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Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici (Forum)

par Dédé ⌂ @, mercredi 05 mai 2021, 08:30 (il y a 1081 jours)

Source : Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici


FRANCIS HALIN
Mercredi, 5 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Mercredi, 5 mai 2021 00:00

Les employés québécois du géant américain Amazon n’auront pas droit à une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure, contrairement à leurs 500 000 collègues américains.

« Cette augmentation s’applique uniquement aux employés des États-Unis », a confirmé au Journal Dave Bauer, aux communications d’Amazon Canada.

Fin avril, Amazon a annoncé une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure pour près d’un demi-million d’employés aux É.-U., ce qui représente en moyenne 40 $ de plus par semaine par travailleur, une mesure qui pourrait coûter plus d’un milliard de dollars à l’entreprise de Jeff Bezos.

Ces nouvelles hausses de salaire surviennent après l’échec récent de la création d’un premier syndicat dans un entrepôt du sud des États-Unis.

« Le choix d’adhérer à un syndicat appartient aux travailleurs. Point final », avait lancé le président Joe Biden sans nommer Amazon, qui est venu à un cheveu de voir entrer le syndicat à son entrepôt de Bessemer, en Alabama.

L’entreprise de Jeff Bezos avait finalement gagné son pari par la suite en voyant le Non à la syndicalisation l’emporter avec 1798 voix, contre 738 votes en faveur.

Avec 1,2 million de salariés, Amazon était le troisième employeur de la planète l’an dernier, après Walmart (2,2 millions) et China National Petroleum (1,34 million).

À peine plus que le minimum

Au Québec, un commis d’entrepôt saisonnier de Saint-Hubert ou de Lachine gagne 16 $ l’heure en entrant, avec une prime de nuit de 50 cents, selon le site web de l’entreprise, soit à peine trois dollars de plus que le salaire minimum.

En début d’année, Amazon a annoncé la création de 1000 emplois au Québec avec l’ouverture de son plus gros centre de tri à Coteau-du-Lac et de ses trois premiers postes de livraison dans la province.

En mars, la multinationale a aussi fait part de son intention d’ouvrir un studio de jeu vidéo au cœur de la métropole où l’environnement fiscal offre jusqu’à 37,5 % de crédit d’impôt sur les salaires et dépenses admissibles.

À son arrivée au Québec, un syndicat s’était inquiété de voir Amazon débarquer ici en qualifiant ses conditions de travail de « médiévales ».

« Aussitôt qu’il y a une rumeur ou un employé qui ose prononcer le mot “syndicat”, il y a une campagne de peur qui se déclenche », avait déploré le syndicaliste David Bergeron-Cyr, aujourd’hui vice-président au comité exécutif de la CSN.
____________________

16$/heure pour un commis lors de son embauche, c'est comme cheapette pas mal considérant que leur profit de Amazon dépasse largement les millions par année. En plus ces grands du business, ne font pratiquement rien pour que ce business fonctionne adéquatement, ce sont tous.toutes les travailleurs.travailleuses qui font rouler ce gros business. Les grands récoltent les profits et engrangent leur fortune.

En plus, ils prient le bon Dieu pour ne pas que les employé.es se syndiquent. Gang de bandits !

Dédé

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Archives Iron Mountain....

par Jéromec, mercredi 05 mai 2021, 08:37 (il y a 1081 jours) @ Dédé

Source : Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici


FRANCIS HALIN
Mercredi, 5 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Mercredi, 5 mai 2021 00:00

Les employés québécois du géant américain Amazon n’auront pas droit à une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure, contrairement à leurs 500 000 collègues américains.

« Cette augmentation s’applique uniquement aux employés des États-Unis », a confirmé au Journal Dave Bauer, aux communications d’Amazon Canada.

Fin avril, Amazon a annoncé une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure pour près d’un demi-million d’employés aux É.-U., ce qui représente en moyenne 40 $ de plus par semaine par travailleur, une mesure qui pourrait coûter plus d’un milliard de dollars à l’entreprise de Jeff Bezos.

