Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de (Forum)
https://journalmetro.com/actualites/montreal/3087348/une-attente-pire-que-jamais-dans-c...
Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de la SAAQ
Guillaume Ledoux
30 mai 2023 à 7h34 - Mis à jour 30 mai 2023 à 8h05 3 minutes de lecture
Les nouveaux outils en ligne déployés par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) il y a près de trois mois ont pour but d’atténuer les problèmes d’achalandage dans les points de service. Mais le temps d’attente s’avère «pire que jamais» selon plusieurs clients qui ont dû prendre leur mal en patience à la succursale du boulevard Saint-Jean, à Pointe-Claire. La plupart d’entre eux ont dû attendre deux heures et plus avant de se faire servir.
Le point de service figure parmi les pires pour le temps d’attente dans la province. «Il est habituel que les mois de mai et de juin soient particulièrement achalandés», explique la porte-parole de la SAAQ, Geneviève Côté. Sur le terrain, c’est toutefois un autre coupable qui est pointé du doigt : l’outil en ligne SAAQclic.
«Je n’ai jamais attendu aussi longtemps que depuis qu’ils ont sorti la plateforme en ligne», nous admet une dame en milieu de file qui affirme avoir déjà attendu près d’une heure et quart. «Avant la plateforme en ligne, c’était maximum 15-20 minutes», soulève un autre homme, qui doit souvent se rendre à la SAAQ.
Le constat d’appauvrissement du service depuis le déploiement de la plateforme SAAQclic est consensuel, même selon le gardien de sécurité sur place qui a vu lui-même l’évolution de la situation dans les cinq dernières années. «La bureaucratie» et l’augmentation du nombre «d’étapes» depuis les changements apportés aux façons de faire de la SAAQ sont à blâmer selon l’observateur de premières loges. «La plupart sont contents quand même», remarque toutefois-t-il toutefois.
Des outils en ligne qui manquent d’amour
Pour permettre aux outils en ligne de remplir leur promesse d’atténuation des temps d’attente, il faudrait que «les clients qui peuvent obtenir leurs services en ligne» le fassent, rappelle la porte-parole de la SAAQ.
Si certains prennent leur mal en patience parce que les opérations qu’ils doivent mener ne se font pas encore en ligne, d’autres affirment que de multiples problèmes techniques ont rendus impossibles la finalisation d’opérations qui devraient pourtant être réalisable en ligne. Des codes d’erreur «au moment de finaliser des transactions» et un échec dans «l’envoi de confirmation» après une opération terminée sont parmi les causes soulevées par les clients de la deuxième catégorie. «Y’a rien qui marche», partage un utilisateur qui a été résigné à attendre en personne.
Ces problèmes informatiques ont d’ailleurs été soulevés en mars dernier par le porte-parole du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), Christian Daigle, en entrevue avec Métro. Ces bogues récurrents affecteraient autant les clients que les employés de la SAAQ, ce qui ralentirait les opérations, selon lui.
N’étant pas au fait de la généralisation de ces problèmes, la SAAQ croit que les solutions se feront «au cas par cas». Si, toutefois, c’est au moment de la création d’un compte SAAQclic que surviennent les problèmes, de l’aide en succursale est offerte à ce niveau, notamment «grâce à des bornes» d’accès.
êtes vous inquiet de la numérisation des dossiers médicaux...?
Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de
par Dédé 
, mardi 30 mai 2023, 09:46 (il y a 339 jours) @ Jéromec
https://journalmetro.com/actualites/montreal/3087348/une-attente-pire-que-jamais-dans-c...Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de la SAAQ
Guillaume Ledoux
30 mai 2023 à 7h34 - Mis à jour 30 mai 2023 à 8h05 3 minutes de lecture
Les nouveaux outils en ligne déployés par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) il y a près de trois mois ont pour but d’atténuer les problèmes d’achalandage dans les points de service. Mais le temps d’attente s’avère «pire que jamais» selon plusieurs clients qui ont dû prendre leur mal en patience à la succursale du boulevard Saint-Jean, à Pointe-Claire. La plupart d’entre eux ont dû attendre deux heures et plus avant de se faire servir.Le point de service figure parmi les pires pour le temps d’attente dans la province. «Il est habituel que les mois de mai et de juin soient particulièrement achalandés», explique la porte-parole de la SAAQ, Geneviève Côté. Sur le terrain, c’est toutefois un autre coupable qui est pointé du doigt : l’outil en ligne SAAQclic.
«Je n’ai jamais attendu aussi longtemps que depuis qu’ils ont sorti la plateforme en ligne», nous admet une dame en milieu de file qui affirme avoir déjà attendu près d’une heure et quart. «Avant la plateforme en ligne, c’était maximum 15-20 minutes», soulève un autre homme, qui doit souvent se rendre à la SAAQ.
Le constat d’appauvrissement du service depuis le déploiement de la plateforme SAAQclic est consensuel, même selon le gardien de sécurité sur place qui a vu lui-même l’évolution de la situation dans les cinq dernières années. «La bureaucratie» et l’augmentation du nombre «d’étapes» depuis les changements apportés aux façons de faire de la SAAQ sont à blâmer selon l’observateur de premières loges. «La plupart sont contents quand même», remarque toutefois-t-il toutefois.Des outils en ligne qui manquent d’amour
Pour permettre aux outils en ligne de remplir leur promesse d’atténuation des temps d’attente, il faudrait que «les clients qui peuvent obtenir leurs services en ligne» le fassent, rappelle la porte-parole de la SAAQ.Si certains prennent leur mal en patience parce que les opérations qu’ils doivent mener ne se font pas encore en ligne, d’autres affirment que de multiples problèmes techniques ont rendus impossibles la finalisation d’opérations qui devraient pourtant être réalisable en ligne. Des codes d’erreur «au moment de finaliser des transactions» et un échec dans «l’envoi de confirmation» après une opération terminée sont parmi les causes soulevées par les clients de la deuxième catégorie. «Y’a rien qui marche», partage un utilisateur qui a été résigné à attendre en personne.
Ces problèmes informatiques ont d’ailleurs été soulevés en mars dernier par le porte-parole du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), Christian Daigle, en entrevue avec Métro. Ces bogues récurrents affecteraient autant les clients que les employés de la SAAQ, ce qui ralentirait les opérations, selon lui.
