C-19: Peut-être un traitement. (Forum)
Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine.
Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.
Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.
Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».
Méthode empirique
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l’azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.
https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacit...
C-19: Peut-être un traitement.
Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine.
Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.
Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.
Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».Méthode empirique
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l’azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacit...
___________
Intéressant. Toutefois, je suis moins enclin à l'héparine qui est un anticoagulant utiliser pour les gens au prise de problème d'embolie pulmonaire. J'aurais aimé voir une agressivité moindre par un traitement par la warfarine ou le coumadin en injection abdominale.
Mais qui suis-je pour donner un avis médical ?
C-19: Peut-être un traitement.
Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine.
Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.
Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.
Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».Méthode empirique
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l’azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacit...
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Intéressant. Toutefois, je suis moins enclin à l'héparine qui est un anticoagulant utiliser pour les gens au prise de problème d'embolie pulmonaire. J'aurais aimé voir une agressivité moindre par un traitement par la warfarine ou le coumadin en injection abdominale.
Mais qui suis-je pour donner un avis médical ?
Pourquoi pas, on jase.
C-19: Peut-être un traitement.
Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine.
Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.
Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.
Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».Méthode empirique
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l'azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacit...
___________
Intéressant. Toutefois, je suis moins enclin à l'héparine qui est un anticoagulant utiliser pour les gens au prise de problème d'embolie pulmonaire. J'aurais aimé voir une agressivité moindre par un traitement par la warfarine ou le coumadin en injection abdominale.
Mais qui suis-je pour donner un avis médical ?
Pourquoi pas, on jase.
_____________
Je n'ai pas un bac en médecine et ni aucune maîtrise et expertise en spécification médicale. Par contre, j'aime bien quand même donner mon point de vue, n'en déplaisent à mes détractrices et détracteurs. On m'a déjà reproché que je jouais trop au doc !
N'empêche que je trouve que l'héparine est traitement choc et un risque d'hémorragie est potentiellement élevé juste par une simple pichenotte sur un bras. Même le traitement par warfarine comporte un certain danger même si c'est moindre et qu'il y a un contrôle pour l'IRN. Par contre, je peux comprendre puisque l'azithromycine peut causer des accumulations de calculs dans le réseau sanguin.
C-19: Peut-être un traitement.
Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine.
Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.
Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.
Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».Méthode empirique
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l'azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacit...
___________
Intéressant. Toutefois, je suis moins enclin à l'héparine qui est un anticoagulant utiliser pour les gens au prise de problème d'embolie pulmonaire. J'aurais aimé voir une agressivité moindre par un traitement par la warfarine ou le coumadin en injection abdominale.
Mais qui suis-je pour donner un avis médical ?
Pourquoi pas, on jase.
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Je n'ai pas un bac en médecine et ni aucune maîtrise et expertise en spécification médicale. Par contre, j'aime bien quand même donner mon point de vue, n'en déplaisent à mes détractrices et détracteurs. On m'a déjà reproché que je jouais trop au doc !
N'empêche que je trouve que l'héparine est traitement choc et un risque d'hémorragie est potentiellement élevé juste par une simple pichenotte sur un bras. Même le traitement par warfarine comporte un certain danger même si c'est moindre et qu'il y a un contrôle pour l'IRN. Par contre, je peux comprendre puisque l'azithromycine peut causer des accumulations de calculs dans le réseau sanguin.
C'est un domaine que tu as aimé et que tu aimes encore donc c'est sûr que c'est le fun pour toi de parler de ce sujet.
C-19: Peut-être un traitement.
Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine.
Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.
Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.
Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».Méthode empirique
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l'azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacit...
___________
Intéressant. Toutefois, je suis moins enclin à l'héparine qui est un anticoagulant utiliser pour les gens au prise de problème d'embolie pulmonaire. J'aurais aimé voir une agressivité moindre par un traitement par la warfarine ou le coumadin en injection abdominale.
Mais qui suis-je pour donner un avis médical ?
