Suis-je Don Quichotte ? (Forum)
Alan Parsons Project - I Robot
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J'ai reçu un appel de l'hôpital Notre-Dame à Montréal pour mon examen d'électromyographie. Le rendez-vous est pour le 1 décembre 2016 à 13h00. Imaginez, après six mois d'attente pour cet examen et selon que j'ai su, c'est très rapide !
Cet examen est pour vérifier si mes nerfs ne sont pas atteints et ou comprimés à cause de ma lésion au bas du dos. Ceci devrait consolider la rechute et prouver qu'il y a aggravation de lésion. Ce qui impliquerait une autre bataille juridique avec la CSST s'il y a contestation de leur part. C'est à prévoir de toute façon, cette commission conteste tout. Il y a aussi l'employeur même si je ne fais plus parti de cet emploi depuis 1996, qui pourrait contester la révision de mon dossier médical.
Évidemment, si l'aggravation est reconnue, mon dossier de rechute fera en sorte de recevoir le plein salaire auquel j'aurais droit, c.a.d. 90% de mon salaire net, ce qui représente environ à 125 dollars par jour au lieu d'actuellement à 53.57 dollars par jour. C'est évident qu'il va avoir une contestation, puisque non seulement j'aurais ce salaire, j'aurais un pourcentage d'incapacité et un changement sur le nombre d'heure de capacité au travail qui est actuellement à 20 heures/semaine. Aussi, j'aurai d'autres limitations fonctionnelles qui seront rajoutées au dossier. Ce qui pourrait donner un montant à près de 5 milles dollars.
Le problème s'il y a contestation, est de me retrouver sans salaire parce que la CSST peut couper ce salaire tant et aussi longtemps que le dossier ne soit pas reconnu comme tel. Cette partie n'est pas intéressante parce que malgré que je n'ai pas le plein salaire, j'ai au moins ça pour vivre. Est-ce que ça vaut vraiment la peine de me battre et faire le Don Quichotte devant cette commission inhumaine ?
Dédé
Suis-je Don Quichotte ?
Est-ce que ça vaut vraiment la peine de me battre et faire le Don Quichotte devant cette commission inhumaine ?
Dédé
Il n'y a que toi qui le sait; ça se mesure à l'énergie que tu as la capacité d'y mettre, et à la colère qui te gruge chaque fois que tu y penses. Débit/crédit...l'approche comptable
Et il faut continuer de payer les factures durant le processus...
Reçois-tu les conseils juridiques d'un avocat pour prendre ta décision ? Avant de décider d'affronter les grosses machines, je pense que c'est nécessaire.
Je vois que tu connais très bien ton dossier. Mais des fois que ça te (re)lancerait sur une piste de réflexion: http://www.aidesociale.ca/csst-accident-travail.php
Je suis assez fascinée par le "confort administratif" qui dicte les décisions dans la plupart des organismes supposés se porter à la défense des citoyens. Je me dis que si on ferme les yeux et "sa gueule", rien ne changera. Mais en même temps, les gens qui ont vraiment besoin de ces supports, et qui sont à même d'observer ce "confort administratif" à l'oeuvre, sont souvent dans une situation où ils n'ont pas les moyens de se battre, physiquement, psychologiquement, et puisqu'il est question d'argent, financièrement.
Le système en soi est inhumain, mais il arrive parfois qu'on tombe sur un individu qui a le gros bon sens bien placé...
Et il y a le pouvoir des médias. Rien de tel pour remettre à leur place les grosses machines qui écrasent les plus silencieux.
Bonne réflexion Dédé
Suis-je Don Quichotte ?
J'ai un conseiller juridique sur le dossier et c'est grâce à lui que je me suis prévalu de reconnaître une aggravation de lésion lors du dossier à l'atteinte neurogène vésicale.
J'ai sauvegardé la page de l'avocat que tu as placé, sait-on jamais.
J'en ai parlé avec Claudie dans le cas où la CSST déciderait de contester et qu'elle supprime l'indemnité durant la procédure. J'ai un plan B avec l'aide du dernier recours qui pourrait verser durant la procédure et que je rembourserais si je gagnerais cette cause. Ce n'est pas gros mais au moins, je ne serai pas enseveli par des paiements de compte en retard.
