Une livraison par derrière ! (Forum)
The Beatles - Get Back
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Il est évident que j'écris moins ces temps-ci, du moins je ne me livre pas beaucoup à ce que je vis depuis un certain temps, c'est l'incertitude bien que les choses qui s'en viennent, semblent pourtant me dire le contraire. Il y a de ces choses certaines qui nous rendent incertain, voire même à douter sur nos capacités d'acceptation, comme pour se dire ; on verra !
J'essaie de ne pas trop m'en faire avec ce que demain sera, après tout, c'est là maintenant qui est important. Avec la pleine lune d'hier et l'humidité qu'il fait aujourd'hui, disons que j'en mène pas large mais je demeure positif, puisque ce n'est rien comme douleur comparativement il y a pas si longtemps. Avec ce froid à l'extérieur et le déneigement des trottoirs coucicouça, ça ne me donne pas vraiment l'envie de sortir. Pourquoi courir après le risque de tomber, je ne suis plus alerte et un faux pas, c'est la cata comme dirait un français. En plus, y fait «frette» calvasse du grand nord !
J'ai décidé de demeurer pénard et parcourir le net et lire les topiques de mes potes sur Facebook. J'en suis rendu que je ne regarde même plus les manchettes dans les médias, j'ai l'impression que je perd mon identité à mesure que je vois le mot Trudeau. Les médias nous martèlent ce que fait Trump aux USA mais ici, nous avons un traître de la pire espèce. Je n'ai jamais vu un premier-ministre si inconstant. Il fait tout pour sortir une jeune femme des griffes d'Allah et de l'autre côté, il arme Allah sti. En plus, ses médias disent que c'est grâce au Québec qu'il va obtenir le plus d'appuis aux prochaines élections fédérales. Pour moi, il fume du cristi de bon stock, parce que ses non-identités québécoises de souche, vont le faire sortir du pouvoir le cul sur une pelle !
Quoique, j'ai entendu à travers les branches que les migrants pourront voter aux prochaines élections. Si cela s'avère vrai, cela voudra dire que dans un avenir proche, la constitution canadienne deviendra qu'une histoire à dormir debout. Le pire dans tout ça, les autres partis ne sont que de la snoutte. Choisir le moins pire ou élire un con pour débarquer un con, c'est démocratique faut croire.
J'ai parcouru brièvement le monde de l'ésotérisme, rien vraiment à mettre quelque chose entre les dents. Disons que l'os est tellement grugé que la moelle en est démunie. Que voir que nous voyons et qu'apprendre ce que nous savons, tu fais le tour vite avec ça.
Bon, il faut reposer mon frêle dos !
À peluche !
Dédé
Une livraison par derrière !
Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
Une livraison par derrière !
Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Une livraison par derrière !
Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Mets-en. Un crisse de contrat. Quelle saison poche et inutile.
Une livraison par derrière !
Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Mets-en. Un crisse de contrat. Quelle saison poche et inutile.
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Dans le passé lorsque j'étais beaucoup plus jeune, je faisais du déneigement de toit dans les quartiers un peu plus vieux. J'en ai eu passablement des contrats mais c'est passablement dur pour le dos, surtout pour les toits à plat. J'ai déneigé la neige sur le toit de la polyvalente de St-Jérôme 2 années de suite ( 1977-78 ).
C'est ça qui m'est venu dans les pensées lorsque j'ai regardé dehors cet après-midi, en voyant ce froid au thermomètre et toute cette merde blanche !
Une livraison par derrière !
Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Mets-en. Un crisse de contrat. Quelle saison poche et inutile.
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Dans le passé lorsque j'étais beaucoup plus jeune, je faisais du déneigement de toit dans les quartiers un peu plus vieux. J'en ai eu passablement des contrats mais c'est passablement dur pour le dos, surtout pour les toits à plat. J'ai déneigé la neige sur le toit de la polyvalente de St-Jérôme 2 années de suite ( 1977-78 ).
C'est ça qui m'est venu dans les pensées lorsque j'ai regardé dehors cet après-midi, en voyant ce froid au thermomètre et toute cette merde blanche !
Je l'ai fait en sacrement moi aussi le déneigement de la résidence secondaire familiale. L'endroit où on passait les étés car plus paisible, plus calme avec un beau lac et plus beau que la crisse de ville avec son béton et tous les chars qui puent. C'était une maudite job de merde lorsque j'allais là l'hiver pour déneiger le toit par simple précaution. Le maudit pelletage, c'est mortel pour le dos. Par chance, on avait un toit en 4 versants comme on dit donc je pouvais la plupart du temps pousser la neige jusqu'au bord pour qu'elle tombe en bas. Mais ce n'était pas le cas pour faire les entrées. La maudite merde blanche.