Pourquoi pas, on jase.
_____________
Je n'ai pas un bac en médecine et ni aucune maîtrise et expertise en spécification médicale. Par contre, j'aime bien quand même donner mon point de vue, n'en déplaisent à mes détractrices et détracteurs. On m'a déjà reproché que je jouais trop au doc !
N'empêche que je trouve que l'héparine est traitement choc et un risque d'hémorragie est potentiellement élevé juste par une simple pichenotte sur un bras. Même le traitement par warfarine comporte un certain danger même si c'est moindre et qu'il y a un contrôle pour l'IRN. Par contre, je peux comprendre puisque l'azithromycine peut causer des accumulations de calculs dans le réseau sanguin.
C'est un domaine que tu as aimé et que tu aimes encore donc c'est sûr que c'est le fun pour toi de parler de ce sujet.
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Tu as bien raison, ça fait partie de moi.
C-19: Peut-être un traitement.
Il faut faire très attention à la poudre de perlimpinpin. Le virus est beaucoup plus complexe que nous l'avons cru. Nous ne pouvons pas injecter du perlimpinpin sans savoir à quoi nous nous attaquons.
-----
La COVID-19 est «une maladie respiratoire, rénale et neurologique très complexe», appuie le spécialiste de Brooklyn.
On apprend énormément. Au début, on pensait que c’était essentiellement un syndrome grippal et respiratoire avec une pneumonie virale. On sait aujourd’hui que:
«le coronavirus est une maladie cardiovasculaire qui provoque des troubles de la coagulation».
«Elle est aussi une maladie rénale qui crée des insuffisances aiguës qui nécessitent des dialyses chez les patients»
«On voit des accidents vasculaires cérébraux (AVC) et des cas d’encéphalites. Et dans une moindre mesure, tout le monde a entendu parler de ces anosmies, ces atteintes du nerf olfactif qui provoquent des difficultés à sentir les odeurs»
https://www.journaldemontreal.com/2020/04/13/la-covid-sattaque-aussi-au-cerveau-et-aux-...
Et ce n'est qu'un début!
C-19: Peut-être un traitement.
Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine.
Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.
Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.
Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »
À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».Méthode empirique
« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »
Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l'azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.https://www.estrepublicain.fr/sante/2020/04/11/un-medecin-mosellan-constate-l-efficacit...
___________
Intéressant. Toutefois, je suis moins enclin à l'héparine qui est un anticoagulant utiliser pour les gens au prise de problème d'embolie pulmonaire. J'aurais aimé voir une agressivité moindre par un traitement par la warfarine ou le coumadin en injection abdominale.
Mais qui suis-je pour donner un avis médical ?
Pourquoi pas, on jase.
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Je n'ai pas un bac en médecine et ni aucune maîtrise et expertise en spécification médicale. Par contre, j'aime bien quand même donner mon point de vue, n'en déplaisent à mes détractrices et détracteurs. On m'a déjà reproché que je jouais trop au doc !
N'empêche que je trouve que l'héparine est traitement choc et un risque d'hémorragie est potentiellement élevé juste par une simple pichenotte sur un bras. Même le traitement par warfarine comporte un certain danger même si c'est moindre et qu'il y a un contrôle pour l'IRN. Par contre, je peux comprendre puisque l'azithromycine peut causer des accumulations de calculs dans le réseau sanguin.
C'est un domaine que tu as aimé et que tu aimes encore donc c'est sûr que c'est le fun pour toi de parler de ce sujet.
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Tu as bien raison, ça fait partie de moi.
C'est bien correct.
C-19: Peut-être un traitement.
Il faut faire très attention à la poudre de perlimpinpin. Le virus est beaucoup plus complexe que nous l'avons cru. Nous ne pouvons pas injecter du perlimpinpin sans savoir à quoi nous nous attaquons.
