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LNH : On n'a pas fini d'entendre le mot Québec ! (Forum)

par Dédé ⌂ @, mercredi 17 mai 2023, 17:48 (il y a 353 jours)

Source : Projet d’amphithéâtre refusé à Tempe: même s'ils s'accrochent, les Coyotes crèvent dans le désert

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STÉPHANE CADORETTE
Mercredi, 17 mai 2023 16:10
MISE À JOUR Mercredi, 17 mai 2023 16:10

Depuis le rejet par référendum, tard mardi soir, du projet d’amphithéâtre à Tempe, les Coyotes semblent à l’agonie dans le désert. Comme toujours, toutefois, dans cette interminable saga, l’équipe et la LNH s’accrochent à un dernier soubresaut.

Même si les résidents de Tempe semblent avoir planté le dernier clou dans le cercueil, ceux qui ont moindrement suivi cette épopée depuis les premiers déboires en 2009 savent qu’il ne faut jamais vendre la peau du Coyote avant de l’avoir tué.

Tempe, c’est la ville où les Coyotes devaient s’installer dans un somptueux projet de développement commercial de 2,1 milliards, incluant un aréna dernier cri de 16 000 places. C’est ce même projet qui a été rejeté haut la main par voie populaire.

Il avait pourtant été appuyé à l’unanimité par les conseillers municipaux en novembre et, récemment, le maire Corey Woods s’était même avancé à vendre le tout comme «le meilleur deal sportif dans l’histoire de l’Arizona».

À l’inverse, le groupe de gauche Tempe 1st, qui pendant des mois a lutté pour que le projet soit refusé en faisant du porte-à-porte, s’est réjoui du dénouement.

«C’est une victoire par Tempe et pour Tempe. Les résidents aiment leur communauté et savent ce qui est le mieux pour eux. Il faut se battre pour une ville où on peut se permettre de vivre, qui est durable et responsable avec l’argent de nos impôts», a commenté le regroupement.

Changement de ton

Évidemment, pour la Ligue nationale, le temps presse. Le repêchage arrive à grands pas et la prochaine saison n’est pas loin sur le radar. Les derniers événements ont donc eu l’effet d’une tempête de sable sur leurs plans.

«La LNH est terriblement déçue des résultats du référendum concernant le projet d’amphithéâtre pour les Coyotes à Tempe. Nous allons évaluer avec les Coyotes quelles pourraient être les options pour le futur», a déclaré le commissaire Gary Bettman, peu après le résultat.

Il faut noter que par le passé, chaque fois que les Coyotes semblaient bel et bien avoir rendu l’âme, Bettman implorait les journalistes et amateurs de ne pas crier au loup. À plusieurs reprises, il a réitéré son soutien indéfectible à ce marché critiqué de toutes parts. Cette fois, son message laconique semblait donner l’impression que lui-même était épuisé de prêcher dans le désert.

Toujours debout?

Maintenant que les jeux sont faits, plusieurs sont prêts pour l’oraison funèbre, mais voilà qu’au moment de l’enterrement, une patte du Coyote est encore ressortie du sol.

«Notre plan est de demeurer en Arizona», a laissé entendre le propriétaire de l’équipe, Alex Meruelo, au journaliste Andy Strickland.

Craig Morgan, un autre journaliste qui est bien branché sur les Coyotes depuis des années, a quant à lui tenté de calmer le jeu.

«Mettez les freins sur les discussions de déménagement. Je ne m’attendais pas à dire ça aujourd’hui, mais j’entends désormais qu’il y a toujours une avenue pour les Coyotes en Arizona», a-t-il écrit, en entretenant le mystère sur son compte Twitter.

Rumeurs de déménagement

Le commissaire adjoint, Bill Daly, a quant à lui mentionné sur les ondes d’ESPN que les Coyotes joueraient bel et bien au Mullett Arena de 5000 places la saison prochaine.

Une source a cependant mentionné au même réseau «qu’il n’y a pas de plan B» pour s’assurer de maintenir l’équipe en Arizona à long terme.

Les prochaines semaines devraient nous en révéler davantage. Pour l’instant, les rumeurs de déménagement prennent de l’ampleur. Et Québec, dans tout ça?

«Nous avons toujours un grand intérêt pour le retour des Nordiques. L'appui des partisans de Québec pour les Remparts dans les présentes séries démontre leur passion du hockey et la capacité de Québec à soutenir une équipe professionnelle», a fait savoir Martin Tremblay, chef de l’exploitation du Groupe Sports et divertissement chez Québecor.

Dans son balado, l’informateur de Sportsnet Elliotte Friedman a suggéré de surveiller les villes de Houston, Salt Lake City, Sacramento et Kansas City. Il ne s’est pas montré optimiste pour Québec.

«C’est plus difficile dans ce scénario, car il s’agit d’une ville de l’Est et la ligue veut garder l’équilibre avec l’Ouest», a-t-il glissé.

Des anciens étonnés

Joints par Le Journal, les anciens porte-couleurs des Coyotes Éric Bélanger et Antoine Roussel se sont dits surpris des dernières nouvelles.

«Je ne peux pas croire qu’ils vont continuer de jouer dans un aréna de 5000 places. Je ne pense pas non plus qu’ils vont retourner à Glendale. Ce que je pense, c’est que les carottes sont cuites», a confié Bélanger, qui dirige maintenant les Voltigeurs de Drummondville.

De son côté, Roussel s’est montré plus réservé.

«Je ne suis pas encore prêt à dire que c’est totalement la fin. Je pense que la LNH va encore chercher une solution. On entend déjà des possibilités ici et là. Je ne peux pas croire que la LNH ne faisait qu’attendre le résultat du vote. Ils doivent avoir une porte de sortie», a-t-il supposé.
______________

Il y a de quoi rendre les pro-Nordindes euphoriques ! :D

Méchante gifle pour Bettman en tout cas. :D

Voyons voir ce que fera ce dernier avec son sac des milles coups fins. :evil:

Chose certaine, les carottes semblent plus que cuites. :mdr:

Dédé

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LNH : On n'a pas fini d'entendre le mot Québec !

par Blake, mercredi 17 mai 2023, 19:38 (il y a 353 jours) @ Dédé

Source : Projet d’amphithéâtre refusé à Tempe: même s'ils s'accrochent, les Coyotes crèvent dans le désert

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STÉPHANE CADORETTE
Mercredi, 17 mai 2023 16:10
MISE À JOUR Mercredi, 17 mai 2023 16:10

Depuis le rejet par référendum, tard mardi soir, du projet d’amphithéâtre à Tempe, les Coyotes semblent à l’agonie dans le désert. Comme toujours, toutefois, dans cette interminable saga, l’équipe et la LNH s’accrochent à un dernier soubresaut.

