«Je suis prête à dormir dans le salon»: une maman désespérée (Forum)

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 20:57 (il y a 313 jours)

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ça se passe bien depuis 4 juillet pour le millionnaire à Légaut il a été capable de déménager... mais tous n'ont pas cette chance...

https://www.tvanouvelles.ca/2023/06/20/je-suis-prete-a-dormir-dans-le-salon-pour-que-me...

«Je suis prête à dormir dans le salon»: une maman désespérée

«Je suis prête à dormir dans le salon»: une maman désespérée ne trouve nulle part où aller à 10 jours du 1er juillet
Elle n'a pas eu le choix de monter son budget et de réduire la taille de l'appartement qu'elle cherche

Clara Loiseau

| Publié le 20 juin 2023 à 11 h 30
Catherine Brunette

Clara Loiseau / JdeM

Une mère de famille est désespérée de ne trouver nulle part où aller pour se loger avec ses deux ados à seulement 10 jours de la date fatidique du 1er juillet et du ballet des déménagements.

«Je suis prête à aller dans un quatre et demie pour un ou deux ans et dormir dans le salon pour que mes enfants aient chacun leur chambre, mais même ça, c’est trop cher», se décourage Catherine Brunette, 42 ans.

Même si le premier ministre du Québec, François Legault, affirmait hier que personne ne se retrouverait à la rue au 1er juillet, Mme Brunette craint bien de se retrouver à la rue à cette date fatidique.

Depuis qu’elle s’est séparée à la fin du mois de mars, cette mère au foyer assure chercher plus qu’activement un logement pour elle, son fils de 15 ans et sa fille de 13 ans.

«L’appartement qu’on avait avec mon ex-conjoint coûte 1480$ par mois, rien d’inclus, donc je savais que si je le gardais je ne serais plus en mesure de m’alimenter, donc j’ai avisé que je quitterais», explique Mme Brunette, dont le logement actuel est déjà loué pour le 1er juillet.

«Si j’avais su que je me retrouverais dans cette situation, je l’aurais quand même gardé», poursuit-elle.

Une autre crise

Si Mme Brunette tient absolument à rester dans Hochelaga, où elle vit depuis 16 ans, c’est pour que ses enfants, particulièrement son fils, puissent rester dans le cadre scolaire qui les pousse à ne pas décrocher.

«Les premières années du secondaire, il a failli décrocher. Là, il est dans une classe spéciale, mais si je le change d’école, j’ai peur qu’il décroche», explique-t-elle.

Infernal

Initialement, Mme Brunette s’était fixé un budget de 1100$ pour un cinq et demie, mais rapidement, elle a compris que c’était loin de suffire.

«Je voyais des deux et demie, des trois et demie pour ce prix-là, mais je ne peux pas aller là avec deux ados», explique Mme Brunette, qui attend pour un logement en HLM.

Actuellement, pour un cinq et demie dans le quartier, il faut s’attendre à débourser plus de 1350$ minimum, comme a pu le constater Le Journal en fouillant les petites annonces.

Et quand elle trouve un logement, il est souvent difficile de réussir à l’avoir, tant il y a de candidats face à elle, qui sont souvent plus rapides.

«L’autre jour, je devais aller visiter un logement, j’avais un rendez-vous, mais, juste avant, la propriétaire m’a écrit pour me dire qu’il avait finalement déjà été loué», déplore la mère monoparentale, dont l’appartement est rempli de boîtes de carton.

«Je suis en train de regarder où je vais pouvoir entreposer tout ça», ajoute-t-elle, en regardant les monticules de boîtes de carton.''

Explosion des prix des loyers au Québec:

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 21:01 (il y a 313 jours) @ Jéromec

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https://www.tvanouvelles.ca/2023/06/20/explosion-des-loyers-au-quebec--une-hausse-recor...
Explosion des prix des loyers au Québec: une hausse record de 13,7% en un an

Le prix des loyers a explosé de 13,7% au Québec en seulement une année, soit la plus importante hausse depuis quatre ans, selon les données compilées par le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ).

Depuis quatre années, nous répétons que la flambée des loyers, loin de se résorber, s’accélère partout au Québec. Cette année, la tendance se confirme encore: 2023 affiche la pire hausse de loyers sur Kijiji au Québec en quatre ans», dénonce le RCLALQ dans son rapport publié aujourd’hui.

Depuis maintenant quatre ans, le RCLALQ recense et analyse des milliers d’annonces publiées sur ce site de petites annonces afin de dresser un portrait de la situation. Cette année, entre le 1er février et le 31 mai 2023, l’organisme a colligé près de 48 000 annonces sur Kijiji pour des logements en location à long terme partout au Québec.

Les données ont permis de montrer que le prix des logements proposés a augmenté de 13,7% en seulement une année, affirme Cédric Dussault, co-porte-parole de l’organisation.
Cédric Dussault, co-porte-parole du Regroupement des comités logement et des associations de locataires du Québec (RCLALQ).

Photo Jeremy Bernier

Cédric Dussault, co-porte-parole du Regroupement des comités logement et des associations de locataires du Québec (RCLALQ).

Forte hausse

À Montréal, le prix moyen des loyers a augmenté de 14%, selon les données entre 2022 et 2023. L’écart monte à 21% si l’on compare le prix des loyers entre 2021 et 2023, indique le rapport.

À Québec, les loyers ont augmenté de 19% en une année et de 25% en deux ans.