Ces nouvelles hausses de salaire surviennent après l’échec récent de la création d’un premier syndicat dans un entrepôt du sud des États-Unis.

« Le choix d’adhérer à un syndicat appartient aux travailleurs. Point final », avait lancé le président Joe Biden sans nommer Amazon, qui est venu à un cheveu de voir entrer le syndicat à son entrepôt de Bessemer, en Alabama.

L’entreprise de Jeff Bezos avait finalement gagné son pari par la suite en voyant le Non à la syndicalisation l’emporter avec 1798 voix, contre 738 votes en faveur.

Avec 1,2 million de salariés, Amazon était le troisième employeur de la planète l’an dernier, après Walmart (2,2 millions) et China National Petroleum (1,34 million).

À peine plus que le minimum

Au Québec, un commis d’entrepôt saisonnier de Saint-Hubert ou de Lachine gagne 16 $ l’heure en entrant, avec une prime de nuit de 50 cents, selon le site web de l’entreprise, soit à peine trois dollars de plus que le salaire minimum.

En début d’année, Amazon a annoncé la création de 1000 emplois au Québec avec l’ouverture de son plus gros centre de tri à Coteau-du-Lac et de ses trois premiers postes de livraison dans la province.

En mars, la multinationale a aussi fait part de son intention d’ouvrir un studio de jeu vidéo au cœur de la métropole où l’environnement fiscal offre jusqu’à 37,5 % de crédit d’impôt sur les salaires et dépenses admissibles.

À son arrivée au Québec, un syndicat s’était inquiété de voir Amazon débarquer ici en qualifiant ses conditions de travail de « médiévales ».

« Aussitôt qu’il y a une rumeur ou un employé qui ose prononcer le mot “syndicat”, il y a une campagne de peur qui se déclenche », avait déploré le syndicaliste David Bergeron-Cyr, aujourd’hui vice-président au comité exécutif de la CSN.
____________________

16$/heure pour un commis lors de son embauche, c'est comme cheapette pas mal considérant que leur profit de Amazon dépasse largement les millions par année. En plus ces grands du business, ne font pratiquement rien pour que ce business fonctionne adéquatement, ce sont tous.toutes les travailleurs.travailleuses qui font rouler ce gros business. Les grands récoltent les profits et engrangent leur fortune.

En plus, ils prient le bon Dieu pour ne pas que les employé.es se syndiquent. Gang de bandits !

Dédé


J'Ai travaillé dans les archives Iron Mountain qui font des profit$ pharaonique... et traite les employés comme des esclaves... ils se sont finalement syndiqué...
Le côté ''pervers'' c'Est que ceux syndiqués ont tendance à laisser les employés ''temporaire'' ou d'agence de placement travailler pour eux..

J'ai travaillé pour Frito-Lay... c'était l'enfer... les permanent, pour la plupart cessaient carrément de travailler..

Et l'employeur se faisait un plaisir de congédier les nouveaux employés la dernière journée avant d'être syndiqué!!!
ça pas que du bon les syndicats... notamment dans le milieu de l'enseignement...

Il y avait un prof de philo qui donnait des notes en fonctione de la qualité de la poitrine des étudiantes... y ont jamais été capable de le sacrer dehors...

Pour Amazon c'est des vrais bandits....Jefffffffe ayant amplement les moyens de mieux les payer, surtout avec les ventes record de la pandémie... ;-)

:boss:

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Archives Iron Mountain....

par Dédé ⌂ @, mercredi 05 mai 2021, 08:52 (il y a 1081 jours) @ Jéromec


J'Ai travaillé dans les archives Iron Mountain qui font des profit$ pharaonique... et traite les employés comme des esclaves... ils se sont finalement syndiqué...
Le côté ''pervers'' c'Est que ceux syndiqués ont tendance à laisser les employés ''temporaire'' ou d'agence de placement travailler pour eux..

J'ai travaillé pour Frito-Lay... c'était l'enfer... les permanent, pour la plupart cessaient carrément de travailler..

Et l'employeur se faisait un plaisir de congédier les nouveaux employés la dernière journée avant d'être syndiqué!!!
ça pas que du bon les syndicats... notamment dans le milieu de l'enseignement...

