Le mouvement Incel (Forum)
Le féministe a réussi à écraser les hommes en idiot de service!
http://www.journaldemontreal.com/2018/05/05/lecole-et-lhecatombe-des-males
Non, ce n'est pas le doc Mailloux qui l'a dit
Le féministe a réussi à écraser les hommes en idiot de service!
http://www.journaldemontreal.com/2018/05/05/lecole-et-lhecatombe-des-males
Le Québec : un matriarcat
L’école québécoise apprend aux garçons à être des filles
DENISE BOMBARDIER
C’est une société qui tend à infantiliser les hommes en les maintenant dans une adolescence dont on sait qu’elle est chez les garçons en particulier une période d’irresponsabilités, de jeux dangereux, de feintes. Un ado, par la force des choses, utilise ses hormones au détriment de sa raison.
Dans notre matriarcat, la mère est tour à tour castratrice et complaisante. Elle pratique le chantage affectif, manie jusqu’à la perversion la culpabilité en jouant entre autres à la victime. La mère est forte et ne se prive pas d’envelopper son petit garçon de son amour étouffant. Ce qui explique la distance qu’établissent avec leur mère les mâles québécois qui veulent s’en protéger.
L’école apprend aussi aux garçons à être des filles. C’est sans doute pourquoi ils finissent trop souvent par devenir si enragés et si perturbés. Entourés presque exclusivement de maîtresses, la plupart féministes, ils se font dire qu’ils ne sont ni sages, ni appliqués, ni doués pour apprendre comme les petites filles, qui les entourent et qui devraient être leurs modèles.
Les garçons sont de la sorte prisonniers des étiquettes psychologiques qu’on leur accole. Et tous les troubles du comportement, toutes les dyslexies leur tombent dessus. Et quand la maman monoparentale a des comptes à régler avec le père absent, irresponsable, violent et indigne, le petit garçon finit parfois par s’en croire aussi responsable.
http://www.journaldemontreal.com/2018/05/07/le-quebec-un-matriarcat
Comment cela se fait-il?
En fait c'est fort simple. Nous assistons au Québec du moins, à une masculinisation du féminin et à une féminisation du masculin.
Les femmes acquièrent le rôle batailleur, revendicateur et justice dont les hommes étaient les uniques étendards avant le féminisme.
Les hommes acquièrent le rôle de soumission face aux femmes (féministe) qui était jusqu’à tout récemment subi par les femmes.
Puisque le marché du travail et la reconnaissance sociale sont masculins, les femmes doivent s'approprier le genre masculin pour y survivre.
Ainsi, le féministe n'est pas une revendication d'égalité entre les sexes, mais de prendre leur place dans un monde conçu et pour les hommes avec les attitudes masculines et non transformées une société égalitaire entre hommes et femmes.
D'où le renversement des rôles psychologique.
Les femmes auront des couilles et les hommes seront des moumounes...
Comment cela se fait-il?
En fait c'est fort simple. Nous assistons au Québec du moins, à une masculinisation du féminin et à une féminisation du masculin.
Les femmes acquièrent le rôle batailleur, revendicateur et justice dont les hommes étaient les uniques étendards avant le féminisme.
Les hommes acquièrent le rôle de soumission face aux femmes (féministe) qui était jusqu’à tout récemment subi par les femmes.
Puisque le marché du travail et la reconnaissance sociale sont masculins, les femmes doivent s'approprier le genre masculin pour y survivre.
Ainsi, le féministe n'est pas une revendication d'égalité entre les sexes, mais de prendre leur place dans un monde conçu et pour les hommes avec les attitudes masculines et non transformées une société égalitaire entre hommes et femmes.
D'où le renversement des rôles psychologique.
Les femmes auront des couilles et les hommes seront des moumounes...
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Il me semble que ça fait un bon bout que c'est devenu ainsi, Peter Macleod dans son show de 2010 Un homme, un vrai, en parle justement de la masculinité déviante.
La question se pose, faut-il s'en inquiéter ?
En fait, le pouvoir n'a pas de sexe !
Comment cela se fait-il?
Vous habitez un bien drôle de pays qui comme beaucoup d'autres a du mal à envisager les changements qui bousculent le monde.
Personne n'est prêt à se voir déclasser et lorsque depuis plusieurs millénaires l'homme domine, il résiste et use de tous les subterfuges pour ne pas voir que les rôles changent dans la société. Les femmes s'émancipent et réclament ce dont elles ont été privées jusque là. Et cela parait insupportable à bon nombre d'hommes qui voient leur statut remis en question.
Seulement voilà le cours des choses est lancé et ne va pas s'arrêter. Mais il ne sera pas forcément aussi dramatique que peuvent le laisser penser les nostalgiques.
Comment cela se fait-il?
Vous habitez un bien drôle de pays qui comme beaucoup d'autres a du mal à envisager les changements qui bousculent le monde.
Personne n'est prêt à se voir déclasser et lorsque depuis plusieurs millénaires l'homme domine, il résiste et use de tous les subterfuges pour ne pas voir que les rôles changent dans la société. Les femmes s'émancipent et réclament ce dont elles ont été privées jusque là. Et cela parait insupportable à bon nombre d'hommes qui voient leur statut remis en question.
Seulement voilà le cours des choses est lancé et ne va pas s'arrêter. Mais il ne sera pas forcément aussi dramatique que peuvent le laisser penser les nostalgiques.
Bien d'accord avec toi et de mon côté, je côtoie beaucoup de femmes de carrières et je ne me sens pas du tout en panique avec ça. Les hommes qui se sentent apeurés par ça devraient peut-être travailler leur confiance en soi.
Comment cela se fait-il?
Vous habitez un bien drôle de pays qui comme beaucoup d'autres a du mal à envisager les changements qui bousculent le monde.
Personne n'est prêt à se voir déclasser et lorsque depuis plusieurs millénaires l'homme domine, il résiste et use de tous les subterfuges pour ne pas voir que les rôles changent dans la société. Les femmes s'émancipent et réclament ce dont elles ont été privées jusque là. Et cela parait insupportable à bon nombre d'hommes qui voient leur statut remis en question.
Seulement voilà le cours des choses est lancé et ne va pas s'arrêter. Mais il ne sera pas forcément aussi dramatique que peuvent le laisser penser les nostalgiques.
Je n’en ai rien à foutre du classement social. Tu parles d'un féministe dépassé et relégué au passé. Le féminisme et le masculinisme évoluent, s'entrecroisent pour former une nouvelle psychologie sociale.