Dans la province, ce sont principalement les studios qui ont été touchés par la hausse fulgurante, selon le RCLALQ.

«Les studios [soit les 1 et demie ou les 2 et demie] sont en très forte augmentation et sont offerts au prix moyen de 1118$ par mois, alors que notre Enquête de 2020 affichait un loyer de 770$ par mois pour les studios, une augmentation de 45% en quatre ans», est-il indiqué.
à louer

Loin des grandes villes

D’autres municipalités affichent aussi des taux d’augmentation inquiétants, selon le RCLALQ.

C’est notamment le cas de Cowansville, où les loyers ont augmenté de 44% en seulement un an, mais aussi de Shawinigan (42%), Rimouski (26%) et Joliette (23%).

L’an dernier, les données de plus de 51 000 annonces compilées dans le rapport de l’organisme montraient une hausse moyenne de 9,1% des loyers dans la province entre 2021 et 2022.

Les hausses les plus importantes avaient plus été observées en région et en banlieue qu’à Montréal (8%) ou à Québec (6%). Sur la Rive-Nord de Montréal, les augmentations de loyer avoisinaient les 19,6% et sur la Rive-Sud, 14%, indique le rapport produit l’an passé.

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«Je suis prête à dormir dans le salon»: une maman désespérée

par Blake, mardi 20 juin 2023, 21:04 (il y a 313 jours) @ Jéromec

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ça se passe bien depuis 4 juillet pour le millionnaire à Légaut il a été capable de déménager... mais tous n'ont pas cette chance...

https://www.tvanouvelles.ca/2023/06/20/je-suis-prete-a-dormir-dans-le-salon-pour-que-me...

«Je suis prête à dormir dans le salon»: une maman désespérée

«Je suis prête à dormir dans le salon»: une maman désespérée ne trouve nulle part où aller à 10 jours du 1er juillet
Elle n'a pas eu le choix de monter son budget et de réduire la taille de l'appartement qu'elle cherche

Clara Loiseau

| Publié le 20 juin 2023 à 11 h 30
Catherine Brunette

Clara Loiseau / JdeM

Une mère de famille est désespérée de ne trouver nulle part où aller pour se loger avec ses deux ados à seulement 10 jours de la date fatidique du 1er juillet et du ballet des déménagements.

«Je suis prête à aller dans un quatre et demie pour un ou deux ans et dormir dans le salon pour que mes enfants aient chacun leur chambre, mais même ça, c’est trop cher», se décourage Catherine Brunette, 42 ans.

Même si le premier ministre du Québec, François Legault, affirmait hier que personne ne se retrouverait à la rue au 1er juillet, Mme Brunette craint bien de se retrouver à la rue à cette date fatidique.

Depuis qu’elle s’est séparée à la fin du mois de mars, cette mère au foyer assure chercher plus qu’activement un logement pour elle, son fils de 15 ans et sa fille de 13 ans.

«L’appartement qu’on avait avec mon ex-conjoint coûte 1480$ par mois, rien d’inclus, donc je savais que si je le gardais je ne serais plus en mesure de m’alimenter, donc j’ai avisé que je quitterais», explique Mme Brunette, dont le logement actuel est déjà loué pour le 1er juillet.

«Si j’avais su que je me retrouverais dans cette situation, je l’aurais quand même gardé», poursuit-elle.

Une autre crise

Si Mme Brunette tient absolument à rester dans Hochelaga, où elle vit depuis 16 ans, c’est pour que ses enfants, particulièrement son fils, puissent rester dans le cadre scolaire qui les pousse à ne pas décrocher.

«Les premières années du secondaire, il a failli décrocher. Là, il est dans une classe spéciale, mais si je le change d’école, j’ai peur qu’il décroche», explique-t-elle.

Infernal

Initialement, Mme Brunette s’était fixé un budget de 1100$ pour un cinq et demie, mais rapidement, elle a compris que c’était loin de suffire.

«Je voyais des deux et demie, des trois et demie pour ce prix-là, mais je ne peux pas aller là avec deux ados», explique Mme Brunette, qui attend pour un logement en HLM.

Actuellement, pour un cinq et demie dans le quartier, il faut s’attendre à débourser plus de 1350$ minimum, comme a pu le constater Le Journal en fouillant les petites annonces.

Et quand elle trouve un logement, il est souvent difficile de réussir à l’avoir, tant il y a de candidats face à elle, qui sont souvent plus rapides.

«L’autre jour, je devais aller visiter un logement, j’avais un rendez-vous, mais, juste avant, la propriétaire m’a écrit pour me dire qu’il avait finalement déjà été loué», déplore la mère monoparentale, dont l’appartement est rempli de boîtes de carton.

«Je suis en train de regarder où je vais pouvoir entreposer tout ça», ajoute-t-elle, en regardant les monticules de boîtes de carton.''

Ça n'a pas de crisse d'allure.

«Je suis prête à dormir dans le salon»: une maman désespérée

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 22:15 (il y a 313 jours) @ Blake


Ça n'a pas de crisse d'allure.