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Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Mets-en. Un crisse de contrat. Quelle saison poche et inutile.
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Dans le passé lorsque j'étais beaucoup plus jeune, je faisais du déneigement de toit dans les quartiers un peu plus vieux. J'en ai eu passablement des contrats mais c'est passablement dur pour le dos, surtout pour les toits à plat. J'ai déneigé la neige sur le toit de la polyvalente de St-Jérôme 2 années de suite ( 1977-78 ).
C'est ça qui m'est venu dans les pensées lorsque j'ai regardé dehors cet après-midi, en voyant ce froid au thermomètre et toute cette merde blanche !
Je l'ai fait en sacrement moi aussi le déneigement de la résidence secondaire familiale. L'endroit où on passait les étés car plus paisible, plus calme avec un beau lac et plus beau que la crisse de ville avec son béton et tous les chars qui puent. C'était une maudite job de merde lorsque j'allais là l'hiver pour déneiger le toit par simple précaution. Le maudit pelletage, c'est mortel pour le dos. Par chance, on avait un toit en 4 versants comme on dit donc je pouvais la plupart du temps pousser la neige jusqu'au bord pour qu'elle tombe en bas. Mais ce n'était pas le cas pour faire les entrées. La maudite merde blanche.
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Alain, un chum qui est décédé de la maladie de Friedrich à l'âge de 29 ans, nous invitait moi et mon frère Dan ( le plus vieux des gars de notre famille ) au chalet familial que son père avait acheté pour une bouchée de pain, sur le bord du lac Renaud dans les Laurentides ( entre Shawbridge et St-Hippolyte ) . Il avait 19 ans à l'époque et chaque hiver lorsqu'il y avait une bonne bordée, mon frère et moi allions lui donner ce coup de main afin de déneiger le toit du chalet. Je me souviens bien que sa mère nous préparait des galettes de sarrasin pour le diner, et cuit sur le poêle à bois. Ostique que c'était bon.
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Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Mets-en. Un crisse de contrat. Quelle saison poche et inutile.
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Dans le passé lorsque j'étais beaucoup plus jeune, je faisais du déneigement de toit dans les quartiers un peu plus vieux. J'en ai eu passablement des contrats mais c'est passablement dur pour le dos, surtout pour les toits à plat. J'ai déneigé la neige sur le toit de la polyvalente de St-Jérôme 2 années de suite ( 1977-78 ).
C'est ça qui m'est venu dans les pensées lorsque j'ai regardé dehors cet après-midi, en voyant ce froid au thermomètre et toute cette merde blanche !
Je l'ai fait en sacrement moi aussi le déneigement de la résidence secondaire familiale. L'endroit où on passait les étés car plus paisible, plus calme avec un beau lac et plus beau que la crisse de ville avec son béton et tous les chars qui puent. C'était une maudite job de merde lorsque j'allais là l'hiver pour déneiger le toit par simple précaution. Le maudit pelletage, c'est mortel pour le dos. Par chance, on avait un toit en 4 versants comme on dit donc je pouvais la plupart du temps pousser la neige jusqu'au bord pour qu'elle tombe en bas. Mais ce n'était pas le cas pour faire les entrées. La maudite merde blanche.
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Alain, un chum qui est décédé de la maladie de Friedrich à l'âge de 29 ans, nous invitait moi et mon frère Dan ( le plus vieux des gars de notre famille ) au chalet familial que son père avait acheté pour une bouchée de pain, sur le bord du lac Renaud dans les Laurentides ( entre Shawbridge et St-Hippolyte ) . Il avait 19 ans à l'époque et chaque hiver lorsqu'il y avait une bonne bordée, mon frère et moi allions lui donner ce coup de main afin de déneiger le toit du chalet. Je me souviens bien que sa mère nous préparait des galettes de sarrasin pour le diner, et cuit sur le poêle à bois. Ostique que c'était bon.
Tu te bourrais la face dans les galettes mon boswel. Ça méritait bien ça après une telle corvée.
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Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Mets-en. Un crisse de contrat. Quelle saison poche et inutile.
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Dans le passé lorsque j'étais beaucoup plus jeune, je faisais du déneigement de toit dans les quartiers un peu plus vieux. J'en ai eu passablement des contrats mais c'est passablement dur pour le dos, surtout pour les toits à plat. J'ai déneigé la neige sur le toit de la polyvalente de St-Jérôme 2 années de suite ( 1977-78 ).
