Pétition du Parti Québécois.... (Forum)

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 20:14 (il y a 273 jours)

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.

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Pétition du Parti Québécois....

par Blake, jeudi 17 août 2023, 21:00 (il y a 273 jours) @ Jéromec

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.

Surtout dans les classes. Crissez-moi ça out tabarnack!

:out:

tout un défi...

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 21:20 (il y a 273 jours) @ Blake

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.


Surtout dans les classes. Crissez-moi ça out tabarnack!

:out:

C'est tout un défi... beaucoup d'entreprises ont tenté d'interdire en vain les cellulaires sur les lieux de travail... mais en vaint.. en classe, tout un défit!

Cellulaire en classe : la majorité des professeurs veut les interdire

92 % des membres des syndicats d'enseignants souhaiteraient qu'on interdise le cellulaire en classe. Le ministre Drainville se montre ouvert à aller de l'avant

https://www.youtube.com/watch?v=E99PObPHfOY

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tout un défi...

par Blake, jeudi 17 août 2023, 21:43 (il y a 273 jours) @ Jéromec

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.


Surtout dans les classes. Crissez-moi ça out tabarnack!

:out:


C'est tout un défi... beaucoup d'entreprises ont tenté d'interdire en vain les cellulaires sur les lieux de travail... mais en vaint.. en classe, tout un défit!

Cellulaire en classe : la majorité des professeurs veut les interdire

92 % des membres des syndicats d'enseignants souhaiteraient qu'on interdise le cellulaire en classe. Le ministre Drainville se montre ouvert à aller de l'avant

https://www.youtube.com/watch?v=E99PObPHfOY

Les profs ont pas à gérer cette merde en plus des étudiants.

Éducation : rentrée scolaire et pénurie d’enseignants

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 21:45 (il y a 273 jours) @ Blake

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.


Surtout dans les classes. Crissez-moi ça out tabarnack!

:out:


C'est tout un défi... beaucoup d'entreprises ont tenté d'interdire en vain les cellulaires sur les lieux de travail... mais en vaint.. en classe, tout un défit!

Cellulaire en classe : la majorité des professeurs veut les interdire

92 % des membres des syndicats d'enseignants souhaiteraient qu'on interdise le cellulaire en classe. Le ministre Drainville se montre ouvert à aller de l'avant

https://www.youtube.com/watch?v=E99PObPHfOY


Les profs ont pas à gérer cette merde en plus des étudiants.

mon frère à décrocher comme technicien en laboratoire dans une école secondaire, notamment pour ça... C'est comme tenter d'enlever un rein à un élève de lui enlever son cellulaire...

Éducation : rentrée scolaire et pénurie d’enseignants
Les élèves du primaire et du secondaire à Montréal sont de retour en classe, sans masque et sans mesures de distanciation physique. La pénurie de professionnels reste toutefois un enjeu majeur.
https://www.youtube.com/watch?v=zgO_ox7C2gw

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Éducation : rentrée scolaire et pénurie d’enseignants

par Blake, jeudi 17 août 2023, 21:47 (il y a 273 jours) @ Jéromec

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.


Surtout dans les classes. Crissez-moi ça out tabarnack!

:out:


C'est tout un défi... beaucoup d'entreprises ont tenté d'interdire en vain les cellulaires sur les lieux de travail... mais en vaint.. en classe, tout un défit!

Cellulaire en classe : la majorité des professeurs veut les interdire

92 % des membres des syndicats d'enseignants souhaiteraient qu'on interdise le cellulaire en classe. Le ministre Drainville se montre ouvert à aller de l'avant

https://www.youtube.com/watch?v=E99PObPHfOY


Les profs ont pas à gérer cette merde en plus des étudiants.


mon frère à décrocher comme technicien en laboratoire dans une école secondaire, notamment pour ça... C'est comme tenter d'enlever un rein à un élève de lui enlever son cellulaire...

Éducation : rentrée scolaire et pénurie d’enseignants
Les élèves du primaire et du secondaire à Montréal sont de retour en classe, sans masque et sans mesures de distanciation physique. La pénurie de professionnels reste toutefois un enjeu majeur.
https://www.youtube.com/watch?v=zgO_ox7C2gw

Pas de crisse d'allure.

pénurie de profs...

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 21:51 (il y a 273 jours) @ Blake

Pas de crisse d'allure.

a mon avis la formation de prof est beaucoup, beaucoup trop longue pour rien...
2 ans de cégep +4 ans d'université ça fait beaucoup pour enseigner ne serait qu'au primaire... et entre la théorie et la réalité... y a toute une différence...

encore une fois je ne veux pas blâmer personne.. mais je pense qu'il n'y a pas assez de dicussion sérieuses à ce sujet....

personnellement même pour 100 000$ par année je ne voudrais pas faire ce boulot c'est devenu trop difficile...

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pénurie de profs...

par Blake, jeudi 17 août 2023, 22:06 (il y a 273 jours) @ Jéromec

Pas de crisse d'allure.


a mon avis la formation de prof est beaucoup, beaucoup trop longue pourrien...
2 ans de cégep +4 ans d'université ça fait beaucoup pour enseigner ne serait qu'au primaire... et entre la théorie et la réalité... y a toute une différence...

encore une fois je ne veux pas blâmer personne.. mais je pense qu'il n'y a pas assez de dicussion sérieuses à ce sujet....

personnellement même pour 100 000$ par année je ne voudrais pas faire ce boulot c'est devenu trop difficile...

