Rêve du 20 août 2018 (Sciences & Paranormal)

par Dédé, lundi 20 août 2018, 21:38 (il y a 2290 jours)
édité par Dédé, samedi 29 septembre 2018, 13:16

La semaine du dernier croissant lunaire, c'est toujours propice aux rêves, même pour les gens où il est rare qu'ils rêvent. Le dernier croissant, c'est la transition vers le renouveau, une étape importante compte tenu que c'est la dernière pleine lune de l'été.

Le rêve de la nuit dernière, mon feu frère François ( décédé en mai 1986 ) qui jouait le guide de ce qui s'est déroulé dans celui-ci. C'était ici où j'habite actuellement et François était venu me rendre une petite visite comme il le faisait souvent de son vivant. Il me dit d'entrée de jeu qu'ils sont venus me chercher et évidemment, j'ai demandé qui vient me chercher. Il me dit de regarder dehors à travers de la porte patio et que vois-je, une myriade de petits points lumineux dans le ciel. Me retournant en regardant François, je lui dis tout bonnement qu'ils ne peuvent pas m'attraper, ils sont trop niais pour me pincer. Riant comme un bon, il était sceptique en me disant que quelque soit la manière que je m'esquiverai, qu'ils m'auront.

Je sors donc dehors avec lui et dès que j'ai franchi la porte, l'un de ces luminaire s'est approché vers moi. Il était elliptique de couleur oranger tirant sur le jaune flamme et il me semblait complètement transparent, comme s'il s'agissait d'une méduse dans l'eau. Je cours vers ma galerie et je décide de me coucher dessous pour ne pas me faire voir, en disant à François de ne pas trop approcher de l'astronef. S'ils me veulent du mal, je ne voulais pas que cela se produise sur lui que je me disais.

Me croyant bien caché, j'ai vite vu que l'astronef à la hauteur d'où j'étais et j'ai comme ressenti que l'être me faisait des coucous, comme pour me dire ; connard, je te vois !

Alors je me lève rapidement pour entrer chez-moi et mon frère me suit. En entrant, il me dit ; Ça ne donne rien de te cacher ici André, ils passent au travers des murs. Je décide donc d'affronter et je sors dehors. En sortant, je vois l'engin être cerné d'hélicos noirs et ces derniers lui tiraient dessus. Quelques secondes par la suite, tous les vaisseaux qui étaient stationnaire dans le ciel, ont bougé simultanément en faisant une drôle de chorégraphie qui ressemblait passablement à la danse nuptiale des lucioles.

Le vaisseau qui me cherchait se libère des hélicos qui ont été pourchassés par les autres vaisseaux, tombaient sur le sol comme s'il s'agissait des mouches qui tombent. J'étais sur le choc mais pas pour mon frère comme s'il était certain que ce déroulement se ferait. Le vaisseau s'approche de moi à quelques mètres et je décide de courir vers lui avec un bâton de baseball en aluminium. Évidemment, je cachais mon bâton et dès que je pouvais le toucher, je frappe un coup solide dessus. Un bruit sourd s'est fait, comme un choc de deux matières en métaux. Ça tellement résonner que mes bras tremblaient presque en convulsion. Évidemment, ça rien fait sur le vaisseau mais j'étais tellement en ciboulot, que je décide de lui donner un coup de coude en ascendant. Ça l'a déstabilisé pour aller se choir sur les cabanons de la cour arrière.

J'étais content de mon coup et j'ai voulu regarder François, il n'y était plus et je me réveille ainsi.

Il me reste à décortiquer ça pour comprendre ce qui s'en vient pour moi d'ici cet automne, à la lune de septembre.

Dédé