Même si les résidents de Tempe semblent avoir planté le dernier clou dans le cercueil, ceux qui ont moindrement suivi cette épopée depuis les premiers déboires en 2009 savent qu’il ne faut jamais vendre la peau du Coyote avant de l’avoir tué.

Tempe, c’est la ville où les Coyotes devaient s’installer dans un somptueux projet de développement commercial de 2,1 milliards, incluant un aréna dernier cri de 16 000 places. C’est ce même projet qui a été rejeté haut la main par voie populaire.

Il avait pourtant été appuyé à l’unanimité par les conseillers municipaux en novembre et, récemment, le maire Corey Woods s’était même avancé à vendre le tout comme «le meilleur deal sportif dans l’histoire de l’Arizona».

À l’inverse, le groupe de gauche Tempe 1st, qui pendant des mois a lutté pour que le projet soit refusé en faisant du porte-à-porte, s’est réjoui du dénouement.

«C’est une victoire par Tempe et pour Tempe. Les résidents aiment leur communauté et savent ce qui est le mieux pour eux. Il faut se battre pour une ville où on peut se permettre de vivre, qui est durable et responsable avec l’argent de nos impôts», a commenté le regroupement.

Changement de ton

Évidemment, pour la Ligue nationale, le temps presse. Le repêchage arrive à grands pas et la prochaine saison n’est pas loin sur le radar. Les derniers événements ont donc eu l’effet d’une tempête de sable sur leurs plans.

«La LNH est terriblement déçue des résultats du référendum concernant le projet d’amphithéâtre pour les Coyotes à Tempe. Nous allons évaluer avec les Coyotes quelles pourraient être les options pour le futur», a déclaré le commissaire Gary Bettman, peu après le résultat.

Il faut noter que par le passé, chaque fois que les Coyotes semblaient bel et bien avoir rendu l’âme, Bettman implorait les journalistes et amateurs de ne pas crier au loup. À plusieurs reprises, il a réitéré son soutien indéfectible à ce marché critiqué de toutes parts. Cette fois, son message laconique semblait donner l’impression que lui-même était épuisé de prêcher dans le désert.

Toujours debout?

Maintenant que les jeux sont faits, plusieurs sont prêts pour l’oraison funèbre, mais voilà qu’au moment de l’enterrement, une patte du Coyote est encore ressortie du sol.

«Notre plan est de demeurer en Arizona», a laissé entendre le propriétaire de l’équipe, Alex Meruelo, au journaliste Andy Strickland.

Craig Morgan, un autre journaliste qui est bien branché sur les Coyotes depuis des années, a quant à lui tenté de calmer le jeu.

«Mettez les freins sur les discussions de déménagement. Je ne m’attendais pas à dire ça aujourd’hui, mais j’entends désormais qu’il y a toujours une avenue pour les Coyotes en Arizona», a-t-il écrit, en entretenant le mystère sur son compte Twitter.

Rumeurs de déménagement

Le commissaire adjoint, Bill Daly, a quant à lui mentionné sur les ondes d’ESPN que les Coyotes joueraient bel et bien au Mullett Arena de 5000 places la saison prochaine.

Une source a cependant mentionné au même réseau «qu’il n’y a pas de plan B» pour s’assurer de maintenir l’équipe en Arizona à long terme.

Les prochaines semaines devraient nous en révéler davantage. Pour l’instant, les rumeurs de déménagement prennent de l’ampleur. Et Québec, dans tout ça?

«Nous avons toujours un grand intérêt pour le retour des Nordiques. L'appui des partisans de Québec pour les Remparts dans les présentes séries démontre leur passion du hockey et la capacité de Québec à soutenir une équipe professionnelle», a fait savoir Martin Tremblay, chef de l’exploitation du Groupe Sports et divertissement chez Québecor.

Dans son balado, l’informateur de Sportsnet Elliotte Friedman a suggéré de surveiller les villes de Houston, Salt Lake City, Sacramento et Kansas City. Il ne s’est pas montré optimiste pour Québec.

«C’est plus difficile dans ce scénario, car il s’agit d’une ville de l’Est et la ligue veut garder l’équilibre avec l’Ouest», a-t-il glissé.

Des anciens étonnés

Joints par Le Journal, les anciens porte-couleurs des Coyotes Éric Bélanger et Antoine Roussel se sont dits surpris des dernières nouvelles.

«Je ne peux pas croire qu’ils vont continuer de jouer dans un aréna de 5000 places. Je ne pense pas non plus qu’ils vont retourner à Glendale. Ce que je pense, c’est que les carottes sont cuites», a confié Bélanger, qui dirige maintenant les Voltigeurs de Drummondville.

De son côté, Roussel s’est montré plus réservé.

«Je ne suis pas encore prêt à dire que c’est totalement la fin. Je pense que la LNH va encore chercher une solution. On entend déjà des possibilités ici et là. Je ne peux pas croire que la LNH ne faisait qu’attendre le résultat du vote. Ils doivent avoir une porte de sortie», a-t-il supposé.
______________

Il y a de quoi rendre les pro-Nordindes euphoriques ! :D

Méchante gifle pour Bettman en tout cas. :D

Voyons voir ce que fera ce dernier avec son sac des milles coups fins. :evil:

Chose certaine, les carottes semblent plus que cuites. :mdr:

Dédé

D'ailleurs, le gros baloney est starté là-dessus. Assez pathétique de le voir aller à son show. Mais malheureusement pour lui, Houston, Kansas City, Salt Lake City et Hamilton sont en attente.

:D

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LNH : On n'a pas fini d'entendre le mot Québec !

par Dédé ⌂ @, mercredi 17 mai 2023, 20:18 (il y a 353 jours) @ Blake

Source : Projet d’amphithéâtre refusé à Tempe: même s'ils s'accrochent, les Coyotes crèvent dans le désert

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STÉPHANE CADORETTE
Mercredi, 17 mai 2023 16:10
MISE À JOUR Mercredi, 17 mai 2023 16:10

Depuis le rejet par référendum, tard mardi soir, du projet d’amphithéâtre à Tempe, les Coyotes semblent à l’agonie dans le désert. Comme toujours, toutefois, dans cette interminable saga, l’équipe et la LNH s’accrochent à un dernier soubresaut.