Ça, c'est certain.

la pédagogie selon la KAq...

par Jéromec, vendredi 18 août 2023, 11:01 (il y a 272 jours) @ Blake

Pas de crisse d'allure.


a mon avis la formation de prof est beaucoup, beaucoup trop longue pourrien...
2 ans de cégep +4 ans d'université ça fait beaucoup pour enseigner ne serait qu'au primaire... et entre la théorie et la réalité... y a toute une différence...

encore une fois je ne veux pas blâmer personne.. mais je pense qu'il n'y a pas assez de dicussion sérieuses à ce sujet....

personnellement même pour 100 000$ par année je ne voudrais pas faire ce boulot c'est devenu trop difficile...


Ça, c'est certain.

Prof : Aujourd'hui nous allons apprendre ce qu'est un bien non essentiel et essentiel...

Donc, on met sous scellé les livres, interdictions de porter des vêtements pour aller dehors...mais vous avez le droit de prendre du pot de l'alcool et de fumer des cigarettes...

Pourquoi... parce que c'Est lui qui est élu, c'est lui qui dessine.... c'est le monde merveileux de la KAQ...

T'as pas internet à la maison pour suivre les cours à distance, c'est pas grave, un pot de pot t'attends... en version comestibles en plus....

Hey, tu lis un livre c'est interdit par la KAQ ça fait réfléchir... va donc fumer une cigarette pas de bottes dehors pour te punir...

Savez-vous ce que c'est le fond des générations? C'Est pas grave, la KAQ l'a vidé pour s'acheter les votes des boomers et vous aller payer et travailler toute votre vie...

la DictaKaq....

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Pétition du Parti Québécois....

par Dédé ⌂ @, jeudi 17 août 2023, 21:37 (il y a 273 jours) @ Blake

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.


Surtout dans les classes. Crissez-moi ça out tabarnack!

:out:

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Je seconde et en plus pour les récalcitrant.e.s, les asseoir sur mes chaises ! :mdr:

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Le décrochage des profs s’aggrave!

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 21:42 (il y a 273 jours) @ Dédé

Je ne veux pas jeter la pierre à qui que ce soit, mais il me semble que peu de réflexions ont été fait pour encourager la profession de professeur... ça fait juste se chicaner à l'Assemblée nationale sans avoir de discussion mature à ce sujet...

https://www.journaldemontreal.com/2023/02/07/le-decrochage-des-profs-saggrave
Le décrochage des profs s’aggrave!

Mardi, 7 février 2023 19:30

MISE À JOUR Mardi, 7 février 2023 19:30

Le reportage de Daphnée Dion-Viens met en lumière la désertion professionnelle croissante des enseignants, qu’ils soient jeunes ou plus âgés.

Lors de la dernière ronde de négociation, le gouvernement croyait régler les problèmes d’attraction et de rétention en augmentant leur rémunération plus généreusement que celle des autres employés de l’État. L’effet escompté ne s’est pas matérialisé.


Le laxisme des gouvernements précédents en matière d’organisation de la carrière et le manque de valorisation de la profession ont empiré la situation.

Insertion et gratification

On observe ces abandons dans la profession depuis longtemps. La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) sonnait déjà l’alarme il y a près de trente ans en revendiquant un meilleur processus d’insertion professionnelle et un plan de carrière plus diversifié.

Faute d’argent, les discussions sont demeurées vaines pendant que l’enseignement se complexifiait et que les facultés d’éducation avaient la plus basse cote R.

C’est ainsi que, pour plusieurs étudiants, l’inscription dans ces facultés s’avérait un choix par défaut plutôt que de carrière.

Les opportunités d’évoluer dans la carrière sont peu nombreuses. La promotion à la direction d’une école n’est pas vraiment dans le continuum d’une carrière enseignante.

Il y a peu d’espace pour le personnel expérimenté de mettre à profit sa pratique pour soutenir les nouveaux.

Un vrai remède

La pénurie de personnel enseignant se révèle un problème complexe qui ne se réglera pas simplement en créant des voies accélérées pour la qualification légale. Au contraire, cette stratégie l’amplifiera.

Le maintien d’un système d’éducation à trois vitesses entraîne la formation de classes avec de nombreux élèves aux besoins particuliers, rendant ainsi la tâche quasi impossible.

Des classes plus hétérogènes, la reconnaissance que le prof est le premier maître à bord dans sa classe et des enseignants expérimentés pour épauler ceux qui le sont moins seraient déjà une bonne base pour freiner la désertion!

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Pétition du Parti Québécois....

par Blake, jeudi 17 août 2023, 21:46 (il y a 273 jours) @ Dédé

a mon avis la dépendance aux cellulaires c'est LE problème de santé publique #1...


https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-10357/index.html

Interdiction de l'utilisation de dispositifs électroniques personnels dans les écoles
Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes :

Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire).
Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée.
Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature.
Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.

Veuillez noter qu’il est préférable d’utiliser un ordinateur afin de procéder à la signature électronique d’une pétition. De plus, il est conseillé d’employer un navigateur récent (Chrome, Safari, Firefox, Microsoft Edge). Le navigateur Internet Explorer n’est plus pris en charge par notre site Web.