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La KAq va aggraver le tout en faisant augmenter les tarifs électrique

et subventionner les minières pour vider le Kébec des ressources

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« « Je ne veux pas que Montréal soit juste pour les riches »

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 22:24 (il y a 313 jours) @ Jéromec

contraste avec Légros pour qui la pénurie fait monter les prix...

https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/1989695/crise-logement-montreal-hausse-loyers
« Je ne veux pas que Montréal soit juste pour les riches », déplore Valérie Plante

RCI
Publié à 13 h 40

La mairesse de Montréal, Valérie Plante, assure qu’il n’existe aucune corrélation entre l’augmentation des revenus des citoyens d’une ville et leur capacité de s’y loger, contredisant ainsi François Legault, qui disait lundi que la hausse des loyers au Québec était un signe du « bien-être économique » de la province (nouvelle fenêtre).

"Il y a plein de données [...] qui démontrent que des villes comme Toronto et Vancouver, bien que les salaires soient plus forts, la classe moyenne n’arrive pas à se loger dans ces villes", a déclaré la mairesse Plante, mardi matin, en point de presse.

La veille, le premier ministre du Québec, François Legault, disait pourtant souhaiter "qu’on rejoigne l’Ontario". "Je ne veux pas que le Québec reste pauvre pour qu'on garde le prix des maisons plus bas qu'à Toronto ou à Vancouver", a-t-il affirmé.

C’est loin d’être le souhait de Mme Plante, qui assure au contraire que "Vancouver fait partie des cancres à l’échelle mondiale entre la capacité à se loger et les salaires qui sont élevés".

"Je veux pas que Montréal soit juste pour les riches, comme Toronto et Vancouver."

"Oui, on veut des gens qui ont un meilleur salaire, mais ce n’est pas vrai que c’est ce qui fait qu’on peut se loger si on n'a pas une vision claire, des stratégies et des efforts pour garder l'abordabilité."
Une citation de Valérie Plante, mairesse de Montréal

Montréal veut un registre provincial des loyers

Au Québec, les loyers des logements offerts en location sur Kijiji dans les grandes villes de la province "ont augmenté en moyenne de 13,7 % entre les printemps de 2022 et de 2023, la plus forte hausse des quatre dernières années", selon le plus récent rapport du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ), rendu public mardi.

"L'écart se creuse et la crise de l'abordabilité et la crise du logement augmentent de façon substantielle en ce moment", a réagi la mairesse Plante face à ces chiffres mardi.

Cette hausse fait d’ailleurs craindre le pire à Montréal avec l’arrivée imminente du 1er juillet. De nombreux locataires doivent déménager, mais n’ont toujours pas réussi à trouver un nouveau logement abordable. En 2022, 386 ménages ont fait une demande d'assistance en ce sens – cette année, ce nombre était déjà à 300 (nouvelle fenêtre), et ce, deux semaines avant le jour fatidique.

Face à cette situation, la Ville de Montréal et plusieurs organismes, dont le Regroupement des comités logement et associations de locataires du QuébecRCLALQ, demandent à la Coalition avenir Québec (CAQ) d’établir un registre provincial des loyers. "Une mesure s’impose : un registre des loyers public, universel et accessible gratuitement révélant les loyers de tous les logements locatifs au Québec", écrit le Regroupement des comités logement et associations de locataires du QuébecRCLALQ dans son rapport.

"À moins de vouloir tromper les locataires, il n’y a aucune raison de cacher les loyers du parc locatif québécois." C’est ce qui permettrait aux locataires, selon l’organisme, de "vérifier si le loyer du précédent locataire a été abusivement augmenté".

"Je pense qu’on a la démonstration qu’un registre à l’échelle du Québec est nécessaire", a d’ailleurs déclaré le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable de l’habitation et de la stratégie immobilière, Benoit Dorais, aux côtés de la mairesse mardi.

"On doit avoir un registre, c’est une des grandes solutions, outre le fait qu’il faut continuer de construire énormément d'habitations de toutes sortes, une grande diversité, y compris en social et en abordable."
Une citation de Benoit Dorais, responsable de l’habitation et de la stratégie immobilière, Ville de Montréal

Outre l’approche du 1er juillet, la discussion entourant les loyers au Québec a repris de plus belle lors du dépôt du projet de loi 31 par la ministre responsable de l’Habitation (nouvelle fenêtre), France-Élaine Duranceau. Celui-ci a notamment été fortement critiqué (nouvelle fenêtre) en raison d’une disposition permettant aux propriétaires de refuser une cession de bail.


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Bonzai Légault le Plan Vert$

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 22:58 (il y a 313 jours) @ Blake

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Bonzai Légault le Plan Vert$

Bref la KAQ c'est enrichir les riches sur le dos des pauvres...

ET Fuck l'Environnement on en parlera dans 10 ans.

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La commissaire à l’éthique ouvre une enquête sur la ministre

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 23:05 (il y a 313 jours) @ Jéromec


Diantre je suis sur kul... tellement surpris...
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https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1989755/commissaire-ethique-enquete-ministre-duran...
La commissaire à l’éthique ouvre une enquête sur la ministre Duranceau

France-Élaine Duranceau, les bras croisés.

La ministre responsable de l'Habitation, France-Élaine Duranceau, est critiquée de toutes parts depuis le dépôt du projet de loi 31.

Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel

Radio-Canada
15 h 28 | Mis à jour à 16 h 36

La commissaire à l'éthique ouvre une enquête sur la ministre québécoise responsable de l'Habitation, France-Élaine Duranceau, concernant « une rencontre professionnelle avec son amie et partenaire d’affaires [...] Annie Lemieux » qui pourrait avoir contrevenu aux règles en matière de conflits d'intérêts.

