Le Parti Très Risque de Fritz$$ qui donne... (Forum)

par Jéromec, dimanche 18 juin 2023, 12:45 (il y a 316 jours)

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Qu'est-ce qu'on a gagner si le paris fonctionne... Une facture de 5 Milliard$ et les profit$ au privé
Qu'est-ce qu'on a gagner si le paris échoue... une facture de 5 milliard$ plus celle$ de ramasser les pot$ ca$$és...

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Le Parti Très Risque de Fritz$$ qui donne...

par Dédé ⌂ @, dimanche 18 juin 2023, 16:46 (il y a 315 jours) @ Jéromec

Tout un risque ! :mdr:

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C'est risqué pour ceux qui crachent pas....

par Jéromec, dimanche 18 juin 2023, 17:22 (il y a 315 jours) @ Dédé

Tout un risque ! :mdr:

C'est risqué pour ceux qui crachent pas ceux qui empochent les subvention$

Spaceballs (1/11) Movie CLIP - Pizza the Hutt

https://www.youtube.com/watch?v=FPZ4yah3ROU

Le Québec bien placé pour recruter en aérospatiale, selon Fi

par Jéromec, dimanche 18 juin 2023, 17:46 (il y a 315 jours) @ Jéromec

ho boy, même pas capable de recruter assez de profs, de policiers, d'ambulanciers, de préposés aux bénéficiaires, etc...

créons des postes vacants de plus...

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2023-06-18/salon-du-bourget/le-quebec-bien-pl...

Le Québec bien placé pour recruter en aérospatiale, selon Fitzgibbon

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES LA PRESSE

« Clairement, on veut aider à concevoir l’aérospatiale de demain à travers l’innovation, puis je pense qu’on se démarque quand même de ce côté-là. Qu’on parle de la carboneutralité, qui va affecter l’industrie éventuellement, ça passe par le carburant durable, ça passe par les moteurs hybrides, alors on est très reconnus là-dedans », a souligné Pierre Fitzgibbon depuis Paris dimanche lors d’un point de presse.

La capacité du Québec à concevoir « l’aérospatiale de demain » devrait permettre à ce secteur névralgique de l’économie de la province d’être attirante aux yeux des travailleurs spécialisés de partout dans le monde, estime le ministre Pierre Fitzgibbon, de sorte qu’il n’est pas nécessaire pour l’instant de mettre en place des incitatifs financiers pour contrer la pénurie de main-d’œuvre.

Publié à 13h14Partager

M. Fitzgibbon passera la prochaine semaine en France à l’occasion du Salon de l’aéronautique du Bourget, qui s’ouvrira lundi sous fond d’un besoin criant de professionnels du domaine pour les entreprises québécoises.

Montréal International sera d’ailleurs sur place pour aider 12 entreprises, dont Bombardier, Airbus et Groupe Meloche, à présenter près de 200 offres d’emplois lors de ce rendez-vous qui est un incontournable pour les acteurs de l’industrie aérospatiale mondiale.

Le Québec, croit le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, sera en mesure de tirer son épingle du jeu à ce chapitre.


« Clairement, on veut aider à concevoir l’aérospatiale de demain à travers l’innovation, puis je pense qu’on se démarque quand même de ce côté-là. Qu’on parle de la carboneutralité, qui va affecter l’industrie éventuellement, ça passe par le carburant durable, ça passe par les moteurs hybrides, alors on est très reconnus là-dedans », a souligné M. Fitzgibbon depuis Paris dimanche lors d’un point de presse.

« On veut aussi nous diversifier, ce qu’on réussit à faire. Le côté espace commence à se développer au Québec, avec quelques compagnies qui ont déjà fait des annonces puis d’autres s’en viennent. »

Le secteur aérospatial représente actuellement 37 200 emplois au Québec — un chiffre qui est inférieur au sommet historique de 40 000 postes occupés dans la province il y a quelques années, mais qui est de retour au nombre d’emplois de la période prépandémique.