Texte de la pétition
CONSIDÉRANT la préoccupation de nombreux parents, enseignants et membres de la communauté éducative quant à l'impact négatif que l’utilisation des dispositifs électroniques personnels, notamment les téléphones et montres intelligentes, les tablettes et les jeux portatifs, peut avoir sur l'apprentissage des élèves et leur bien-être physique et mental;

CONSIDÉRANT QUE des études montrent que l'utilisation excessive des jeux vidéo et des réseaux sociaux peut affecter la santé globale des élèves;

CONSIDÉRANT QUE l'utilisation de ces dispositifs peut être source de distraction en classe, ce qui a un impact sur la qualité de l'enseignement et sur l'apprentissage;

CONSIDÉRANT QU’il y a aussi des risques pour la sécurité des élèves liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la cyberintimidation et les partages inappropriés;

Nous, signataires, demandons au gouvernement du Québec d’interdire l'utilisation des dispositifs électroniques personnels dans nos écoles, en respectant les critères suivants :

L'interdiction s'appliquera à tous les élèves, du préscolaire à la fin du secondaire;
Les dispositifs électroniques personnels pourront être utilisés à des fins éducatives et pédagogiques, sous la supervision des enseignants;
Des exceptions pourront être prévues pour les élèves ayant des besoins spécifiques, avec l'accord préalable des enseignants et de la direction.


Surtout dans les classes. Crissez-moi ça out tabarnack!

:out:

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Je seconde et en plus pour les récalcitrant.e.s, les asseoir sur mes chaises ! :mdr:

On met la chaise en classe sans qu'ils le sachent.

:mdr:

La prime de 12 000 $ boudée par des enseignants retraités

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 21:55 (il y a 273 jours) @ Blake

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1993748/prime-enseignants-retraite-quebec-penurie

La prime de 12 000 $ boudée par des enseignants retraités

Publié le 5 juillet à 4 h 00 HAE
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Le chèque de 12 000 $ offert par le gouvernement Legault aux enseignants admissibles à la retraite ne semble pas les convaincre de rester en classe une année de plus. Selon une recension effectuée par Radio-Canada, moins d’une centaine d’entre eux l’ont accepté jusqu’ici.

L’année scolaire vient de se terminer et les élèves sont en vacances, mais les directions d’établissement ont déjà commencé à prévoir la prochaine rentrée.

Pour éviter de se retrouver avec des classes sans professeur, Québec a offert une prime de 12 000 $ aux enseignants admissibles à la retraite. L’objectif était de convaincre ceux qui prévoyaient de partir de rester en poste à temps complet une année supplémentaire.

Au moment de l’annonce au mois de mai, le gouvernement estimait que 7000 d’entre eux pourraient bénéficier de cette offre.

Nous avons donc posé la question aux 72 centres de services scolaires (CSS) et commissions scolaires (CS) du Québec : Combien d’enseignants admissibles à la retraite ont accepté la prime et resteront une année de plus?

À ce jour, parmi les 56 CSS et CS qui ont répondu à notre demande d’information, à peine 75 enseignants ont modifié leurs plans pour toucher l’incitatif du gouvernement.

Au Centre de services scolaire de Montréal (CSSDM) par exemple, le plus important de la province, deux personnes ont décidé de mettre fin à leur retraite et de rester l’an prochain afin d’obtenir les 12 000 $.

Au Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSSMB), une personne a annulé son départ pour une retraite progressive qui devait débuter en 2023-2024, nous a-t-on répondu.

À l’heure actuelle, nous n’avons pas eu de confirmation d’employés qui souhaitaient reporter leur retraite ou leur départ progressif en lien avec cette prime, écrit-on au Centre de services scolaire de Laval.

Pas de surprise pour les syndicats
La tendance illustrée par les données recueillies jusqu’ici ne surprend pas Mélanie Hubert, présidente de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), qui avait prévenu que l’annonce du gouvernement arrivait trop tard.

Quand on prend notre retraite, c'est une démarche qui est mûrie, qu'on a préparée, dit-elle. On ne s'improvise pas à la retraite du jour au lendemain.

C'était prévisible que les gens ne changeraient pas leurs plans à si brève échéance, insiste-t-elle.

Il n’y a rien d’alléchant à l’idée de rester pour 12 000 $ dans les conditions actuelles, ajoute Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement, affiliée à la CSQ (FSE-CSQ). Probablement que les gens qui ont décidé de rester, c'est des gens qui avaient déjà des classes moins difficiles.

Selon elle, une autre mesure est perçue comme étant plus avantageuse par la majorité des membres du personnel.

En vertu d’un incitatif financier mis en place par le gouvernement Legault au début de la pandémie et reconduit récemment, les enseignants retraités au sommet de l’échelle salariale qui retournent au travail peuvent toucher jusqu’à 460 $ par jour.

Plus de 2900 d'entre eux en ont d'ailleurs bénéficié en 2022-2023, selon le cabinet du ministre de l'Éducation, ce qui donne un coup de main au réseau, fait-il valoir.

Mais donc en faisant 26 journées de suppléance au moment où je l’aurai choisi, sans avoir le stress d’une classe, sans avoir les inquiétudes de la surcharge de travail [...] je vais aller chercher le 12 000 $, explique Josée Scalabrini.

C’est d’ailleurs ce qui a motivé la décision de certains.

On a contacté les 10 enseignants qui s’en vont à la retraite, dit Nancy Noël, directrice des ressources humaines au Centre de services scolaire du Fer, sur la Côte-Nord. Trois étaient hésitantes [...] Mais après avoir fait les calculs, elles ont décidé de ne pas prendre la prime.

Le problème étant qu’elles devaient accepter une tâche à 100 %.

Plus d’enseignants pourraient toucher la prime
Dans les faits, les enseignants qui souhaitent toucher les 12 000 $ peuvent encore se manifester et pourront le faire même une fois l’année scolaire amorcée.

Afin d’avoir un portrait final, le ministère de l’Éducation effectue diverses collectes d’informations, répond le porte-parole Bryan St-Louis, et certains résultats seront disponibles sous peu.

Chaque enseignant qui décide de rester une année de plus représente une aide dont nous avons besoin et qui est la bienvenue, écrit le cabinet du ministre Bernard Drainville.