Même si les résidents de Tempe semblent avoir planté le dernier clou dans le cercueil, ceux qui ont moindrement suivi cette épopée depuis les premiers déboires en 2009 savent qu’il ne faut jamais vendre la peau du Coyote avant de l’avoir tué.

Tempe, c’est la ville où les Coyotes devaient s’installer dans un somptueux projet de développement commercial de 2,1 milliards, incluant un aréna dernier cri de 16 000 places. C’est ce même projet qui a été rejeté haut la main par voie populaire.

Il avait pourtant été appuyé à l’unanimité par les conseillers municipaux en novembre et, récemment, le maire Corey Woods s’était même avancé à vendre le tout comme «le meilleur deal sportif dans l’histoire de l’Arizona».

À l’inverse, le groupe de gauche Tempe 1st, qui pendant des mois a lutté pour que le projet soit refusé en faisant du porte-à-porte, s’est réjoui du dénouement.

«C’est une victoire par Tempe et pour Tempe. Les résidents aiment leur communauté et savent ce qui est le mieux pour eux. Il faut se battre pour une ville où on peut se permettre de vivre, qui est durable et responsable avec l’argent de nos impôts», a commenté le regroupement.

Changement de ton

Évidemment, pour la Ligue nationale, le temps presse. Le repêchage arrive à grands pas et la prochaine saison n’est pas loin sur le radar. Les derniers événements ont donc eu l’effet d’une tempête de sable sur leurs plans.

«La LNH est terriblement déçue des résultats du référendum concernant le projet d’amphithéâtre pour les Coyotes à Tempe. Nous allons évaluer avec les Coyotes quelles pourraient être les options pour le futur», a déclaré le commissaire Gary Bettman, peu après le résultat.

Il faut noter que par le passé, chaque fois que les Coyotes semblaient bel et bien avoir rendu l’âme, Bettman implorait les journalistes et amateurs de ne pas crier au loup. À plusieurs reprises, il a réitéré son soutien indéfectible à ce marché critiqué de toutes parts. Cette fois, son message laconique semblait donner l’impression que lui-même était épuisé de prêcher dans le désert.

Toujours debout?

Maintenant que les jeux sont faits, plusieurs sont prêts pour l’oraison funèbre, mais voilà qu’au moment de l’enterrement, une patte du Coyote est encore ressortie du sol.

«Notre plan est de demeurer en Arizona», a laissé entendre le propriétaire de l’équipe, Alex Meruelo, au journaliste Andy Strickland.

Craig Morgan, un autre journaliste qui est bien branché sur les Coyotes depuis des années, a quant à lui tenté de calmer le jeu.

«Mettez les freins sur les discussions de déménagement. Je ne m’attendais pas à dire ça aujourd’hui, mais j’entends désormais qu’il y a toujours une avenue pour les Coyotes en Arizona», a-t-il écrit, en entretenant le mystère sur son compte Twitter.

Rumeurs de déménagement

Le commissaire adjoint, Bill Daly, a quant à lui mentionné sur les ondes d’ESPN que les Coyotes joueraient bel et bien au Mullett Arena de 5000 places la saison prochaine.

Une source a cependant mentionné au même réseau «qu’il n’y a pas de plan B» pour s’assurer de maintenir l’équipe en Arizona à long terme.

Les prochaines semaines devraient nous en révéler davantage. Pour l’instant, les rumeurs de déménagement prennent de l’ampleur. Et Québec, dans tout ça?

«Nous avons toujours un grand intérêt pour le retour des Nordiques. L'appui des partisans de Québec pour les Remparts dans les présentes séries démontre leur passion du hockey et la capacité de Québec à soutenir une équipe professionnelle», a fait savoir Martin Tremblay, chef de l’exploitation du Groupe Sports et divertissement chez Québecor.

Dans son balado, l’informateur de Sportsnet Elliotte Friedman a suggéré de surveiller les villes de Houston, Salt Lake City, Sacramento et Kansas City. Il ne s’est pas montré optimiste pour Québec.

«C’est plus difficile dans ce scénario, car il s’agit d’une ville de l’Est et la ligue veut garder l’équilibre avec l’Ouest», a-t-il glissé.

Des anciens étonnés

Joints par Le Journal, les anciens porte-couleurs des Coyotes Éric Bélanger et Antoine Roussel se sont dits surpris des dernières nouvelles.

«Je ne peux pas croire qu’ils vont continuer de jouer dans un aréna de 5000 places. Je ne pense pas non plus qu’ils vont retourner à Glendale. Ce que je pense, c’est que les carottes sont cuites», a confié Bélanger, qui dirige maintenant les Voltigeurs de Drummondville.

De son côté, Roussel s’est montré plus réservé.

«Je ne suis pas encore prêt à dire que c’est totalement la fin. Je pense que la LNH va encore chercher une solution. On entend déjà des possibilités ici et là. Je ne peux pas croire que la LNH ne faisait qu’attendre le résultat du vote. Ils doivent avoir une porte de sortie», a-t-il supposé.
______________

Il y a de quoi rendre les pro-Nordindes euphoriques ! :D

Méchante gifle pour Bettman en tout cas. :D

Voyons voir ce que fera ce dernier avec son sac des milles coups fins. :evil:

Chose certaine, les carottes semblent plus que cuites. :mdr:

Dédé


D'ailleurs, le gros baloney est starté là-dessus. Assez pathétique de le voir aller à son show. Mais malheureusement pour lui, Houston, Kansas City, Salt Lake City et Hamilton sont en attente.

:D

______________

Il me semble que Houston et Salt Lake City ont déjà les installations de 18,000 personnes et plus, prêtes à recevoir une équipe de la LNH. Hamilton sont pratiquement éliminés au départ parce que les dirigeants des Maple Leafs ne veulent rien savoir d'un autre club aussi proche de Toronto.

