Godsmack - Voodoo
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Ma convalescence se passe bien jusqu'à maintenant. Demain, je vais au CLSC pour me faire enlever les points de suture. J'ai comme hâte parce que là, ça pique en sacréfesse. La région opérée est aux couleurs d'une ecchymose et encore beaucoup sensible. Bien difficile de dormir mais je parviens y arriver malgré tout, car j'ai décidé de couper le Diladid immédiatement afin d'éviter à me retrouver avec une période de sevrage, puisque ce médicament est essentiellement fait avec de la morphine. Après plus de 24 années de douleur physique, cette neurochirurgie jusqu'à maintenant, a été une bonne chose car je n'ai plus ces douleurs récurrentes qui me terrassaient. Alors, l'antidouleur pour une si petite douleur, ce n'est pas nécessaire.

Évidemment, je ne fais pratiquement rien à part de m'allonger comme il se doit sur le divan, m'assoir sur le divan, aller aux toilettes, parcourir le web de 15 à 30 minutes, retourner sur le divan et me coucher pour la nuit. Je ne fais rien qui pourrait enlever ma chance de marcher car là je marche bien. Je suis tellement bien physiquement que je ne veux pas faire une chose qui pourrait entraver ce petit bonheur. D'ailleurs lorsque je marche, je ressens mes pas, ce que j'avais perdu dernièrement dont l'usage d'une canne pour éviter de chuter. Même pas besoin d'une canne, je marche droit comme un fantassin.

Je dois rencontrer Dr. Giroux le 5 décembre pour voir aux traitements après neurochirurgie. Sûrement de la physiothérapie à faire mais cela va dépendre de la CNESST si elle accepte de payer les traitements, puisque je suis en litige car en dossier de contestation. Mais ça, c'est encore loin, pas besoin de faire des boutons pour l'instant.

Voilà en résumé ma convalescence jusqu'à maintenant.

Dédé

Godsmack - Voodoo
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Ma convalescence se passe bien jusqu'à maintenant. Demain, je vais au CLSC pour me faire enlever les points de suture. J'ai comme hâte parce que là, ça pique en sacréfesse. La région opérée est aux couleurs d'une ecchymose et encore beaucoup sensible. Bien difficile de dormir mais je parviens y arriver malgré tout, car j'ai décidé de couper le Diladid immédiatement afin d'éviter à me retrouver avec une période de sevrage, puisque ce médicament est essentiellement fait avec de la morphine. Après plus de 24 années de douleur physique, cette neurochirurgie jusqu'à maintenant, a été une bonne chose car je n'ai plus ces douleurs récurrentes qui me terrassaient. Alors, l'antidouleur pour une si petite douleur, ce n'est pas nécessaire.

Évidemment, je ne fais pratiquement rien à part de m'allonger comme il se doit sur le divan, m'assoir sur le divan, aller aux toilettes, parcourir le web de 15 à 30 minutes, retourner sur le divan et me coucher pour la nuit. Je ne fais rien qui pourrait enlever ma chance de marcher car là je marche bien. Je suis tellement bien physiquement que je ne veux pas faire une chose qui pourrait entraver ce petit bonheur. D'ailleurs lorsque je marche, je ressens mes pas, ce que j'avais perdu dernièrement dont l'usage d'une canne pour éviter de chuter. Même pas besoin d'une canne, je marche droit comme un fantassin.

Je dois rencontrer Dr. Giroux le 5 décembre pour voir aux traitements après neurochirurgie. Sûrement de la physiothérapie à faire mais cela va dépendre de la CNESST si elle accepte de payer les traitements, puisque je suis en litige car en dossier de contestation. Mais ça, c'est encore loin, pas besoin de faire des boutons pour l'instant.

Voilà en résumé ma convalescence jusqu'à maintenant.

Dédé

C'est tout un changement pour toi. Évidemment, la guérison est loin d'être finie mais c'est très positif car tu marches drette mon boswell et pas de canne.

C'est tout un changement pour toi. Évidemment, la guérison est loin d'être finie mais c'est très positif car tu marches drette mon boswell et pas de canne.

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C'est la première chose que j'ai fait lorsque je me suis réveillé après l'opération, de me lever debout. Évidemment, j'étais surveillé car dès j'ai voulu me lever, il y avait une infirmière qui ne voulait pas que je me lève seul. J'ai sorti le «fouette» à pépique et je lui ai dit qu'il fallait que je me lève. Dès que j'ai placé mes pieds par terre, j'ai ressenti le plancher et laisses-moi te dire que j'étais émerveillé par cette sensation agréable, car ça fait au moins plus de 3 ans que je ne ressentais plus le sol à la marche.

Mais ce qui me rend encore plus de bonne humeur, c'est de ne plus ressentir les irradiations de douleurs qui persistaient sur mes jambes, ni aucune crampe, ni cette fameuse impression d'avoir un coup de couteau sur la cuisse gauche. C'est vraiment le jour et la nuit comme différence.

