Le Yreck à Dédé Camping Canada (Forum)

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 15:52 (il y a 315 jours)
édité par Dédé, lundi 19 juin 2023, 16:21

plus de logements à louer pas de problème... le Canada est un pays très vaste pour le camping...

https://www.journaldequebec.com/2023/06/19/la-caricature-dygreck?fbclid=IwAR1ZQVwyj2WBE...

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GRAND MONTRÉAL Itinérance Des campements démantelés, d’autr

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 16:52 (il y a 314 jours) @ Jéromec


Camping Canada, du plaisir à l'état pur...

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2023-06-15/itinerance/des-campements-...

GRAND MONTRÉAL
Itinérance Des campements démantelés, d’autres tolérés

Les campements de sans-abri se multiplient à Montréal cet été. Certains sont rapidement démantelés, mais d’autres sont tolérés depuis longtemps, puisque la Ville ne semble pas avoir de politique claire à ce sujet.

Mis à jour le 15 juinPartager
Isabelle Ducas
ISABELLE DUCAS
LA PRESSE
Mercredi, six personnes qui campaient depuis une semaine au parc du Mont-Royal, près de l’avenue du Parc, ont été évincées et ont dû emballer leurs maigres possessions en vitesse, sous l’œil de deux policiers et d’employés municipaux menaçant de saisir leurs biens.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Les tentes sur le mont Royal ont été enlevées sous le regard de policiers.

Pourtant, près de l’autoroute Métropolitaine, dans le quartier Villeray, un sans-abri vit dans une tente depuis six ans sans être inquiété par les autorités. Dans ce secteur, au moins quatre autres campements sont disséminés à différents endroits, cachés dans des bosquets. L’arrondissement a demandé, il y a 10 jours, le retrait des tentes excédentaires qui servaient à de l’entreposage, mais la présence des campeurs est tolérée.

Nulle part où aller
« Les bœufs nous demandent de partir, mais ils ne veulent même pas nous laisser deux heures pour ramasser nos affaires, » dénonce avec colère Bazz, l’un des campeurs du mont Royal, alors qu’il est occupé à entasser son matériel de camping sur une plateforme à roulettes, tentant de tout y faire tenir, comme s’il s’adonnait à une partie de Tetris.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Bazz, sans-abri qui campait au pied du mont Royal

Où voulez-vous qu’on aille ? On va juste se déplacer ailleurs où on sera plus difficiles à trouver.

Bazz, sans-abri qui campait au pied du mont Royal

Dans la rue depuis plusieurs années, Bazz dit avoir campé à une vingtaine d’endroits différents depuis un an.


Il avait reçu vendredi dernier un avis d’éviction, remis par un employé municipal. Du côté de la Ville de Montréal, le commissaire aux personnes en situation d’itinérance, Serge Lareault, assure que les campeurs sont rencontrés par des intervenants, qui les orientent vers des refuges pour itinérants, avant d’être expulsés d’un site.

« Je ne veux rien savoir de leurs refuges, » rétorque Bazz, qui déplore avoir été victime de vols dans ces endroits, où la vie privée n’est pas respectée, dit-il.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Justin et Kamila, couple originaire de Toronto, quittent leur campement du mont Royal à bord de leur vélo.

Après avoir plié bagage, Kamila et Justin, couple originaire de Toronto, partent de leur côté avec leur chariot de vélo qui déborde. « Pour aller dans un refuge, il faudrait qu’on puisse entreposer nos affaires quelque part, mais ce n’est pas possible, » dit Kamila.

« Tragédie sociale »
Pourquoi Bazz, Kamila et Justin ont-ils été délogés de leur campement, alors que Serge, Ben et Alain, qui ont installé leurs pénates sur des terrains qui jouxtent l’autoroute Métropolitaine, dans Villeray, peuvent y demeurer ? Dans le Sud-Ouest, sur un terrain boisé à côté de la station de métro Place-Saint-Henri, d’autres tentes ont aussi fait leur apparition il y a quelques mois et les habitants des lieux n’ont pas l’intention de partir.

C’est du cas par cas. Quand il n’y a pas de nuisance, on se donne le temps d’agir. On essaie de trouver un équilibre. Mais c’est une tragédie sociale avec laquelle la Ville est prise.

Serge Lareault, commissaire aux personnes en situation d’itinérance à la Ville de Montréal

La Ville reçoit des plaintes de citoyens, qui doivent pouvoir utiliser les parcs, note M. Lareault.

« De toute façon, ce n’est pas une solution sécuritaire ni pérenne que des gens vivent dans des tentes, surtout dans une ville qui a un hiver comme le nôtre, » ajoute-t-il.