Le gros baloney croit dur comme fer que la région de Québec a les moyens pour avoir une équipe de la LNH. Je veux bien croire que Bettman préfère les USA pour la rentabilité du produit et il sait aussi qu'au niveau de la stabilité économique que présente même à la hausse de la région en Beauce, que Québec n'a pas les reins assez solides pour recevoir une autre équipe de hockey de la LNH. Il a certainement demandé des études et des bilans financiers pour la faisabilité que Québec puisse ravoir un club. Il est loin d'être un crétin même s'il en est un avec ses stis de Coyotes. :D

Touka, j'ai hâte de voir la suite mais je suis certain que Bettman prendrait s'il le faut, Atlanta plutôt que Québec. :D

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LNH : On n'a pas fini d'entendre le mot Québec !

par Blake, mercredi 17 mai 2023, 20:34 (il y a 353 jours) @ Dédé

Source : Projet d’amphithéâtre refusé à Tempe: même s'ils s'accrochent, les Coyotes crèvent dans le désert

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STÉPHANE CADORETTE
Mercredi, 17 mai 2023 16:10
MISE À JOUR Mercredi, 17 mai 2023 16:10

Depuis le rejet par référendum, tard mardi soir, du projet d’amphithéâtre à Tempe, les Coyotes semblent à l’agonie dans le désert. Comme toujours, toutefois, dans cette interminable saga, l’équipe et la LNH s’accrochent à un dernier soubresaut.

Même si les résidents de Tempe semblent avoir planté le dernier clou dans le cercueil, ceux qui ont moindrement suivi cette épopée depuis les premiers déboires en 2009 savent qu’il ne faut jamais vendre la peau du Coyote avant de l’avoir tué.

Tempe, c’est la ville où les Coyotes devaient s’installer dans un somptueux projet de développement commercial de 2,1 milliards, incluant un aréna dernier cri de 16 000 places. C’est ce même projet qui a été rejeté haut la main par voie populaire.

Il avait pourtant été appuyé à l’unanimité par les conseillers municipaux en novembre et, récemment, le maire Corey Woods s’était même avancé à vendre le tout comme «le meilleur deal sportif dans l’histoire de l’Arizona».

À l’inverse, le groupe de gauche Tempe 1st, qui pendant des mois a lutté pour que le projet soit refusé en faisant du porte-à-porte, s’est réjoui du dénouement.

«C’est une victoire par Tempe et pour Tempe. Les résidents aiment leur communauté et savent ce qui est le mieux pour eux. Il faut se battre pour une ville où on peut se permettre de vivre, qui est durable et responsable avec l’argent de nos impôts», a commenté le regroupement.

Changement de ton

Évidemment, pour la Ligue nationale, le temps presse. Le repêchage arrive à grands pas et la prochaine saison n’est pas loin sur le radar. Les derniers événements ont donc eu l’effet d’une tempête de sable sur leurs plans.

«La LNH est terriblement déçue des résultats du référendum concernant le projet d’amphithéâtre pour les Coyotes à Tempe. Nous allons évaluer avec les Coyotes quelles pourraient être les options pour le futur», a déclaré le commissaire Gary Bettman, peu après le résultat.

Il faut noter que par le passé, chaque fois que les Coyotes semblaient bel et bien avoir rendu l’âme, Bettman implorait les journalistes et amateurs de ne pas crier au loup. À plusieurs reprises, il a réitéré son soutien indéfectible à ce marché critiqué de toutes parts. Cette fois, son message laconique semblait donner l’impression que lui-même était épuisé de prêcher dans le désert.

Toujours debout?

Maintenant que les jeux sont faits, plusieurs sont prêts pour l’oraison funèbre, mais voilà qu’au moment de l’enterrement, une patte du Coyote est encore ressortie du sol.

«Notre plan est de demeurer en Arizona», a laissé entendre le propriétaire de l’équipe, Alex Meruelo, au journaliste Andy Strickland.

Craig Morgan, un autre journaliste qui est bien branché sur les Coyotes depuis des années, a quant à lui tenté de calmer le jeu.

«Mettez les freins sur les discussions de déménagement. Je ne m’attendais pas à dire ça aujourd’hui, mais j’entends désormais qu’il y a toujours une avenue pour les Coyotes en Arizona», a-t-il écrit, en entretenant le mystère sur son compte Twitter.

Rumeurs de déménagement

Le commissaire adjoint, Bill Daly, a quant à lui mentionné sur les ondes d’ESPN que les Coyotes joueraient bel et bien au Mullett Arena de 5000 places la saison prochaine.

Une source a cependant mentionné au même réseau «qu’il n’y a pas de plan B» pour s’assurer de maintenir l’équipe en Arizona à long terme.

Les prochaines semaines devraient nous en révéler davantage. Pour l’instant, les rumeurs de déménagement prennent de l’ampleur. Et Québec, dans tout ça?

«Nous avons toujours un grand intérêt pour le retour des Nordiques. L'appui des partisans de Québec pour les Remparts dans les présentes séries démontre leur passion du hockey et la capacité de Québec à soutenir une équipe professionnelle», a fait savoir Martin Tremblay, chef de l’exploitation du Groupe Sports et divertissement chez Québecor.

Dans son balado, l’informateur de Sportsnet Elliotte Friedman a suggéré de surveiller les villes de Houston, Salt Lake City, Sacramento et Kansas City. Il ne s’est pas montré optimiste pour Québec.

«C’est plus difficile dans ce scénario, car il s’agit d’une ville de l’Est et la ligue veut garder l’équilibre avec l’Ouest», a-t-il glissé.

Des anciens étonnés

Joints par Le Journal, les anciens porte-couleurs des Coyotes Éric Bélanger et Antoine Roussel se sont dits surpris des dernières nouvelles.

«Je ne peux pas croire qu’ils vont continuer de jouer dans un aréna de 5000 places. Je ne pense pas non plus qu’ils vont retourner à Glendale. Ce que je pense, c’est que les carottes sont cuites», a confié Bélanger, qui dirige maintenant les Voltigeurs de Drummondville.

De son côté, Roussel s’est montré plus réservé.

«Je ne suis pas encore prêt à dire que c’est totalement la fin. Je pense que la LNH va encore chercher une solution. On entend déjà des possibilités ici et là. Je ne peux pas croire que la LNH ne faisait qu’attendre le résultat du vote. Ils doivent avoir une porte de sortie», a-t-il supposé.
______________

Il y a de quoi rendre les pro-Nordindes euphoriques ! :D

Méchante gifle pour Bettman en tout cas. :D

Voyons voir ce que fera ce dernier avec son sac des milles coups fins. :evil:

Chose certaine, les carottes semblent plus que cuites. :mdr:

Dédé


D'ailleurs, le gros baloney est starté là-dessus. Assez pathétique de le voir aller à son show. Mais malheureusement pour lui, Houston, Kansas City, Salt Lake City et Hamilton sont en attente.