N’étant pas au fait de la généralisation de ces problèmes, la SAAQ croit que les solutions se feront «au cas par cas». Si, toutefois, c’est au moment de la création d’un compte SAAQclic que surviennent les problèmes, de l’aide en succursale est offerte à ce niveau, notamment «grâce à des bornes» d’accès.
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un char une famille à nourir...
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Guillaume Ledoux
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Les nouveaux outils en ligne déployés par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) il y a près de trois mois ont pour but d’atténuer les problèmes d’achalandage dans les points de service. Mais le temps d’attente s’avère «pire que jamais» selon plusieurs clients qui ont dû prendre leur mal en patience à la succursale du boulevard Saint-Jean, à Pointe-Claire. La plupart d’entre eux ont dû attendre deux heures et plus avant de se faire servir.Le point de service figure parmi les pires pour le temps d’attente dans la province. «Il est habituel que les mois de mai et de juin soient particulièrement achalandés», explique la porte-parole de la SAAQ, Geneviève Côté. Sur le terrain, c’est toutefois un autre coupable qui est pointé du doigt : l’outil en ligne SAAQclic.
«Je n’ai jamais attendu aussi longtemps que depuis qu’ils ont sorti la plateforme en ligne», nous admet une dame en milieu de file qui affirme avoir déjà attendu près d’une heure et quart. «Avant la plateforme en ligne, c’était maximum 15-20 minutes», soulève un autre homme, qui doit souvent se rendre à la SAAQ.
Le constat d’appauvrissement du service depuis le déploiement de la plateforme SAAQclic est consensuel, même selon le gardien de sécurité sur place qui a vu lui-même l’évolution de la situation dans les cinq dernières années. «La bureaucratie» et l’augmentation du nombre «d’étapes» depuis les changements apportés aux façons de faire de la SAAQ sont à blâmer selon l’observateur de premières loges. «La plupart sont contents quand même», remarque toutefois-t-il toutefois.Des outils en ligne qui manquent d’amour
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Ces problèmes informatiques ont d’ailleurs été soulevés en mars dernier par le porte-parole du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), Christian Daigle, en entrevue avec Métro. Ces bogues récurrents affecteraient autant les clients que les employés de la SAAQ, ce qui ralentirait les opérations, selon lui.
N’étant pas au fait de la généralisation de ces problèmes, la SAAQ croit que les solutions se feront «au cas par cas». Si, toutefois, c’est au moment de la création d’un compte SAAQclic que surviennent les problèmes, de l’aide en succursale est offerte à ce niveau, notamment «grâce à des bornes» d’accès.
êtes vous inquiet de la numérisation des dossiers médicaux...?
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Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
ça te donne une certaine liberté financière de quoi pallier à l'inflation...
ça coûte une beurrée une voiture! Achat et entretiens une histoire d'horreur...
les voitures électriques, ont pris de plus en plus de poids
ma prédiction, ils vont démolir quelques ponts et viaduc avant de réaliser que l'ajout sur les insFractures ures c'était pas l'idée du siècle...
Comment Aggraver les problèmes, le titre de plusieurs bouquins à la Kaq...
https://www.guideautoweb.com/articles/64595/des-voitures-de-plus-en-plus-lourdes-y-comp...
Les véhicules, dont les voitures électriques, ont pris de plus en plus de poids au cours des dernières années, une tendance qui s’explique par la popularité grandissante des VUS et de la technologie à bord toujours plus importante, selon Bloomberg.
Le passage des moteurs à combustion aux véhicules électriques pourrait d’ailleurs aggraver cette situation en raison du poids des batteries lithium-ion qui sont utilisées et qui sont jugées encombrantes.
À LIRE AUSSI: Lion Électrique: l’usine de l’Illinois entrera en production en 2022
À LIRE AUSSI: Rivian va construire une nouvelle usine à 5 milliards de dollars
Les automobiles ont commencé à prendre du poids lorsque la technologie à bord a pris de l’ampleur, alors que la baisse du coût de l’essence avait permis aux consommateurs de s’acheter de plus grandes voitures, telles que les VUS qui sont de plus en plus présents sur les routes.
Les véhicules vendus dans l’Union européenne ont ainsi pris 15% de poids en plus depuis 2001, ce qui joue sur la réduction de la pollution ventée lors de la mise sur le marché de ces véhicules modernes, qui promettaient des économies de carburant.
Le passage à une version électrique ajouterait par ailleurs près de 200 kilos supplémentaires par véhicule. La masse moyenne des véhicules électriques vendus en Europe était environ 16% supérieure à celles de tous les véhicules vendus, selon le Conseil international pour le transport propre.
En ce qui concerne les voitures hybrides rechargeables, ces dernières dépasseraient un poids moyen de 1900 kilos, notamment car il s’agit souvent de berlines de luxe ou de VUS.
« L’un des problèmes que nous rencontrerons à l’avenir sera le poids des produits électrifiés, parce que le poids signifie beaucoup de ressources en matières premières », a déclaré Carlos Tavares, directeur général de Stellantis NV, lors du sommet automobile de Morgan Stanley en janvier dernier.
Les grands constructeurs donneraient ainsi la priorité aux VUS et voitures de sport à haute performance, car elles sont jugées plus rentables, représentant ainsi 41% des ventes de voitures électriques en Europe, d’après des données de la Commission européenne.
Les véhicules plus lourds auraient également une incidence sur les problèmes de sécurité et la consommation supplémentaire de ressources, d’après Bloomberg.
les voitures électriques, ont pris de plus en plus de poids
ma prédiction, ils vont démolir quelques ponts et viaduc avant de réaliser que l'ajout sur les insFractures ures c'était pas l'idée du siècle...
Comment Aggraver les problèmes, le titre de plusieurs bouquins à la Kaq...
https://www.guideautoweb.com/articles/64595/des-voitures-de-plus-en-plus-lourdes-y-comp...
Les véhicules, dont les voitures électriques, ont pris de plus en plus de poids au cours des dernières années, une tendance qui s’explique par la popularité grandissante des VUS et de la technologie à bord toujours plus importante, selon Bloomberg.