La commissaire tentera de déterminer si la ministre Duranceau a commis des manquements au Code d’éthique et de déontologie des membres de l’Assemblée nationale, plus particulièrement aux articles 15 et 16 en matière de conflits d'intérêts.

L’ouverture de cette enquête fait suite à une demande formulée par le député libéral de Nelligan, Monsef Derraji.

"Les faits allégués concernent la participation de la Ministre, le 5 décembre 2022, à une rencontre professionnelle avec son amie et partenaire d’affaires, madame Annie Lemieux, qui agissait dans ce cadre comme lobbyiste auprès d’elle et de la ministre responsable des Aînés", peut-on lire dans le communiqué envoyé mardi après-midi par le bureau de la commissaire à l'éthique.

"S’appuyant sur un article de presse, le député de Nelligan souligne le court laps de temps qui se serait écoulé entre l’assermentation des deux ministres, quelques semaines auparavant, soit le 20 octobre 2022, et la rencontre en question."

À noter aussi qu'Annie Lemieux s'est inscrite comme lobbyiste à la fin du mois de novembre 2022, soit un mois après l'entrée en fonction de France-Élaine Duranceau à titre de ministre responsable de l'Habitation.

« À son sens,  une personne raisonnable pourrait effectivement se questionner quant à savoir si les liens d’affaires qui unissent [la ministre] avec madame Annie Lemieux depuis plusieurs années ont permis de faciliter la demande de rencontre. »
— Une citation de Extrait du communiqué de la commissaire à l'éthique du Québec

Le mandat d'Annie Lemieux, rapporté publiquement par le site d’information Pivot jeudi dernier, mais disponible sur le site de Lobbyisme Québec, est d'échanger "sur les orientations gouvernementales en matière d'habitation et d'hébergement des aînés au Québec et le rôle des entreprises privées en la matière".

Comme l'a rapporté Pivot, Annie Lemieux, "présidente du Groupe LS4, et France-Elaine Duranceau ont exploité ensemble au moins deux entreprises actives dans l’immobilier. L’une d’elles, 9381-9795 Québec inc., nomme Duranceau comme actionnaire et Annie Lemieux comme administratrice."
Extrait du Code d’éthique et de déontologie des membres de l’Assemblée nationale

Article 15 - Un député ne peut se placer dans une situation où son intérêt personnel peut influencer son indépendance de jugement dans l’exercice de sa charge.

Article 16 - Dans l’exercice de sa charge, un député ne peut :

agir, tenter d’agir ou omettre d’agir de façon à favoriser ses intérêts personnels, ceux d’un membre de sa famille immédiate ou ceux d’un de ses enfants non à charge ou, d’une manière abusive, ceux de toute autre personne;
se prévaloir de sa charge pour influencer ou tenter d’influencer la décision d’une autre personne de façon à favoriser ses intérêts personnels, ceux d’un membre de sa famille immédiate ou ceux d’un de ses enfants non à charge ou, d’une manière abusive, ceux de toute autre personne.

La ministre a été informée par écrit de l'enquête, selon le communiqué de la commissaire. Contactée par Radio-Canada mardi après-midi, elle a refusé de commenter cette annonce.

La commissaire a quant à elle précisé qu'elle ne formulera pas de commentaire durant le processus d'enquête. Une fois celui-ci terminé, un rapport énonçant les motifs à l’appui de ses conclusions et de ses recommandations sera transmis à la présidente de l’Assemblée nationale qui le rendra public.

Avec des informations de Véronique Prince

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Ygreck '''Tas juste à ne pas être pauvre''

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 23:15 (il y a 313 jours) @ Jéromec

Comment peut-on prévoir d’accueillir de 40 000 à 70 000 immi

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 23:34 (il y a 313 jours) @ Jéromec

Comment peut-on prévoir d’accueillir de 40 000 à 70 000 immigrants s’il y a déjà pénurie de logements?

aucune logique, mais ça fait monter les prix de ceux qui ont déjà de l'immobilier

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https://www.ledevoir.com/economie/765083/comment-peut-on-prevoir-d-accueillir-de-40-000...

Comment peut-on prévoir d’accueillir, tous partis politiques confondus, de 40 000 à 70 000 immigrants s’il y a déjà pénurie de logements et que cela contribue à aggraver la situation ? On ne verra jamais le bout ! Peut-être contribuons-nous à appauvrir la population et à être dans une spirale inflationniste ?

Cette question qu’Alain Carpentier posait durant la dernière campagne électorale porte sur le possible lien entre l’immigration et la pénurie de logements au Québec.

Selon l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec, il manque actuellement 100 000 logements pour répondre à la demande. Dans son plus récent portrait de la situation, la Société canadienne d’hypothèques et de logement estimait de son côté, en juin, qu’il faudrait 1,1 million de logements supplémentaires en 2030 pour que le marché immobilier québécois soit abordable, soit plus du double que permettrait la tendance actuelle. La SCHL fixe, au Québec, ce seuil d’abordabilité à des frais de logement moyens équivalant à 32 % du revenu disponible des ménages, contre une proportion d’un peu plus de 39 % à la fin 2021 et comparativement à 56 % en Ontario et à 58 % en Colombie-Britannique.