:D

______________

Il me semble que Houston et Salt Lake City ont déjà les installations de 18,000 personnes et plus, prêtes à recevoir une équipe de la LNH. Hamilton sont pratiquement éliminés au départ parce que les dirigeants des Maple Leafs ne veulent rien savoir d'un autre club aussi proche de Toronto.

Le gros baloney croit dur comme fer que la région de Québec a les moyens pour avoir une équipe de la LNH. Je veux bien croire que Bettman préfère les USA pour la rentabilité du produit et il sait aussi qu'au niveau de la stabilité économique que présente même à la hausse de la région en Beauce, que Québec n'a pas les reins assez solides pour recevoir une autre équipe de hockey de la LNH. Il a certainement demandé des études et des bilans financiers pour la faisabilité que Québec puisse ravoir un club. Il est loin d'être un crétin même s'il en est un avec ses stis de Coyotes. :D

Touka, j'ai hâte de voir la suite mais je suis certain que Bettman prendrait s'il le faut, Atlanta plutôt que Québec. :D

Kansa City aussi ont un building prêt. Québec, ce serait un échec total à long terme. Betteman n'a pas de temps à perdre avec Québec.

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LNH : On n'a pas fini d'entendre le mot Québec !

par Dédé ⌂ @, mercredi 17 mai 2023, 20:59 (il y a 353 jours) @ Blake

Source : Projet d’amphithéâtre refusé à Tempe: même s'ils s'accrochent, les Coyotes crèvent dans le désert

[image]


STÉPHANE CADORETTE
Mercredi, 17 mai 2023 16:10
MISE À JOUR Mercredi, 17 mai 2023 16:10

Depuis le rejet par référendum, tard mardi soir, du projet d’amphithéâtre à Tempe, les Coyotes semblent à l’agonie dans le désert. Comme toujours, toutefois, dans cette interminable saga, l’équipe et la LNH s’accrochent à un dernier soubresaut.

Même si les résidents de Tempe semblent avoir planté le dernier clou dans le cercueil, ceux qui ont moindrement suivi cette épopée depuis les premiers déboires en 2009 savent qu’il ne faut jamais vendre la peau du Coyote avant de l’avoir tué.

Tempe, c’est la ville où les Coyotes devaient s’installer dans un somptueux projet de développement commercial de 2,1 milliards, incluant un aréna dernier cri de 16 000 places. C’est ce même projet qui a été rejeté haut la main par voie populaire.

Il avait pourtant été appuyé à l’unanimité par les conseillers municipaux en novembre et, récemment, le maire Corey Woods s’était même avancé à vendre le tout comme «le meilleur deal sportif dans l’histoire de l’Arizona».

À l’inverse, le groupe de gauche Tempe 1st, qui pendant des mois a lutté pour que le projet soit refusé en faisant du porte-à-porte, s’est réjoui du dénouement.

«C’est une victoire par Tempe et pour Tempe. Les résidents aiment leur communauté et savent ce qui est le mieux pour eux. Il faut se battre pour une ville où on peut se permettre de vivre, qui est durable et responsable avec l’argent de nos impôts», a commenté le regroupement.

Changement de ton

Évidemment, pour la Ligue nationale, le temps presse. Le repêchage arrive à grands pas et la prochaine saison n’est pas loin sur le radar. Les derniers événements ont donc eu l’effet d’une tempête de sable sur leurs plans.

«La LNH est terriblement déçue des résultats du référendum concernant le projet d’amphithéâtre pour les Coyotes à Tempe. Nous allons évaluer avec les Coyotes quelles pourraient être les options pour le futur», a déclaré le commissaire Gary Bettman, peu après le résultat.

Il faut noter que par le passé, chaque fois que les Coyotes semblaient bel et bien avoir rendu l’âme, Bettman implorait les journalistes et amateurs de ne pas crier au loup. À plusieurs reprises, il a réitéré son soutien indéfectible à ce marché critiqué de toutes parts. Cette fois, son message laconique semblait donner l’impression que lui-même était épuisé de prêcher dans le désert.

Toujours debout?

Maintenant que les jeux sont faits, plusieurs sont prêts pour l’oraison funèbre, mais voilà qu’au moment de l’enterrement, une patte du Coyote est encore ressortie du sol.

«Notre plan est de demeurer en Arizona», a laissé entendre le propriétaire de l’équipe, Alex Meruelo, au journaliste Andy Strickland.

Craig Morgan, un autre journaliste qui est bien branché sur les Coyotes depuis des années, a quant à lui tenté de calmer le jeu.

«Mettez les freins sur les discussions de déménagement. Je ne m’attendais pas à dire ça aujourd’hui, mais j’entends désormais qu’il y a toujours une avenue pour les Coyotes en Arizona», a-t-il écrit, en entretenant le mystère sur son compte Twitter.

Rumeurs de déménagement

Le commissaire adjoint, Bill Daly, a quant à lui mentionné sur les ondes d’ESPN que les Coyotes joueraient bel et bien au Mullett Arena de 5000 places la saison prochaine.

Une source a cependant mentionné au même réseau «qu’il n’y a pas de plan B» pour s’assurer de maintenir l’équipe en Arizona à long terme.

Les prochaines semaines devraient nous en révéler davantage. Pour l’instant, les rumeurs de déménagement prennent de l’ampleur. Et Québec, dans tout ça?

«Nous avons toujours un grand intérêt pour le retour des Nordiques. L'appui des partisans de Québec pour les Remparts dans les présentes séries démontre leur passion du hockey et la capacité de Québec à soutenir une équipe professionnelle», a fait savoir Martin Tremblay, chef de l’exploitation du Groupe Sports et divertissement chez Québecor.

Dans son balado, l’informateur de Sportsnet Elliotte Friedman a suggéré de surveiller les villes de Houston, Salt Lake City, Sacramento et Kansas City. Il ne s’est pas montré optimiste pour Québec.

«C’est plus difficile dans ce scénario, car il s’agit d’une ville de l’Est et la ligue veut garder l’équilibre avec l’Ouest», a-t-il glissé.

Des anciens étonnés

Joints par Le Journal, les anciens porte-couleurs des Coyotes Éric Bélanger et Antoine Roussel se sont dits surpris des dernières nouvelles.