Mais quelles solutions ?
Le directeur d’un organisme qui fait du travail de rue, qui ne veut pas être nommé parce qu’il reçoit du financement municipal, dénonce les démantèlements de campements, qu’il qualifie d’« inhumains ».

« Ma question à la Ville c’est : quelles sont les solutions ? En enlevant les tentes, on force juste les gens à dormir à la belle étoile. Tant qu’il n’y a pas de solution, c’est illogique, » s’insurge-t-il, racontant le cas d’un homme qui a dû être hospitalisé après le démantèlement de son campement, tellement il a été désorganisé par cet évènement.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Les sans-abri qui campaient sur le mont Royal ont dû emballer leurs maigres possessions en vitesse.

Nous avons parlé à une douzaine de personnes itinérantes pour ce reportage. Toutes sont conscientes qu’elles peuvent déranger, et prennent soin de garder leur emplacement exempt de déchets, comme nous avons pu le constater.

« On garde l’endroit propre, on ne dérange personne ici, » assure Lyzie, rencontrée au campement du mont Royal qu’elle partage avec trois amis. Deux tentes, une grande toile, un hamac, un barbecue, des gants de boxe et un punching bag, des vêtements qui sèchent sur une corde… L’endroit est paisible, sauf pour les ratons laveurs qui viennent parfois fouiller dans les poubelles du groupe.

« Les règlements, ce n’est pas pour moi »
En fumant une cigarette avec Steve, assise devant sa tente, Lyzie explique avoir passé l’hiver dehors, puis avoir intégré le refuge pour itinérants installé dans l’ancien Hôtel-Dieu. « Mais les règlements, ce n’est pas pour moi, » ajoute-t-elle, expliquant qu’elle s’est fait expulser de l’endroit et que ses effets personnels ont été jetés.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Lyzie, fumant une cigarette dans un campement sur le mont Royal

Caché dans un bosquet près de l’intersection de l’avenue Christophe-Colomb et du boulevard Crémazie, à l’ombre de l’autoroute Métropolitaine, le campement d’Alain Goyette et de ses deux « co-campeurs » est invisible de la rue. L’homme de 65 ans à la longue barbe blanche garde l’endroit scrupuleusement propre, traquant le moindre détritus transporté par le vent.

La proximité d’une intersection très achalandée lui donne accès à de nombreux automobilistes immobilisés, auprès desquels il quête de quoi se payer à manger. « On se demande pourquoi ils voudraient nous expulser, parce qu’on ne dérange pas », affirme Alain Goyette, installé à cet endroit depuis deux ans.

1/5
Les autorités municipales ignorent combien de personnes vivent dans des tentes sur le territoire de Montréal. Une chose est sûre, selon plusieurs intervenants du milieu de l’itinérance : le phénomène est en augmentation, même si les campements n’ont pas la même ampleur que celui qui avait été démantelé rue Notre-Dame, dans Hochelaga-Maisonneuve, en 2020. Ils sont plutôt disséminés à divers endroits sur le territoire.


PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

Campement de la rue Notre-Dame, dans Hochelaga-Maisonneuve, en novembre 2020

Tous disent la même chose : « C’est directement lié au manque de logements abordables, sociaux et communautaires. Il n’y a pas de réponse adaptée aux besoins réels de ces personnes, » observe Annie Savage, du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal.

« Ce n’est pas tout le monde qui a le profil pour loger dans un refuge pour sans-abri, même temporairement, » explique Émilie Fortier, du refuge Mission Old Brewery. « Habiter dans le même bâtiment que 200 autres personnes, manger en même temps que tout le monde, suivre un cadre… Quand tu as des problèmes de consommation ou de santé mentale, que tu es en couple ou que tu as un animal, ce n’est pas évident. »

« Certaines personnes ont besoin d’un soutien plus intensif que ce qu’on peut offrir. »

DÉMANTÈLEMENT ENCORE REPORTÉ SOUS L’AUTOROUTE VILLE-MARIE
Le campement de sans-abri qui devait être démantelé jeudi, sur un terrain du ministère des Transports du Québec sous l’autoroute Ville-Marie, obtient un nouveau sursis : la décision de la Cour supérieure demandant à la dizaine de campeurs de partir avant le 15 juin a été portée en appel par la Clinique juridique itinérante. La cause a été entendue mardi par la Cour d’appel, qui doit rendre une décision la semaine prochaine. En attendant, l’avis d’éviction est suspendu.

Logement: Plante répond à Legault

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 17:39 (il y a 314 jours) @ Jéromec

Plus la pénurie est forte plusse la valeur des maisons des bourgeois augmente....