Il y avait un prof de philo qui donnait des notes en fonctione de la qualité de la poitrine des étudiantes... y ont jamais été capable de le sacrer dehors...

Pour Amazon c'est des vrais bandits....Jefffffffe ayant amplement les moyens de mieux les payer, surtout avec les ventes record de la pandémie... ;-)

:boss:

__________________

Il y a quand même des lois par la Commission des Normes et Éthiques de la Santé et Sécurité au Travail ( CNESST ). Il s'agirait pour tous les employé.es syndiqué.es ou non, de formuler des plaintes lorsqu'il y a des dérapages dans la fonction des employeur.es.

Je ne suis pas en faveur du syndicat pour des raisons personnelles puisque pour moi, le syndicat est un autre employeur à temps plein et il mange dans la même main que les employeur.es. Ce qu'il y a de bon par contre, c'est que les travailleur.travailleuses ne sont pas exploité.es par des mesures patronales qui n'ont aucun sens à la sécurité d'emploi.

--
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Non syndiqué...

par Jéromec, mercredi 05 mai 2021, 08:55 (il y a 1081 jours) @ Dédé


J'Ai travaillé dans les archives Iron Mountain qui font des profit$ pharaonique... et traite les employés comme des esclaves... ils se sont finalement syndiqué...
Le côté ''pervers'' c'Est que ceux syndiqués ont tendance à laisser les employés ''temporaire'' ou d'agence de placement travailler pour eux..

J'ai travaillé pour Frito-Lay... c'était l'enfer... les permanent, pour la plupart cessaient carrément de travailler..

Et l'employeur se faisait un plaisir de congédier les nouveaux employés la dernière journée avant d'être syndiqué!!!
ça pas que du bon les syndicats... notamment dans le milieu de l'enseignement...

Il y avait un prof de philo qui donnait des notes en fonctione de la qualité de la poitrine des étudiantes... y ont jamais été capable de le sacrer dehors...

Pour Amazon c'est des vrais bandits....Jefffffffe ayant amplement les moyens de mieux les payer, surtout avec les ventes record de la pandémie... ;-)

:boss:

__________________

Il y a quand même des lois par la Commission des Normes et Éthiques de la Santé et Sécurité au Travail ( CNESST ). Il s'agirait pour tous les employé.es syndiqué.es ou non, de formuler des plaintes lorsqu'il y a des dérapages dans la fonction des employeur.es.

Je ne suis pas en faveur du syndicat pour des raisons personnelles puisque pour moi, le syndicat est un autre employeur à temps plein et il mange dans la même main que les employeur.es. Ce qu'il y a de bon par contre, c'est que les travailleur.travailleuses ne sont pas exploité.es par des mesures patronales qui n'ont aucun sens à la sécurité d'emploi.

Je suis dans une entreprise non syndiqué... et j'apprécie... quand c'est le temps de renvoyer un mauvais employé, c'est beaucoup plus facile ainsi...

J'ai la chance d'avoir une patronne qui m'apprécie et qui me sacre patience...

C'est sûr que parfois je trouve que l'on m'en demande un peu trop... ou du moins pas réaliste.... mais bon....

Et pour ce qui est des fonctionnaires... plusieurs souffrent d'être en ''télétravail'' c'est le fun au début... mais l'humain a besoin de socialiser.. sinon la santé mentale risque d'en souffrir...;-)

Je plains mon frère qui a passé 4 mois avec sa femme au lieu d'aller prendre une pause au travail sur la base militaire...

Les syndicats ont contribué à aider la classe ouvrière.... mais actuellement moi je n'ai pas ça parce que ça protège les bons à rien...

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Non syndiqué...

par Dédé ⌂ @, mercredi 05 mai 2021, 09:02 (il y a 1081 jours) @ Jéromec

Dans toutes les sphères de l'emploi, il y a des pas bons ! :D

Est-ce une bonne raison de les foutre à la porte au lieu d'en arriver à une entente pour replacer à une meilleure collaboration ?