Le passage des moteurs à combustion aux véhicules électriques pourrait d’ailleurs aggraver cette situation en raison du poids des batteries lithium-ion qui sont utilisées et qui sont jugées encombrantes.
À LIRE AUSSI: Lion Électrique: l’usine de l’Illinois entrera en production en 2022
À LIRE AUSSI: Rivian va construire une nouvelle usine à 5 milliards de dollars
Les automobiles ont commencé à prendre du poids lorsque la technologie à bord a pris de l’ampleur, alors que la baisse du coût de l’essence avait permis aux consommateurs de s’acheter de plus grandes voitures, telles que les VUS qui sont de plus en plus présents sur les routes.
Les véhicules vendus dans l’Union européenne ont ainsi pris 15% de poids en plus depuis 2001, ce qui joue sur la réduction de la pollution ventée lors de la mise sur le marché de ces véhicules modernes, qui promettaient des économies de carburant.Le passage à une version électrique ajouterait par ailleurs près de 200 kilos supplémentaires par véhicule. La masse moyenne des véhicules électriques vendus en Europe était environ 16% supérieure à celles de tous les véhicules vendus, selon le Conseil international pour le transport propre.
En ce qui concerne les voitures hybrides rechargeables, ces dernières dépasseraient un poids moyen de 1900 kilos, notamment car il s’agit souvent de berlines de luxe ou de VUS.
« L’un des problèmes que nous rencontrerons à l’avenir sera le poids des produits électrifiés, parce que le poids signifie beaucoup de ressources en matières premières », a déclaré Carlos Tavares, directeur général de Stellantis NV, lors du sommet automobile de Morgan Stanley en janvier dernier.
Les grands constructeurs donneraient ainsi la priorité aux VUS et voitures de sport à haute performance, car elles sont jugées plus rentables, représentant ainsi 41% des ventes de voitures électriques en Europe, d’après des données de la Commission européenne.
Les véhicules plus lourds auraient également une incidence sur les problèmes de sécurité et la consommation supplémentaire de ressources, d’après Bloomberg.
Oui, les batteries font en sorte que les chars électriques sont plus pesants. C'est un avantage en hiver pour la traction mais en été, les tires usent plus vite. Mais malgré tout en bout de ligne même si le char électrique n'est pas une solution parfaite, c'est la meilleure. Le char électrique est 90% efficace au niveau énergétique comparativement au char à gaz qui va chercher un faible 30%. Le char à gaz est une catastrophe au niveau énergétique. Et l'hydrogène prend trop d'électricité. 3 fois plus d'électricité pour produire l'hydrogène d'un char.
Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
ça te donne une certaine liberté financière de quoi pallier à l'inflation...ça coûte une beurrée une voiture! Achat et entretiens une histoire d'horreur...
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Une voiture de $20,000.00 à crédit te revient au bout du terme à tout près de $25,000.00. Le coût de l'immatriculation et du permis qui est maintenant à tous les ans, c'est tout près de 400$ par année et les assurances pour ton véhicule neuf à environ 1200$ et plus par année. L'entretien du véhicule coûte environ 1000$ par année. Normalement à l'achat, tu as soit les pneus d'été ou soit les pneus d'hiver, donc tu dois acheter 4 pneus à plus de 100$ chaque.
Donc, il faut un sacré bon salaire pour payer tout ça, parce que ton loyer et la bouffe ne sont pas compté. Ce n'est pas mieux une minoune parce que si tu n'es pas mécanicien, ça va te coûter un bras et une jambe à chaque fois que tu te retrouves au garage !
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Le coût insoupçonné des réparations automobiles
Cher dédé tes estimations des coûts de réparations sont bien conservateurs, c'est souvent plus élevé que ça...
Mais bon le bon côté si ça peut convaincre davantage de gens de se départir de leurs voitures...
ça peut être beaucoup plus salées comme facture
https://www.journaldemontreal.com/2021/05/08/le-cout-insoupconne-des-reparations-automo...
Le coût insoupçonné des réparations automobiles
DANIEL GERMAIN
Samedi, 8 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Samedi, 8 mai 2021 00:00
Les voitures ne volent pas comme on l’imaginait dans les films de science-fiction du siècle dernier, mais pour ce qui est de leur design, on n’est pas déçu.
Je suis récemment tombé sur la publicité d’un VUS dans laquelle on voyait sa calandre s’illuminer de mille feux au démarrage du moteur, on aurait dit un vaisseau spatial tiré du film Rencontres du troisième type.
L’enchantement a rapidement cédé le pas à mes sempiternelles préoccupations financières : « Avec une auto de même, t’as pas intérêt à foncer dans le char d’en avant, je ne voudrais pas voir la facture des ampoules ! »
Avec une auto de même, justement, il paraît qu’on n’est plus censé rentrer dans le derrière de personne. De plus en plus de véhicules sont équipés d’un système de détection et de freinage autonome pour éviter les tamponnages... Bien, voilà une autre affaire qui coûte cher !
On n’a pas intérêt à trop abîmer ces joujoux bourrés de gadgets, car le coût des réparations frappe lui aussi l’imaginaire (et les finances). Évidemment, ça finit par se répercuter sur la facture d’assurance.
Jusqu’à 10 fois plus cher
Le prix des pièces d’un modèle de 2021 n’a plus rien à voir avec ce qu’il a déjà été. Des composantes répandues dans les voitures d’aujourd’hui n’existaient pas il y a dix ans. J’ai discuté de ce sujet avec Claude Leclerc, vice-président service pour le groupe ALBI le Géant. Il ne tarit pas d’exemples.
« Après une collision à 30 km/h, un véhicule peut sembler ne pas avoir grand-chose, mais tout de même avoir subi pour plus de 10 000 $ de dommages. Les gens ont perdu leurs repères, et je les comprends. Ils se demandent pourquoi ça coûte aussi cher. Il y a de la technologie partout », explique-t-il.
Selon le Bureau de l’assurance du Canada (BAC), le coût des sinistres liés aux collisions a crû de 32 % de 2009 à 2019. Les primes d’assurance ont quant à elles grimpé de 22 %.
Prenons le pare-brise. Au début des années 2000, le remplacer coûtait grosso modo 150 $, selon Claude Leclerc. Aujourd’hui, il peut intégrer des détecteurs de pluie pour activer les essuie-glace et un radar (parmi d’autres) pour le régulateur de vitesse. Coût : 1400 $.