C'est tout un changement pour toi. Évidemment, la guérison est loin d'être finie mais c'est très positif car tu marches drette mon boswell et pas de canne.

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C'est la première chose que j'ai fait lorsque je me suis réveillé après l'opération, de me lever debout. Évidemment, j'étais surveillé car dès j'ai voulu me lever, il y avait une infirmière qui ne voulait pas que je me lève seul. J'ai sorti le «fouette» à pépique et je lui ai dit qu'il fallait que je me lève. Dès que j'ai placé mes pieds par terre, j'ai ressenti le plancher et laisses-moi te dire que j'étais émerveillé par cette sensation agréable, car ça fait au moins plus de 3 ans que je ne ressentais plus le sol à la marche.

Mais ce qui me rend encore plus de bonne humeur, c'est de ne plus ressentir les irradiations de douleurs qui persistaient sur mes jambes, ni aucune crampe, ni cette fameuse impression d'avoir un coup de couteau sur la cuisse gauche. C'est vraiment le jour et la nuit comme différence.

Toute une différence. Opération réussie. C'est quoi déjà le nom du chirurgien et de l'hôpital?

C'est tout un changement pour toi. Évidemment, la guérison est loin d'être finie mais c'est très positif car tu marches drette mon boswell et pas de canne.

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C'est la première chose que j'ai fait lorsque je me suis réveillé après l'opération, de me lever debout. Évidemment, j'étais surveillé car dès j'ai voulu me lever, il y avait une infirmière qui ne voulait pas que je me lève seul. J'ai sorti le «fouette» à pépique et je lui ai dit qu'il fallait que je me lève. Dès que j'ai placé mes pieds par terre, j'ai ressenti le plancher et laisses-moi te dire que j'étais émerveillé par cette sensation agréable, car ça fait au moins plus de 3 ans que je ne ressentais plus le sol à la marche.

Mais ce qui me rend encore plus de bonne humeur, c'est de ne plus ressentir les irradiations de douleurs qui persistaient sur mes jambes, ni aucune crampe, ni cette fameuse impression d'avoir un coup de couteau sur la cuisse gauche. C'est vraiment le jour et la nuit comme différence.

Toute une différence. Opération réussie. C'est quoi déjà le nom du chirurgien et de l'hôpital?

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Le docteur Marc Giroux. Son bureau est à Laval, à la clinique de neurochirurgiens au 1800 boul. Le Corbusier. Il a faction en neurochirurgie aux CH Sacré-Cœur et CH Fleury, dont l'endroit que j'ai eu la neurochirurgie.

C'est mon conseiller juridique qui m'a référé à lui et me l'a conseillé fortement en ayant connaissance à mon dossier médical.

Je ne crie pas victoire trop vite car il y a une période de réadaptation physique à faire et souvent, l'infection post-opératoire se manifeste après un mois de la chirurgie, ce qui s'est produit aux 2 autres antérieurement.

Je croise les doigts !

C'est tout un changement pour toi. Évidemment, la guérison est loin d'être finie mais c'est très positif car tu marches drette mon boswell et pas de canne.

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C'est la première chose que j'ai fait lorsque je me suis réveillé après l'opération, de me lever debout. Évidemment, j'étais surveillé car dès j'ai voulu me lever, il y avait une infirmière qui ne voulait pas que je me lève seul. J'ai sorti le «fouette» à pépique et je lui ai dit qu'il fallait que je me lève. Dès que j'ai placé mes pieds par terre, j'ai ressenti le plancher et laisses-moi te dire que j'étais émerveillé par cette sensation agréable, car ça fait au moins plus de 3 ans que je ne ressentais plus le sol à la marche.

Mais ce qui me rend encore plus de bonne humeur, c'est de ne plus ressentir les irradiations de douleurs qui persistaient sur mes jambes, ni aucune crampe, ni cette fameuse impression d'avoir un coup de couteau sur la cuisse gauche. C'est vraiment le jour et la nuit comme différence.

Toute une différence. Opération réussie. C'est quoi déjà le nom du chirurgien et de l'hôpital?

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Le docteur Marc Giroux. Son bureau est à Laval, à la clinique de neurochirurgiens au 1800 boul. Le Corbusier. Il a faction en neurochirurgie aux CH Sacré-Cœur et CH Fleury, dont l'endroit que j'ai eu la neurochirurgie.

C'est mon conseiller juridique qui m'a référé à lui et me l'a conseillé fortement en ayant connaissance à mon dossier médical.

Je ne crie pas victoire trop vite car il y a une période de réadaptation physique à faire et souvent, l'infection post-opératoire se manifeste après un mois de la chirurgie, ce qui s'est produit aux 2 autres antérieurement.

Je croise les doigts !

En tout cas, ça semble un beau changement positif pour l'instant.