--
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les coups de pieds au derrière....

par Jéromec, mercredi 05 mai 2021, 09:08 (il y a 1081 jours) @ Dédé

Dans toutes les sphères de l'emploi, il y a des pas bons ! :D

Est-ce une bonne raison de les foutre à la porte au lieu d'en arriver à une entente pour replacer à une meilleure collaboration ?

:coupiedaucul:

y a du monde à sacrer dehors parce que c'est des cas sans espoir...

Il y avait un qui avait pogné le covid dans un party privé... et qui a fait une petite fête la nuit bien arrosée avec les copains...

:coupiedaucul:

Mes patrons ont toujours su faire le ménage des mauvais élèments... on tente de corriger ceux qui sont corrigeable....


:coupiedaucul:

Mais dans d'autres cas...

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les coups de pieds au derrière....

par Blake, mercredi 05 mai 2021, 11:58 (il y a 1081 jours) @ Jéromec

Dans toutes les sphères de l'emploi, il y a des pas bons ! :D

Est-ce une bonne raison de les foutre à la porte au lieu d'en arriver à une entente pour replacer à une meilleure collaboration ?


:coupiedaucul:

y a du monde à sacrer dehors parce que c'est des cas sans espoir...

Il y avait un qui avait pogné le covid dans un party privé... et qui a fait une petite fête la nuit bien arrosée avec les copains...

:coupiedaucul:

Mes patrons ont toujours su faire le ménage des mauvais élèments... on tente de corriger ceux qui sont corrigeable....


:coupiedaucul:

Mais dans d'autres cas...

Je dirais plutôt qu'il y a des boss et entreprises à sacrer dehors.

:coupiedaucul:

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Non syndiqué...

par Blake, mercredi 05 mai 2021, 11:57 (il y a 1081 jours) @ Dédé

Dans toutes les sphères de l'emploi, il y a des pas bons ! :D

Est-ce une bonne raison de les foutre à la porte au lieu d'en arriver à une entente pour replacer à une meilleure collaboration ?

Souvent aussi, on dit qu'ils ne sont pas bons parce qu'ils ne lichent pas assez le cul du boss.

;)

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Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici

par Blake, mercredi 05 mai 2021, 11:54 (il y a 1081 jours) @ Dédé

Source : Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici


FRANCIS HALIN
Mercredi, 5 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Mercredi, 5 mai 2021 00:00

Les employés québécois du géant américain Amazon n’auront pas droit à une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure, contrairement à leurs 500 000 collègues américains.

« Cette augmentation s’applique uniquement aux employés des États-Unis », a confirmé au Journal Dave Bauer, aux communications d’Amazon Canada.

Fin avril, Amazon a annoncé une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure pour près d’un demi-million d’employés aux É.-U., ce qui représente en moyenne 40 $ de plus par semaine par travailleur, une mesure qui pourrait coûter plus d’un milliard de dollars à l’entreprise de Jeff Bezos.

Ces nouvelles hausses de salaire surviennent après l’échec récent de la création d’un premier syndicat dans un entrepôt du sud des États-Unis.

« Le choix d’adhérer à un syndicat appartient aux travailleurs. Point final », avait lancé le président Joe Biden sans nommer Amazon, qui est venu à un cheveu de voir entrer le syndicat à son entrepôt de Bessemer, en Alabama.

L’entreprise de Jeff Bezos avait finalement gagné son pari par la suite en voyant le Non à la syndicalisation l’emporter avec 1798 voix, contre 738 votes en faveur.

Avec 1,2 million de salariés, Amazon était le troisième employeur de la planète l’an dernier, après Walmart (2,2 millions) et China National Petroleum (1,34 million).

À peine plus que le minimum

Au Québec, un commis d’entrepôt saisonnier de Saint-Hubert ou de Lachine gagne 16 $ l’heure en entrant, avec une prime de nuit de 50 cents, selon le site web de l’entreprise, soit à peine trois dollars de plus que le salaire minimum.

En début d’année, Amazon a annoncé la création de 1000 emplois au Québec avec l’ouverture de son plus gros centre de tri à Coteau-du-Lac et de ses trois premiers postes de livraison dans la province.