Il y a quelques années à peine, seules les voitures de luxe étaient munies d’un système de surveillance des angles morts. Cette technologie s’est depuis fait un chemin jusque dans les petites voitures coréennes. Le moindre dommage à un pare-chocs peut nécessiter un calibrage des capteurs grâce auxquels fonctionne ce système, quand il ne faut pas les remplacer. Le prix de ces bidules varie entre quelques centaines et quelques milliers de dollars.
L’inflation s’attaque aux moindres composantes d’un véhicule, la plupart du temps invisibles. Claude Leclerc relève le cas des supports qui soutiennent le moteur au châssis. « Avant, ces supports étaient en acier et coûtaient 35 $ chacun. Aujourd’hui, de plus en plus sont faits d’aluminium, de caoutchouc et d’huile, ce qui réduit le bruit et la vibration sur le volant, mais la pièce vaut 300 $ ».
Même chose avec les radiateurs.
Auparavant, ils étaient en acier. Ils sont aujourd’hui fabriqués en aluminium, trois fois plus cher. Juste derrière ce radiateur, on en trouve un autre, celui de la climatisation. Ces systèmes nécessitent moins de fréon qu’auparavant, mais doivent être remplis à l’aide de bonbonnes dont le prix est passé de 150 $ à 1000 $ !
Le phénomène gagne même la peinture. De nouvelles couleurs, plus éclatantes, sont apparues sur le marché grâce aux peintures dites « tricouche ». Ce type de finition coûte plus cher à l’achat et lors des réparations. La nouvelle peinture appliquée sur la partie réparée n’est jamais identique à l’originale, laissant une ligne de démarcation.
« On doit tromper l’œil en étendant la zone de peinture et en utilisant une technique d’agencement. Ça augmente la facture », explique Claude Leclerc.
Et les phares qui donnent leurs airs futuristes aux voitures ? Alors là, c’est le délire ! Avec les années, on est passé du phare halogène, au xénon, à l’ampoule DEL et maintenant... au laser !
« Sur une voiture de luxe, c’est 5000 $ pour un seul côté. Sur une japonaise, on s’en tire à moins de 2000 $ par côté. »
Ajoutez le déploiement des coussins gonflables (2000 $ par coussin) et la déformation de la structure, un impact d’importance moyenne peut facilement mener à une perte totale.
Avant de conclure l’achat d’un nouveau véhicule, informez-vous du coût pour l’assurer. Et comme on dit : conduisez prudemment !
COÛTS DES NOUVELLES PIÈCES QUI N’EXISTAIENT PAS IL Y A 10 ANS
Modèles Caméra avant Capteurs d'angle mort (x2)
2020 Mazda CX5 475 $ 518 $
2020 Toyota RAV4 303 $ 452 $
2020 GMC Terrain 775 $ 303 $
2020 Audi Q5 590 $ 2993 $
2020 BMW X5 783 $ 5304 $
Le coût insoupçonné des réparations automobiles
par Dédé , mardi 30 mai 2023, 10:46 (il y a 339 jours) @ Jéromec
Hey, laisses-moé une chance, je n'ai plus de véhicule depuis 2011. 
--
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2023 Voitures une histoire d'horreur...
Hey, laisses-moé une chance, je n'ai plus de véhicule depuis 2011.
a chaque année je suis horrifié à quel point les voitures deviennent de pires en pires!
des chars de plus en plus pourris mais en mettant le paquet sur l'IMAGE... le marketing....
800$ pour changer une seule lumière...
Les parebrise électronique, ça peut monter à 2500$... etc...
De mon côté, coût d'entretiens de ma trottinette électrique 25$ pour 2022 +107$ pour l'autre... 
2023 Voitures une histoire d'horreur...
par Dédé , mardi 30 mai 2023, 11:17 (il y a 339 jours) @ Jéromec
Hey, laisses-moé une chance, je n'ai plus de véhicule depuis 2011.
a chaque année je suis horrifié à quel point les voitures deviennent de pires en pires!
des chars de plus en plus pourris mais en mettant le paquet sur l'IMAGE... le marketing....800$ pour changer une seule lumière...
Les parebrise électronique, ça peut monter à 2500$... etc...
De mon côté, coût d'entretiens de ma trottinette électrique 25$ pour 2022 +107$ pour l'autre...
__________________
Une voiture devient une nécessité à l'extérieur d'une grande ville, en rurale, parce que le réseau des transport en commun est inexistant. Le problème est que les consommateurs chérissent leur véhicule à un point tel qu'ils se pavanent avec leur gros char, ils tripent ben dur avec la performance de leur voiture sport considérant que les limites de vitesse ne dépassent pas 100 km/heure. De plus, le cerveau du conducteur n'est plus le même lorsqu'il se retrouve avec un volant entre les mains, il devienne un danger sur la route avec des crises de bazinette lorsqu'ils se font juste dépasser !
Le constructeur s'en câlisse, ils font de l'argent en construisant, the sky is no limit !
--
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TaxiBus
Hey, laisses-moé une chance, je n'ai plus de véhicule depuis 2011.
a chaque année je suis horrifié à quel point les voitures deviennent de pires en pires!
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Les parebrise électronique, ça peut monter à 2500$... etc...
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Le constructeur s'en câlisse, ils font de l'argent en construisant, the sky is no limit !
certaines municipalité se sont doté de service de transports en commun comme TAXIBUS...
simple et économique... ça dépanne....
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a chaque année je suis horrifié à quel point les voitures deviennent de pires en pires!
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Le constructeur s'en câlisse, ils font de l'argent en construisant, the sky is no limit !
Le gros problème, c'est que les gens ont un char qui est le prolongement d'eux-mêmes. Alors qu'un char, c'est juste pour se déplacer sans plus. Mais les gens sont tellement égocentiques.
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Hey, laisses-moé une chance, je n'ai plus de véhicule depuis 2011.
a chaque année je suis horrifié à quel point les voitures deviennent de pires en pires!
des chars de plus en plus pourris mais en mettant le paquet sur l'IMAGE... le marketing....800$ pour changer une seule lumière...
