Source : Au moins 65 M$ en pertes à la CNESST

La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a perdu plus de 65 M$ en raison de sommes versées en trop à des travailleurs et de cotisations impayées par des employeurs.

Entre 2012 et 2016, la CNESST n’a pas été en mesure de récupérer 48,7 M$ en cotisations impayées du côté des employeurs, alors que 16,5 M$ ont été versés en trop à des travailleurs. Ces sommes étant jugées « irrécouvrables », elles ne reviendront jamais dans les coffres (voir encadré).

Les dettes continuent de s’accumuler à l’organisation, alors que près de 17 500 employeurs ainsi que quelque 20 800 travailleurs sont redevables envers la CNESST, pour un montant totalisant pas moins de 128,8 M$.

Lire la suite à la source.
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N'importe quoi pour justifier l'insensibilité sur les travailleurs en lésion et se montrer en déficit pour mieux fourrer les bénéficiaires en faisant des réductions salariales dans leurs ententes. Ça dépense par contre des milliers de dollars en tracts télévisuels par exemple et où prennent-ils tout cet argent ?

Maudit racket !
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Source : Canadien: des doutes persistants

Il y avait de grands doutes sur l’édition 2017-2018 du Canadien avant même le premier jour du camp d’entraînement. Les incertitudes n’ont jamais disparu durant le camp. Et après les trois premières rencontres du calendrier, le CH n’a rien fait pour les chasser.

On ne condamnera pas une équipe après trois matchs. L’échantillon reste trop petit. Mais Claude Julien aura besoin de ressortir la planche à dessin.

L’entraîneur en chef avait parlé d’une belle profondeur pour décrire son attaque.

« Quand tu as (Paul) Byron et (Ales) Hemsky au sein d’un quatrième trio, c’est pas mal bon », avait dit Julien avant le septième et avant-dernier match préparatoire contre les Panthers de la Floride.

Moins de deux semaines après cette déclaration, la profondeur ne saute pas encore aux yeux.

Lire la suite à la source.
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Mouin, il ne faut pas paniquer après uniquement trois matchs de jouer, hein ?

Mais ça regarde mal en bâtèche considérant ce que nous avons vu durant les matchs pré-saisons. Une défensive coucicouça, une attaque à deux trios et un gardien laisser à lui-même plus souvent qu'autrement. Vont-ils faire les séries ? Je ne gagerais pas là-dessus !

Dédé

Au lieu d'essayer de récupérer de l'argent auprès des moins bien nantis et des blessés, ils seraient mieux de récupérer le 18 milliards perdu dans l'évasion fiscale par an juste au Québec et 400 milliards pour le Canada. Diantre! Que dis-je! C'est vrai! J'oubliais que nos beaux gros jambons de la droite et le petit peuple ne veulent pas que l'on touche à nos bons riches et les entreprises. Vive le petit peuple!

Source : Au moins 65 M$ en pertes à la CNESST

La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a perdu plus de 65 M$ en raison de sommes versées en trop à des travailleurs et de cotisations impayées par des employeurs.

Entre 2012 et 2016, la CNESST n’a pas été en mesure de récupérer 48,7 M$ en cotisations impayées du côté des employeurs, alors que 16,5 M$ ont été versés en trop à des travailleurs. Ces sommes étant jugées « irrécouvrables », elles ne reviendront jamais dans les coffres (voir encadré).

Les dettes continuent de s’accumuler à l’organisation, alors que près de 17 500 employeurs ainsi que quelque 20 800 travailleurs sont redevables envers la CNESST, pour un montant totalisant pas moins de 128,8 M$.

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N'importe quoi pour justifier l'insensibilité sur les travailleurs en lésion et se montrer en déficit pour mieux fourrer les bénéficiaires en faisant des réductions salariales dans leurs ententes. Ça dépense par contre des milliers de dollars en tracts télévisuels par exemple et où prennent-ils tout cet argent ?

Maudit racket !
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Source : Canadien: des doutes persistants

Il y avait de grands doutes sur l’édition 2017-2018 du Canadien avant même le premier jour du camp d’entraînement. Les incertitudes n’ont jamais disparu durant le camp. Et après les trois premières rencontres du calendrier, le CH n’a rien fait pour les chasser.

On ne condamnera pas une équipe après trois matchs. L’échantillon reste trop petit. Mais Claude Julien aura besoin de ressortir la planche à dessin.

L’entraîneur en chef avait parlé d’une belle profondeur pour décrire son attaque.

« Quand tu as (Paul) Byron et (Ales) Hemsky au sein d’un quatrième trio, c’est pas mal bon », avait dit Julien avant le septième et avant-dernier match préparatoire contre les Panthers de la Floride.

Moins de deux semaines après cette déclaration, la profondeur ne saute pas encore aux yeux.

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Mouin, il ne faut pas paniquer après uniquement trois matchs de jouer, hein ?

Mais ça regarde mal en bâtèche considérant ce que nous avons vu durant les matchs pré-saisons. Une défensive coucicouça, une attaque à deux trios et un gardien laisser à lui-même plus souvent qu'autrement. Vont-ils faire les séries ? Je ne gagerais pas là-dessus !

Dédé

Pour le hockey concernant Montréal, je pense que tu pèses sur le bouton de panique un peu trop vite. On ne peut se faire une idée avant un minimum de 25 games. Les games ''Off Season'' ne veulent absolument rien dire, c'est fait pour les essais. Mais c'est sûr que les hauts dirigeants ne doivent pas aimer ça car les partisans des sports en général sont très émotifs. C'est pour ça qu'ils sont dans les estrades ou devant leur télé et non sur la glace ou parmi les dirigeants.