Dans une déclaration similaire, la porte-parole du Secrétariat du Conseil du Trésor, Anne-Hélène Couturier, souligne que chaque enseignant acceptant de demeurer une année supplémentaire permet de soutenir le réseau .

A priori, tous ceux qui sont admissibles à une rente de retraite sans réduction, que ce soit en raison de leur âge, de leurs années de services cumulées ou d’une combinaison de ces deux facteurs, et qui travaillent à temps complet durant la prochaine année scolaire, pourraient obtenir la prime.

L’objectif avoué du gouvernement était de retenir spécifiquement ceux qui avaient annoncé leur départ.

Les enseignants ont encore jusqu'à la fin juin pour se prononcer, avait déclaré la présidente du Conseil du Trésor, Sonia LeBel, à l’émission Tout un matin, le 18 mai. Tant que leur retraite n'est pas signée, ils peuvent décider de s'en prévaloir.

Il semble que la majorité d’entre eux ont déjà pris leur décision.

SITUATION «DÉCOURAGEANTE»: IL MANQUERAIT 5000 ENSEIGNANTS AV

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 21:57 (il y a 273 jours) @ Jéromec


https://www.noovo.info/video/penurie-denseignants-au-quebec-il-faut-envoyer-des-message...

SITUATION «DÉCOURAGEANTE»: IL MANQUERAIT 5000 ENSEIGNANTS AVANT LA RENTRÉE 2023

SITUATION «DÉCOURAGEANTE»: IL MANQUERAIT 5000 ENSEIGNANTS AVANT LA RENTRÉE 2023
Publié le
17 août 2023 à 18:40
Mis à jour le
17 août 2023 à 18:49
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Reportage :

Marie-Christine Bergeron
Marie-Christine Bergeron
Texte :

Audrey Bonaque
Audrey Bonaque
La rentrée scolaire 2023 s'annonce cahoteuse, au bas mot. D'abord, le ministre de l'Éducation, Bernard Drainville, a prévenu qu'il risque d'y avoir plus d'enseignants non légalement qualifiés dans les classes cette année, en raison du manque de main d'oeuvre...

Puis, on apprenait jeudi de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement (FQDE) qu'il manquerait pas moins 5000 enseignants à travers le réseau, excluant Montréal. Noovo Info en a obtenu la confirmation après la sortie des données par La Presse.

Ces chiffres demeurent à consolider au sein du ministère de l'Éducation, mais il va sans dire que c'est plus ou moins bien reçue dans le monde de l'éducation.

Pour la présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement, Josée Scalabrini, cette situation est assez «décourageante».

«On se retrouve avec une situation qu’on pouvait prévoir il y a des années. On n’a pas valorisé la profession enseignante. Et là, on est face à une grave pénurie – je le répète, une pénurie qui était prévisible et qu’on dénonce depuis 10 ans», a-t-elle déclaré dans une entrevue avec la cheffe d'antenne Marie-Christine Bergeron au bulletin Noovo Le Fil 17.

Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement
Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement
Photo : Noovo Info

«C’est la deuxième année qu’on frappe le mur», a-t-elle renchéri, en référence aux 1400 enseignants qui manquaient avant la rentrée à pareille date en 2022.

Elle espère toutefois que le milieu de l'éducation et le gouvernement travailleront ensemble «pour trouver des solutions».

«Lâchons le discours positif que l’éducation est une priorité et posons des gestes pour prouver que l’éducation est une priorité»
- Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement
«Il faut aller chercher des gens. On voit que ce sont beaucoup des gens non légalement qualifiés qui s’en viennent, mais il faut tout faire pour envoyer des signes positifs aux cris du cœur des enseignants, à tous ceux qui pensent quitter la profession et qui sont expérimentés», a souligné Mme Scalabrini.

Afin de régler ce problème, il faudrait d'abord et avant tout faire de «réelles négociations», insiste la présidente.

«On est censé être en négociation depuis janvier. La partie syndicale avait déposé ses demandes en octobre. La partie patronale en décembre et on devait commencer à négocier en janvier. Il n’y a pas eu de négociation malgré les beaux discours dans les médias. […] Si on faisait des négociations sincères et sérieuses, on serait capable de trouver des solutions», a-t-elle souligné sur les ondes de Noovo Info.

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La prime de 12 000 $ boudée par des enseignants retraités

par Blake, jeudi 17 août 2023, 22:08 (il y a 273 jours) @ Jéromec

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1993748/prime-enseignants-retraite-quebec-penurie

La prime de 12 000 $ boudée par des enseignants retraités

Publié le 5 juillet à 4 h 00 HAE
Partager l’article

Le chèque de 12 000 $ offert par le gouvernement Legault aux enseignants admissibles à la retraite ne semble pas les convaincre de rester en classe une année de plus. Selon une recension effectuée par Radio-Canada, moins d’une centaine d’entre eux l’ont accepté jusqu’ici.

L’année scolaire vient de se terminer et les élèves sont en vacances, mais les directions d’établissement ont déjà commencé à prévoir la prochaine rentrée.

Pour éviter de se retrouver avec des classes sans professeur, Québec a offert une prime de 12 000 $ aux enseignants admissibles à la retraite. L’objectif était de convaincre ceux qui prévoyaient de partir de rester en poste à temps complet une année supplémentaire.

Au moment de l’annonce au mois de mai, le gouvernement estimait que 7000 d’entre eux pourraient bénéficier de cette offre.

Nous avons donc posé la question aux 72 centres de services scolaires (CSS) et commissions scolaires (CS) du Québec : Combien d’enseignants admissibles à la retraite ont accepté la prime et resteront une année de plus?