«Je ne peux pas croire qu’ils vont continuer de jouer dans un aréna de 5000 places. Je ne pense pas non plus qu’ils vont retourner à Glendale. Ce que je pense, c’est que les carottes sont cuites», a confié Bélanger, qui dirige maintenant les Voltigeurs de Drummondville.

De son côté, Roussel s’est montré plus réservé.

«Je ne suis pas encore prêt à dire que c’est totalement la fin. Je pense que la LNH va encore chercher une solution. On entend déjà des possibilités ici et là. Je ne peux pas croire que la LNH ne faisait qu’attendre le résultat du vote. Ils doivent avoir une porte de sortie», a-t-il supposé.
______________

Il y a de quoi rendre les pro-Nordindes euphoriques ! :D

Méchante gifle pour Bettman en tout cas. :D

Voyons voir ce que fera ce dernier avec son sac des milles coups fins. :evil:

Chose certaine, les carottes semblent plus que cuites. :mdr:

Dédé


D'ailleurs, le gros baloney est starté là-dessus. Assez pathétique de le voir aller à son show. Mais malheureusement pour lui, Houston, Kansas City, Salt Lake City et Hamilton sont en attente.

:D

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Il me semble que Houston et Salt Lake City ont déjà les installations de 18,000 personnes et plus, prêtes à recevoir une équipe de la LNH. Hamilton sont pratiquement éliminés au départ parce que les dirigeants des Maple Leafs ne veulent rien savoir d'un autre club aussi proche de Toronto.

Le gros baloney croit dur comme fer que la région de Québec a les moyens pour avoir une équipe de la LNH. Je veux bien croire que Bettman préfère les USA pour la rentabilité du produit et il sait aussi qu'au niveau de la stabilité économique que présente même à la hausse de la région en Beauce, que Québec n'a pas les reins assez solides pour recevoir une autre équipe de hockey de la LNH. Il a certainement demandé des études et des bilans financiers pour la faisabilité que Québec puisse ravoir un club. Il est loin d'être un crétin même s'il en est un avec ses stis de Coyotes. :D

Touka, j'ai hâte de voir la suite mais je suis certain que Bettman prendrait s'il le faut, Atlanta plutôt que Québec. :D


Kansa City aussi ont un building prêt. Québec, ce serait un échec total à long terme. Betteman n'a pas de temps à perdre avec Québec.

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Surtout qu'il y aurait une équipe de trop dans l'Est et qu'il devra avoir un club comme Détroit qui risquerait revenir dans l'Ouest central. Pas certain que Détroit aimerait se retrouver là ! :D

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TAnt que Bettman sera là...

par Jéromec, mercredi 17 mai 2023, 21:09 (il y a 353 jours) @ Dédé

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TAnt que Bettman sera là... ben Burlington a plus de chance de Québec...

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LNH : On n'a pas fini d'entendre le mot Québec !

par Blake, mercredi 17 mai 2023, 21:29 (il y a 353 jours) @ Dédé

Source : Projet d’amphithéâtre refusé à Tempe: même s'ils s'accrochent, les Coyotes crèvent dans le désert

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STÉPHANE CADORETTE
Mercredi, 17 mai 2023 16:10
MISE À JOUR Mercredi, 17 mai 2023 16:10

Depuis le rejet par référendum, tard mardi soir, du projet d’amphithéâtre à Tempe, les Coyotes semblent à l’agonie dans le désert. Comme toujours, toutefois, dans cette interminable saga, l’équipe et la LNH s’accrochent à un dernier soubresaut.

Même si les résidents de Tempe semblent avoir planté le dernier clou dans le cercueil, ceux qui ont moindrement suivi cette épopée depuis les premiers déboires en 2009 savent qu’il ne faut jamais vendre la peau du Coyote avant de l’avoir tué.

Tempe, c’est la ville où les Coyotes devaient s’installer dans un somptueux projet de développement commercial de 2,1 milliards, incluant un aréna dernier cri de 16 000 places. C’est ce même projet qui a été rejeté haut la main par voie populaire.

Il avait pourtant été appuyé à l’unanimité par les conseillers municipaux en novembre et, récemment, le maire Corey Woods s’était même avancé à vendre le tout comme «le meilleur deal sportif dans l’histoire de l’Arizona».

À l’inverse, le groupe de gauche Tempe 1st, qui pendant des mois a lutté pour que le projet soit refusé en faisant du porte-à-porte, s’est réjoui du dénouement.

«C’est une victoire par Tempe et pour Tempe. Les résidents aiment leur communauté et savent ce qui est le mieux pour eux. Il faut se battre pour une ville où on peut se permettre de vivre, qui est durable et responsable avec l’argent de nos impôts», a commenté le regroupement.

Changement de ton

Évidemment, pour la Ligue nationale, le temps presse. Le repêchage arrive à grands pas et la prochaine saison n’est pas loin sur le radar. Les derniers événements ont donc eu l’effet d’une tempête de sable sur leurs plans.

«La LNH est terriblement déçue des résultats du référendum concernant le projet d’amphithéâtre pour les Coyotes à Tempe. Nous allons évaluer avec les Coyotes quelles pourraient être les options pour le futur», a déclaré le commissaire Gary Bettman, peu après le résultat.

Il faut noter que par le passé, chaque fois que les Coyotes semblaient bel et bien avoir rendu l’âme, Bettman implorait les journalistes et amateurs de ne pas crier au loup. À plusieurs reprises, il a réitéré son soutien indéfectible à ce marché critiqué de toutes parts. Cette fois, son message laconique semblait donner l’impression que lui-même était épuisé de prêcher dans le désert.

Toujours debout?

Maintenant que les jeux sont faits, plusieurs sont prêts pour l’oraison funèbre, mais voilà qu’au moment de l’enterrement, une patte du Coyote est encore ressortie du sol.

«Notre plan est de demeurer en Arizona», a laissé entendre le propriétaire de l’équipe, Alex Meruelo, au journaliste Andy Strickland.

Craig Morgan, un autre journaliste qui est bien branché sur les Coyotes depuis des années, a quant à lui tenté de calmer le jeu.

«Mettez les freins sur les discussions de déménagement. Je ne m’attendais pas à dire ça aujourd’hui, mais j’entends désormais qu’il y a toujours une avenue pour les Coyotes en Arizona», a-t-il écrit, en entretenant le mystère sur son compte Twitter.

