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Réflexion sur un cas vécu ! suite 2 et fin (Sciences & Paranormal)

par Dédé, jeudi 13 septembre 2018, 01:44 (il y a 2267 jours) @ Dédé

Comme je ne peux pas me fier aux rêves qui ont succédé à la suite de cet évènement et qui ont été échelonnés pendant plus d'une vingtaine d'année, tout ce qui en est sorti ne demeure que des visions chimériques, même si dans l'ensemble tout semblait tellement réel dans le déroulement. Depuis cet évènement, je n'ai pas fait de décompte les fois où j'ai rêvé aux phénomènes du troisième type. J'ai remarqué cependant que lorsque je suis en période d'ouverture au subtil, je rêve à ces faces de terre cuite. :D

Toutefois, dans mon for intérieur, je ressens que ce n'est pas terminé avec eux. À vrai dire, ils n'ont pas besoin d'être présent devant moi pour les ressentir, je les ressens tellement fort que même durant la contemplation, cela obstrue ma complaisance d'être devant cette belle nature. Dès que je les ressens, je sors de l'endroit pour retourner chez moi prestement, sans courir évidemment. Je sais qu'ils sont omniprésents même si on m'en persuaderait le contraire. Je dirais même que si je me concentrerais, j'aurais de fortes chances d'entrer en contact avec eux, car vraiment, ils ne sont pas très loin, seule la loi les interdits !

À la suite de cet incident de parcours, j'étais pratiquement ouvert à la subtilité. J'avais des visions instantanées, des prémonitions qui se sont avérées fondées quelques heures plus tard et quelque fois un mois après les avoir reçu. Je me suis penché aux arts divinatoires, nenni pour m'en servir pour en faire une renommée, mais bien pour guider les gens qui m'ont demandé consultation. En fait, ces arts divinatoires ne sont qu'un reflet bien minime à ce que ressens du subtil. Au fil du temps, j'ai laissé tomber pour me concentrer d'avantage au destin que je m'étais forgé, soit un travail à temps plein, construire une petite famille et vivre heureux.

C'est en retournant à mon métier à temps plein ( en 1987 ) lorsque j'ai connu la femme de mes enfants ( feue Manon ), ma capacité d'avoir le contrôle lors d'intervention aux urgences, a fait en sorte que tout se plaçait avec diligence et que les interventions se terminaient rapidement et efficacement. J'avais le sang froid nécessaire pour me faire bien comprendre et des arguments d'interventions infaillibles pour la sécurité des intervenants et la prise en charge des bénéficiaires en situation d'urgences. Le seul hic qui planait au-dessus de ma tête, c'est mon corps fragile de petite constitution ( j'ai tout plus petit que la normale pour ma grandeur, avec une fragilité nettement marquante à la colonne vertébrale ).

En fait, je savais que j'en aurais pas bien des années à faire ce métier sans en ressortir estropié. Au début de l'année 1994 ( 21 janvier pour être plus précis ), le destin professionnel s'est arrêté là. Deux neurochirurgies qui se sont mal terminées, en ayant un dossier tellement épais qu'il faut un Purolator pour le déplacer. J'ai tout essayé pour revenir sur le marché du travail en suivant même des programmes de réinsertion. Les limitations fonctionnelles qui m'ont été imputées ont eu raison de mon acharnement, puisque la limitation majeure est que je dois changer de position à tout au plus après une vingtaine de minutes et ma deuxième plus sérieuse est que je ne dois pas dépasser plus de 20 heures/semaine. C'est difficile d'avoir un emploi avec un Purolator attaché aux fesses !

Ce matin, je dois passer une expertise médicale pour le dossier de récidive. Je trouve ça bizarre parce que normalement, cela se fait après une intervention chirurgicale, puisque je suis en attente d'une 3ième neurochirurgie. Bof que je me dis !

Considérant l'après du deuxième évènement du phénomène en 1979, il m'est venu à l'idée que tout j'ai vécu était en cause de cet évènement. Sans donner que c'est la seule et unique raison, puisque je savais que ma constitution viendrait à changer tous mes plans de carrière et que je devrais changer mon plan de vie en considérant à ce qui se passerait à mon environnement. J'ai compris que je devais changer ma vision des choses en observant, en recherchant les éléments qui me permettraient d'évoluer à ma juste valeur et à communiquer tout ce que je ressens, être proche des gens tout en étant détaché de leurs passages. Autrement dit, pour vivre ce que je vis présentement, il fallait quelque chose de bien majeur pour que je me tienne pénard tout le restant de ma vie.

Pas pour rien que le virtuel est le seul social pour moi et que j'ai créé cet endroit, mes mots peuvent avoir une valeur sociale à qui veut bien le comprendre ou le rejeter. Je ne suis pas un Christ pour brasser les tables du Temple, ni celui qui prophétise au sommet d'une montagne, je suis que moi, André Brisson.

Il n'en demeure pas moins par contre, que mon double est un extra ! :D

Fin de ce sujet.

Dédé


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