Dans une société rapidement vieillissante comme le Québec, l’immigration s’affirmera de plus en plus, au fil de la décennie, comme la principale source de la croissance démographique et, par le fait même, de la croissance de la demande de logements, a expliqué en entretien téléphonique au Devoir Francis Cortellino, économiste à la SCHL. Leur nombre a presque doublé de 2016 jusqu’à la pandémie de COVID-19, à la faveur notamment de l’accueil de plus d’immigrants temporaires. Cette hausse du nombre d’immigrants a coïncidé avec une chute prononcée du taux d’inoccupation en dépit d’une hausse sensible du nombre de mises en chantier, notamment de logements locatifs.

Concentrée dans la région montréalaise, la population née à l’étranger comptait, en 2016, pour le quart des ménages montréalais et le quart des ventes de logements. Les immigrants arrivés au Québec depuis moins de cinq ans étaient alors à 84 % locataires, contre presque 90 % pour les immigrants temporaires. Mais 20 ans après leur arrivée, cette proportion tombe à 30 %, soit l’équivalent de la moyenne québécoise pour les mêmes groupes d’âge.

Bien que de plus en plus importante, l’immigration n’est pas le seul facteur en jeu quant à la difficulté du marché à répondre à la demande, note Francis Cortellino. On se souviendra, par exemple, que la pandémie et les mesures de confinement ont déclenché une ruée vers les maisons plus grandes et éloignées des centres urbains à laquelle le marché ne pouvait pas répondre. On constate aussi que de plus en plus de ménages se plaisent à avoir des résidences secondaires et que le vieillissement de la population amène un changement du type de logements recherchés.

En outre, les immigrants n’ont pas d’influence seulement sur la demande de logements, fait valoir Francis Cortellino. Ils ont aussi le pouvoir de venir à la rescousse du secteur de la construction en lui apportant une main-d’oeuvre supplémentaire qui lui fait cruellement défaut.

France-Élaine Duranceau habite dans sa bulle

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 23:42 (il y a 313 jours) @ Jéromec

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https://www.journaldequebec.com/2023/06/16/france-elaine-duranceau-habite-dans-sa-bulle

Vendredi, 16 juin 2023 00:00

MISE À JOUR Vendredi, 16 juin 2023 06:50

France-Élaine Duranceau, ministre responsable de l’Habitation, estime qu’elle ne faisait qu’une description juridique et économique lorsqu’elle a affirmé que les locataires voulant continuer de céder leur bail «devaient investir en immobilier et prendre les risques qui vont avec».

On pourrait y ajouter un concept politique et sociologique à l’analyse de la ministre.

Ce concept, ça s’appelle du mépris de classe. Si vous êtes locataires, ça ne tient qu’à vous, dit-elle. Si tu veux, tu peux. Prolétaires de tout le Québec, prenez le risque, investissez en immobilier!

On peut «euphémise» en parlant de «déconnexion» entre le gouvernement et la réalité des locataires.

Amende honorable, elle s’est «excusée si ça a paru insensible».

Mais s’excuser avec un «si», ça vaut quoi? Plus l’impression que la ministre s’excusait de la réaction politique causée. Pardonnez-moi si ça vous fâche, ça sonne un peu moins vrai.

L’équilibriste en déséquilibre

À la racine, c’est le dépôt du premier projet de loi de la ministre, qui a provoqué ce cafouillage.

Pourtant, le problème, ce n’est pas le projet de loi précisément.

C’est la posture de la ministre qui pose problème : celle de l’équilibriste entre les locataires et les propriétaires.

Elle en donne, donc, aux locataires pour les évictions et un peu aux propriétaires pour limiter le «magasinage» de baux.

Or, la ministre-équilibriste fait face à un marché qui, lui, est en déséquilibre.

Un exemple parmi d’autres? À Gatineau, selon la mairesse, c’est maintenant plus de 1700 $ par mois pour un logement «une chambre» et 2000 $ pour un «deux chambres». La suite, on la connaît: coupure dans d’autres dépenses, appauvrissement des gens déjà à faible revenu, banques alimentaires, itinérance...

En ne visant que des détails, elle ne fait que reconduire ce déséquilibre.

Angle mort caquiste

Tout imputer à la ministre serait injuste, évidemment.

Elle est en poste depuis 8 mois, le gouvernement caquiste est là depuis 57 mois.

Et on est encore à l’étape du «plan d’action» à venir sous peu.

La ministre, tout comme son gouvernement, est dans sa bulle en habitation.

la ministre de l'Habitation est complètement déconnectée!

par Jéromec, mardi 20 juin 2023, 23:45 (il y a 313 jours) @ Jéromec

heueusement que l'Assemblée Nationale est déjà en vacances..

Ha oui, quel problèmes ont-il règlé cette année.. Rien, zéro..

Un lance une flèche l'Autre défend en disant que tout est parfait...

Bonne nouvelle Débarass de MAnon Massue qui comme porte parole de Pogo Solitaire a eut Zéro gain.

:coupiedaucul:

https://www.journaldequebec.com/2023/06/13/pauvres-locataires-la-ministre-de-lhabitatio...


Pauvres locataires... la ministre de l'Habitation est complètement déconnectée!
Marie-Eve
Doyon
Marie-Eve Doyon


Mardi, 13 juin 2023 00:00

MISE À JOUR Mardi, 13 juin 2023 06:25

En déposant son projet de loi 31 sur l’habitation, le gouvernement démontre qu’il est complètement déconnecté de la situation des locataires ces jours-ci.

La ministre responsable de l’Habitation, France-Élaine Duranceau, est, à l’évidence, aveugle aux préjudices qu’entraînerait l’adoption telle quelle de son projet de loi.