Rumeurs de déménagement

Le commissaire adjoint, Bill Daly, a quant à lui mentionné sur les ondes d’ESPN que les Coyotes joueraient bel et bien au Mullett Arena de 5000 places la saison prochaine.

Une source a cependant mentionné au même réseau «qu’il n’y a pas de plan B» pour s’assurer de maintenir l’équipe en Arizona à long terme.

Les prochaines semaines devraient nous en révéler davantage. Pour l’instant, les rumeurs de déménagement prennent de l’ampleur. Et Québec, dans tout ça?

«Nous avons toujours un grand intérêt pour le retour des Nordiques. L'appui des partisans de Québec pour les Remparts dans les présentes séries démontre leur passion du hockey et la capacité de Québec à soutenir une équipe professionnelle», a fait savoir Martin Tremblay, chef de l’exploitation du Groupe Sports et divertissement chez Québecor.

Dans son balado, l’informateur de Sportsnet Elliotte Friedman a suggéré de surveiller les villes de Houston, Salt Lake City, Sacramento et Kansas City. Il ne s’est pas montré optimiste pour Québec.

«C’est plus difficile dans ce scénario, car il s’agit d’une ville de l’Est et la ligue veut garder l’équilibre avec l’Ouest», a-t-il glissé.

Des anciens étonnés

Joints par Le Journal, les anciens porte-couleurs des Coyotes Éric Bélanger et Antoine Roussel se sont dits surpris des dernières nouvelles.

«Je ne peux pas croire qu’ils vont continuer de jouer dans un aréna de 5000 places. Je ne pense pas non plus qu’ils vont retourner à Glendale. Ce que je pense, c’est que les carottes sont cuites», a confié Bélanger, qui dirige maintenant les Voltigeurs de Drummondville.

De son côté, Roussel s’est montré plus réservé.

«Je ne suis pas encore prêt à dire que c’est totalement la fin. Je pense que la LNH va encore chercher une solution. On entend déjà des possibilités ici et là. Je ne peux pas croire que la LNH ne faisait qu’attendre le résultat du vote. Ils doivent avoir une porte de sortie», a-t-il supposé.
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Il y a de quoi rendre les pro-Nordindes euphoriques ! :D

Méchante gifle pour Bettman en tout cas. :D

Voyons voir ce que fera ce dernier avec son sac des milles coups fins. :evil:

Chose certaine, les carottes semblent plus que cuites. :mdr:

Dédé


D'ailleurs, le gros baloney est starté là-dessus. Assez pathétique de le voir aller à son show. Mais malheureusement pour lui, Houston, Kansas City, Salt Lake City et Hamilton sont en attente.

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Il me semble que Houston et Salt Lake City ont déjà les installations de 18,000 personnes et plus, prêtes à recevoir une équipe de la LNH. Hamilton sont pratiquement éliminés au départ parce que les dirigeants des Maple Leafs ne veulent rien savoir d'un autre club aussi proche de Toronto.

Le gros baloney croit dur comme fer que la région de Québec a les moyens pour avoir une équipe de la LNH. Je veux bien croire que Bettman préfère les USA pour la rentabilité du produit et il sait aussi qu'au niveau de la stabilité économique que présente même à la hausse de la région en Beauce, que Québec n'a pas les reins assez solides pour recevoir une autre équipe de hockey de la LNH. Il a certainement demandé des études et des bilans financiers pour la faisabilité que Québec puisse ravoir un club. Il est loin d'être un crétin même s'il en est un avec ses stis de Coyotes. :D

Touka, j'ai hâte de voir la suite mais je suis certain que Bettman prendrait s'il le faut, Atlanta plutôt que Québec. :D


Kansa City aussi ont un building prêt. Québec, ce serait un échec total à long terme. Betteman n'a pas de temps à perdre avec Québec.

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Surtout qu'il y aurait une équipe de trop dans l'Est et qu'il devra avoir un club comme Détroit qui risquerait revenir dans l'Ouest central. Pas certain que Détroit aimerait se retrouver là ! :D

Y a ça aussi.

Le Mot Du Tigre Michel Bergeron

par Jéromec, vendredi 19 mai 2023, 17:20 (il y a 351 jours) @ Blake

Le Mot Du Tigre Michel Bergeron

https://www.journaldemontreal.com/2023/05/19/svp-gary-confirmez-que-les-nordiques-ne-re...

SVP Gary, confirmez que les Nordiques ne reviendront pas

Les Coyotes ne déménageront pas à Québec
SVP Gary, confirmez que les Nordiques ne reviendront pas
Photo Agence QMI, Joël Lemay
Michel Bergeron
Vendredi, 19 mai 2023 16:47 MISE À JOUR Vendredi, 19 mai 2023 16:47

Tant que Gary Bettman sera le commissaire de la Ligue nationale de hockey, les Nordiques ne seront pas de retour à Québec. Jamais la capitale nationale n’aura une nouvelle équipe du circuit durant son mandat.

L’Américain qui aura 71 ans en juin est en poste depuis plus de 30 ans et il ne semble pas vouloir partir à la retraite.

Il a fait de bonnes choses, garnissant notamment les poches des propriétaires avec les expansions et les contrats de télévision.

Mais certains gouverneurs doivent demander des comptes. Le flop des Coyotes en Arizona est ridicule et risible. L’équipe, la Ligue et les autres formations perdent de l’argent depuis longtemps.

Est-ce qu’après toutes ces années, Bettman a trop d’ego ou est trop orgueilleux pour reconnaître l’échec des Coyotes ? Il en a fait un projet personnel.

Et le club va encore évoluer la saison prochaine dans un aréna universitaire de moins de 5000 places. Ce n’est pas sérieux. Quels athlètes professionnels peuvent s’épanouir là-bas ? Pas Jakob Chychrun en tout cas. Le défenseur a demandé à être échangé et son vœu a finalement été exaucé. Il a pris la route d’Ottawa.

Et après que la population a refusé la construction d’un amphithéâtre à Tempe, le père de l’excellent Clayton Keller a mentionné sur Twitter que son fils ne serait pas là au début de la prochaine campagne. Son message a été ensuite effacé, mais le mal était fait.

Tannés de se faire niaiser

Pendant ce temps, Québec attend. Québec attend avec ses partisans passionnés de hockey qui remplissent un Centre Vidéotron moderne pouvant accueillir plus de 18 000 spectateurs. On est loin du Mullett Arena de l’Université d’État de l’Arizona.