En mars, la multinationale a aussi fait part de son intention d’ouvrir un studio de jeu vidéo au cœur de la métropole où l’environnement fiscal offre jusqu’à 37,5 % de crédit d’impôt sur les salaires et dépenses admissibles.

À son arrivée au Québec, un syndicat s’était inquiété de voir Amazon débarquer ici en qualifiant ses conditions de travail de « médiévales ».

« Aussitôt qu’il y a une rumeur ou un employé qui ose prononcer le mot “syndicat”, il y a une campagne de peur qui se déclenche », avait déploré le syndicaliste David Bergeron-Cyr, aujourd’hui vice-président au comité exécutif de la CSN.
____________________

16$/heure pour un commis lors de son embauche, c'est comme cheapette pas mal considérant que leur profit de Amazon dépasse largement les millions par année. En plus ces grands du business, ne font pratiquement rien pour que ce business fonctionne adéquatement, ce sont tous.toutes les travailleurs.travailleuses qui font rouler ce gros business. Les grands récoltent les profits et engrangent leur fortune.

En plus, ils prient le bon Dieu pour ne pas que les employé.es se syndiquent. Gang de bandits !

Dédé

La syndicalisation devrait être obligatoire pour ce genre d'entreprise. Comme dans les pays scandinaves. Sinon, out!

:out:

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Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici

par Dédé ⌂ @, mercredi 05 mai 2021, 12:27 (il y a 1081 jours) @ Blake

Source : Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici


FRANCIS HALIN
Mercredi, 5 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Mercredi, 5 mai 2021 00:00

Les employés québécois du géant américain Amazon n’auront pas droit à une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure, contrairement à leurs 500 000 collègues américains.

« Cette augmentation s’applique uniquement aux employés des États-Unis », a confirmé au Journal Dave Bauer, aux communications d’Amazon Canada.

Fin avril, Amazon a annoncé une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure pour près d’un demi-million d’employés aux É.-U., ce qui représente en moyenne 40 $ de plus par semaine par travailleur, une mesure qui pourrait coûter plus d’un milliard de dollars à l’entreprise de Jeff Bezos.

Ces nouvelles hausses de salaire surviennent après l’échec récent de la création d’un premier syndicat dans un entrepôt du sud des États-Unis.

« Le choix d’adhérer à un syndicat appartient aux travailleurs. Point final », avait lancé le président Joe Biden sans nommer Amazon, qui est venu à un cheveu de voir entrer le syndicat à son entrepôt de Bessemer, en Alabama.

L’entreprise de Jeff Bezos avait finalement gagné son pari par la suite en voyant le Non à la syndicalisation l’emporter avec 1798 voix, contre 738 votes en faveur.

Avec 1,2 million de salariés, Amazon était le troisième employeur de la planète l’an dernier, après Walmart (2,2 millions) et China National Petroleum (1,34 million).

À peine plus que le minimum

Au Québec, un commis d’entrepôt saisonnier de Saint-Hubert ou de Lachine gagne 16 $ l’heure en entrant, avec une prime de nuit de 50 cents, selon le site web de l’entreprise, soit à peine trois dollars de plus que le salaire minimum.

En début d’année, Amazon a annoncé la création de 1000 emplois au Québec avec l’ouverture de son plus gros centre de tri à Coteau-du-Lac et de ses trois premiers postes de livraison dans la province.

En mars, la multinationale a aussi fait part de son intention d’ouvrir un studio de jeu vidéo au cœur de la métropole où l’environnement fiscal offre jusqu’à 37,5 % de crédit d’impôt sur les salaires et dépenses admissibles.

À son arrivée au Québec, un syndicat s’était inquiété de voir Amazon débarquer ici en qualifiant ses conditions de travail de « médiévales ».