Dédé
Suis-je Don Quichotte ?
Don Quichotte, rêveur idéaliste et irraisonné, justicier autoproclamé.
Je ne sais pas Dédé.
Continue de nous consulter .
Ça pourrait peut être aider
Suis-je Don Quichotte ?
Les politiques de santé ( à qui on demande de nous reconnaître comme des adultes ) poussent petit à petit les gens à se RESPONSABILISER vis à vis de leurs maladies, bien sûr quand ils ont le mental pour le faire,
donc à se décharger de plus en plus des prises en charge de soins de confort médicaux, paramédicaux, lors des hospitalisations ( nourriture, frais de chambres particulières )
Et de plus en plus de médecins, qui ne prennent pas leurs patients pour des moutons, tendent à inciter les gens à ne plus s'identifier à leurs maux ( d' abolir de leurs vocabulaires les : MON cancer, MON diabète...)
Vous n'êtes pas PROPRIETAIRE de Votre cancer,
vous ne devez pas être passif vis à vis d'un mal ou handicap, mais acteur et non pas victime de la prise en charge et guérison. L'Etat fait sa part des choses, et le malade et sa famille ne doivent plus subir, attendre toutes les solutions de l'extérieur, mais participer avec l'équipe médicale pour les orientations thérapeutiques et collatérales.
Par ailleurs les plus célèbres guérisseurs comme l'allemand Bruno Groning,
ou les entités actuellement qui travaillent à travers le corps et les mains de Jao de Deus au Brésil,
insistent dans leurs enseignements de ne pas parler de sa maladie, de ne pas nourrir l'égrégore de pensées négatives autour de celle-ci par ses propres pensées ou celle des autres,
afin de ne pas en faire un " monde ",
et pour ne pas être victime de paroles " tueuses " par ses propres pensées ou par les paroles des autres.
Pour eux c'est UNE très importante CLEF sur le chemin de la guérison !
Mais ce discours est encore loin d'être compris et entendu car ne fait pas plaisir.
Suis-je Don Quichotte ?
Les politiques de santé ( à qui on demande de nous reconnaître comme des adultes ) poussent petit à petit les gens à se RESPONSABILISER vis à vis de leurs maladies, bien sûr quand ils ont le mental pour le faire,
donc à se décharger de plus en plus des prises en charge de soins de confort médicaux, paramédicaux, lors des hospitalisations ( nourriture, frais de chambres particulières )
Et de plus en plus de médecins, qui ne prennent pas leurs patients pour des moutons, tendent à inciter les gens à ne plus s'identifier à leurs maux ( d' abolir de leurs vocabulaires les : MON cancer, MON diabète...)
Vous n'êtes pas PROPRIETAIRE de Votre cancer,
vous ne devez pas être passif vis à vis d'un mal ou handicap, mais acteur et non pas victime de la prise en charge et guérison. L'Etat fait sa part des choses, et le malade et sa famille ne doivent plus subir, attendre toutes les solutions de l'extérieur, mais participer avec l'équipe médicale pour les orientations thérapeutiques et collatérales.
Par ailleurs les plus célèbres guérisseurs comme l'allemand Bruno Groning,
ou les entités actuellement qui travaillent à travers le corps et les mains de Jao de Deus au Brésil,
insistent dans leurs enseignements de ne pas parler de sa maladie, de ne pas nourrir l'égrégore de pensées négatives autour de celle-ci par ses propres pensées ou celle des autres,
afin de ne pas en faire un " monde ",
et pour ne pas être victime de paroles " tueuses " par ses propres pensées ou par les paroles des autres.
Pour eux c'est UNE très importante CLEF sur le chemin de la guérison !
Mais ce discours est encore loin d'être compris et entendu car ne fait pas plaisir.
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D'un, ce n'est pas une maladie, c'est une lésion. De deux, ce n'est pas ma lésion puisque je ne l'ai pas voulu. De trois, cette lésion a été provoquée par la négligence de l'employeur. De quatre, ça fait plus de 20 ans que je souffre à cause de cette lésion, m'y responsabiliser voudrait dire de tuer chaque médecin qui n'a pas réussi à soustraire cette souffrance !