On a l’impression qu’il y a au moins une nouvelle par année qui nous rappelle que Québec n’a pas d’équipe de la LNH et que tous les Québécois se font niaiser.

Quand on reparle des organisations en difficulté, plusieurs villes qui pourraient potentiellement accueillir un club, comme Houston, Kansas City, Atlanta (encore !) ou Salt Lake City, refont surface. Mais il n’y a qu’au Canada qu’on parle de Québec, sinon ce nom est prononcé du bout des lèvres, pas trop fort.

Si aucun journaliste ne pose de questions à Bettman, il ne prononcera jamais le nom de la capitale de la Belle Province.

Toutefois, en coulisses, le commissaire doit certainement se servir de Québec comme outil de négociation avec les autres villes afin qu’elles s’organisent rapidement.

Même quand Québec a eu sa chance, il ne fallait pas trop en parler, de peur de froisser Bettman. Il fallait le respecter et ne pas attirer l’attention.

Qu’est-ce que ç’a donné ? Pierre Karl Péladeau, Québecor, le maire de l’époque Régis Labeaume, le gouvernement du Québec ont tous suivi les consignes à la lettre, construisant un amphithéâtre qui répond aux critères du circuit et déposant des millions de dollars sur la table juste pour présenter un dossier de candidature. Mais le choix de Bettman était déjà fait. Il a pris notre argent et s’en est allé à Las Vegas, puis à Seattle.

De faux espoirs

Bettman s’est déjà retrouvé une fois à court de solutions quand plus rien n’allait avec les Thrashers d’Atlanta. Winnipeg était prêt et les Jets sont ressuscités. Le commissaire ne voudra pas revivre pareil scénario. Si les Coyotes sont assurés de demeurer en Arizona en 2023-2024, c’est que la prochaine destination n’est pas encore prête. Bettman préfère attendre encore un peu, plutôt que de déménager le club à Québec où il y a déjà un aréna, des amateurs et un marché intéressant.

Que Bettman le dise et confirme qu’il ne veut rien savoir du retour des Nordiques, qu’il arrête de nous niaiser, de nous donner de faux espoirs. C’est fâchant, parce qu’on est pris en otage.

Le rôle du CH

Le Canadien pourrait aussi jouer un rôle important pour aider Québec. Le CH a profité de cette grande rivalité. Montréal aurait tout avantage à retrouver son ennemi juré. Ça forcerait l’organisation à être meilleure à tous points de vue. Les deux équipes s’arracheraient les meilleurs joueurs québécois, elles seraient plus attentives à ce qui se passe dans la LHJMQ. Tout le monde en sortirait gagnant, mais ça, Bettman ne veut pas le voir.

Honnêtement, j’espère plus le retour des Nordiques que j’y crois vraiment. C’est une triste réalité.

▶ Soyez honnêtes : avez-vous regardé le match entre les Panthers de la Floride et les Hurricanes de la Caroline au complet ? Pas moi ! Je me suis allongé, mais je n’ai pas vu le but gagnant, inscrit au bout de 139 min et 47 s d’action. Le sixième plus long match de l’histoire de la LNH. Quatre périodes de prolongation, c’est trop long. Les athlètes sont fatigués, le risque de blessure est grand et le spectacle en souffre. Au début des séries, je prônais une prolongation à 3 contre 3 uniquement au premier tour. Aujourd’hui, je serais prêt à étaler ce format pour toutes les éliminatoires. Il y aura un gagnant et un perdant de toute façon.

-Propos recueillis par Mylène Richard

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Le Mot Du Tigre Michel Bergeron

par Dédé ⌂ @, vendredi 19 mai 2023, 18:15 (il y a 351 jours) @ Jéromec

Les Nordindes ne peuvent subvenir avec une équipe de la LNH dans la région de Québec. La preuve, elle s'est dissoute au moment où le marché était critique avec des pertes majeures financières parce qu'à l'époque, le plafond salarial dans la LNH n'existait pas. Le gros Aubut a tout tenté pour préserver la franchise à Québec mais le gouvernement du moment a refusé l'injection des deniers des citoyens pour soutenir celle-ci.

Alors, même avec le plafond salarial, est-ce que le marché aurait changé autant pour soutenir une franchise à Québec ?

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par Blake, vendredi 19 mai 2023, 19:54 (il y a 351 jours) @ Dédé

Les Nordindes ne peuvent subvenir avec une équipe de la LNH dans la région de Québec. La preuve, elle s'est dissoute au moment où le marché était critique avec des pertes majeures financières parce qu'à l'époque, le plafond salarial dans la LNH n'existait pas. Le gros Aubut a tout tenté pour préserver la franchise à Québec mais le gouvernement du moment a refusé l'injection des deniers des citoyens pour soutenir celle-ci.

Alors, même avec le plafond salarial, est-ce que le marché aurait changé autant pour soutenir une franchise à Québec ?

À long terme, ça va foirer.

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par Dédé ⌂ @, vendredi 19 mai 2023, 20:07 (il y a 351 jours) @ Blake

Les Nordindes ne peuvent subvenir avec une équipe de la LNH dans la région de Québec. La preuve, elle s'est dissoute au moment où le marché était critique avec des pertes majeures financières parce qu'à l'époque, le plafond salarial dans la LNH n'existait pas. Le gros Aubut a tout tenté pour préserver la franchise à Québec mais le gouvernement du moment a refusé l'injection des deniers des citoyens pour soutenir celle-ci.

Alors, même avec le plafond salarial, est-ce que le marché aurait changé autant pour soutenir une franchise à Québec ?


À long terme, ça va foirer.

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En plus, on ne parle plus de millions mais bien de milliards !

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par Blake, vendredi 19 mai 2023, 20:55 (il y a 351 jours) @ Dédé

Les Nordindes ne peuvent subvenir avec une équipe de la LNH dans la région de Québec. La preuve, elle s'est dissoute au moment où le marché était critique avec des pertes majeures financières parce qu'à l'époque, le plafond salarial dans la LNH n'existait pas. Le gros Aubut a tout tenté pour préserver la franchise à Québec mais le gouvernement du moment a refusé l'injection des deniers des citoyens pour soutenir celle-ci.

Alors, même avec le plafond salarial, est-ce que le marché aurait changé autant pour soutenir une franchise à Québec ?


À long terme, ça va foirer.

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En plus, on ne parle plus de millions mais bien de milliards !

En effet, regarde bien ça, Ottawa va se vendre pas loin du milliard.

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