Kaq le GouverneMent par et pour les Riche$

https://www.tvanouvelles.ca/2023/06/19/securite-dans-le-village-on-ne-lachera-pas-dit-v...
Logement: Plante répond à Legault

Logement: Plante répond à Legault
En entrevue à LCN, Valérie Plante a également réagi aux commentaires de François Legault sur le prix des maisons au Québec.

Le premier ministre a affirmé lundi qu’il «ne souhaite pas que le Québec reste pauvre pour qu’on garde un prix des maisons plus bas que Toronto et Vancouver».

La mairesse dit comprendre l’argument économique avancé par M. Legault, mais estime qu'il devrait s'intéresser davantage à la situation de la classe moyenne et des personnes vulnérables.

«C’est une belle colonne de chiffres, mais je pense qu’au final il faut aussi s’intéresser aux individus qui ont de la misère à se loger, dit-elle. Et quand on sait qu’il y a des ménages qui dépensent plus de 30% de leurs revenus annuels dans leur logement, ça, c’est moins d’argent dans notre économie à profiter des restaurants, de la culture, des boutiques.»

«Et on sait également que le logement social, ce sont des gens qui sont beaucoup plus vulnérables, et comme il ne se crée pas de nouveaux logements sociaux depuis près de 3 ans ici à Montréal, c’est extrêmement problématique, ajoute-t-elle. Donc j’entends la réponse du premier ministre, mais je pense qu’il faut pousser l’analyse beaucoup plus loin.»

Elle souhaite cependant qu’une vision plus concrète soit développée par le premier ministre.

«Je m’attends à une vision claire du gouvernement du Québec sur l’habitation, et pour loger la classe moyenne, pour les aider à acquérir une propriété ou devenir locataires à un prix raisonnable et s’occuper du logement social et des plus vulnérables qui font partie de la mission de l’état québécois.»

Les Squ4 4 juillets de Légros...

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 19:29 (il y a 314 jours) @ Jéromec

C'est vraiment une gang de mongols quand McKinsey leur souffle pas quoi dire...

https://www.lenouvelliste.ca/actualites/politique/2023/06/19/legault-confiant-que-perso...
''François Legault sur ce 1er juillet en crise du logement:

«Faut regarder l'expérience. J'ai quatre 1er juillet d'expérience et ça s'est bien passé pendant ces quatre 1er juillet. Personne s'est retrouvé à la rue», dit @francoislegault

Avec la question de @psaLaPC
''
https://www.lenouvelliste.ca/actualites/politique/2023/06/19/legault-confiant-que-perso...

François Legault entend s’assurer que personne ne se retrouvera à la rue le 1er juillet prochain.

Interrogé, lundi lors d’une conférence de presse dans les Laurentides, sur l’évaluation du gouvernement en termes de besoins, le premier ministre a refusé de mettre un chiffre sur le nombre de logements qui sont requis au Québec pour soulager la pression dans le marché locatif.

À moins de deux semaines de la date fatidique, il a cependant défendu son action passée.


«J’ai quatre 1er juillet d’expérience et ça s’est bien passé pendant ces quatre 1er juillet. Quand je dis que ça s’est bien passé, c’est que personne ne s’est retrouvé à la rue.

«Parfois, temporairement, on a demandé à des gens d’habiter dans des hôtels, d’habiter dans des logements temporaires, mais l’idée c’est que personne ne se retrouve à la rue pour un cinquième 1er juillet depuis que je suis premier ministre.»

Constructions hâtives
Le gouvernement qu’il dirige a mis du temps à reconnaître qu’il y avait bel et bien une crise du logement au Québec et tente par tous les moyens de faire démarrer des constructions plus hâtives de logements dans l’espoir d’effectuer un rattrapage.

«Ce qu’il est important de comprendre, c’est que un : il manque de logements abordables; deux, il manque aussi pour la classe moyenne de logements tout court, de logements entre autres pour les familles et en particulier à Montréal, mais aussi dans d’autres régions.

«Notre objectif actuellement, c’est de développer le plus de logements abordables possible. On a mis un milliard $ (dans le dernier budget). On va voir ce qu’on est capable de développer rapidement.»

Plus d’argent, de programmes
Il a promis au passage de bonifier les sommes consacrées au logement, se disant ouvert à amener le gouvernement à investir lui-même le marché de la location et à lancer de nouveaux programmes. «Probablement qu’il va falloir ajouter de l’argent et on va en ajouter», a-t-il déclaré.

«Le défi, c’est vraiment d’accélérer la construction de logements et on va financer, soit directement des logements, soit acheter des logements existants, soit donner de l’aide au logement via (le programme) Accès logis, ou d’autres programmes. On est ouverts à créer des programmes.»