À ce jour, parmi les 56 CSS et CS qui ont répondu à notre demande d’information, à peine 75 enseignants ont modifié leurs plans pour toucher l’incitatif du gouvernement.

Au Centre de services scolaire de Montréal (CSSDM) par exemple, le plus important de la province, deux personnes ont décidé de mettre fin à leur retraite et de rester l’an prochain afin d’obtenir les 12 000 $.

Au Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSSMB), une personne a annulé son départ pour une retraite progressive qui devait débuter en 2023-2024, nous a-t-on répondu.

À l’heure actuelle, nous n’avons pas eu de confirmation d’employés qui souhaitaient reporter leur retraite ou leur départ progressif en lien avec cette prime, écrit-on au Centre de services scolaire de Laval.

Pas de surprise pour les syndicats
La tendance illustrée par les données recueillies jusqu’ici ne surprend pas Mélanie Hubert, présidente de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), qui avait prévenu que l’annonce du gouvernement arrivait trop tard.

Quand on prend notre retraite, c'est une démarche qui est mûrie, qu'on a préparée, dit-elle. On ne s'improvise pas à la retraite du jour au lendemain.

C'était prévisible que les gens ne changeraient pas leurs plans à si brève échéance, insiste-t-elle.

Il n’y a rien d’alléchant à l’idée de rester pour 12 000 $ dans les conditions actuelles, ajoute Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement, affiliée à la CSQ (FSE-CSQ). Probablement que les gens qui ont décidé de rester, c'est des gens qui avaient déjà des classes moins difficiles.

Selon elle, une autre mesure est perçue comme étant plus avantageuse par la majorité des membres du personnel.

En vertu d’un incitatif financier mis en place par le gouvernement Legault au début de la pandémie et reconduit récemment, les enseignants retraités au sommet de l’échelle salariale qui retournent au travail peuvent toucher jusqu’à 460 $ par jour.

Plus de 2900 d'entre eux en ont d'ailleurs bénéficié en 2022-2023, selon le cabinet du ministre de l'Éducation, ce qui donne un coup de main au réseau, fait-il valoir.

Mais donc en faisant 26 journées de suppléance au moment où je l’aurai choisi, sans avoir le stress d’une classe, sans avoir les inquiétudes de la surcharge de travail [...] je vais aller chercher le 12 000 $, explique Josée Scalabrini.

C’est d’ailleurs ce qui a motivé la décision de certains.

On a contacté les 10 enseignants qui s’en vont à la retraite, dit Nancy Noël, directrice des ressources humaines au Centre de services scolaire du Fer, sur la Côte-Nord. Trois étaient hésitantes [...] Mais après avoir fait les calculs, elles ont décidé de ne pas prendre la prime.

Le problème étant qu’elles devaient accepter une tâche à 100 %.

Plus d’enseignants pourraient toucher la prime
Dans les faits, les enseignants qui souhaitent toucher les 12 000 $ peuvent encore se manifester et pourront le faire même une fois l’année scolaire amorcée.

Afin d’avoir un portrait final, le ministère de l’Éducation effectue diverses collectes d’informations, répond le porte-parole Bryan St-Louis, et certains résultats seront disponibles sous peu.

Chaque enseignant qui décide de rester une année de plus représente une aide dont nous avons besoin et qui est la bienvenue, écrit le cabinet du ministre Bernard Drainville.

Dans une déclaration similaire, la porte-parole du Secrétariat du Conseil du Trésor, Anne-Hélène Couturier, souligne que chaque enseignant acceptant de demeurer une année supplémentaire permet de soutenir le réseau .

A priori, tous ceux qui sont admissibles à une rente de retraite sans réduction, que ce soit en raison de leur âge, de leurs années de services cumulées ou d’une combinaison de ces deux facteurs, et qui travaillent à temps complet durant la prochaine année scolaire, pourraient obtenir la prime.

L’objectif avoué du gouvernement était de retenir spécifiquement ceux qui avaient annoncé leur départ.

Les enseignants ont encore jusqu'à la fin juin pour se prononcer, avait déclaré la présidente du Conseil du Trésor, Sonia LeBel, à l’émission Tout un matin, le 18 mai. Tant que leur retraite n'est pas signée, ils peuvent décider de s'en prévaloir.

Il semble que la majorité d’entre eux ont déjà pris leur décision.

12,000$? Une vraie joke.

La prime de 12 000 $ mieux que les libéraux...

par Jéromec, jeudi 17 août 2023, 23:11 (il y a 273 jours) @ Blake

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1993748/prime-enseignants-retraite-quebec-penurie

La prime de 12 000 $ boudée par des enseignants retraités

Publié le 5 juillet à 4 h 00 HAE
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Le chèque de 12 000 $ offert par le gouvernement Legault aux enseignants admissibles à la retraite ne semble pas les convaincre de rester en classe une année de plus. Selon une recension effectuée par Radio-Canada, moins d’une centaine d’entre eux l’ont accepté jusqu’ici.

L’année scolaire vient de se terminer et les élèves sont en vacances, mais les directions d’établissement ont déjà commencé à prévoir la prochaine rentrée.

Pour éviter de se retrouver avec des classes sans professeur, Québec a offert une prime de 12 000 $ aux enseignants admissibles à la retraite. L’objectif était de convaincre ceux qui prévoyaient de partir de rester en poste à temps complet une année supplémentaire.

Au moment de l’annonce au mois de mai, le gouvernement estimait que 7000 d’entre eux pourraient bénéficier de cette offre.