Les parebrise électronique, ça peut monter à 2500$... etc...
De mon côté, coût d'entretiens de ma trottinette électrique 25$ pour 2022 +107$ pour l'autre...
Oui, les pièces et les entretiens sont faramineux mais les chars d'aujourd'hui sont plus faciles à conduire, plus sécuritaire, plus confortable, plus économique dans certains cas comme le mien, moins briseux pour certaines marques, etc. Aujourd'hui si tu as un char moderne et que tu conduis un char des années 70-80, c'est pas du tout la même chose et tu as hâte de retourner dans ton char moderne. J'ai d'ailleurs fait l'expérience l'an passé avec un ami qui a un char des années 80 pour l'été.
Le coût insoupçonné des réparations automobiles
Hey, laisses-moé une chance, je n'ai plus de véhicule depuis 2011.
Tu es très riche pas de char depuis tout ce temps. Essaie juste d'imaginer tout l'argent que tu as gardé dans tes poches.
Le coût insoupçonné des réparations automobiles
Cher dédé tes estimations des coûts de réparations sont bien conservateurs, c'est souvent plus élevé que ça...
Mais bon le bon côté si ça peut convaincre davantage de gens de se départir de leurs voitures...ça peut être beaucoup plus salées comme facture
https://www.journaldemontreal.com/2021/05/08/le-cout-insoupconne-des-reparations-automo...
Le coût insoupçonné des réparations automobiles
DANIEL GERMAIN
Samedi, 8 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Samedi, 8 mai 2021 00:00
Les voitures ne volent pas comme on l’imaginait dans les films de science-fiction du siècle dernier, mais pour ce qui est de leur design, on n’est pas déçu.Je suis récemment tombé sur la publicité d’un VUS dans laquelle on voyait sa calandre s’illuminer de mille feux au démarrage du moteur, on aurait dit un vaisseau spatial tiré du film Rencontres du troisième type.
L’enchantement a rapidement cédé le pas à mes sempiternelles préoccupations financières : « Avec une auto de même, t’as pas intérêt à foncer dans le char d’en avant, je ne voudrais pas voir la facture des ampoules ! »
Avec une auto de même, justement, il paraît qu’on n’est plus censé rentrer dans le derrière de personne. De plus en plus de véhicules sont équipés d’un système de détection et de freinage autonome pour éviter les tamponnages... Bien, voilà une autre affaire qui coûte cher !On n’a pas intérêt à trop abîmer ces joujoux bourrés de gadgets, car le coût des réparations frappe lui aussi l’imaginaire (et les finances). Évidemment, ça finit par se répercuter sur la facture d’assurance.
Jusqu’à 10 fois plus cher
Le prix des pièces d’un modèle de 2021 n’a plus rien à voir avec ce qu’il a déjà été. Des composantes répandues dans les voitures d’aujourd’hui n’existaient pas il y a dix ans. J’ai discuté de ce sujet avec Claude Leclerc, vice-président service pour le groupe ALBI le Géant. Il ne tarit pas d’exemples.
« Après une collision à 30 km/h, un véhicule peut sembler ne pas avoir grand-chose, mais tout de même avoir subi pour plus de 10 000 $ de dommages. Les gens ont perdu leurs repères, et je les comprends. Ils se demandent pourquoi ça coûte aussi cher. Il y a de la technologie partout », explique-t-il.
Selon le Bureau de l’assurance du Canada (BAC), le coût des sinistres liés aux collisions a crû de 32 % de 2009 à 2019. Les primes d’assurance ont quant à elles grimpé de 22 %.
Prenons le pare-brise. Au début des années 2000, le remplacer coûtait grosso modo 150 $, selon Claude Leclerc. Aujourd’hui, il peut intégrer des détecteurs de pluie pour activer les essuie-glace et un radar (parmi d’autres) pour le régulateur de vitesse. Coût : 1400 $.Il y a quelques années à peine, seules les voitures de luxe étaient munies d’un système de surveillance des angles morts. Cette technologie s’est depuis fait un chemin jusque dans les petites voitures coréennes. Le moindre dommage à un pare-chocs peut nécessiter un calibrage des capteurs grâce auxquels fonctionne ce système, quand il ne faut pas les remplacer. Le prix de ces bidules varie entre quelques centaines et quelques milliers de dollars.
L’inflation s’attaque aux moindres composantes d’un véhicule, la plupart du temps invisibles. Claude Leclerc relève le cas des supports qui soutiennent le moteur au châssis. « Avant, ces supports étaient en acier et coûtaient 35 $ chacun. Aujourd’hui, de plus en plus sont faits d’aluminium, de caoutchouc et d’huile, ce qui réduit le bruit et la vibration sur le volant, mais la pièce vaut 300 $ ».
Même chose avec les radiateurs.
Auparavant, ils étaient en acier. Ils sont aujourd’hui fabriqués en aluminium, trois fois plus cher. Juste derrière ce radiateur, on en trouve un autre, celui de la climatisation. Ces systèmes nécessitent moins de fréon qu’auparavant, mais doivent être remplis à l’aide de bonbonnes dont le prix est passé de 150 $ à 1000 $ !
Le phénomène gagne même la peinture. De nouvelles couleurs, plus éclatantes, sont apparues sur le marché grâce aux peintures dites « tricouche ». Ce type de finition coûte plus cher à l’achat et lors des réparations. La nouvelle peinture appliquée sur la partie réparée n’est jamais identique à l’originale, laissant une ligne de démarcation.
« On doit tromper l’œil en étendant la zone de peinture et en utilisant une technique d’agencement. Ça augmente la facture », explique Claude Leclerc.
Et les phares qui donnent leurs airs futuristes aux voitures ? Alors là, c’est le délire ! Avec les années, on est passé du phare halogène, au xénon, à l’ampoule DEL et maintenant... au laser !
« Sur une voiture de luxe, c’est 5000 $ pour un seul côté. Sur une japonaise, on s’en tire à moins de 2000 $ par côté. »
Ajoutez le déploiement des coussins gonflables (2000 $ par coussin) et la déformation de la structure, un impact d’importance moyenne peut facilement mener à une perte totale.
Avant de conclure l’achat d’un nouveau véhicule, informez-vous du coût pour l’assurer. Et comme on dit : conduisez prudemment !
