Beautiful Christian Churches ( Tchaikovsky ) - Hymn of the Cherubim

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Bonsoir mes bons gens,

Je tiens à préciser que j'ai hésité à apposer le rêve pour la simple raison qu'il y aura parmi les Yeux qui vont le lire, des gens qui penseront qu'il s'agit ni plus ni moins d'une prophétie. Il n'y a rien de tel même si à toute apparence, ce rêve me semblait aussi réel que de l'avoir vécu pour vrai. Mon but premier pour l'avoir apposé, c'est pour mon ouverture personnelle et qui sait, peut-être ouvrir en vous cette chaleur humaine qui bercera votre imaginaire.

Ça débuter comme de coutume, tout juste après la période de jonglerie ( l'état de veille ) précédant la fermeture de la « switch » si je peux m'exprimer ainsi. Évidemment, j'étais aux prises de ces douleurs atroces qui me rendaient assez anxieux car je pensais à ce moment précis dans cette jonglerie, comment je pourrais faire médicalement pour me sortir de ces douleurs insoutenables. Je sais qu'il n'y a rien à faire, on me l'a tellement répété à maintes reprises que j'ai accepté que la médecine est dépassée devant les douleurs chroniques. La médication actuelle ne fait que tamponner les flux nerveux pour tromper le cerveau dans sa réception de la douleur. Après quelques mois en posologie constante, ça vaut un beau zéro pour la simple raison que tu ne peux tromper ton cerveau ad vitam æternam.

Alors lorsque le cerveau se rendit à son oxygénation après avoir réussi de régulariser le reste du corps au sommeil, je me sens flotter au-dessus et en face de moi. Je vois bien que mon corps est bien calme et je me dis ; Ok, c'est le temps d'y aller. Dès que j'ai été rassuré en voyant mon corps, toute la pièce est devenue une lumière et je me suis senti enveloppé progressivement et en ne voyant plus rien au travers de celle-ci. Je flottais puisque mes pieds ne reposaient sur rien et que mon toucher ne captait absolument rien. Seule sensation est que je flottais tout en ayant une émotion de bien-être.

Au bout de quelques secondes, la lumière se dissipe et je suis devant la terre, comme à la vue de la station spatiale. Je pensais que je verrais la période de nuit sur notre hémisphère, mais non, c'était le jour hormis un très gros ban de nuage traversant la côte est du Canada. Je me suis dit que ça va brasser dans pas long à cette région.

Tout d'un coup, je vois un vaisseau cylindrique entrer littéralement dans ce ban de nuage. À la hauteur que je suis, il était passablement gros pour le voir aussi clair. Il était noir avec une brillance du soleil sur le dessus. Émotionnellement, je ressens un froid me parcourir le dos tout en me disant ; Mais que font-ils là ces faces de terre cuite !

Je ne ressentais rien de bon et mon mental travaille comme un IBM en touchant mes touches sensibles face au phénomène extraterrestre. L'impression première a été de me dire que ce sont eux qui manipulent notre climat et tous ces phénomènes météorologiques qui sortent de l'ordinaire, moi qui a toujours pensé que la faute ne revient qu'à l'humain depuis ma lecture sur ce que peut faire HARRP à notre atmosphère. Je me dis ; Ah les calvinces, je les pogne sur le fait.

J'observe donc ce gros ban de nuage. Je décide d'avancer à l'endroit où s'est dissimulé cet engin cylindrique, mais ma vue s'embrouille tout en ressentant que l'on me retenait d'avancer. L'émotion du balafré se réveille en moi et je ne suis pas très de bonne humeur, en maugréant tout haut ; Veux-tu bien me dire qui m'empêche d'avancer bout de barêche de viarge ?

La lumière revient m'envelopper et ça m'a calmé puisque c'est une manifestation de ma conscience qui a agit dans l'immédiat. Encore après quelques secondes d'enveloppement de la lumière, celle-ci s'estompe et je suis devant une autre planète mais beaucoup plus loin de la vue de la station spatiale, je dirais environ à quelques 300 milles kilomètres de celle-ci. Je regarde à gauche de celle-ci avant d'observer la planète, et je vois une autre planète plus grosse, qui ressemble à Saturne. Je replonge mon regard sur la planète devant moi. Je la reconnais, c'est celle de mon dernier rêve, celle qui ressemble à tout point de vue à ma chère Terre, sauf pour l'éclat des océans qui est plus rosé que bleu.

Donc la voyant comme en plein jour, je décide de me retourner complètement pour voir son soleil. Il est passablement proche de moi, voyant ses lames ressortir de ses entrailles, comme la vision que j'ai eu d'un rêve antérieur lorsque j'étais en flottaison devant Mercure. Je me dis donc ; Il est donc bien petit ce Râ. Son rayonnement n'est pas comme notre Râ, beaucoup moins intense avec des prismes plus violets que tirant au jaune et oranger. Je me dis ; C'est donc ça une étoile naine ?

