une idée d’un concept abstrait puis il faut l'incarner à travers des images. C’est ça le travail de la caricature, c'est de trouver une jonction entre les deux.

Plus tard, il retournera sur sa planche numérique pour s’assurer que tous les éléments importants sont présents. Il envoie généralement sa caricature finale au journal entre 14 h et 16 h.


La caricature proche des gens
Avec le temps, André-Philippe Côté a cumulé quelque 8000 caricatures et 45 000 esquisses. Il remarque que ce sont souvent les dessins mettant en lumière des situations anodines qui sont les plus populaires.

Quand les gens disent : "Ah! Ça c’est mon beau frère. Ah! Ça c'est ma sœur." Les gens apprécient. [La caricature], c'est incarner la politique et lui donner une résonnance dans le quotidien des gens.

La caricature montre une maman très occupée et extenuée : elle va porter les enfants à la garderie, à l'école, en plus d'aller au travail, faire l'épicerie, etc. Elle a l'air à bout de souffle et court après son temps. Elle consulte un médecin car elle se sent déprimée. Le médecin lui répond : Faites du sport!
Agrandir l’image(Nouvelle fenêtre)
Cette caricature a été l'une des plus populaires dans la carrière d'André-Philippe Côté. La maire de Paris, Anne Hidalgo, en avait même fait une carte de vœux.

Le monde des réseaux sociaux
André-Philippe Côté partage ses publications quotidiennement sur sa page Facebook(Nouvelle fenêtre) et Instagram.(Nouvelle fenêtre) Rapidement, il sait si ses dessins seront appréciés des lecteurs. Avant quand je faisais un dessin, j'avais pas de feed-back […]. Avec Facebook on le sait […]. Ça aide à évaluer, mais en même temps il ne faut pas en faire une obsession.


Fin du widget Instagram. Retourner au début du widget ?
Selon lui, les sujets chauds sont parfois les plus difficiles à dessiner. André-Philippe Côté reste toujours prudent et sensible à la cause, pour ne pas se tromper sur le message qu’il veut veut faire passer aux lecteurs.

« S’il y a une fusillade par exemple, ou la guerre en Ukraine, il faut toujours bien choisir son angle. »

— Une citation de André-Philippe Côté
Chose certaine, il ne manque pas d’inspiration, même après 25 ans. Il avoue cependant que certains sujets sont parfois redondants. Par exemple, la santé, les salles d’urgence, ça fait 25 ans qu’elles sont pleines, 25 ans que ça marche pas. Il faut refaire le même dessin et faut trouver un autre angle […], mais j’arrive toujours à trouver quelque chose.

Même à 67 ans, André-Philippe Côté n'a aucune envie de prendre sa retraite. Même si je prenais ma retraite demain matin, le lendemain je dessinerais. Alors aussi bien continuer la caricature et être payé pour le faire. C’est tellement naturel pour moi de dessiner, je ne peux pas faire autre chose.

Entrevue YGRECK

par Jéromec, mercredi 18 janvier 2023, 18:24 (il y a 435 jours) @ Jéromec
édité par Dédé, mercredi 18 janvier 2023, 18:31

Entrevue YGRECK tout chaud de la toile...

Courte entrevue avec Ygreck...

Entrevue YGRECK

https://www.youtube.com/watch?v=wFuN2IIKr0s

4m46...

Soyons l'opposition caricaturale...

:cafe:

Legault s’estime victime des perceptions depuis la démission

par Jéromec, mercredi 18 janvier 2023, 18:34 (il y a 435 jours) @ Jéromec

Qui est-ce qui a le plus influencé les perceptions, les Caricatures ou les tweets minable au Monsieur Placard?


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1949220/electricite-quebec-legault-terre-neuve-ren...

Legault s’estime victime des perceptions depuis la démission de la PDG d’Hydro-Québec

Legault s’estime victime des perceptions depuis la démission de la PDG d’Hydro-Québec
Le premier ministre du Québec, François Legault, l'air soucieux, en conférence de presse.
Le premier ministre du Québec, François Legault, affirme qu'il n'y a pas un clan qui défend les intérêts des Québécois et un autre qui défend les intérêts des entreprises. Il y a qu'un seul clan qui travaille pour le bénéfice de la collectivité, dit-il.


Anne Marie Lecomte (accéder à la page de l'auteur)
Anne Marie Lecomte
14 h 58 | Mis à jour à 17 h 53
Une semaine après que la PDG d'Hydro-Québec, Sophie Brochu, a annoncé sa démission, François Legault a tenu à expliquer qu'il ne vendra pas au rabais l'électricité aux entreprises pour les attirer au Québec. Le premier ministre assure qu'il fera en sorte que les retombées, pour la province, soient supérieures aux avantages tarifaires accordés.

Devant les journalistes qu'il avait convoqués, mercredi, le premier ministre Legault a insisté sur la nature de ses intentions : Moi, quand je me lève le matin, je travaille pour le bénéfice des Québécois d'abord. Pas pour le bénéfice, d'abord, des entreprises.

Et c'est la même chose pour Pierre Fitzgibbon [ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie], a-t-il poursuivi. C'est la même chose pour Sophie Brochu et c'est la même chose pour le prochain ou la prochaine présidente d'Hydro-Québec.

Questionné à savoir pourquoi il sentait le besoin de faire cette mise au point, M. Legault a expliqué avoir lu et entendu toutes sortes de choses depuis la démission de Mme Brochu, qui prendra effet le 11 avril prochain.