COÛTS DES NOUVELLES PIÈCES QUI N’EXISTAIENT PAS IL Y A 10 ANS
Modèles Caméra avant Capteurs d'angle mort (x2)
2020 Mazda CX5 475 $ 518 $
2020 Toyota RAV4 303 $ 452 $
2020 GMC Terrain 775 $ 303 $
2020 Audi Q5 590 $ 2993 $
2020 BMW X5 783 $ 5304 $
Juste ma boite électronique, si je la perds, c'est 500$ car j'ai une auto pas de clé. Et tu as oublié de donner le prix de l'heure chez les concessionnaires et autres. Chez Hyundai dans mon coin, c'est 135$ de l'heure. Ça monte vite en crisse quand tu entres là.
un char une famille à nourir...
Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
ça te donne une certaine liberté financière de quoi pallier à l'inflation...ça coûte une beurrée une voiture! Achat et entretiens une histoire d'horreur...
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Une voiture de $20,000.00 à crédit te revient au bout du terme à tout près de $25,000.00. Le coût de l'immatriculation et du permis qui est maintenant à tous les ans, c'est tout près de 400$ par année et les assurances pour ton véhicule neuf à environ 1200$ et plus par année. L'entretien du véhicule coûte environ 1000$ par année. Normalement à l'achat, tu as soit les pneus d'été ou soit les pneus d'hiver, donc tu dois acheter 4 pneus à plus de 100$ chaque.
Donc, il faut un sacré bon salaire pour payer tout ça, parce que ton loyer et la bouffe ne sont pas compté. Ce n'est pas mieux une minoune parce que si tu n'es pas mécanicien, ça va te coûter un bras et une jambe à chaque fois que tu te retrouves au garage !
Ça dépend toujours du char que tu as. C'est plus si tu as un char haut de gamme, VUS ou pick-up. Et tu as oublié de compter le gaz. Imagine-toi le jambon qui a un gros pick-up à gaz avec le gaz à plus de 1.80$ comme en ce moment. Tu est pas loin de 1000$ par moi en gaz dans certains cas. Alors que si ce même pick-up est électrique, c'est aux alentours de 50$ et moins par mois. Mais ça ne résout pas le problème de toute la place que ces gros véhicules prennent sur la route et sur les parkings.
Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de
https://journalmetro.com/actualites/montreal/3087348/une-attente-pire-que-jamais-dans-c...Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de la SAAQ
Guillaume Ledoux
30 mai 2023 à 7h34 - Mis à jour 30 mai 2023 à 8h05 3 minutes de lecture
Les nouveaux outils en ligne déployés par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) il y a près de trois mois ont pour but d’atténuer les problèmes d’achalandage dans les points de service. Mais le temps d’attente s’avère «pire que jamais» selon plusieurs clients qui ont dû prendre leur mal en patience à la succursale du boulevard Saint-Jean, à Pointe-Claire. La plupart d’entre eux ont dû attendre deux heures et plus avant de se faire servir.Le point de service figure parmi les pires pour le temps d’attente dans la province. «Il est habituel que les mois de mai et de juin soient particulièrement achalandés», explique la porte-parole de la SAAQ, Geneviève Côté. Sur le terrain, c’est toutefois un autre coupable qui est pointé du doigt : l’outil en ligne SAAQclic.
«Je n’ai jamais attendu aussi longtemps que depuis qu’ils ont sorti la plateforme en ligne», nous admet une dame en milieu de file qui affirme avoir déjà attendu près d’une heure et quart. «Avant la plateforme en ligne, c’était maximum 15-20 minutes», soulève un autre homme, qui doit souvent se rendre à la SAAQ.
Le constat d’appauvrissement du service depuis le déploiement de la plateforme SAAQclic est consensuel, même selon le gardien de sécurité sur place qui a vu lui-même l’évolution de la situation dans les cinq dernières années. «La bureaucratie» et l’augmentation du nombre «d’étapes» depuis les changements apportés aux façons de faire de la SAAQ sont à blâmer selon l’observateur de premières loges. «La plupart sont contents quand même», remarque toutefois-t-il toutefois.Des outils en ligne qui manquent d’amour
Pour permettre aux outils en ligne de remplir leur promesse d’atténuation des temps d’attente, il faudrait que «les clients qui peuvent obtenir leurs services en ligne» le fassent, rappelle la porte-parole de la SAAQ.Si certains prennent leur mal en patience parce que les opérations qu’ils doivent mener ne se font pas encore en ligne, d’autres affirment que de multiples problèmes techniques ont rendus impossibles la finalisation d’opérations qui devraient pourtant être réalisable en ligne. Des codes d’erreur «au moment de finaliser des transactions» et un échec dans «l’envoi de confirmation» après une opération terminée sont parmi les causes soulevées par les clients de la deuxième catégorie. «Y’a rien qui marche», partage un utilisateur qui a été résigné à attendre en personne.
Ces problèmes informatiques ont d’ailleurs été soulevés en mars dernier par le porte-parole du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), Christian Daigle, en entrevue avec Métro. Ces bogues récurrents affecteraient autant les clients que les employés de la SAAQ, ce qui ralentirait les opérations, selon lui.
N’étant pas au fait de la généralisation de ces problèmes, la SAAQ croit que les solutions se feront «au cas par cas». Si, toutefois, c’est au moment de la création d’un compte SAAQclic que surviennent les problèmes, de l’aide en succursale est offerte à ce niveau, notamment «grâce à des bornes» d’accès.
êtes vous inquiet de la numérisation des dossiers médicaux...?
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Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
Tu te sauves de bien des problèmes et en plus, tu gardes beaucoup de sous dans tes poches.
Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de
par Dédé , mardi 30 mai 2023, 12:22 (il y a 339 jours) @ Blake
Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
Tu te sauves de bien des problèmes et en plus, tu gardes beaucoup de sous dans tes poches.
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Je prends le taxi pour mes achats ( linges et autres ) parce que c'est trop loin pour marcher, mais c'est assez rare puisqu'il y a un mail proche ( Maxi, Uniprix et Dollarama ). En plus, je ne suis pas très dépensier.
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Une attente «pire que jamais» dans certaines succursales de
Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
Tu te sauves de bien des problèmes et en plus, tu gardes beaucoup de sous dans tes poches.