Suis-je Don Quichotte ?
Les politiques de santé ( à qui on demande de nous reconnaître comme des adultes ) poussent petit à petit les gens à se RESPONSABILISER vis à vis de leurs maladies, bien sûr quand ils ont le mental pour le faire,
donc à se décharger de plus en plus des prises en charge de soins de confort médicaux, paramédicaux, lors des hospitalisations ( nourriture, frais de chambres particulières )
Et de plus en plus de médecins, qui ne prennent pas leurs patients pour des moutons, tendent à inciter les gens à ne plus s'identifier à leurs maux ( d' abolir de leurs vocabulaires les : MON cancer, MON diabète...)
Vous n'êtes pas PROPRIETAIRE de Votre cancer,
vous ne devez pas être passif vis à vis d'un mal ou handicap, mais acteur et non pas victime de la prise en charge et guérison. L'Etat fait sa part des choses, et le malade et sa famille ne doivent plus subir, attendre toutes les solutions de l'extérieur, mais participer avec l'équipe médicale pour les orientations thérapeutiques et collatérales.
Par ailleurs les plus célèbres guérisseurs comme l'allemand Bruno Groning,
ou les entités actuellement qui travaillent à travers le corps et les mains de Jao de Deus au Brésil,
insistent dans leurs enseignements de ne pas parler de sa maladie, de ne pas nourrir l'égrégore de pensées négatives autour de celle-ci par ses propres pensées ou celle des autres,
afin de ne pas en faire un " monde ",
et pour ne pas être victime de paroles " tueuses " par ses propres pensées ou par les paroles des autres.
Pour eux c'est UNE très importante CLEF sur le chemin de la guérison !
Mais ce discours est encore loin d'être compris et entendu car ne fait pas plaisir.
_____________________D'un, ce n'est pas une maladie, c'est une lésion. De deux, ce n'est pas ma lésion puisque je ne l'ai pas voulu. De trois, cette lésion a été provoquée par la négligence de l'employeur. De quatre, ça fait plus de 20 ans que je souffre à cause de cette lésion, m'y responsabiliser voudrait dire de tuer chaque médecin qui n'a pas réussi à soustraire cette souffrance !
En effet, je pense que personne ne veut être malade et on veut tous être en santé et vieillir en santé. Malheureusement ce n'est pas le cas et je pense que l'on a aucun contrôle là-dessus malheureusement. Je ne crois pas non plus à la pensée positive et toutes ces choses qui tentent plutôt à être dans le déni. Quand on est malade et qu'on souffre, on ne l'a pas demandé et il y a des gens qui ont étudié pour s'occuper de ça. Évidemment, je suis bien d'accord que le patient peut faire sa part en mangeant mieux, ne pas fumer ou autres choses du genre si c'est possible et si la maladie peut avoir un rapport avec ça. Mais je crois qu'on est très limité dans ce que l'on peut faire face à la guérison.
Suis-je Don Quichotte ?
En effet, je pense que personne ne veut être malade et on veut tous être en santé et vieillir en santé. Malheureusement ce n'est pas le cas et je pense que l'on a aucun contrôle là-dessus malheureusement. Je ne crois pas non plus à la pensée positive et toutes ces choses qui tentent plutôt à être dans le déni. Quand on est malade et qu'on souffre, on ne l'a pas demandé et il y a des gens qui ont étudié pour s'occuper de ça. Évidemment, je suis bien d'accord que le patient peut faire sa part en mangeant mieux, ne pas fumer ou autres choses du genre si c'est possible et si la maladie peut avoir un rapport avec ça. Mais je crois qu'on est très limité dans ce que l'on peut faire face à la guérison. Blake
Le pouvoir et l'orientation de la pensée, le pouvoir des mots ( maux ) d'un malade , de son entourage et de l'équipe médicale sont majeures au cours de la traversée de l'épreuve d'une maladie, ou lors d'un accident.
Des paroles peuvent être " tueuses ",
un mot ou une attitude humaine et chaleureuse peut faire basculer une thérapie,
la charge des pensées négatives " à visée mortelle " ( attaques psychiques à répétition) émises à l'encontre par exemple d'un malade cancéreux hier, sidéens aujourd'hui sont lourdes de conséquences sur les plans invisibles.