Nous avons donc posé la question aux 72 centres de services scolaires (CSS) et commissions scolaires (CS) du Québec : Combien d’enseignants admissibles à la retraite ont accepté la prime et resteront une année de plus?

À ce jour, parmi les 56 CSS et CS qui ont répondu à notre demande d’information, à peine 75 enseignants ont modifié leurs plans pour toucher l’incitatif du gouvernement.

Au Centre de services scolaire de Montréal (CSSDM) par exemple, le plus important de la province, deux personnes ont décidé de mettre fin à leur retraite et de rester l’an prochain afin d’obtenir les 12 000 $.

Au Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSSMB), une personne a annulé son départ pour une retraite progressive qui devait débuter en 2023-2024, nous a-t-on répondu.

À l’heure actuelle, nous n’avons pas eu de confirmation d’employés qui souhaitaient reporter leur retraite ou leur départ progressif en lien avec cette prime, écrit-on au Centre de services scolaire de Laval.

Pas de surprise pour les syndicats
La tendance illustrée par les données recueillies jusqu’ici ne surprend pas Mélanie Hubert, présidente de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), qui avait prévenu que l’annonce du gouvernement arrivait trop tard.

Quand on prend notre retraite, c'est une démarche qui est mûrie, qu'on a préparée, dit-elle. On ne s'improvise pas à la retraite du jour au lendemain.

C'était prévisible que les gens ne changeraient pas leurs plans à si brève échéance, insiste-t-elle.

Il n’y a rien d’alléchant à l’idée de rester pour 12 000 $ dans les conditions actuelles, ajoute Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement, affiliée à la CSQ (FSE-CSQ). Probablement que les gens qui ont décidé de rester, c'est des gens qui avaient déjà des classes moins difficiles.

Selon elle, une autre mesure est perçue comme étant plus avantageuse par la majorité des membres du personnel.

En vertu d’un incitatif financier mis en place par le gouvernement Legault au début de la pandémie et reconduit récemment, les enseignants retraités au sommet de l’échelle salariale qui retournent au travail peuvent toucher jusqu’à 460 $ par jour.

Plus de 2900 d'entre eux en ont d'ailleurs bénéficié en 2022-2023, selon le cabinet du ministre de l'Éducation, ce qui donne un coup de main au réseau, fait-il valoir.

Mais donc en faisant 26 journées de suppléance au moment où je l’aurai choisi, sans avoir le stress d’une classe, sans avoir les inquiétudes de la surcharge de travail [...] je vais aller chercher le 12 000 $, explique Josée Scalabrini.

C’est d’ailleurs ce qui a motivé la décision de certains.

On a contacté les 10 enseignants qui s’en vont à la retraite, dit Nancy Noël, directrice des ressources humaines au Centre de services scolaire du Fer, sur la Côte-Nord. Trois étaient hésitantes [...] Mais après avoir fait les calculs, elles ont décidé de ne pas prendre la prime.

Le problème étant qu’elles devaient accepter une tâche à 100 %.

Plus d’enseignants pourraient toucher la prime
Dans les faits, les enseignants qui souhaitent toucher les 12 000 $ peuvent encore se manifester et pourront le faire même une fois l’année scolaire amorcée.

Afin d’avoir un portrait final, le ministère de l’Éducation effectue diverses collectes d’informations, répond le porte-parole Bryan St-Louis, et certains résultats seront disponibles sous peu.

Chaque enseignant qui décide de rester une année de plus représente une aide dont nous avons besoin et qui est la bienvenue, écrit le cabinet du ministre Bernard Drainville.

Dans une déclaration similaire, la porte-parole du Secrétariat du Conseil du Trésor, Anne-Hélène Couturier, souligne que chaque enseignant acceptant de demeurer une année supplémentaire permet de soutenir le réseau .

A priori, tous ceux qui sont admissibles à une rente de retraite sans réduction, que ce soit en raison de leur âge, de leurs années de services cumulées ou d’une combinaison de ces deux facteurs, et qui travaillent à temps complet durant la prochaine année scolaire, pourraient obtenir la prime.

L’objectif avoué du gouvernement était de retenir spécifiquement ceux qui avaient annoncé leur départ.

Les enseignants ont encore jusqu'à la fin juin pour se prononcer, avait déclaré la présidente du Conseil du Trésor, Sonia LeBel, à l’émission Tout un matin, le 18 mai. Tant que leur retraite n'est pas signée, ils peuvent décider de s'en prévaloir.

Il semble que la majorité d’entre eux ont déjà pris leur décision.


12,000$? Une vraie joke.

La prime de 12 000 $ mieux que les libéraux... aurait fait... s'ti de croseurs à coupe couillard... lui aurait sûrement coupé davantage....

bon, c'est juste pour souligner que même l'Argent ne fait pas revenir les profs... signe que ça ne va pas bien du tout dans le réseau...

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Pétition du Parti Québécois....

par Dédé ⌂ @, jeudi 17 août 2023, 22:16 (il y a 273 jours) @ Blake

Je seconde et en plus pour les récalcitrant.e.s, les asseoir sur mes chaises ! :mdr:


On met la chaise en classe sans qu'ils le sachent.

:mdr:

_______________

- Venez les enfants, nous allons jouer à la chaise musicale.

Et je place ma chaise en catimini et s'il y a un tricheur ou tricheuse qui s'assoit en trichant, je pars le courant ! :mdr:

--
[image]

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Pétition du Parti Québécois....

par Blake, jeudi 17 août 2023, 22:43 (il y a 273 jours) @ Dédé

Je seconde et en plus pour les récalcitrant.e.s, les asseoir sur mes chaises ! :mdr:


On met la chaise en classe sans qu'ils le sachent.