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Je prends le taxi pour mes achats ( linges et autres ) parce que c'est trop loin pour marcher, mais c'est assez rare puisqu'il y a un mail proche ( Maxi, Uniprix et Dollarama ). En plus, je ne suis pas très dépensier.
C'est le meilleur des mondes ça.
Dédé est Frugal...
Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
Tu te sauves de bien des problèmes et en plus, tu gardes beaucoup de sous dans tes poches.
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Je prends le taxi pour mes achats ( linges et autres ) parce que c'est trop loin pour marcher, mais c'est assez rare puisqu'il y a un mail proche ( Maxi, Uniprix et Dollarama ). En plus, je ne suis pas très dépensier.
Dédé est Frugal...
Tant mieux...
Vive la simplicité volontaire...
Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
Tu te sauves de bien des problèmes et en plus, tu gardes beaucoup de sous dans tes poches.
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Je prends le taxi pour mes achats ( linges et autres ) parce que c'est trop loin pour marcher, mais c'est assez rare puisqu'il y a un mail proche ( Maxi, Uniprix et Dollarama ). En plus, je ne suis pas très dépensier.
Dédé est Frugal...Tant mieux...
Vive la simplicité volontaire...
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Oui je suis frugal mais je le fais pour ma petite famille en amassant des économies pour leurs venir en aide lorsqu'ils sont en situation précaire point de vue budget. Je sais ce que c'est, j'ai passé par là et si je peux leurs être utile, ils feront certainement la même chose lorsqu'ils atteindront mon âge et avec ce que j'ai amassé comme économie.
De toute manière, il me suffit de peu pour être heureux !
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Dédé est Frugal...
Moi, je suis libre de cette emprise bureaucratique, je ne conduis plus et je suis sans véhicule.
Tu te sauves de bien des problèmes et en plus, tu gardes beaucoup de sous dans tes poches.
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Je prends le taxi pour mes achats ( linges et autres ) parce que c'est trop loin pour marcher, mais c'est assez rare puisqu'il y a un mail proche ( Maxi, Uniprix et Dollarama ). En plus, je ne suis pas très dépensier.
Dédé est Frugal...Tant mieux...
Vive la simplicité volontaire...
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Oui je suis frugal mais je le fais pour ma petite famille en amassant des économies pour leurs venir en aide lorsqu'ils sont en situation précaire point de vue budget. Je sais ce que c'est, j'ai passé par là et si je peux leurs être utile, ils feront certainement la même chose lorsqu'ils atteindront mon âge et avec ce que j'ai amassé comme économie.
De toute manière, il me suffit de peu pour être heureux !
C'est cool ça.
Piétons Solution !!!
Sur la chaîne de Alain Dumas (l'ancien de la Jungle)
sécurité des piétons améliorée!
Piétons Solution !!!
https://www.youtube.com/watch?v=OvnKTCGGPYU
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Sécurité routière : 2022, la pire année depuis une décennie
J'imaginez Duhaine au pouvoir avec son 110KM sur les autoroutes...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1948851/accidents-route-deces-bilan-surete-quebec
Sécurité routière : 2022, la pire année depuis une décennie, déplore la SQ
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Hugo Prévost (accéder à la page de l'auteur)
Hugo Prévost
Publié le 17 janvier 2023
Le nombre de collisions mortelles et de piétons fauchés par des conducteurs a augmenté au Québec l'an dernier par rapport à 2021, selon le plus récent bilan de la Sûreté du Québec (SQ).
La police provinciale fait ainsi état de 266 collisions mortelles l'an dernier, comparativement à 245 en 2021. Ces accidents ont fait 291 décès, une augmentation de 26 par rapport à l'année précédente.
Toujours selon le bilan fourni mardi par la SQ, le nombre de collisions avec des tracteurs routiers, c'est-à-dire des poids lourds, a lui aussi crû, pour passer à 47, alors que l'on en a recensé 41 en 2021.
Autre statistique en hausse, le nombre de piétons tués par des conducteurs, qu'il s'agisse de personnes au volant d'une automobile, d'un véhicule utilitaire sport ou d'un autre véhicule, a bondi de 6 entre 2021 et 2022, pour passer de 30 à 36.
De fait, comme l'indique la SQ, les données présentées sont majoritairement au-dessus de la moyenne des cinq dernières années. Et s'il est possible de penser que l'année 2020, avec ses confinements et la fermeture de nombreuses entreprises, a fait baisser la moyenne, il en est tout autrement. C'est plutôt l'année 2019 qui était la meilleure de la décennie en matière de sécurité routière.
Selon le bilan de 2022, seules les collisions avec au moins une moto sont en baisse, de 53 en 2021 à 43, l'an dernier. Quant au nombre de cyclistes tués, il est demeuré stable à sept victimes.
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Le bilan de la Sûreté du Québec n'inclut pas les accidents survenus dans les villes ou les municipalités sous responsabilité d'autres corps de police que la SQ, par exemple les grandes villes comme Montréal, Laval, Longueuil, Sherbrooke, Trois-Rivières et Québec.
La vitesse et l'imprudence en cause
La Sûreté du Québec est catégorique : trop de conducteurs continuent de circuler trop rapidement sur les routes ou font preuve d'imprudence. Ainsi, environ le tiers (32 %) des collisions mortelles sont imputables à ces deux facteurs de risque.
Autrement, 15 % des accidents entraînant des décès sont dus à la conduite avec les facultés affaiblies par l'alcool, les drogues ou la fatigue.
Enfin, l'inattention ou la distraction ont entraîné environ 1 accident mortel sur 10 (9 %).
La SQ indique par ailleurs que près du tiers (30 %) des victimes de ces collisions ne portaient pas leur ceinture de sécurité; cette situation est préoccupante, mentionne-t-on dans la note d'information.
Le capitaine Paul Leduc, commandant intérimaire de la sécurité des réseaux de transport de la police provinciale, se dit stupéfait qu'un si grand nombre de personnes ne portent pas la ceinture de sécurité.
Cette [proportion] me jette à terre, a-t-il déclaré en entrevue à Radio-Canada.