Certes le miracle de la guérison sur une maladie " sévère " reste encore un mystère,
et le naufrage de la vieillesse aussi,
mais nous avons dessus le pouvoir de la qualité de la traversée,
de l'accepter avec discernement et responsabilité, de colorer la survie,
ou de la refuser et de se poser en victime et d'accélérer par le mental sa finalité .
J'ai vu des femmes accoucher en hurlant, j'ai vu des femmes se maîtriser et n'émettre aucun cri.
J'ai vu des sidéens mourir, pensant que leurs maladies étaient mortelles à très court terme,
imbibés du discours destructeur des médias dans les années 80 et d'autres " affranchis " - du discours médiatique - se porter sans problème à long terme.
Les études sur le pouvoir de l'inconscient nous renseignent aujourd'hui sur nos énormes potentialités face à une maladie, et pour nos orientations de vie. Mais pour s'intéresser et accéder à ses recherches,
il faut malheureusement souvent d'abord passer par une épreuve majeure.
Suis-je Don Quichotte ?
En effet, je pense que personne ne veut être malade et on veut tous être en santé et vieillir en santé. Malheureusement ce n'est pas le cas et je pense que l'on a aucun contrôle là-dessus malheureusement. Je ne crois pas non plus à la pensée positive et toutes ces choses qui tentent plutôt à être dans le déni. Quand on est malade et qu'on souffre, on ne l'a pas demandé et il y a des gens qui ont étudié pour s'occuper de ça. Évidemment, je suis bien d'accord que le patient peut faire sa part en mangeant mieux, ne pas fumer ou autres choses du genre si c'est possible et si la maladie peut avoir un rapport avec ça. Mais je crois qu'on est très limité dans ce que l'on peut faire face à la guérison. Blake
Le pouvoir et l'orientation de la pensée, le pouvoir des mots ( maux ) d'un malade , de son entourage et de l'équipe médicale sont majeures au cours de la traversée de l'épreuve d'une maladie, ou lors d'un accident.
Des paroles peuvent être " tueuses ",
un mot ou une attitude humaine et chaleureuse peut faire basculer une thérapie,
la charge des pensées négatives " à visée mortelle " ( attaques psychiques à répétition) émises à l'encontre par exemple d'un malade cancéreux hier, sidéens aujourd'hui sont lourdes de conséquences sur les plans invisibles.
Certes le miracle de la guérison sur une maladie " sévère " reste encore un mystère,
et le naufrage de la vieillesse aussi,
mais nous avons dessus le pouvoir de la qualité de la traversée,
de l'accepter avec discernement et responsabilité, de colorer la survie,
ou de la refuser et de se poser en victime et d'accélérer par le mental sa finalité .
J'ai vu des femmes accoucher en hurlant, j'ai vu des femmes se maîtriser et n'émettre aucun cri.
J'ai vu des sidéens mourir, pensant que leurs maladies étaient mortelles à très court terme,
imbibés du discours destructeur des médias dans les années 80 et d'autres " affranchis " - du discours médiatique - se porter sans problème à long terme.
Les études sur le pouvoir de l'inconscient nous renseignent aujourd'hui sur nos énormes potentialités face à une maladie, et pour nos orientations de vie. Mais pour s'intéresser et accéder à ses recherches,
il faut malheureusement souvent d'abord passer par une épreuve majeure.
Les miracles de guérison demeurent des cas isolés. Il n'y a aucune preuve scientifique de la pensée positive ou autre sur la guérison ou état de santé.
Suis-je Don Quichotte ?
Don Quirote et Don Kipette?
Suis-je Don Quichotte ?
Don Quirote et Don Kipette?
Mais qu'est ce qui t'arrive mon beau Vulcain.
Tu es dans ta phase rebelle ?
Suis-je Don Quichotte ?
Don Quirote et Don Kipette?
Non c'est Don Kipue !
Suis-je Don Quichotte ?
Les miracles de guérison demeurent des cas isolés. Il n'y a aucune preuve scientifique de la pensée positive ou autre sur la guérison ou état de santé.
