Genesis - Mama
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Juste pour l'écouter, en mémoire de mes 2 frères décédés. C'était dans leur vivant, j'étais avec mon chum Peter qui était assis en-avant et Momo conduisait sa Camaro 79 noir mat ( voir illustration ) dans le temps, et François, nous suivait derrière nous avec un ancien char de flic, dont je me rappelle plus de la marque ( Une Dodge 83 ). Pourquoi cette tune, parce que Momo avait le pied pesant lorsque cette tune jouait à la radio et sur la 158 venant de Lachute, disons que bien souvent c'était un risque de dépasser, surtout en ligne double. Nous n'avons rien eu mais François s'est retrouvé loin en arrière, préférant sans doute à suivre son gros bon sens, pour ne pas écrire mautadine de pépère !

Je n'ai jamais aimé conduire pour cette seule et unique raison, je déteste la route et les pépères à casse qui le casse enfoncé aux yeux et qui ne voient rien en-arrière d'eux tout en roulant un vitesse folle de 60 km à une zone de 90km/heure. Je n'ai aucune mais aucune patience sur la route. Évidemment, ça changer un brin lorsque je conduisais l'ambulance mais avec une auto personnelle, je suis un dangereux. Depuis 2010 que je ne conduis plus, à cause de ma lésion lombaire, mes jambes ne répondaient plus et j'ai passé un 4 coins sans pouvoir arrêter l'auto. J'avais un ange avec moi parce qu'aucun accrochage mais une peur bleue. Étant incertain de mon état de santé, j'ai décidé de ne plus conduire et du fait même, je n'aurai plus aucun véhicule, déjà que je suis estropié, je ne veux pas en estropier d'autres.

Mon père aurait toujours voulu que je devienne un routier mais c'est lui qui m'a donné la piqûre de devenir technicien-ambulancier, en 1979, je n'avais pas encore 18 ans lorsque j'ai débuté ce métier.

Bon, j'ai fini pour à souère !

Tu devrais écrire ton expérience et ta passion pour sauver des vie et ta vision et de ton accident professionnel

Dans le dont ce que tu as vu.

Être un genre de grand frère pour le personnelle ambulancier estropié et autres intéressé.
Tu es un parain et um grand frère sinon un père.

Sinon faut que l'on ce souvienne se toi pour longtemps

Tu devrais écrire ton expérience et ta passion pour sauver des vie et ta vision et de ton accident professionnel

Dans le dont ce que tu as vu.

Être un genre de grand frère pour le personnelle ambulancier estropié et autres intéressé.
Tu es un parain et um grand frère sinon un père.

Sinon faut que l'on ce souvienne se toi pour longtemps

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Pour moi, le métier de technicien-ambulancier est le plus beau au monde. Il n'y a pas de monotonie avec ce métier, malgré les appels logés au 911, nous ne savons pratiquement pas ce qu'il y a au bout de notre intervention. L'adrénaline est toujours élevée, c'est comme le sang qui circule dans nos veines.

Bien souvent, c'est difficile surtout lorsqu'il s'agit d'enfants en grande difficulté, soit dans un accident de la route ou durant une altercation de violence conjugale. Il y a aussi lors d'intervention pour les membres de notre famille. Mais en général, ce métier apporte beaucoup pour les valeurs sociales durant une urgence quelconque, lorsque nous en recevons les félicitations et que les parents des bénéficiaires nous serrent dans leurs bras.

Depuis 1994 que je ne pratique plus ce métier dû à une lésion professionnelle qui m'a estropié à la région lombaire. Malgré tout, je rêve souvent encore que je fais le métier. Cependant dans ces rêves, je me sens mal à l'aise puisque je sais que je n'ai plus les qualités nécessaires puisque je n'ai pas suivi les mises à jours sur les protocoles d'interventions et que je connais pas les fonctionnements des nouveaux appareils disponible.

Ce métier est très dangereux pour la colonne vertébrale puisque les travailleurs sont en attente dans leur véhicule et force toujours à froid lors d'intervention. Tu auras beau de porter une ceinture adaptée pour forcer sans danger pour le dos et avoir de l'aide pour soulever un bénéficiaire dans une situation inadéquate, forcer à froid n'aide absolument à te prémunir des dangers de lésion. Je suis bien loin le seul à avoir été estropié, ô que non !

Si ma vie serait à refaire, je n'hésiterais même pas à le refaire !

Dédé