:mdr:

_______________

- Venez les enfants, nous allons jouer à la chaise musicale.

Et je place ma chaise en catimini et s'il y a un tricheur ou tricheuse qui s'assoit en trichant, je pars le courant ! :mdr:

:mdr:

Difficile automne en vue pour Bernard Drainville

par Jéromec, vendredi 18 août 2023, 09:07 (il y a 272 jours) @ Blake

Comment attirer de nouveaux profs, aucune idée...

Digne d'un travail d'Hercule...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2004018/hugo-lavallee-bernard-drainville-rentree-p...

Difficile automne en vue pour Bernard Drainville

Le ministre devra parer au plus pressé, tout en menant à bien les grands projets qu’il a entrepris.

Bernard Drainville répond aux questions des journalistes.

Bernard Drainville devra s'attaquer à une importante pénurie de personnel, tout en menant à bien ses autres grands chantiers.

Hugo Lavallée (Consulter le profil)

Hugo Lavallée
Publié à 4 h 00 HAE
Partager l’article

Bernard Drainville s’est montré on ne peut plus candide. À l’approche de la rentrée scolaire, la priorité n’est pas tant d’assurer la présence d’un enseignant par classe que de veiller à ce qu’il y ait au moins un adulte dans la pièce. « Si possible avec un bac », a-t-il précisé.

L’époque où le ministre de l’Éducation devait justifier l’abandon des bulletins chiffrés ou expliquer le concept des compétences transversales semble bien lointaine. Face à la pénurie d’enseignants qualifiés, ces enjeux pourtant primordiaux ont presque l’air triviaux.

Depuis de nombreuses années déjà, les ministres de la Santé ont l’habitude d’être constamment en gestion de crise; cette réalité semble maintenant avoir gagné le ministère de l’Éducation.

Après la saga de l’enseignement à distance, qui a tardé à se mettre en place durant la pandémie, le titulaire de la fonction a eu à gérer tout le dossier de l’aération des classes. Sans oublier les problèmes liés au manque de chauffeurs pour le transport scolaire et la pénurie d’enseignants qui fait la manchette depuis déjà plusieurs années.

Dans un rapport déposé le printemps dernier, la vérificatrice générale a bien documenté l’ampleur du problème. Au 30 juin 2021, 1264 postes d’enseignants à temps plein et à temps partiel étaient pourvus par du personnel qui ne détenait aucune autorisation d’enseigner ni aucune tolérance d’engagement délivrée par le ministère de l’Éducation, ce qui est contraire à la loi.

Par ailleurs, 3778 enseignants n'étaient pas légalement qualifiés, mais disposaient d’une tolérance d’engagement au 30 juin 2021. Si les deux tiers d’entre eux détenaient un baccalauréat, 10 % avaient uniquement un diplôme d’études collégiales, et 1 %, un diplôme d’études secondaires. Ces situations ont un effet sur la qualité de l’enseignement, notait la vérificatrice.

Or, la situation s’est gravement détériorée depuis, affirme le directeur de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement, Nicolas Prévost. L’organisation soutient qu’il reste encore quelque 5000 postes à pourvoir, à temps plein et à temps partiel, au cours des prochaines semaines.

Comment donner la priorité aux priorités?
En janvier, le ministre Drainville avait dévoilé les sept priorités auxquelles il comptait travailler. Améliorer la qualité de l’enseignement du français arrivait en tête de liste, mais on se demande bien comment cela sera possible si on doute encore qu’il y aura un adulte dans chaque classe d’ici la fin du mois.

Après le dépôt du projet de loi visant à réformer la gouvernance des centres de services scolaires, des syndicats d’enseignants avaient reproché au ministre de ne pas s’attaquer aux bonnes priorités. Le projet de loi no 23 est mal reçu, d’abord parce qu’il impose par voie législative des propositions qui sont présentement en discussion à nos tables de négociation, ensuite parce qu’il ne répond pas aux besoins criants de l’école publique, avait déclaré la présidente de la Fédération autonome de l’enseignement, Mélanie Hubert, en commission parlementaire.

Même si la pénurie d’enseignants apparaît comme le problème le plus pressant auquel le ministre fait face, le rapport de la vérificatrice générale montrait l’importance de ne pas laisser tomber les grands chantiers entrepris.

C’est que le ministère de l’Éducation dispose de bien peu d'informations sur l’évolution de ses effectifs, ou encore, sur les raisons qui poussent les enseignants à quitter la profession. Les centres de services scolaires ne compilent pas tous ces données de la même façon et l’accès qu’en a le ministère est inégal. Le projet de loi déposé au printemps a notamment pour objectif d’assurer un meilleur partage de l’information, ce qui devrait permettre à terme au ministère de faire une meilleure planification de ses besoins en ressources humaines.

La même logique s’applique aux sept priorités que le ministre avait mises en avant au début de l’année. Y figurait notamment l’accélération de la formation pour les diplômés universitaires souhaitant passer à l’enseignement, ou encore, l’embauche généralisée d’aides à la classe pour soulager les enseignants.

Dans les mois ayant suivi sa nomination au ministère de la Santé, Christian Dubé avait expliqué en entrevue à La Presse que le défi de tout gestionnaire, c’est d’être capable d’avoir un équilibre entre gérer ce qui est urgent et gérer ce qui est important.

C’est précisément le défi auquel fera face Bernard Drainville cet automne. Parer au plus pressé, tout en s’assurant de mener à bien les projets plus structurels qu’il a entrepris.