D'ailleurs, une étude récente, de grande envergure, a démontré qu'il n'existe aucun lien entre le stress et le développement de cancer.
http://www.journaldemontreal.com/2016/10/02/aucun-lien-entre-le-stress-et-le--cancer--d...
"Il ne semble pas non plus exister de lien entre l’incidence d’épisodes dépressifs et la survenue de cancer, même en cas de dépressions sévères, ni entre le stress de la vie moderne et l’incidence de plusieurs types de cancers, incluant celui du sein."
Tout ça, bien sûr, n'a rien à voir avec ce que Dédé exprimait au départ; il ne souffre pas de cancer.
Il est victime d'une lésion professionnelle. Au Québec, l'employeur paie une prime à la CSST, qui varie selon le risque auquel on s'expose en tant que travailleur. Le rôle de la CSST est de protéger les travailleurs, d'abord par la prévention, mais aussi par le versement d'indemnités à la hauteur de 90 % du salaire, en cas d'accident de travail laissant une invalidité.
L'IVAC et la SAAQ sont d'autres systèmes destinés à protéger les citoyens victimes d'actes criminels ou d'accidents de la route. On paie collectivement pour ces services ! Espérant ne jamais en avoir besoin... Et l'objectif de tous ces beaux systèmes-là, c'est d'assurer de préserver la dignité de victimes (accident du travail, actes criminels, accidents de la route...) en leur versant des indemnités, alors qu'ils auront subi un traumatisme les empêchant de gagner leur vie par la suite.
Quand je parle de "confort administratif", je parle de "procédurite aigüe", parfois même de traitement froid et inhumain de la part des administrateurs de ces systèmes. Les victimes se retrouvent pratiquement dans une position de fraudeur. Les histoires d'horreur à ce sujet ne manquent pas. On en connaît tous personnellement...
Alos se prendre en main...bien sûr! Ce sont des systèmes qui ont été instaurés pour aider les victimes d'événements non planifiés à se remettre sur pieds. Le malheur, c'est qu'il faut parfois plus de courage pour affronter ces systèmes que pour affronter l'adversité qui nous y conduit...De là le questionnement très légitime de Dédé.
Suis-je Don Quichotte ?
Bien sûr que le questionnement de Dédé est légitime,
mais je tentais d'offrir dans cet échange, à la lumière de mon expérience professionnelle et personnelle,
une perspective qui oblige à avoir une autre façon de penser et de réagir vis à vis de la maladie, d'une lésion, d'un accident, autre que celle de nos automatismes et cristallisations.
Docteur Joe Dispenza nous explique dans cette conférence comment perdre l'habitude de l'ancienne personnalité en changeant les structures neuronales de notre cerveau.
Nous ne sommes pas condamnés à vivre une existence déterminée par nos gènes. Le docteur Joe Dispenza unit les domaines de la physique quantique, des neurosciences, de la chimie cérébrale, de la biologie et de la génétique pour nous montrer ce qu'il est vraiment possible de faire.
https://youtu.be/B4WYZKe21WU
Suis-je Don Quichotte ?
Bien sûr que le questionnement de Dédé est légitime,
mais je tentais d'offrir dans cet échange, à la lumière de mon expérience professionnelle et personnelle,
une perspective qui oblige à avoir une autre façon de penser et de réagir vis à vis de la maladie, d'une lésion, d'un accident, autre que celle de nos automatismes et cristallisations.Docteur Joe Dispenza nous explique dans cette conférence comment perdre l'habitude de l'ancienne personnalité en changeant les structures neuronales de notre cerveau.
Nous ne sommes pas condamnés à vivre une existence déterminée par nos gènes. Le docteur Joe Dispenza unit les domaines de la physique quantique, des neurosciences, de la chimie cérébrale, de la biologie et de la génétique pour nous montrer ce qu'il est vraiment possible de faire.
https://youtu.be/B4WYZKe21WU
Même si on accorde une primauté de l'Esprit sur la Matière, il n'en reste pas moins que le nombre d'êtres humains ayant réussi par la pensée à se refaire pousser une jambe ou à régénérer les disques intervertébraux se compte sur les doigts d'une ou plus probablement de zéro main.