C'est ça qui m'est venu dans les pensées lorsque j'ai regardé dehors cet après-midi, en voyant ce froid au thermomètre et toute cette merde blanche !
Je l'ai fait en sacrement moi aussi le déneigement de la résidence secondaire familiale. L'endroit où on passait les étés car plus paisible, plus calme avec un beau lac et plus beau que la crisse de ville avec son béton et tous les chars qui puent. C'était une maudite job de merde lorsque j'allais là l'hiver pour déneiger le toit par simple précaution. Le maudit pelletage, c'est mortel pour le dos. Par chance, on avait un toit en 4 versants comme on dit donc je pouvais la plupart du temps pousser la neige jusqu'au bord pour qu'elle tombe en bas. Mais ce n'était pas le cas pour faire les entrées. La maudite merde blanche.
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Alain, un chum qui est décédé de la maladie de Friedrich à l'âge de 29 ans, nous invitait moi et mon frère Dan ( le plus vieux des gars de notre famille ) au chalet familial que son père avait acheté pour une bouchée de pain, sur le bord du lac Renaud dans les Laurentides ( entre Shawbridge et St-Hippolyte ) . Il avait 19 ans à l'époque et chaque hiver lorsqu'il y avait une bonne bordée, mon frère et moi allions lui donner ce coup de main afin de déneiger le toit du chalet. Je me souviens bien que sa mère nous préparait des galettes de sarrasin pour le diner, et cuit sur le poêle à bois. Ostique que c'était bon.
Tu te bourrais la face dans les galettes mon boswel. Ça méritait bien ça après une telle corvée.
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Bien souvent, je me faisais quelques tranches de pain de campagne avec ça, avec de la confiture aux fraises des champs ou aux bleuets. Un vrai régal !
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Pas un temps pour sortir marcher ça, y fait bien trop frette. En plus, c'est plein de merde blanche partout.
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Mets-en, c'est tout plein, même plus qu'il en faut !
Imagines les gens qui ont une maison et qu'ils doivent déneiger cette merde blanche de leur toit. Misère, une chance que j'en ai pas !
Mets-en. Un crisse de contrat. Quelle saison poche et inutile.
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Dans le passé lorsque j'étais beaucoup plus jeune, je faisais du déneigement de toit dans les quartiers un peu plus vieux. J'en ai eu passablement des contrats mais c'est passablement dur pour le dos, surtout pour les toits à plat. J'ai déneigé la neige sur le toit de la polyvalente de St-Jérôme 2 années de suite ( 1977-78 ).
C'est ça qui m'est venu dans les pensées lorsque j'ai regardé dehors cet après-midi, en voyant ce froid au thermomètre et toute cette merde blanche !
Je l'ai fait en sacrement moi aussi le déneigement de la résidence secondaire familiale. L'endroit où on passait les étés car plus paisible, plus calme avec un beau lac et plus beau que la crisse de ville avec son béton et tous les chars qui puent. C'était une maudite job de merde lorsque j'allais là l'hiver pour déneiger le toit par simple précaution. Le maudit pelletage, c'est mortel pour le dos. Par chance, on avait un toit en 4 versants comme on dit donc je pouvais la plupart du temps pousser la neige jusqu'au bord pour qu'elle tombe en bas. Mais ce n'était pas le cas pour faire les entrées. La maudite merde blanche.
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Alain, un chum qui est décédé de la maladie de Friedrich à l'âge de 29 ans, nous invitait moi et mon frère Dan ( le plus vieux des gars de notre famille ) au chalet familial que son père avait acheté pour une bouchée de pain, sur le bord du lac Renaud dans les Laurentides ( entre Shawbridge et St-Hippolyte ) . Il avait 19 ans à l'époque et chaque hiver lorsqu'il y avait une bonne bordée, mon frère et moi allions lui donner ce coup de main afin de déneiger le toit du chalet. Je me souviens bien que sa mère nous préparait des galettes de sarrasin pour le diner, et cuit sur le poêle à bois. Ostique que c'était bon.
Tu te bourrais la face dans les galettes mon boswel. Ça méritait bien ça après une telle corvée.
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Bien souvent, je me faisais quelques tranches de pain de campagne avec ça, avec de la confiture aux fraises des champs ou aux bleuets. Un vrai régal !
Tout un festin d'après pelletage.