« Aussitôt qu’il y a une rumeur ou un employé qui ose prononcer le mot “syndicat”, il y a une campagne de peur qui se déclenche », avait déploré le syndicaliste David Bergeron-Cyr, aujourd’hui vice-président au comité exécutif de la CSN.
____________________

16$/heure pour un commis lors de son embauche, c'est comme cheapette pas mal considérant que leur profit de Amazon dépasse largement les millions par année. En plus ces grands du business, ne font pratiquement rien pour que ce business fonctionne adéquatement, ce sont tous.toutes les travailleurs.travailleuses qui font rouler ce gros business. Les grands récoltent les profits et engrangent leur fortune.

En plus, ils prient le bon Dieu pour ne pas que les employé.es se syndiquent. Gang de bandits !

Dédé


La syndicalisation devrait être obligatoire pour ce genre d'entreprise. Comme dans les pays scandinaves. Sinon, out!

:out:

______________

Des crisses d'exploiteurs anarchiques ! :enrage:

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Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici

par Blake, mercredi 05 mai 2021, 12:42 (il y a 1081 jours) @ Dédé

Source : Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici


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Mercredi, 5 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Mercredi, 5 mai 2021 00:00

Les employés québécois du géant américain Amazon n’auront pas droit à une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure, contrairement à leurs 500 000 collègues américains.

« Cette augmentation s’applique uniquement aux employés des États-Unis », a confirmé au Journal Dave Bauer, aux communications d’Amazon Canada.

Fin avril, Amazon a annoncé une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure pour près d’un demi-million d’employés aux É.-U., ce qui représente en moyenne 40 $ de plus par semaine par travailleur, une mesure qui pourrait coûter plus d’un milliard de dollars à l’entreprise de Jeff Bezos.

Ces nouvelles hausses de salaire surviennent après l’échec récent de la création d’un premier syndicat dans un entrepôt du sud des États-Unis.

« Le choix d’adhérer à un syndicat appartient aux travailleurs. Point final », avait lancé le président Joe Biden sans nommer Amazon, qui est venu à un cheveu de voir entrer le syndicat à son entrepôt de Bessemer, en Alabama.

L’entreprise de Jeff Bezos avait finalement gagné son pari par la suite en voyant le Non à la syndicalisation l’emporter avec 1798 voix, contre 738 votes en faveur.

Avec 1,2 million de salariés, Amazon était le troisième employeur de la planète l’an dernier, après Walmart (2,2 millions) et China National Petroleum (1,34 million).

À peine plus que le minimum

Au Québec, un commis d’entrepôt saisonnier de Saint-Hubert ou de Lachine gagne 16 $ l’heure en entrant, avec une prime de nuit de 50 cents, selon le site web de l’entreprise, soit à peine trois dollars de plus que le salaire minimum.

En début d’année, Amazon a annoncé la création de 1000 emplois au Québec avec l’ouverture de son plus gros centre de tri à Coteau-du-Lac et de ses trois premiers postes de livraison dans la province.

En mars, la multinationale a aussi fait part de son intention d’ouvrir un studio de jeu vidéo au cœur de la métropole où l’environnement fiscal offre jusqu’à 37,5 % de crédit d’impôt sur les salaires et dépenses admissibles.

À son arrivée au Québec, un syndicat s’était inquiété de voir Amazon débarquer ici en qualifiant ses conditions de travail de « médiévales ».

« Aussitôt qu’il y a une rumeur ou un employé qui ose prononcer le mot “syndicat”, il y a une campagne de peur qui se déclenche », avait déploré le syndicaliste David Bergeron-Cyr, aujourd’hui vice-président au comité exécutif de la CSN.
____________________

16$/heure pour un commis lors de son embauche, c'est comme cheapette pas mal considérant que leur profit de Amazon dépasse largement les millions par année. En plus ces grands du business, ne font pratiquement rien pour que ce business fonctionne adéquatement, ce sont tous.toutes les travailleurs.travailleuses qui font rouler ce gros business. Les grands récoltent les profits et engrangent leur fortune.

En plus, ils prient le bon Dieu pour ne pas que les employé.es se syndiquent. Gang de bandits !

Dédé


La syndicalisation devrait être obligatoire pour ce genre d'entreprise. Comme dans les pays scandinaves. Sinon, out!