Les propriétaires avant tout

La colère ne serait pas si vive si le marché des logements locatifs n’était pas si déréglé depuis quelques années.

Rénovictions, hausses de loyer abusives, spéculation, discrimination à peine voilée, toutes les circonstances convergent pour que les locataires soient de moins en moins protégés face aux propriétaires.

L’entrée sur le marché d’une nouvelle génération «d’investisseurs immobiliers» qui veulent à tout prix maximiser la valeur de leurs bâtisses pour les refinancer n’est pas étrangère à la dégradation des conditions de location.

Les hausses de taux d’intérêt qui vont affecter les «gamblers» du béton vont inévitablement retomber sur les épaules des locataires déjà étouffés par l’inflation.

Personne n’est contre le capitalisme, sauf que celui-ci est de plus en plus sauvage. La ministre valorise cette situation quand elle affirme que «ce n’est pas aux locataires de décider des prix des loyers».

Far West immobilier

Les propriétaires ont leur mot à dire, mais sans balises, ceux-ci abusent de nombreux stratagèmes pour évincer des locataires ou augmenter les loyers à des prix qui défient l’entendement.

Loin d’améliorer les conditions de vie des ménages locataires, le projet de loi de la ministre vient carrément légitimer ce qu’il est maintenant convenu d’appeler le Far West immobilier.

Combien de propriétaires font «signer» des baux gonflés à des locataires fictifs pour ensuite les «céder» à de nouveaux locataires qui n’ont aucun moyen de connaître le réel dernier loyer payé?

Qu’attend la ministre pour mettre en place un registre des baux obligatoire et public?

Qu’attend la ministre pour baliser réellement la hausse des loyers, une fois pour toutes?

«: « personne ne va se retrouver à la rue » Légros

par Jéromec, mercredi 21 juin 2023, 07:17 (il y a 313 jours) @ Jéromec

ouff je suis rassuré, personne ne va se retrouver à la rue, d'ailleurs, il n'y a personne à la rue, tout le monde à les moyens de demeurer à l'hôtel le temps de se trouver un loyer... bien sûr...

Crise du logement : « personne ne va se retrouver à la rue » selon François Legault

François Legault a voulu rassurer les Québécois à l'approche du 1er juillet, jour de déménagement. Il dit que sa ministre de l'Habitation, France-Elaine Duranceau, fait le travail qui est nécessaire et que si le prix des loyers monte, ça n'est pas nécessairement négatif.

https://www.youtube.com/watch?v=IEnla4sWfdg

''Merci Legault et France-Elaine Duranceau. En espérant que vous pourrez faire plus d'argent sur le dos de la classe moyenne!''

Une ministre de l'habitation qui fait de la spéculation immobilière
Un premier ministre dans le déni total et même qui veut profiter de la pénurie pour enrichir ses ami$...

Et un ministre de l'économie qui prend ''des risques'' pour spéculer dans le minier et dont les profit$ vont aller au privé et les dépenses au publique..

''ça va bien aller''

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«: « personne ne va se retrouver à la rue » Légros

par Blake, mercredi 21 juin 2023, 11:32 (il y a 313 jours) @ Jéromec

ouff je suis rassuré, personne ne va se retrouver à la rue, d'ailleurs, il n'y a personne à la rue, tout le monde à les moyens de demeurer à l'hôtel le temps de se trouver un loyer... bien sûr...

Crise du logement : « personne ne va se retrouver à la rue » selon François Legault

François Legault a voulu rassurer les Québécois à l'approche du 1er juillet, jour de déménagement. Il dit que sa ministre de l'Habitation, France-Elaine Duranceau, fait le travail qui est nécessaire et que si le prix des loyers monte, ça n'est pas nécessairement négatif.

https://www.youtube.com/watch?v=IEnla4sWfdg

''Merci Legault et France-Elaine Duranceau. En espérant que vous pourrez faire plus d'argent sur le dos de la classe moyenne!''

Une ministre de l'habitation qui fait de la spéculation immobilière
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par Dédé ⌂ @, mercredi 21 juin 2023, 16:42 (il y a 313 jours) @ Blake

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Crise du logement : « personne ne va se retrouver à la rue » selon François Legault

François Legault a voulu rassurer les Québécois à l'approche du 1er juillet, jour de déménagement. Il dit que sa ministre de l'Habitation, France-Elaine Duranceau, fait le travail qui est nécessaire et que si le prix des loyers monte, ça n'est pas nécessairement négatif.

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par Blake, mercredi 21 juin 2023, 18:54 (il y a 313 jours) @ Dédé

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François Legault a voulu rassurer les Québécois à l'approche du 1er juillet, jour de déménagement. Il dit que sa ministre de l'Habitation, France-Elaine Duranceau, fait le travail qui est nécessaire et que si le prix des loyers monte, ça n'est pas nécessairement négatif.

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par Dédé ⌂ @, mercredi 21 juin 2023, 19:07 (il y a 312 jours) @ Blake

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Crise du logement : « personne ne va se retrouver à la rue » selon François Legault

François Legault a voulu rassurer les Québécois à l'approche du 1er juillet, jour de déménagement. Il dit que sa ministre de l'Habitation, France-Elaine Duranceau, fait le travail qui est nécessaire et que si le prix des loyers monte, ça n'est pas nécessairement négatif.

