Du vrai crisse de niaisage ! (Forum)

par Dédé, jeudi 25 octobre 2018, 18:55 (il y a 2225 jours) @ Blake

Ouf ! il en a fallu de peu que je pète ma coche. Nul été que c'était l'infirmière qui m'a reçu, j'aurais enguirlandé le crisse de pousseux de crayon de médecin. Je suis allé passer une entrevue avec l'infirmière en préparation opératoire afin de rencontrer le médecin. Les examens ont été qu'une simple prise de sang et un ECG ( électrocardiogramme ). 2 heures d'attente pour une sacrée prise de sang que j'aurais pu faire ça ici à Granby au lieu de me taper 3 heures de bouchon sur la route et de payer des frais de déplacement.

Par surcroît, le médecin ne m'a même pas reçu car il n'avait pas le dossier du CHUS ( Centre Hospitalier de Université de Sherbrooke ) car j'ai seulement signé un osti de papier pour l'autoriser à recevoir ce crisse de dossier. Me semble qu'il aurait pu m'envoyer par courriel cette demande d'autorisation puisque cela se fait maintenant par cette façon et me faire passer la prise de sang et le ECG ici à Granby. Mais non, le monde est trop cave pour ces osti de pousseux de crayon !

Le pire, il veut me rencontrer avant la date prévue pour la chirurgie, pour me dire quoi au juste ? Crisse, sur ma carte du CH, il y a mon numéro de téléphone, il a juste à m'appeler pour me le dire au lieu de me faire déplacer. En plus, il a mon numéro de carte d'assurance-maladie, il n'a même pas besoin de me voir pour se faire payer une consultation.

Touka, je comprends mieux pourquoi le système de la santé fonctionne très mal, c'est à cause de ces osti de pousseux de crayon qui sont incapables de fonctionner avec logique et sont payés grassement pour rire du monde les calvaires !

T'es en beau crisse pour vrai mon boswell.

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Mon accompagnateur ( un monsieur de 85 ans ) m'a calmé un brin mais il me donnait raison de péter ma coche. Je l'ai pété d'aplomb car je parlais tellement fort que les gens autour étaient mal à l'aise et avaient une certaine crainte que j'éclate. Oui j'ai pété la coche mais j'amenais les arguments du pourquoi je n'étais pas de bonne humeur. L'infirmière était mal à l'aise mais a gardé son sang-froid et me donnait aussi raison, tellement qu'elle m'est arrivé avec un pamphlet du comment porter plainte du service médical.

Comme je lui disais, ce n'étais pas à elle que je m'en prenais mais elle a su me dire que ma sortie a été parfaitement entendu derrière les bureaux, delà qu'elle m'a remis le pamphlet par la suite. C'est certain que je vais lever une plainte en bonne et due forme.