:out:

______________

Des crisses d'exploiteurs anarchiques ! :enrage:

Mets-en! Pourquoi ne pas les mettre dehors tout simplement et mettre full taxes sur leurs affaires?

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Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici

par Dédé ⌂ @, mercredi 05 mai 2021, 12:57 (il y a 1080 jours) @ Blake

Source : Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici


FRANCIS HALIN
Mercredi, 5 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Mercredi, 5 mai 2021 00:00

Les employés québécois du géant américain Amazon n’auront pas droit à une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure, contrairement à leurs 500 000 collègues américains.

« Cette augmentation s’applique uniquement aux employés des États-Unis », a confirmé au Journal Dave Bauer, aux communications d’Amazon Canada.

Fin avril, Amazon a annoncé une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure pour près d’un demi-million d’employés aux É.-U., ce qui représente en moyenne 40 $ de plus par semaine par travailleur, une mesure qui pourrait coûter plus d’un milliard de dollars à l’entreprise de Jeff Bezos.

Ces nouvelles hausses de salaire surviennent après l’échec récent de la création d’un premier syndicat dans un entrepôt du sud des États-Unis.

« Le choix d’adhérer à un syndicat appartient aux travailleurs. Point final », avait lancé le président Joe Biden sans nommer Amazon, qui est venu à un cheveu de voir entrer le syndicat à son entrepôt de Bessemer, en Alabama.

L’entreprise de Jeff Bezos avait finalement gagné son pari par la suite en voyant le Non à la syndicalisation l’emporter avec 1798 voix, contre 738 votes en faveur.

Avec 1,2 million de salariés, Amazon était le troisième employeur de la planète l’an dernier, après Walmart (2,2 millions) et China National Petroleum (1,34 million).

À peine plus que le minimum

Au Québec, un commis d’entrepôt saisonnier de Saint-Hubert ou de Lachine gagne 16 $ l’heure en entrant, avec une prime de nuit de 50 cents, selon le site web de l’entreprise, soit à peine trois dollars de plus que le salaire minimum.

En début d’année, Amazon a annoncé la création de 1000 emplois au Québec avec l’ouverture de son plus gros centre de tri à Coteau-du-Lac et de ses trois premiers postes de livraison dans la province.

En mars, la multinationale a aussi fait part de son intention d’ouvrir un studio de jeu vidéo au cœur de la métropole où l’environnement fiscal offre jusqu’à 37,5 % de crédit d’impôt sur les salaires et dépenses admissibles.

À son arrivée au Québec, un syndicat s’était inquiété de voir Amazon débarquer ici en qualifiant ses conditions de travail de « médiévales ».

« Aussitôt qu’il y a une rumeur ou un employé qui ose prononcer le mot “syndicat”, il y a une campagne de peur qui se déclenche », avait déploré le syndicaliste David Bergeron-Cyr, aujourd’hui vice-président au comité exécutif de la CSN.
____________________

16$/heure pour un commis lors de son embauche, c'est comme cheapette pas mal considérant que leur profit de Amazon dépasse largement les millions par année. En plus ces grands du business, ne font pratiquement rien pour que ce business fonctionne adéquatement, ce sont tous.toutes les travailleurs.travailleuses qui font rouler ce gros business. Les grands récoltent les profits et engrangent leur fortune.

En plus, ils prient le bon Dieu pour ne pas que les employé.es se syndiquent. Gang de bandits !

Dédé


La syndicalisation devrait être obligatoire pour ce genre d'entreprise. Comme dans les pays scandinaves. Sinon, out!

:out:

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Des crisses d'exploiteurs anarchiques ! :enrage:


Mets-en! Pourquoi ne pas les mettre dehors tout simplement et mettre full taxes sur leurs affaires?

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Parce qu'ils font quand même un roulement à l'économie. Je ne vois pas une autre raison.