En entrevue avec La Presse Canadienne, la présidente et directrice générale d’Aéro Montréal, Mélanie Lussier, soulignait toutefois récemment qu’il y aurait 38 000 postes à pourvoir d’ici 10 ans en tenant compte des remplacements et de la croissance.

Notant que la pénurie de main-d’œuvre « n’est pas un enjeu québécois seulement », le ministre Fitzgibbon a réitéré que l’industrie aérospatiale québécoise jouit d’une forte réputation à l’international.

« On commence à voir un momentum, puis à cause des nouvelles technologies, je pense qu’on est capable d’attirer le talent », a-t-il mentionné, citant notamment le travail sur l’intelligence artificielle.

Pas besoin d’incitatifs financiers
Dans sa « Stratégie québécoise de l’aérospatiale — Horizon 2026 », le gouvernement québécois a prévu un cadre financier de 334 millions pour ce secteur, incluant plus de 70 millions pour la recherche et l’innovation.

M. Fitzgibbon a expliqué que toutes ces sommes investies en innovation vont rendre l’industrie québécoise plus moderne et avant-gardiste, ce qui fera de facto en sorte que des travailleurs de partout dans le monde vont décider de venir travailler dans la province.

Il y a beaucoup d’industries et d’entreprises du Québec qui se plaignent de la pénurie de main-d’œuvre, mais règle générale, l’industrie [aérospatiale] ne s’en plaint pas, dans le sens qu’ils sont capables d’attirer du talent.

Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie

Ainsi, il n’est pas dans les plans « pour l’instant » de mettre en place des incitatifs financiers pour convaincre des travailleurs de choisir le Québec, mais le ministre demeurera à l’écoute des besoins des entreprises si la situation venait à changer.

« On n’est pas là pour l’instant. Si jamais on était pour voir qu’on avait de la misère à recruter, peut-être qu’on irait là. À date, je dirais qu’on n’a pas eu à le faire. […] Mais c’est clair pour moi que si on me disait qu’on manque d’ingénieurs et qu’on n’est pas capable de recruter, il faudrait peut-être faire quelque chose », a affirmé M. Fitzgibbon.

Rendez-vous important
Le Salon de l’aéronautique du Bourget en sera à sa première présentation depuis 2019 — il se tient toutes les années impaires, mais avait été annulé en 2021 en raison de la COVID-19.

Cette année, la délégation québécoise qui y participera regroupera plus de 150 participants venant d’une cinquantaine d’entreprises et d’établissements d’enseignement.

En plus des enjeux de main-d’œuvre, M. Fitzgibbon compte promouvoir « pourquoi le Québec devrait être un lieu d’investissement » important auprès des grandes entreprises mondiales, en plus de mettre en avant la force de la « longue » chaîne d’approvisionnement de la province.

« On ne tient rien pour acquis, parce que les choses évoluent », a-t-il dit.

Le ministre a promis d’y faire trois annonces « intéressantes » mardi, tandis que lundi, c’est le ministre fédéral de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, François-Philippe Champagne, qui fera une « importante annonce concernant l’aviation durable ».

Avec des informations de Stéphane Rolland

Cabinet de Fitzgibbon: Québec a versé 200 000$ pour l’embauc

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 07:03 (il y a 315 jours) @ Jéromec

toujours aussi intègre le cabinet de Fritzquidonne... à ses ami$$$

https://www.journaldemontreal.com/2023/06/19/cabinet-de-fitzgibbon--quebec-a-verse-200-...

