Tant mieux... il y a trop de voitures sur les routes, trop de voitures solo, trop de VUS, pick up.. pas assez de covoiturage trop de traffic et d'embouteillage...

Et les voitures... 7l au 100K ça coûte pas si cher voyager...

Kool & The Gang - Celebration

https://www.youtube.com/watch?v=3GwjfUFyY6M

vive les trottinettes électriques...

l'essence tue...camion citerne contre vélo....

c'est pas le prix de l'essence qui l'a assommé c'est le camion qui le transporte...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1993670/montreal-cycliste-mort-camion-maisonneuve

Un cycliste happé mortellement à Montréal

Radio-Canada
Publié à 13 h 24
Un cycliste est mort après avoir été happé par un camion-citerne au coin de l’avenue Papineau et du boulevard De Maisonneuve, vers 11 h 20 mardi à Montréal.

Le décès de l’homme dans la quarantaine a été constaté à l’arrivée des policiers sur les lieux.

La cause de l'accident est pour l'instant inconnue, a indiqué un porte-parole du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

Le camion-citerne a poursuivi sa route vers la Rive-Sud en empruntant le pont Jacques-Cartier. Les policiers sont toujours à la recherche du véhicule.

Des policiers se tiennent à côté du vélo fauché et du corps recouvert.
Une enquête du SPVM est en cours.

Un large périmètre de sécurité a été établi autour du lieu de l’accident, ce qui cause une importante congestion aux abords du pont Jacques-Cartier.

L’intersection du boulevard René-Lévesque et de l’avenue Papineau étant inaccessible, les autorités invitent les automobilistes à emprunter la rue Sherbrooke pour accéder au pont Jacques-Cartier.

Une enquête du SPVM a été ouverte pour déterminer les circonstances entourant la collision mortelle.

heureusement I don't Caire s'en occupe...
https://twitter.com/SailorDenys/status/1676230421200224257
https://www.journaldequebec.com/2023/07/04/nouvelle-panne-a-la-saaq

Nouvelle panne à la SAAQ

JULIEN MCEVOY
Mardi, 4 juillet 2023 11:40

MISE À JOUR Mardi, 4 juillet 2023 11:40

Les jours se suivent et se ressemblent à la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), aux prises avec une nouvelle panne de ses services, mardi matin.

«Nous connaissons une panne informatique. La résolution est en cours», a confirmé l’organisme sur Twitter.

Aucun représentant n’était disponible pour parler aux médias.

Nouvelle panne à la SAAQ
Chaque clic sur SAAQclic, mardi matin, menait à ce message. CAPTURE D'ÉCRAN DU SITE DE LA SAAQ
Les problèmes s’accumulent à la SAAQ depuis le lancement de son nouveau site internet SAAQclic à la fin février.

La pénible transformation numérique a d’ailleurs coûté son poste au PDG Denis Marsolais, remplacé en avril par Éric Ducharme à la suite d’une décision du Conseil des ministres de François Legault.

M. Ducharme est un homme de confiance du gouvernement de la CAQ. Il était secrétaire du Conseil du trésor et il a aussi été PDG de l’Agence du revenu du Québec.

Mais son arrivée n’a pas tout réglé à la SAAQ, toujours en difficulté avec la qualité de son site internet.

«J’ai présentement deux véhicules de mon entreprise qui circulent illégalement, car les plaques d’immatriculation temporaires sont échues depuis vendredi dernier», a indiqué un entrepreneur au Journal, mardi matin.

L’homme avait rendez-vous en succursale mardi matin, mais la SAAQ l’a annulé en raison de la panne.

Peu avant midi, mardi, la SAAQ a indiqué que la panne dans ses points de service était résolue. «Notre personnel s’assurera que les clients qui étaient présents sur rendez-vous et au sans rendez-vous puissent recevoir leur service, aujourd’hui ou dans les prochains jours», indique-t-on.

Les heures d’ouverture seront prolongées dans tout le réseau «selon la demande».

L’Arabie saoudite a annoncé lundi qu’elle prolongeait la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour (bpj) pour doper des prix en berne ; la Russie annonçait dans la foulée réduire ses exportations de 500 000 bpj en août.

Ces mesures sont les dernières en date qui ont été prises par de grands producteurs pour stabiliser des prix soumis à la forte volatilité des marchés, aux retombées persistantes de l’invasion russe de l’Ukraine et à la reprise économique chancelante de la Chine.

L’Arabie saoudite, poids lourd de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), avait décidé, début juin, de procéder à une nouvelle coupe de production dans l’espoir de faire remonter les cours.