De fait, l'idée que les personnes voyageant dans un véhicule portent forcément la ceinture était considérée comme un acquis. À un point tel, en fait, que la SQ avait cessé de mener des campagnes de sensibilisation à ce sujet.
Pourtant, le nombre de victimes qui ne portaient pas la ceinture a augmenté au cours des trois dernières années, a précisé le capitaine Leduc. Bien sûr, cela ne veut pas dire que si [les victimes] avaient porté la ceinture, elles auraient survécu, mais dans plusieurs cas, cela aurait été vrai.
En ce qui concerne la vitesse au volant, qui est la principale cause des accidents mortels, selon le plus récent bilan, l'officier de la SQ reconnaît qu'il y a encore du travail à faire pour renverser les tendances.
« En 2022, les policiers de la SQ ont donné plus de 250 000 constats d'infraction en lien avec la vitesse; à cela, il faut ajouter les plus de 500 000 constats décernés par les photoradars... Et les photoradars, c'est annoncé d'avance! C'est un problème sur lequel nous devons continuer de travailler. »
— Une citation de Le capitaine Paul Leduc, de la Sûreté du Québec
Dans l'ensemble, mentionne encore le capitaine Leduc, le bilan routier de 2022 est le pire depuis une décennie.
C'est une détérioration [du bilan] pour une troisième année consécutive, après une amélioration pendant environ une quinzaine d'années, ajoute-t-il.
On ne peut faire autrement que de se préoccuper de ces chiffres-là. Ceux-ci sont trop élevés pour nous; nous sommes toujours à la recherche d'une tendance à la baisse.
Sécurité routière : 2022, la pire année depuis une décennie
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Sécurité routière : 2022, la pire année depuis une décennie, déplore la SQ
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Hugo Prévost (accéder à la page de l'auteur)
Hugo Prévost
Publié le 17 janvier 2023
Le nombre de collisions mortelles et de piétons fauchés par des conducteurs a augmenté au Québec l'an dernier par rapport à 2021, selon le plus récent bilan de la Sûreté du Québec (SQ).La police provinciale fait ainsi état de 266 collisions mortelles l'an dernier, comparativement à 245 en 2021. Ces accidents ont fait 291 décès, une augmentation de 26 par rapport à l'année précédente.
Toujours selon le bilan fourni mardi par la SQ, le nombre de collisions avec des tracteurs routiers, c'est-à-dire des poids lourds, a lui aussi crû, pour passer à 47, alors que l'on en a recensé 41 en 2021.
Autre statistique en hausse, le nombre de piétons tués par des conducteurs, qu'il s'agisse de personnes au volant d'une automobile, d'un véhicule utilitaire sport ou d'un autre véhicule, a bondi de 6 entre 2021 et 2022, pour passer de 30 à 36.
De fait, comme l'indique la SQ, les données présentées sont majoritairement au-dessus de la moyenne des cinq dernières années. Et s'il est possible de penser que l'année 2020, avec ses confinements et la fermeture de nombreuses entreprises, a fait baisser la moyenne, il en est tout autrement. C'est plutôt l'année 2019 qui était la meilleure de la décennie en matière de sécurité routière.
Selon le bilan de 2022, seules les collisions avec au moins une moto sont en baisse, de 53 en 2021 à 43, l'an dernier. Quant au nombre de cyclistes tués, il est demeuré stable à sept victimes.
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Le bilan de la Sûreté du Québec n'inclut pas les accidents survenus dans les villes ou les municipalités sous responsabilité d'autres corps de police que la SQ, par exemple les grandes villes comme Montréal, Laval, Longueuil, Sherbrooke, Trois-Rivières et Québec.La vitesse et l'imprudence en cause
La Sûreté du Québec est catégorique : trop de conducteurs continuent de circuler trop rapidement sur les routes ou font preuve d'imprudence. Ainsi, environ le tiers (32 %) des collisions mortelles sont imputables à ces deux facteurs de risque.Autrement, 15 % des accidents entraînant des décès sont dus à la conduite avec les facultés affaiblies par l'alcool, les drogues ou la fatigue.
Enfin, l'inattention ou la distraction ont entraîné environ 1 accident mortel sur 10 (9 %).
La SQ indique par ailleurs que près du tiers (30 %) des victimes de ces collisions ne portaient pas leur ceinture de sécurité; cette situation est préoccupante, mentionne-t-on dans la note d'information.
Le capitaine Paul Leduc, commandant intérimaire de la sécurité des réseaux de transport de la police provinciale, se dit stupéfait qu'un si grand nombre de personnes ne portent pas la ceinture de sécurité.
Cette [proportion] me jette à terre, a-t-il déclaré en entrevue à Radio-Canada.
De fait, l'idée que les personnes voyageant dans un véhicule portent forcément la ceinture était considérée comme un acquis. À un point tel, en fait, que la SQ avait cessé de mener des campagnes de sensibilisation à ce sujet.
Pourtant, le nombre de victimes qui ne portaient pas la ceinture a augmenté au cours des trois dernières années, a précisé le capitaine Leduc. Bien sûr, cela ne veut pas dire que si [les victimes] avaient porté la ceinture, elles auraient survécu, mais dans plusieurs cas, cela aurait été vrai.
En ce qui concerne la vitesse au volant, qui est la principale cause des accidents mortels, selon le plus récent bilan, l'officier de la SQ reconnaît qu'il y a encore du travail à faire pour renverser les tendances.
« En 2022, les policiers de la SQ ont donné plus de 250 000 constats d'infraction en lien avec la vitesse; à cela, il faut ajouter les plus de 500 000 constats décernés par les photoradars... Et les photoradars, c'est annoncé d'avance! C'est un problème sur lequel nous devons continuer de travailler. »
— Une citation de Le capitaine Paul Leduc, de la Sûreté du Québec
Dans l'ensemble, mentionne encore le capitaine Leduc, le bilan routier de 2022 est le pire depuis une décennie.C'est une détérioration [du bilan] pour une troisième année consécutive, après une amélioration pendant environ une quinzaine d'années, ajoute-t-il.
On ne peut faire autrement que de se préoccuper de ces chiffres-là. Ceux-ci sont trop élevés pour nous; nous sommes toujours à la recherche d'une tendance à la baisse.
De l'imprudence, c'est incroyable comment je peux en voir souvent sur les routes.