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La COVID-19 est «une maladie respiratoire, rénale et neurologique très complexe», appuie le spécialiste de Brooklyn.On apprend énormément. Au début, on pensait que c’était essentiellement un syndrome grippal et respiratoire avec une pneumonie virale. On sait aujourd’hui que:
«le coronavirus est une maladie cardiovasculaire qui provoque des troubles de la coagulation».
«Elle est aussi une maladie rénale qui crée des insuffisances aiguës qui nécessitent des dialyses chez les patients»
«On voit des accidents vasculaires cérébraux (AVC) et des cas d’encéphalites. Et dans une moindre mesure, tout le monde a entendu parler de ces anosmies, ces atteintes du nerf olfactif qui provoquent des difficultés à sentir les odeurs»
https://www.journaldemontreal.com/2020/04/13/la-covid-sattaque-aussi-au-cerveau-et-aux-...Et ce n'est qu'un début!
Les lumières éteintes de Vagina forum nous parlaient d'un simple petit rhume sans plus. Ils devraient lire ça. Mais ils diraient que ce sont des fakes news des merdias de masse les crétins de Vagina forum.
C-19: Peut-être un traitement.
> Les lumières éteintes de Vagina forum nous parlaient d'un simple petit rhume sans plus.
«L’esprit n’est pas profond, il n’existe aucun moi intérieur. Avec sa Théorie de l’esprit plat, Nick CHATER vient de jeter un énorme pavé dans la mare. Car ce professeur en sciences du comportement a découvert que notre esprit, loin d’être insondable, fonctionne de façon totalement… superficielle ! Ce que démontrent plusieurs expériences, qui prouvent l’incroyable platitude de notre intellect. Pire, elles remettent en cause ce que nous croyons être nos convictions, notre personnalité et même notre inconscient ! Nous l’ignorons, mais nous sommes tous bêtes ; et le savoir est un premier pas pour l’être moins.»
https://wallonica.org/blog/2019/08/18/chater-theorie-de-lesprit-plat-lintelligence-nest...
Avons-nous besoin plus de preuves?
C-19: Peut-être un traitement.
> Les lumières éteintes de Vagina forum nous parlaient d'un simple petit rhume sans plus.
«L’esprit n’est pas profond, il n’existe aucun moi intérieur. Avec sa Théorie de l’esprit plat, Nick CHATER vient de jeter un énorme pavé dans la mare. Car ce professeur en sciences du comportement a découvert que notre esprit, loin d’être insondable, fonctionne de façon totalement… superficielle ! Ce que démontrent plusieurs expériences, qui prouvent l’incroyable platitude de notre intellect. Pire, elles remettent en cause ce que nous croyons être nos convictions, notre personnalité et même notre inconscient ! Nous l’ignorons, mais nous sommes tous bêtes ; et le savoir est un premier pas pour l’être moins.»
https://wallonica.org/blog/2019/08/18/chater-theorie-de-lesprit-plat-lintelligence-nest...
Avons-nous besoin plus de preuves?
Très bon cet article.
C-19: Peut-être un traitement.
> Les lumières éteintes de Vagina forum nous parlaient d'un simple petit rhume sans plus.
«L’esprit n’est pas profond, il n’existe aucun moi intérieur. Avec sa Théorie de l’esprit plat, Nick CHATER vient de jeter un énorme pavé dans la mare. Car ce professeur en sciences du comportement a découvert que notre esprit, loin d’être insondable, fonctionne de façon totalement… superficielle ! Ce que démontrent plusieurs expériences, qui prouvent l’incroyable platitude de notre intellect. Pire, elles remettent en cause ce que nous croyons être nos convictions, notre personnalité et même notre inconscient ! Nous l’ignorons, mais nous sommes tous bêtes ; et le savoir est un premier pas pour l’être moins.»
https://wallonica.org/blog/2019/08/18/chater-theorie-de-lesprit-plat-lintelligence-nest...
Avons-nous besoin plus de preuves?
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Non pas besoin mais ils trouveraient une façon pour dire que l'esprit est vibratoire par le supramental.