Cabinet de Fitzgibbon: Québec a versé 200 000$ pour l’embauche d’un ex-candidat caquiste

Hugues Beaulieu était jusqu'à octobre dernier attaché politique dans le cabinet de Pierre Fitzgibbon
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Hugues Beaulieu a été candidat pour la Coalition Avenir Québec en 2012 et 2014. Il n'a cependant jamais été élu député. COMPTE TWITTER DE HUGUES BEAULIEU


PASCAL DUGAS BOURDON
Lundi, 19 juin 2023 00:00

MISE À JOUR Lundi, 19 juin 2023 00:07

Le ministère de Pierre Fitzgibbon a versé 200 000$ à l’Institut de cardiologie de Montréal (ICM) pour qu’il embauche l'un de ses anciens employés de cabinet et ex-candidat caquiste, a appris notre Bureau d’enquête.

La subvention pour financer la création du poste à l'hôpital a été octroyée par le ministère de l’Économie peu de temps après l’embauche d’Hugues Beaulieu à titre de conseiller stratégique et chef de projet de la zone d’innovation en santé personnalisée.

Explosion des coûts du projet d’usine de E-batteries ontarie

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 16:59 (il y a 314 jours) @ Jéromec

ça commence à faire république de bananes...

https://lautjournal.info/20230616/explosion-des-couts-du-projet-dusine-de-e-batteries-o...

Explosion des coûts du projet d’usine de E-batteries ontarienne

2023/06/16 | Par Bloc Québécois
Le chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, et le porteparole bloquiste en matière d’Industrie, Sébastien Lemire, sont choqués du laxisme financier du gouvernement fédéral à l’égard du projet d’usine de batteries électriques Volkswagen, dans l’Ouest ontarien, dont l’aide financière estimée est déjà revue à la hausse de 13 à 16,3 milliards de dollars. Le Bloc Québécois signale que chacun des emplois créés par ce projet coûterait ainsi 11 millions de dollars en fonds publics, et demande à la ministre des Finances et vicepremière ministre, Chrystia Freeland, de revoir l’entente avec l’entreprise en cause.

« N’oublions pas que l’argent que le gouvernement fédéral entend allouer en subventions si généreuses pour un unique projet d’entreprise provient des fonds publics. Non seulement chaque emploi coûterait au final l’équivalent de 11 millions en subventions par emploi - du jamais vu - mais ce projet semble avoir pour objectif de soutirer une filière batterie déjà profondément québécoise dans son essence pour l’emmener vers l’industrie automobile de l’Ontario, avec possiblement un déplacement de la grappe industrielle de la batterie vers l’Ontario. On peut faire mieux avec 16,3 milliards au Québec! Tout cela est inacceptable, il faut que la ministre revoie l’entente », avise Yves-François Blanchet.

Le directeur parlementaire du budget (DPB) affirmait hier que le contrat exclusif du Canada avec Volkswagen pour la construction de cette usine coûtera au gouvernement fédéral jusqu’à 16,3 milliards de dollars au cours des 10 prochaines années. Cette estimation est supérieure au montant qu’Ottawa avait prévu pour les contribuables, qui comprenait une contribution initiale de 700 millions, dans le cadre du Fonds stratégique pour l’innovation, et jusqu’à 13,2 milliards en crédits d’impôt à la production.

Pour le député Lemire, il apparaît clair qu’il s’agit d’un mauvais investissement des fonds publics de la part du gouvernement fédéral qui « met toutes ses billes dans un seul et même panier ontarien ». « Le Québec a déjà une filière batterie électrique très bien implantée et développée. Plutôt que de concentrer des sommes faramineuses pour un seul projet d’entreprise en Ontario, le gouvernement fédéral devrait planifier et répartir ses investissements en considérant les possibilités d’innovation dans chaque étape de la chaîne d’approvisionnement pour permettre la transformation de nos ressources à proximité de la mine. À défaut, le Canada devra encore se fier à la Chine plutôt que d’avoir accès à des produits dont la traçabilité québécoise et verte pourrait être démontrée. C’est là notre seul véritable avantage concurrentiel, davantage que de donner ainsi plus de 16 milliards de dollars en fonds publics. La ministre Freeland doit refaire ses devoirs », conclut Sébastien Lemire.

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