Je me retourne vers la planète et je décide de m'avancer. Plus j'avance, plus je remarque que je me sentais à un terrain connu. Je ne vois rien d'inhabituel et émotionnellement, je n'avais aucune crainte, jusqu'au moment j'ai vu une flotte de vaisseaux cylindriques, le même genre que j'ai vu précédemment lorsque j'étais devant ma Terre et qu'il s'enfonçait dans le ban de nuage. La flotte était composée de seize engins, qui se regroupaient pour former une géométrie, un carré avec 4 engins et les autres formaient des branches, comme dans l'illustration suivante :

Disposition des engins cylindriques

Je suis intrigué de voir se former cette géométrie, je cesse d'avancer pour l'observer. La forme me semble immuable comme gelée sur place. Après quelques secondes, les engins clignotent et parfaitement synchronisés en clignotant tous pareils. Émotionnellement, j'étais comme un enfant qui est subjugué dans son attention de regarder la nature lui montrer ce qu'elle est capable de faire. Une émotion forte de bien-être se manifeste à ce moment-là. Puis, je vois sortir des engins, un paquet de lumières de même dimension qui virevoltaient entre les engins cylindriques. Je dirais une dizaine par chaque vaisseau. Ils se mirent à clignoter eux aussi mais cela donnait l'impression d'une danse nuptiale des lucioles, comme celle que j'ai vécu en 1979 lorsque je me suis dirigé vers mon char et que j'ai observé ce spectacle de la nature au-dessus d'un champ à Ste-Anne-des-Plaines ( référence dans mon manuscrit Miroir, Miroir... disponible sur le site esorebelles.ca, ci-bas à ma signature ).

Je secoue ma tête comme pour me sortir de ce mirage, en pensant ce que j'avais vu précédemment devant ma chère Terre et évidemment, ce que je ressentais à ce moment-là. Je me rapproche des vaisseaux et plus je m'approche, je vois les points lumineux cesser leur clignotement et avancer vers moi. Je n'avais aucune crainte, c'est qui me surprend. Plus ils avancent, plus je vois leur forme. Des vaisseaux elliptiques que l'on nomme vulgairement des soucoupes volantes. Ils étaient immenses lorsqu'ils étaient proche de moi. Je dirais à la largeur d'un terrain de football et haut comme le stade olympique. Je me suis dit ; Pourquoi autant de vaisseaux pour s'approcher de moi. Ils ne veulent pas me rater pour m'escorter, en riant de bon cœur.

Je me guide d'aller au centre du carré. Plus j'avance, plus je vois du terrain sur cette planète. Aucune montagne, uniquement à ce qu'il ressemblait à de la végétation. Voyant que j'étais égale au niveau des vaisseaux qui formaient le carré, je ressens sur moi une énorme vibration et un sifflotement intense à mes oreilles, à un point tel que je place mes mains dessus. Ça duré que quelques secondes et je regarde à nouveau en-bas sur le terrain. Je reconnais plus ce que j'ai vu précédemment. Au lieu, je vois une construction qui forme exactement la géométrie des vaisseaux cylindriques. Je descends pour m'y approcher et une voix me dit :

- Tu vas entrer dans le temple de ton origine, c'est un lieu sacré.

La voix est masculine et son timbre n'est pas menaçant, je dirais même réconfortant. Elle poursuit :

- Tout ce que tu vas voir, ça vient de ton monde, puisque ton monde est le nôtre aussi.

Je cesse d'avancer et je réponds à cette voix :

- Si je comprends bien, vous êtes en fait les géniteurs de notre monde ?

- Non, tu vas voir en-bas !

Alors j'avance plus rapidement pour aller voir tout en visant encore la forme carrée. Je suis à quelques pieds de hauteur dans le centre du carré. La construction est gigantesque et elle contient plusieurs paliers, je dirais plus précisément à une cinquantaine, à chaque immeuble qui formait le carré. J'appose mes pieds sur le terrain et je marche vers ce qui me semblait des portes tout en-bas de l'immeuble en face de moi. À environ une dizaine de mètres au centre de l'immeuble, une porte s'ouvre, sans doute comme les portes coulissantes munies d'un œil magique. Curieusement, tout est éclairé à l'intérieur, par des luminaires typiquement humains. Je vois bien déambuler devant moi une forme de vie ressemblant à moi, vêtue d'un uniforme ( puisque vêtues tous pareils ). Je continue de marcher et il me semble qu'ils ne me voient pas. J'entends encore la voix qui me dit :

- Tu peux les observer sans les toucher car si tu touches l'un d'eux, ils vont ressentir ta présence et tu pourrais les perturber avec ta vibration humaine.

Ils étaient grands, je dirais 2 mètres et ils marchaient comme l'humain. Leurs visages étaient bien différent les uns aux autres. Certains groupes pouvaient ressembler à ce qui serait une famille, homme, femme et enfant. Leur peau si je peux m'exprimer ainsi, avait la forme d'écaille et leurs yeux avaient un fond jaune avec des pupilles elliptiques comme un chat. Pas d'excroissances sur eux, ni cheveux et ni poils. La voix me dit alors :

- Tu as ce gène en toi !

Je me réveille ainsi. Pas besoin de vous écrire que je suis actuellement perplexe suite à ce rêve. Les archétypes et le déroulement de ce rêve me laisse sans voix.

Une chose par exemple, le jour où je verrai la forme géométrique se faire sur un crop circle, je me dirai sans aucune difficulté qu'il y a un autre monde parmi notre monde !

Dédé