Ti-Pet persiste à laisser les migrants à passer au chemin Roxham et que ces derniers se retrouvent au YMCA du centre-ville de Montréal. Sont-ils soumis à la quarantaine obligatoire ? Selon quelques sources, on m'indique qu'ils déambulent dans le centre-ville quand même. Qui dit vrai ?

Chose certaine, notre premier-ministre Legault trouve cette situation inacceptable et l'ancien ministre de la santé Gaétan Barrette corrobore ses dires. Déjà qu'il y a la panique chez les gens qui sont devenus hypocondriaques à cause de ce virus, attendent-ils que certains s'y approchent avec des armes ? Quel pouvoir a notre premier-ministre pour fermer cette passoire ?

Deux types d'infos circulent. Va falloir qu'on aille voir par nous-mêmes.

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La téléportation n'existe pas encore !

Ce serait commode.

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Oui mais pour l'instant, restez chez-vous !

Dans le cas de téléportation, est-ce que c'est sortir de chez soi?

Voici un bout de texte tiré d'un article sur Elgrably la néolibéraliste.

Dans le monde néolibéral enchanté de la suave Nathalie Elgrably, journaliste au **Journal de Montréal** ayant écrit un article sur l’«inefficacité économique» de la hausse du salaire minimum, et de ses pareils qui pensent qu’il ne devrait pas avoir de minimum au salaire, le jeune employé commencerait à un salaire très minimal afin d’avoir la chance «inouïe» de se voir octroyer une job par un employeur débonnaire. Faut considérer cette étape comme un investissement réalisé par le travailleur, comme madame Elgrably l’a dit le plus sérieusement du monde. Puis, une fois que ce travailleur isolé non syndiqué aura acquis de l’expérience, il sera en mesure d’aller négocier seul comme un grand garçon son augmentation de salaire avec les dirigeants d’entreprises multinationales multimilliardaires comme Wal-Mart, Burger King et Esso. Là, la madame postule qu’il y a présence d’un juste rapport de force entre le caissier non syndiqué et le président de la Royal Bank of Canada. Il y a juste un petit hic dans la patente à gosses de la madame: Des transnationales comme Shell et Mc Donalds continuent de verser des salaires ridicules à leurs employés expérimentés et ce faisant elles dictent en plus les salaires qui seront versés par les autres entreprises de petite et de moyenne envergure. Ces grosses entreprises exercent un effet d’entraînement à la baisse des salaires.

Pendant que les CEO et autres PDG gagnent en une semaine ou en une journée ce que les travailleurs gagnent en un ou dix ans.

(Le sort des travailleurs qui tentent de négocier une augmentation de salaire
et le sort que mérite cette Nathalie).

En 10 ans? Plutôt en 20 ans. Pas d'allure les inégalités sociales.

Voici un bout de texte tiré d'un article sur Elgrably la néolibéraliste.

Dans le monde néolibéral enchanté de la suave Nathalie Elgrably, journaliste au **Journal de Montréal** ayant écrit un article sur l’«inefficacité économique» de la hausse du salaire minimum, et de ses pareils qui pensent qu’il ne devrait pas avoir de minimum au salaire, le jeune employé commencerait à un salaire très minimal afin d’avoir la chance «inouïe» de se voir octroyer une job par un employeur débonnaire. Faut considérer cette étape comme un investissement réalisé par le travailleur, comme madame Elgrably l’a dit le plus sérieusement du monde. Puis, une fois que ce travailleur isolé non syndiqué aura acquis de l’expérience, il sera en mesure d’aller négocier seul comme un grand garçon son augmentation de salaire avec les dirigeants d’entreprises multinationales multimilliardaires comme Wal-Mart, Burger King et Esso. Là, la madame postule qu’il y a présence d’un juste rapport de force entre le caissier non syndiqué et le président de la Royal Bank of Canada. Il y a juste un petit hic dans la patente à gosses de la madame: Des transnationales comme Shell et Mc Donalds continuent de verser des salaires ridicules à leurs employés expérimentés et ce faisant elles dictent en plus les salaires qui seront versés par les autres entreprises de petite et de moyenne envergure. Ces grosses entreprises exercent un effet d’entraînement à la baisse des salaires.

Pendant que les CEO et autres PDG gagnent en une semaine ou en une journée ce que les travailleurs gagnent en un ou dix ans.

(Le sort des travailleurs qui tentent de négocier une augmentation de salaire
et le sort que mérite cette Nathalie).

Crisse! Tu es en feu Vulcain.