Anyway, il y aura toujours des imbéciles qui feraient affaire avec eux et des consommateurs imbéciles qui pensent de payer moins cher mais qui se font crosser à l'os ! :evil:

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Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici

par Blake, mercredi 05 mai 2021, 13:29 (il y a 1080 jours) @ Dédé

Source : Amazon n’augmentera pas ses salariés d’ici


FRANCIS HALIN
Mercredi, 5 mai 2021 00:00
MISE À JOUR Mercredi, 5 mai 2021 00:00

Les employés québécois du géant américain Amazon n’auront pas droit à une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure, contrairement à leurs 500 000 collègues américains.

« Cette augmentation s’applique uniquement aux employés des États-Unis », a confirmé au Journal Dave Bauer, aux communications d’Amazon Canada.

Fin avril, Amazon a annoncé une hausse salariale de 50 cents à trois dollars l’heure pour près d’un demi-million d’employés aux É.-U., ce qui représente en moyenne 40 $ de plus par semaine par travailleur, une mesure qui pourrait coûter plus d’un milliard de dollars à l’entreprise de Jeff Bezos.

Ces nouvelles hausses de salaire surviennent après l’échec récent de la création d’un premier syndicat dans un entrepôt du sud des États-Unis.

« Le choix d’adhérer à un syndicat appartient aux travailleurs. Point final », avait lancé le président Joe Biden sans nommer Amazon, qui est venu à un cheveu de voir entrer le syndicat à son entrepôt de Bessemer, en Alabama.

L’entreprise de Jeff Bezos avait finalement gagné son pari par la suite en voyant le Non à la syndicalisation l’emporter avec 1798 voix, contre 738 votes en faveur.

Avec 1,2 million de salariés, Amazon était le troisième employeur de la planète l’an dernier, après Walmart (2,2 millions) et China National Petroleum (1,34 million).

À peine plus que le minimum

Au Québec, un commis d’entrepôt saisonnier de Saint-Hubert ou de Lachine gagne 16 $ l’heure en entrant, avec une prime de nuit de 50 cents, selon le site web de l’entreprise, soit à peine trois dollars de plus que le salaire minimum.

En début d’année, Amazon a annoncé la création de 1000 emplois au Québec avec l’ouverture de son plus gros centre de tri à Coteau-du-Lac et de ses trois premiers postes de livraison dans la province.

En mars, la multinationale a aussi fait part de son intention d’ouvrir un studio de jeu vidéo au cœur de la métropole où l’environnement fiscal offre jusqu’à 37,5 % de crédit d’impôt sur les salaires et dépenses admissibles.

À son arrivée au Québec, un syndicat s’était inquiété de voir Amazon débarquer ici en qualifiant ses conditions de travail de « médiévales ».

« Aussitôt qu’il y a une rumeur ou un employé qui ose prononcer le mot “syndicat”, il y a une campagne de peur qui se déclenche », avait déploré le syndicaliste David Bergeron-Cyr, aujourd’hui vice-président au comité exécutif de la CSN.
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16$/heure pour un commis lors de son embauche, c'est comme cheapette pas mal considérant que leur profit de Amazon dépasse largement les millions par année. En plus ces grands du business, ne font pratiquement rien pour que ce business fonctionne adéquatement, ce sont tous.toutes les travailleurs.travailleuses qui font rouler ce gros business. Les grands récoltent les profits et engrangent leur fortune.

En plus, ils prient le bon Dieu pour ne pas que les employé.es se syndiquent. Gang de bandits !

Dédé


La syndicalisation devrait être obligatoire pour ce genre d'entreprise. Comme dans les pays scandinaves. Sinon, out!

:out:

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Des crisses d'exploiteurs anarchiques ! :enrage:


Mets-en! Pourquoi ne pas les mettre dehors tout simplement et mettre full taxes sur leurs affaires?

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Parce qu'ils font quand même un roulement à l'économie. Je ne vois pas une autre raison.

Anyway, il y aura toujours des imbéciles qui feraient affaire avec eux et des consommateurs imbéciles qui pensent de payer moins cher mais qui se font crosser à l'os ! :evil:

C'est de l'argent qui s'en va ailleurs lorsque tu achètes avec eux. Aucun intérêt pour le PIB du pays. À part les employés qui dépensent de l'argent ici.

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