Si nous avons un relatif pouvoir personnel sur la gestion du stress, sur notre nutrition ou encore sur notre résistance à la douleur (à condition toutefois et sans doute dans ce dernier cas d'agir avant sa manifestation), pour ce qui est de la régénération tissulaire, il semble bien que ce soit une autre paire de manches.
Suis-je Don Quichotte ?
Les miracles de guérison demeurent des cas isolés. Il n'y a aucune preuve scientifique de la pensée positive ou autre sur la guérison ou état de santé.
D'ailleurs, une étude récente, de grande envergure, a démontré qu'il n'existe aucun lien entre le stress et le développement de cancer.
http://www.journaldemontreal.com/2016/10/02/aucun-lien-entre-le-stress-et-le--cancer--d..."Il ne semble pas non plus exister de lien entre l’incidence d’épisodes dépressifs et la survenue de cancer, même en cas de dépressions sévères, ni entre le stress de la vie moderne et l’incidence de plusieurs types de cancers, incluant celui du sein."
Tout ça, bien sûr, n'a rien à voir avec ce que Dédé exprimait au départ; il ne souffre pas de cancer.
Je reste prudent face à de telles études, surtout lorsque ce sont les premières du genre. Il est arrivé souvent que des études ultérieures contredisent les résultats de premières, ceci par une meilleure approche expérimentale ou statistique (selon les types d'études). De plus, l'influence de celui qui commande et de celui qui finance peut être également déterminante amenant éventuellement des résultats complètement biaisés.
Plusieurs études et recherches tendent par exemple maintenant à démontrer la mauvaise influence du sucre sur les maladies cardio-vasculaires alors que pendant plusieurs décennies on en rejetait la faute sur les gras. Les producteurs de sucre étaient passés par là.
De même, de plus en plus de chercheurs admettent maintenant la forte influence de l'alimentation, et même des émotions sur l'apparition des cancers. De là à ce qu'on y ajoute le stress un jour, je ne serais pas étonné.
Il est victime d'une lésion professionnelle. Au Québec, l'employeur paie une prime à la CSST, qui varie selon le risque auquel on s'expose en tant que travailleur. Le rôle de la CSST est de protéger les travailleurs, d'abord par la prévention, mais aussi par le versement d'indemnités à la hauteur de 90 % du salaire, en cas d'accident de travail laissant une invalidité.
L'IVAC et la SAAQ sont d'autres systèmes destinés à protéger les citoyens victimes d'actes criminels ou d'accidents de la route. On paie collectivement pour ces services ! Espérant ne jamais en avoir besoin... Et l'objectif de tous ces beaux systèmes-là, c'est d'assurer de préserver la dignité de victimes (accident du travail, actes criminels, accidents de la route...) en leur versant des indemnités, alors qu'ils auront subi un traumatisme les empêchant de gagner leur vie par la suite.
Quand je parle de "confort administratif", je parle de "procédurite aigüe", parfois même de traitement froid et inhumain de la part des administrateurs de ces systèmes. Les victimes se retrouvent pratiquement dans une position de fraudeur. Les histoires d'horreur à ce sujet ne manquent pas. On en connaît tous personnellement...
Alors se prendre en main...bien sûr! Ce sont des systèmes qui ont été instaurés pour aider les victimes d'événements non planifiés à se remettre sur pieds. Le malheur, c'est qu'il faut parfois plus de courage pour affronter ces systèmes que pour affronter l'adversité qui nous y conduit...De là le questionnement très légitime de Dédé.
Effectivement.
Donc à moins que Dédé soit transformé en homme bio-ionique du genre de celui qui valait plusieurs millions ou milliards, il ne dispose que de peu de moyens d'éliminer ses douleurs causées par sa lésion vertébrale.
Si nous pouvons agir dans une certaine mesure sur des cancers, sur les maladies cardio-vasculaires (surtout au niveau préventif) ou sur des rhumes ou quelques autres maladies virales ou bactériennes (par une meilleure alimentation, un meilleur environnement et des exercices physiques suffisants et modérés), agir sur une vertèbre pétée n'est pas la même affaire.
Certains discours new-ageux ou modernes tendant à proposer des recettes ou des influences universelles auraient besoin d'être revus à la baisse ou par une approche plus réaliste.