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Il devrait se taire ou au pire, de dire qu'il n'y a pas de solution miracle pour intervenir à cette crise du logement. Non seulement qu'il dit des inepties mentales, ce gouvernement s'apprête à entériner une loi pour favoriser les propriétaires d'immeuble à logement. Je veux bien croire que les logements sociaux semblent se saturer à Montréal et à Québec, mais ce n'est pas juste aux grandes villes que la crise de logement touche, pratiquement à toutes les grandes banlieues.

Ici à Granby, une ville de moins de 100,000 habitants, connaît elle aussi une crise de logement à un point tel, qu'il y a des tentes parmi certains parcs, un parc devant notre villa qui a été démantelé au début de mai.

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par Blake, mercredi 21 juin 2023, 19:47 (il y a 312 jours) @ Dédé

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Ici à Granby, une ville de moins de 100,000 habitants, connaît elle aussi une crise de logement à un point tel, qu'il y a des tentes parmi certains parcs, un parc devant notre villa qui a été démantelé au début de mai.

Oui, il serait mieux de se la fermer.

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par Dédé ⌂ @, mercredi 21 juin 2023, 20:36 (il y a 312 jours) @ Blake

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Ici à Granby, une ville de moins de 100,000 habitants, connaît elle aussi une crise de logement à un point tel, qu'il y a des tentes parmi certains parcs, un parc devant notre villa qui a été démantelé au début de mai.


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par Blake, mercredi 21 juin 2023, 20:43 (il y a 312 jours) @ Dédé

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François Legault a voulu rassurer les Québécois à l'approche du 1er juillet, jour de déménagement. Il dit que sa ministre de l'Habitation, France-Elaine Duranceau, fait le travail qui est nécessaire et que si le prix des loyers monte, ça n'est pas nécessairement négatif.

https://www.youtube.com/watch?v=IEnla4sWfdg

''Merci Legault et France-Elaine Duranceau. En espérant que vous pourrez faire plus d'argent sur le dos de la classe moyenne!''

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Ici à Granby, une ville de moins de 100,000 habitants, connaît elle aussi une crise de logement à un point tel, qu'il y a des tentes parmi certains parcs, un parc devant notre villa qui a été démantelé au début de mai.


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:mdr:

La ministre Duranceau a rencontré un autre ex-partenaire d’a

par Jéromec, mercredi 21 juin 2023, 23:53 (il y a 312 jours) @ Blake

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https://pivot.quebec/2023/06/21/la-ministre-duranceau-a-rencontre-un-autre-ex-partenair...

La ministre Duranceau a rencontré un autre ex-partenaire d’affaires dans un événement de lobbying

La ministre de l’Habitation est allée à une soirée de lobbying organisée par une association professionnelle dont le président a été son partenaire d’affaires.
logement

Lors d’une activité organisée en mars dernier par l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation, la ministre France-Élaine Duranceau a rencontré le président de cette association, Philippe Marsan, avec qui elle a autrefois fondé une entreprise. Bien qu’il ait jusqu’à tout récemment été enregistré comme lobbyiste, Philippe Marsan n’avait plus de mandat actif au moment de l’événement tenu par son organisation.

Cet article est co-publié avec Ricochet et on peut en lire une version en anglais ici.

Le 14 mars dernier, la ministre responsable de l’Habitation France-Élaine Duranceau a participé à un événement de lobbying organisé par l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ). L’Association, qui vise à représenter les intérêts des promoteurs immobiliers au niveau politique, tient un cocktail annuel pour « sensibilis[er] [l]es élu.e.s de l’Assemblée nationale aux enjeux de l’industrie ». De nombreux·ses ministres et des élu·es de différents partis y assistent.

Dans différentes photographies prises lors de l’événement et publiées dans Québec habitation, le magazine de l’APCHQ, la ministre Duranceau peut être vue en compagnie de Philippe Marsan, président du conseil d’administration de l’APCHQ et ex-partenaire d’affaires de Duranceau.
La ministre France-Élaine Duranceau et Philippe Marsan posent lors du cocktail de l’APCHQ. | Photo: APCHQ

Jusqu’au 31 décembre 2022, Philippe Marsan était enregistré comme lobbyiste de l’APCHQ, alors que l’organisation détenait une quarantaine de mandats actifs, notamment auprès du ministère de l’Habitation. Au moment de l’événement, toutefois, M. Marsan n’avait plus de mandat actif de lobbyisme.

On ne connaît pas la nature précise des échanges de Mme Duranceau et M. Marsan lors de la soirée du 14 mars.

« Mme Duranceau a eu l’occasion d’avoir une discussion informelle avec M. Marsan lors du congrès de l’APCHQ où elle était invitée à titre de ministre responsable de l’Habitation », nous a confirmé par courriel Philippe Couture, attaché de presse de la ministre responsable de l’Habitation.
Proximité avec des lobbyistes

La semaine dernière, une enquête de Ricochet et Pivot avait révélé qu’Annie Lemieux, une autre ex-partenaire d’affaires de la ministre Duranceau, avait un mandat actif de lobbyisme auprès du ministère de l’Habitation et avait aussi rencontré la ministre peu après son entrée en fonction. Mardi, la Commissaire à l’éthique de l’Assemblée nationale a annoncé qu’elle ouvrait une enquête sur la ministre Duranceau « concernant de possibles manquements au Code d’éthique et de déontologie des membres de l’Assemblée nationale ».