Le secteur privé a eu tendance à bouder la construction de logements locatifs depuis quelques années et, avec les taux d’intérêt actuels, ne peut se permettre de bâtir pour louer sous le prix du marché. La construction de condominiums pour la vente immédiate présente beaucoup plus d’attrait, par exemple. François Legault le sait et laisse entendre qu’il devra prendre les constructeurs par la main en y mettant des sous. «Le domaine de la construction, il faut trouver une façon de le stimuler pour qu’il y ait plus de création de résidences. C’est pour ça qu’il faut garder un certain équilibre pour que des propriétaires aient le goût, aient un incitatif de construire davantage.»

Pas de logements sur papier
Il en faudra effectivement beaucoup plus que ce qui se fait présentement pour rattraper les retards accumulés. Plusieurs de ces retards sont imputables à des délais liés à des contraintes bureaucratiques et réglementaires. Les gouvernements, tant fédéral que provincial et municipaux, se sont maintes fois fait reprocher des annonces de création de logements alors que ceux-ci n’existaient que sur papier.

François Legault a compris que cette approche politique ne donnait pas de toit à ceux qui en ont besoin. «On ne veut pas qu’il y ait de l’argent qui soit dormant, qui soit disponible mais non utilisé parce que les projets ne sont pas prêts à construire. On veut s’assurer que ça construise, qu’il y ait des marteaux et des clous qui s’enfoncent pour être capables d’avoir des logements.»


«Depuis plusieurs années, passer par un OMH (Office municipal d’habitation), ça peut prendre cinq ans, six ans», a-t-il laissé tomber.

L’Indice du logement locatif canadien, publié lundi matin, illustre on ne peut plus clairement les effets de la crise du logement. On y indique qu’un ménage sur quatre (25 %) consacre plus de 30 % de ses revenus pour se loger, dépassant ainsi le seuil d’équilibre pour un ménage, mais aussi qu’un ménage sur dix (9 %) y consacre plus de 50 % de ses revenus.

Réaction du PLQ
La porte-parole libérale en matière d’habitation, Virginie Dufour, a réagi vivement aux propos du premier ministre, qu’elle accuse d’être «complètement déconnecté de la situation actuelle du logement au Québec».

Dans un communiqué publié peu de temps après la déclaration de M. Legault, elle affirme que «le chef caquiste ose se vanter qu’il a toujours réussi à passer à travers cette date sans que personne ne soit mis à la rue. Après avoir nié la crise du logement pendant des années, il conserve ses lunettes roses en ignorant complètement le taux d’inoccupation de logements qui n’a jamais été aussi bas qu’en ce moment.»

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Les Squ4 4 juillets de Légros...

par Dédé ⌂ @, lundi 19 juin 2023, 19:40 (il y a 314 jours) @ Jéromec

Il peut bien se péter les "bartelles" le crisse de gros jambon, il a sa nounou pour se faire laver le cul, demeure dans sa luxueuse maison et tout va bien selon lui pour les logements.

Il peut bien avoir dit que Clova va passer au feu et que les pompiers ne feront rien pour ce ti-village ! :boss:

Aux prochaines élections, je vote le parti rhinocéros tabarnack, au moins, nous aurons plus ce crisse de gros jambon aussi pire que Couillard !

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Dans le fond philippe couillard c'est juste d'la marde

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 19:47 (il y a 314 jours) @ Dédé

Il peut bien se péter les "bartelles" le crisse de gros jambon, il a sa nounou pour se faire laver le cul, demeure dans sa luxueuse maison et tout va bien selon lui pour les logements.

Il peut bien avoir dit que Clova va passer au feu et que les pompiers ne feront rien pour ce ti-village ! :boss:

Aux prochaines élections, je vote le parti rhinocéros tabarnack, au moins, nous aurons plus ce crisse de gros jambon aussi pire que Couillard !


Dans le fond philippe couillard c'est juste d'la marde - Parodie

https://www.youtube.com/watch?v=DW-ozZMrtE8


Arafat et Philippe Couillard

https://www.youtube.com/watch?v=SEhlI4pt_m8

Bye bye 2014 - Austérité PLQ 2 vitesse

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 19:51 (il y a 314 jours) @ Jéromec

souvenirs de Hallatola Couillard...

Bye bye 2014 - Austérité PLQ

https://www.youtube.com/watch?v=JyX95f06Krw

PGAC 0154 Le Petit Couillor Castor Couillard...

par Jéromec, lundi 19 juin 2023, 20:05 (il y a 314 jours) @ Jéromec


PGAC 0154 Le Petit Couillor

Un souvenir de notre jeunesse qui revient à la vie, dans une version plus actuelle... Voici le Petit Couillor. Un petit castor qui gruge le modèle québécois pour construire un barrage contre notre avenir collectif, barrage construit avec le privé... of course.

https://www.youtube.com/watch?v=2LZhOLhK2UE

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