Source : «Je pense davantage en entrepreneur qu’en politicien», dit PSPP

QUB
Jeudi, 8 février 2024 12:21

MISE À JOUR Jeudi, 8 février 2024 12:21

Les résultats du dernier sondage Léger ont révélé le maintien du Parti Québécois en tête, avec un soutien à l'indépendance d'environ 35%. Dans une entrevue au balado de Mathieu Bock-Côté, le chef péquiste, Paul St-Pierre Plamondon, discute des défis liés à la croissance des indépendantistes et à l'augmentation de l'appui à l'indépendance.

Interrogé sur la perception que la popularité du parti est en partie due à des problèmes gouvernementaux plutôt qu'à la quête d'indépendance, Paul St-Pierre Plamondon rejette cette idée.

Il souligne la détermination claire du parti à créer un nouveau pays et insiste sur la nécessité de ne pas se concentrer uniquement sur les chiffres, mais sur des questions fondamentales comme le non-respect fédéral envers le Québec.

«Rarement dans son histoire, le Parti Québécois a été aussi clair», a mentionné le chef de la formation politique.

En effet, il affirme que le parti ne cache – et ne cachera jamais – son intérêt pour la souveraineté. Paul St-Pierre Plamondon aborde également la question de l'immigration, qualifiant la politique fédérale de sabotage de la planification québécoise.

«Le Canada sabote le Québec», a-t-il dit.

Il souligne également la nécessité de discuter des conséquences sur la langue, la culture et les services sociaux. La discussion se termine par une réflexion sur le retour d'intérêt des jeunes générations pour la question nationale et la nécessité d'une coalition large pour l'indépendance.

Le chef du Parti Québécois conclut en soulignant la responsabilité de rassembler différents points de vue au-delà des clivages partisans pour atteindre l'objectif commun de l'indépendance.

N.B. Ce texte a été écrit à l'aide de l'intelligence artificielle à partir de l'entrevue audio de QUB.
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Le populisme de PSPP semble rendre aveugle l'électorat et juste le fait qu'il ne mentionne dans ses allocutions l'indépendance du Québec, m'indique qu'il ne fera pas mieux que ses prédécesseurs en martelant que s'il serait au pouvoir, qu'il vise rien de moins la souveraineté du Québec. Je ne crois pas que l'électorat vise à devenir souverain avec le dernier échec à ce sens, parce que je crois que c'est devenu un rêve de licornes !

A-t-on vraiment tout ce qu'il faut pour devenir souverain ? Quels sont les plans du parti ? Connaissez-vous la constitution de son plan souverainiste à part de changer la monnaie ?

Il souligne seulement les grandes lignes comme la plupart des ses prédécesseurs ont mentionné, que le Canada sabote le Québec, que la langue française est menacée, il se dit clair dans ses intentions mais ses prédécesseurs aussi ont été aussi clairs que lui.

Plate à dire, le PQ est un parti pour les licornes !

Dédé

C'est plate à dire mais on n'a plus rien à voir avec le reste du Canada surtout les têtes brûlées de l'Alberta et la Saskatchewan. Mais comme tu le dis, je ne suis pas certain non plus que l'électorat est prêt à ça.

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Ça fait longtemps que le Québec n'a plus rien à voir avec le reste du Canada. Les programmes de Souveraineté antérieures n'ont pas su rassembler l'électorat, pourquoi il en serait mieux avec PSPP ?

Peut-être à cause de l'élection de Poildecul, ça va aider la séparation. Mais pas sûr.

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Mouin, c'est vrai que Poildetroucul pourrait devenir Premier Trouducul !

Et tout un premier troudecul. Le champion des troudesculs avec Trump.

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Mais pour moi, le pire des troudecul, c'est No Sir. Pourquoi ? À la vitesse qui se fout des ti-lutins de jardin dans le cul, un didlo pour lui est un suppositoire !

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