En juillet 2016, France-Élaine Duranceau et Annie Lemieux ont fondé l’entreprise NOMI Immobilier Inc. avec deux autres personnes : Donald Cloutier ainsi que Philippe Marsan, aujourd’hui président de l’APCHQ. L’entreprise est toujours active – contrairement à ce qu’avait d’abord affirmé l’attaché de presse de la ministre – mais Philippe Marsan en a quitté la direction en 2019.

« Avant d’entrer en politique, Mme Duranceau travaillait dans le domaine immobilier, il est donc normal qu’elle connaisse encore plusieurs personnes qui œuvrent dans ce milieu. »
Philippe Couture, attaché de presse de la ministre

Mme Duranceau et M. Marsan possèdent tou·tes deux une propriété sur la même rue dans le village d’Estérel, dans les Laurentides. Selon Google Maps, leurs deux résidences sont à environ 300 mètres l’une de l’autre, à quatre minutes de marche.

« Effectivement, Mme Duranceau et M. Marsan ont eu un lien d’affaires par le passé qui s’est terminé avant son arrivée en politique », reconnaît l’attaché de presse de la ministre. « Comme vous le savez, avant d’entrer en politique, Mme Duranceau travaillait dans le domaine immobilier, il est donc normal qu’elle connaisse encore plusieurs personnes qui œuvrent dans ce milieu. »

En plus de présider le conseil d’administration de l’APCHQ, Philippe Marsan est présentement co-président de TRËMA groupe immobilier inc. avec Jean-Sébastien Tremblay. M. Tremblay est aussi président régional de l’APCHQ dans le Montréal métropolitain.

Tous deux étaient présents au cocktail du 14 mars.
La ministre Duranceau (au centre) pose avec des membres de l’APCHQ, incluant Philippe Marsan (derrière à gauche de la ministre) et Jean-Sébastien Tremblay (deuxième derrière à droite de la ministre). | Photo: APCHQ

Jean-Sébastien Tremblay avait pour l’occasion un mandat de lobbyisme avec l’APCHQ ainsi qu’un autre avec TRËMA, tous deux visant notamment le ministère de l’Habitation. Le mandat avec TRËMA est aujourd’hui inactif, tandis que celui avec l’APCHQ est valide jusqu’à la fin de l’année.

« Dans le cadre de mes fonctions à l’APCHQ, j’ai participé à des événements où était présente Mme Duranceau pour prononcer des discours », indique par courriel Jean-Sébastien Tremblay. Il affirme toutefois n’avoir pas échangé avec la ministre Duranceau lors du cocktail du 14 mars.

Plus largement, il indique n’avoir pas rencontré la ministre dans le cadre de ses actuels mandats de lobbyiste. « Je ne l’ai pas rencontrée pour faire des représentations pour l’APCHQ ni pour mon entreprise et je n’ai pas de rencontre prévue avec elle », écrit-il.

« J’ai discuté une seule fois avec Mme Duranceau », précise-t-il, « et c’était à la suite d’une allocution devant des membres de l’APCHQ en novembre dernier. Je l’ai évidemment félicitée pour sa nomination récente à l’époque. »

Philippe Marsan n’a pas répondu à nos questions.
Quelques mandats passés

Jusqu’au 31 décembre 2022, donc quelques mois avant le cocktail de mars dernier, Philippe Marsan et Jean-Sébastien Tremblay étaient tous deux listés comme lobbyistes de l’APCHQ pour une série de mandats de l’organisme.

L’un de ces mandats visait à défendre la contestée « clause F » des baux de location, qui accorde aux propriétaires de logements neufs la possibilité d’augmenter les loyers à leur guise durant les cinq premières années de location. Cette clause a effectivement été maintenue, avec certains ajustements, dans le projet de loi 31 présenté début juin par la ministre Duranceau.

Un autre mandat, qui débutait en avril 2019, ciblait la stratégie montréalaise pour l’inclusion obligatoire de logement social, abordable et familial dans les nouvelles constructions. L’APCHQ s’inquiétait que le Règlement pour une métropole mixte, qui a finalement été adopté au printemps 2021, rende trop chers les nouveaux logements. L’Association cherchait notamment à faire « augment[er] le montant financier accordé pour la construction de logements sociaux et abordables ».
Enquête sur une histoire semblable

La Commissaire à l’éthique de l’Assemblée nationale, Ariane Mignolet, a lancé mardi une enquête sur la ministre France-Élaine Duranceau concernant sa rencontre avec Annie Lemieux, son autre ex-partenaire d’affaires, actuellement lobbyiste auprès du ministère de l’Habitation.

L’enquête répond à une demande du député libéral Monsef Derraji, porte-parole de l’opposition en matière d’éthique.

« Ce n’est pas la première fois qu’on a un problème d’éthique avec un ministre du gouvernement de la CAQ », s’est désolé le député en entrevue avec Ricochet. « Au début, c’était Pierre Fitzgibbon, après c’était Simon Jolin-Barrette, et maintenant c’est la ministre Duranceau. »

« De toute évidence, c’est la pagaille », a poursuivi M. Derraji.

« Ce qu’on veut, c’est que tous les députés, et surtout les ministres de la CAQ, respectent le code d’éthique. Ce n’est pas une blague. »

M. Derraji dit espérer que la Commissaire à l’éthique fasse la lumière et indique à la ministre comment se comporter dans l’avenir.

Mercredi, le premier ministre François Legault s’est porté à la défense de sa ministre, affirmant qu’elle n’avait rien fait de mal et s’engageant à collaborer pleinement dans le cadre de l’enquête en cours.

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