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Difficile automne en vue pour Bernard Drainville

par Blake, vendredi 18 août 2023, 11:41 (il y a 272 jours) @ Jéromec

Comment attirer de nouveaux profs, aucune idée...

Digne d'un travail d'Hercule...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2004018/hugo-lavallee-bernard-drainville-rentree-p...

Difficile automne en vue pour Bernard Drainville

Le ministre devra parer au plus pressé, tout en menant à bien les grands projets qu’il a entrepris.

Bernard Drainville répond aux questions des journalistes.

Bernard Drainville devra s'attaquer à une importante pénurie de personnel, tout en menant à bien ses autres grands chantiers.

Hugo Lavallée (Consulter le profil)

Hugo Lavallée
Publié à 4 h 00 HAE
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Bernard Drainville s’est montré on ne peut plus candide. À l’approche de la rentrée scolaire, la priorité n’est pas tant d’assurer la présence d’un enseignant par classe que de veiller à ce qu’il y ait au moins un adulte dans la pièce. « Si possible avec un bac », a-t-il précisé.

L’époque où le ministre de l’Éducation devait justifier l’abandon des bulletins chiffrés ou expliquer le concept des compétences transversales semble bien lointaine. Face à la pénurie d’enseignants qualifiés, ces enjeux pourtant primordiaux ont presque l’air triviaux.

Depuis de nombreuses années déjà, les ministres de la Santé ont l’habitude d’être constamment en gestion de crise; cette réalité semble maintenant avoir gagné le ministère de l’Éducation.

Après la saga de l’enseignement à distance, qui a tardé à se mettre en place durant la pandémie, le titulaire de la fonction a eu à gérer tout le dossier de l’aération des classes. Sans oublier les problèmes liés au manque de chauffeurs pour le transport scolaire et la pénurie d’enseignants qui fait la manchette depuis déjà plusieurs années.

Dans un rapport déposé le printemps dernier, la vérificatrice générale a bien documenté l’ampleur du problème. Au 30 juin 2021, 1264 postes d’enseignants à temps plein et à temps partiel étaient pourvus par du personnel qui ne détenait aucune autorisation d’enseigner ni aucune tolérance d’engagement délivrée par le ministère de l’Éducation, ce qui est contraire à la loi.

Par ailleurs, 3778 enseignants n'étaient pas légalement qualifiés, mais disposaient d’une tolérance d’engagement au 30 juin 2021. Si les deux tiers d’entre eux détenaient un baccalauréat, 10 % avaient uniquement un diplôme d’études collégiales, et 1 %, un diplôme d’études secondaires. Ces situations ont un effet sur la qualité de l’enseignement, notait la vérificatrice.

Or, la situation s’est gravement détériorée depuis, affirme le directeur de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement, Nicolas Prévost. L’organisation soutient qu’il reste encore quelque 5000 postes à pourvoir, à temps plein et à temps partiel, au cours des prochaines semaines.

Comment donner la priorité aux priorités?
En janvier, le ministre Drainville avait dévoilé les sept priorités auxquelles il comptait travailler. Améliorer la qualité de l’enseignement du français arrivait en tête de liste, mais on se demande bien comment cela sera possible si on doute encore qu’il y aura un adulte dans chaque classe d’ici la fin du mois.

Après le dépôt du projet de loi visant à réformer la gouvernance des centres de services scolaires, des syndicats d’enseignants avaient reproché au ministre de ne pas s’attaquer aux bonnes priorités. Le projet de loi no 23 est mal reçu, d’abord parce qu’il impose par voie législative des propositions qui sont présentement en discussion à nos tables de négociation, ensuite parce qu’il ne répond pas aux besoins criants de l’école publique, avait déclaré la présidente de la Fédération autonome de l’enseignement, Mélanie Hubert, en commission parlementaire.

Même si la pénurie d’enseignants apparaît comme le problème le plus pressant auquel le ministre fait face, le rapport de la vérificatrice générale montrait l’importance de ne pas laisser tomber les grands chantiers entrepris.

C’est que le ministère de l’Éducation dispose de bien peu d'informations sur l’évolution de ses effectifs, ou encore, sur les raisons qui poussent les enseignants à quitter la profession. Les centres de services scolaires ne compilent pas tous ces données de la même façon et l’accès qu’en a le ministère est inégal. Le projet de loi déposé au printemps a notamment pour objectif d’assurer un meilleur partage de l’information, ce qui devrait permettre à terme au ministère de faire une meilleure planification de ses besoins en ressources humaines.

La même logique s’applique aux sept priorités que le ministre avait mises en avant au début de l’année. Y figurait notamment l’accélération de la formation pour les diplômés universitaires souhaitant passer à l’enseignement, ou encore, l’embauche généralisée d’aides à la classe pour soulager les enseignants.

Dans les mois ayant suivi sa nomination au ministère de la Santé, Christian Dubé avait expliqué en entrevue à La Presse que le défi de tout gestionnaire, c’est d’être capable d’avoir un équilibre entre gérer ce qui est urgent et gérer ce qui est important.

C’est précisément le défi auquel fera face Bernard Drainville cet automne. Parer au plus pressé, tout en s’assurant de mener à bien les projets plus structurels qu’il a entrepris.

Méchant casse-tête.

la technique paresseuse...

par Jéromec, vendredi 18 août 2023, 12:20 (il y a 272 jours) @ Blake


Méchant casse-tête.

si tu es un prof paresseux rien de plus simple, tu laisses niaiser les jeunes sur leurs cellulaires pendant tout le cours, les jeunes vont t'aimer...

:cafe:

Un monde Merveilleux se profile dans nos écoles... <img src=" />

avec des biscuits au pot...

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