Rêve du 27 juin 2018 (Sciences & Paranormal)
Alan Parsons Project - Sirius/Eye In The Sky
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J'ai eu beaucoup de difficulté à m'endormir et ne sachant pas trop quoi faire pour relâcher la tension causées par les douleurs récurrentes, je me suis assis sur le bord de mon lit, question à me livrer à une séance de respiration afin d'atténuer la névralgie. Après quelques minutes, je m'étends de nouveau. Ce mois-ci, je n'avais pas vérifié la veille de la pleine lune, c'est ce matin que j'ai vérifié, c'est ce soir la pleine lune.
Or donc, j'avais compris que je devais m'apprêter à faire un autre voyage dans ce cosmos puisque cela ressemblait trop à ce qui se produit chaque mois à l'approche de cette pleine lune. Surtout que les douleurs étaient plus lancinantes depuis quelques jours. Évidemment, c'est ce qui s'est produit, je vous en relate les faits.
Tout juste durant que je récapitulais ma journée, question de bien fragmenter mon subconscient, ma jonglerie a cessé et c'est là que je m'aperçois que je flotte dans le cosmos. Je n'aime pas vraiment me retrouver dans cet état d'esprit, c'est toujours difficile pour mon cœur parce que celui-ci est pratiquement plus sonore dans cet état et je sais très bien qu'il prend un rythme rapide à chaque fois que je m'y retrouve. Je cherche mes balises de situation et en regardant à ma gauche, je vois que je suis approximativement à près d'un million de kilomètre de la terre. Une vraie petite bille brillante par le soleil. Je me sens donc en sécurité et mes battements cardiaques diminuent.
Je me tourne davantage sur le côté gauche et je vois au loin, une nébuleuse. Elle était tellement loin mais elle a quand même soutirer en moi la curiosité, par sa couleur pastel et tout ce rayonnement qu'elle cause dans son environnement. Je ne peux pas vraiment vous spécifier les couleurs, puisque je suis daltonien. Par contre, il y avait une belle palette de couleur. Durant que je l'observais, je me suis aperçu que j'avançais vers elle, à une vitesse telle que les étoiles faisaient un trait et puis après quelques secondes, je me retrouve devant elle à quelques milliers de kilomètre.
Fantasmagorique comme vision, je pouvais entendre la cohue puisqu'il y avait des entrechocs par ses éléments astraux. Par contre, il y avait une forte odeur de souffre et d'ammoniaque, ça me rendait inconfortable. Du coup, ça m'a rappelé une senteur fétide dans une obscurité totale, ça me projette dans le passé cette senteur.
Je regarde de gauche à droite devant moi et je vois à l'extrémité à droite, une lumière intense qui m'était difficile à regarder. Je place ma main devant comme pour minimiser la clarté. Je ressens que je me déplace vers cette lumière. Plus j'avance, plus je ressens sa chaleur. De loin, je vois des éléments astraux qui me semblait à se former. Je me dis, est-ce un nouveau système solaire en formation ?
Un élément m'impressionne par sa dimension, son opacité et ses bandes colorées ocres. Une belle gazeuse que je me dis. Quelques milliers de kilomètre par la suite, puisque j'avance encore vers cette étoile, je vois un autre élément. Quasiment la même taille que le dernier élément mais ressemble de beaucoup à notre belle planète bleue. Je décide donc de cesser d'avancer vers l'étoile pour me concentrer vers cet élément. J'y prête l'oreille car il m'a semblé entendre un son provenir de cet élément. Le son était toujours le même mais à degré de sonorité différente. Il haussait et il diminuait, comme s'il s'agirait d'un code radio. Plus je m'approche de l'élément plus je m'aperçois qu'il n'y avait pas grand sol à la surface. Je décide de faire le tour et dans cette pénombre, et vu que je m'étais approché, je voyais de la végétation tout près à ce qui ressemblait à une chaîne de pics.
Je cesse de bouger lorsque je me suis retrouvé devant la clarté du jour sur cet élément. Je suis devant une plaine, une énorme plaine, qui fait possiblement la grandeur de mon pays, une plaine à perte de vue, avec des touffes de forêt ici et là, parsemé à ce qui ressemble à des arbres. Je suis assez proche de son atmosphère pour en sentir l'essence, un parfum doux. Cependant, je m'attarde à observer le plancher des vaches. Pas d'âme qui bouge, pas de trace non plus d'une civilisation quelconque, pas d'animaux, oups, des êtres volants de grande dimension, des êtres qui ressemblent à nos mammifères herbivores.
Tout d'un coup, je me sens aspiré par le dos et c'est vraiment inconfortable, ça brûle même. Le temps de savoir à ce qui se passait, je suis assis sur le bord de mon lit, complètement éveillé !
Il me reste à décortiquer tout ça pour en retirer une interprétation claire.
Dédé