« Il n'y a pas deux clans au Québec : le clan qui défend les intérêts des Québécois et le clan qui défend les intérêts des entreprises. Il y a juste un clan qui travaille, d'abord, au bénéfice des citoyens. »

— Une citation de François Legault, premier ministre du Québec
C'est injuste, a déclaré M. Legault, en faisant référence aux commentaires faits dans la foulée de l'annonce de Mme Brochu. Lorsqu'on travaille dans l'intérêt des Québécois, il faut, dans certains cas, travailler avec certaines entreprises, a-t-il précisé.


En annonçant son départ d'Hydro-Québec deux ans avant la fin de son mandat, la semaine dernière, Sophie Brochu avait affirmé que ce n'était pas une décision politique. Elle avait aussi écarté la possibilité que de présumées tensions avec le ministre Fitzgibbon puissent avoir motivé sa décision.

Toutefois, l'automne dernier, Mme Brochu avait admis s'être posé des questions sur la gouvernance de la société d'État. De plus, sa déclaration voulant qu'Hydro-Québec ne doive pas devenir le Dollarama de l'électricité avait alimenté la rumeur selon laquelle elle ne partage pas la vision du ministre Fitzgibbon quant à la manière dont le Québec répondra à la pénurie appréhendée en électricité.

Les dissensions entre Mme Brochu et le ministre Fitzgibbon auraient porté sur l’approbation de grands projets industriels contraires aux objectifs environnementaux du Québec.

Revenant mercredi sur cette déclaration voulant que le Québec puisse devenir le Dollarama de l'électricité, François Legault a dit croire que Sophie Brochu ne répéterait pas ça aujourd'hui. Car, dit-il, on a eu le temps de s'expliquer depuis ce temps-là.

La rencontre réunissant en décembre dernier Sophie Brochu et, entre autres, le ministre Fitzgibbon a permis l'atteinte du consensus suivant, dit M. Legault : Jamais Hydro-Québec ne doit signer un contrat si le rabais donné est supérieur aux revenus additionnels qu'en retirera l'État québécois.


L'opposition réclame une commission parlementaire
À la suite de l'annonce du départ précipité de Sophie Brochu, l'opposition a pressé la semaine dernière le gouvernement Legault de tenir une commission parlementaire d'urgence afin que la PDG démissionnaire explique sa décision. L'opposition avait aussi réclamé que l'Assemblée nationale puisse revoir le Plan stratégique d'Hydro-Québec 2022-2026 qu'avait présenté Mme Brochu, en mars dernier.

Pour Gabriel Nadeau-Dubois, co-porte-parole de Québec solidaire, le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) manque de transparence.

De son côté, le chef du Parti québécois (PQ), Paul St-Pierre Plamondon, a réclamé que la personne qui succédera à Sophie Brochu obtienne l'appui d'au minimum deux des partis d'opposition à l'Assemblée nationale. Pour le chef péquiste, l'indépendance d'Hydro-Québec doit être maintenue, considérant que la société d'État est hautement stratégique au Québec.

Le chef par intérim du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, lui, estime qu'un débat national sur l'avenir d'Hydro-Québec doit avoir lieu afin de faire connaître les filières dans lesquelles Québec compte investir des deniers publics.

Mercredi, le premier ministre Legault a cité trois exemples de nouvelles filières qui, selon lui, permettront de décarboner le Québec et la planète :

la filière batterie qui, avec le lithium, permettra la production de batteries pour les véhicules électriques;
l'aluminium vert qui, d'ici 10 à 20 ans, viendra beaucoup du Québec;
l'acier vert, pour lequel il y a des discussions avec ArcelorMittal.
La filière batterie à Bécancour entraînera la création d'emplois procurant, dans certains cas, des salaires de 100 000 $ par année, a souligné M. Legault. Et ces emplois en remplaceront d'autres qui sont payés 50 000 $, ce qui permettra à Québec d'engranger des revenus additionnels, fait-il valoir.

« Pour chaque contrat signé, notre job c'est de nous assurer que les revenus additionnels, pour les Québécois, excèdent le rabais sur le coût marginal [en électricité]. »

— Une citation de François Legault, premier ministre du Québec
Le Québec a pour défi énorme d'atteindre la carboneutralité d'ici 2050, a rappelé le premier ministre Legault, qui se donne pour objectif de faire de la province un chef de file en cette matière en Amérique du Nord.

Un plan B en hydroélectricité
Le poste électrique de la Romaine-4.
Dans son discours d'ouverture de la 43e législature, à Québec, fin novembre, François Legault avait réitéré son désir de voir de nouveaux barrages hydroélectriques être érigés en sol québécois. (Photo d'archives du poste électrique de la Romaine-4)


En ce qui a trait aux nouveaux barrages hydroélectriques qu'il souhaite en sol québécois, François Legault n'a pas répondu, mercredi, lorsqu'on lui a demandé à quels endroits il envisageait de les faire ériger.

Mais il a insisté sur la nécessité, pour le Québec, d'avoir un plan B en matière d'hydroélectricité, du fait que les énergies éolienne ou solaire ne pourraient, selon lui, combler les besoins énergétiques de la province.

Le premier ministre Legault a expliqué qu'il devra, dans les mois à venir, renégocier avec Terre-Neuve-et-Labrador l'entente – conclue en 1969 – qui permet à Hydro-Québec d'acheter la majorité de l'électricité produite à la centrale de Churchill Falls.

Cette entente controversée, qui s'est avérée très rentable pour Hydro-Québec, viendra à échéance en 2041.

Si on veut être en bonne position pour négocier avec Terre-Neuve, nous avons besoin d'un plan B pour Churchill Falls, a déclaré mercredi M. Legault. Ça, ça veut dire de nouveaux barrages.

Pour M. Legault, la beauté des barrages est qu'ils constituent une sorte de batterie, l'eau, sur laquelle on peut compter en périodes de pointe.

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