Cette réduction, entrée en vigueur ce week-end, se poursuivra en août et « peut être prolongée » au-delà de cette période, a indiqué l’agence de presse officielle du royaume, en citant une source du ministère de l’Énergie.

500 000
C’est la nouvelle limite d’exportation quotidienne de barils de pétrole que s’est fixée la Russie.
« La source a confirmé que cette réduction volontaire additionnelle vient renforcer les mesures de précaution prises par les pays de l’OPEP+ dans le but de soutenir la stabilité et l’équilibre des marchés pétroliers », a ajouté l’agence.

Cette décision maintient à environ neuf millions de bpj la production du riche royaume pétrolier.

En annonçant cette coupe le mois dernier à la suite de la réunion des producteurs de pétrole, le ministre saoudien de l’Énergie a précisé qu’elle était potentiellement « extensible ».

En avril, plusieurs membres de l’OPEP+ avaient décidé de réduire volontairement leur production de plus d’un million de bpj, une décision surprise qui a brièvement soutenu les prix, mais qui n’a pas entraîné une hausse durable.

« Équilibre »
Peu après l’annonce de l’Arabie saoudite lundi, la Russie a déclaré réduire les exportations de brut de 500 000 bpj en août.

« Dans le cadre des efforts visant à équilibrer le marché, la Russie va volontairement diminuer les livraisons aux marchés pétroliers de 500 000 barils par jour en août en réduisant les exportations à hauteur de cette quantité », a déclaré le vice-premier ministre, Alexandre Novak, cité par les agences de presse russes.

La Russie avait déjà annoncé, en février 2023, une baisse de sa production de brut de 500 000 bpj, une mesure qu’elle a dit vouloir maintenir jusqu’à la fin de 2024. La décision annoncée lundi concerne les exportations, et non la production.

Dans le cadre des efforts visant à équilibrer le marché, la Russie va volontairement diminuer les livraisons aux marchés pétroliers.

— Alexandre Novak

Depuis le début du conflit en Ukraine, Moscou a réorienté ses exportations d’énergie de l’Europe vers l’Inde et la Chine.

L’Algérie, autre membre de l’OPEP, a également annoncé une coupe de 20 000 bpj en août, qui vient s’ajouter à une réduction volontaire de 48 000 bpj décidée en avril.

Cette décision a été prise « en soutien » aux mesures saoudienne et russe visant à promouvoir « la stabilité et l’équilibre des marchés pétroliers », a affirmé le ministère algérien de l’Énergie, ajoutant que la production du pays s’élèvera ainsi à 940 000 bpj en août.

La réaction du marché aux annonces de Riyad et de Moscou, alliés au sein de l’OPEP+, qui réunit les membres de l’OPEP et d’autres pays exportateurs de pétrole, a été relativement discrète.

Le Brent, référence du brut en Europe, a augmenté de 0,98 %, pour atteindre 76,15 $ le baril, et son équivalent américain, le WTI, a connu une hausse de 1,02 %, pour atteindre 71,36 $ le baril, loin des sommets enregistrés en mars 2022, au début du conflit en Ukraine (près de 140 $).

« Étant donné qu’il ne s’agit pas d’une décision coordonnée de tous les membres de l’OPEP+, il est difficile d’imaginer qu’il s’agit d’un véritable mouvement de hausse », a estimé Chris Beauchamp, analyste chez IG.

Pour Jamie Ingram, analyste chez MEES, « la Russie ne devrait pas convaincre sur le plein respect de ses engagements, mais le plus important est qu’il s’agit d’un engagement public à soutenir la stratégie saoudienne de gestion des marchés ».

Depuis le début d’année, le Brent a baissé de 11 % et le WTI, de 7 %.

L’Arabie saoudite, premier exportateur de pétrole au monde, compte sur des prix plus élevés pour financer un programme de réformes ambitieux qui permettrait à son économie de se passer des énergies fossiles.

Les analystes estiment que le royaume a besoin d’un prix du pétrole à 80 $ le baril pour équilibrer son budget, bien au-dessus des moyennes enregistrées ces dernières années

https://www.ledevoir.com/economie/793959/arabie-saoudite-russie-reduction-production-ex...

Enlevons les taxes sur le gaz mais donnons des subventions aux pétrolières. Yeah! Vive le Duhaimagogue et Poildecul! De grands hommes.

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Au prix que ça coûte pour l'inter-cité durant les vacances, tout aussi bien demeurer à la maison et acheter du gaz par stricte nécessité en boycottant tous les week-ends de juillet et août. L'économie veut du gaz, ben qu'elle trouve une façon pour faire chier ces crisses de voleurs !

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