Ici, on peut évoquer un cas qui n'a rien à voir avec la santé (du moins a priori ou pour la présente discussion), mais qui est symptomatique du problème. Si on peut admettre l'existence de certaines entités reptiliennes au moins sur le plan astral (où finalement on peut voir même des éléphants roses), de là à faire [comme David Icke ou d'autres conspirationnistes] des Reptiliens ou d'autres entités les uniques ou les principaux et généraux responsables de nos déboires humains, il y a une grande marge. L'Homme lui-même, selon notamment sa conscience, a quand même sa part de responsabilité.
Dans le cas de la santé et de la douleur, il ne semble malheureusement pas davantage exister de recette universelle. Et l'esprit n'a pas encore appris comment réparer des vertèbres bousillées, même s'il peut dans une certaine mesure diminuer les douleurs ou y réagir de différentes manières.
Suis-je Don Quichotte ?
Don Quirote et Don Kipette?
Mais qu'est ce qui t'arrive mon beau Vulcain.Tu es dans ta phase rebelle ?
C'était la minute annuelle de folie de Vulcain.
Suis-je Don Quichotte ?
Vulcain connais tu bon vrai acupuncteur ici en région ?
Je suis persuadé qu'il peut neutralise le titre nerfs qui lui fait mal.
Si ce n'est pas carrément une inflammation.
Suis-je Don Quichotte ?
Vulcain connais tu bon vrai acupuncteur ici en région ?
Malheureusement non. Et je n'ai vu aucun médecin (alternatif ou conventionnel) personnelement depuis plus de 13 ans que je vis au Québec. Les seuls professionnels de la santé que j'ai consultés, ce sont des dentistes et un chiro.
Je suis persuadé qu'il peut neutralise le titre nerfs qui lui fait mal.
Si ce n'est pas carrément une inflammation.
C'est bien possible, mais l'effet pourrait n'être que momentanné, nécessitant des scéances régulières.
6 vertèbres bousillées ! ça te suffit !
Dans le cas de la santé et de la douleur, il ne semble malheureusement pas davantage exister de recette universelle. Et l'esprit n'a pas encore appris comment réparer des vertèbres bousillées, même s'il peut dans une certaine mesure diminuer les douleurs ou y réagir de différentes manières.Vulcain
VULCAIN ! si tu te donnais la peine d'écouter ou de lire le témoignage de Jo Dispenza,
tu apprendrais qu'à la suite d'un accident de voiture qui l'a traîné sur plusieurs mètres et a bousillé 6 de ces vertèbres,
il a refusé les opérations préconisées par 3 neurochirurgiens malgré le diagnostic de paralysie et fauteuil roulant !!!
et a exploré, à ses risques et périls, de façon totalement intuitive, un nouveau champs de conscience pour s'en sortir et se rétablir,
ce qui lui a permis de reprendre quelques semaines plus tard son travail à la stupéfaction du corps médical.
Depuis de nombreuses années, il témoigne de son expérience à travers le monde, avec le concours de scientifiques.
Lilou Macé dit que c'est l'être le plus " incroyable " qu'elle a interviewé et celui vers lequel elle revient le plus souvent. J'aurai la chance de suivre un de ses séminaires à Paris en février 17, je pourrai alors te donner des impressions plus personnelles.
J'ai déjà donné l'info à Dédé sur ce forum sans retour.
Qui cherche, trouve !
Demandez et vous recevrez ! au moins des infos, des pistes, des ouvertures ....
après chacun son deal.
On ne communique pas pour s'enfoncer mutuellement mais pour s'ouvrir à d'autres horizons, qui peuvent aider !
6 vertèbres bousillées ! ça te suffit ! - édité
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VULCAIN ! si tu te donnais la peine d'écouter ou de lire le témoignage de Jo Dispenza,
Tant mieux si c'est vrai (et pas une arnaque de plus). Ce serait alors le premier être humain à être parvenu à cela (ou un des premiers si les éventuels autres cas restent inconnus). Cependant et par contre, il y a eu de nombreux cas bien documentés et démontrés de faux miracles en fait complètement inventés.
(Ceci sans considérer les guérisons miraculeuses sans causes personnelles, mais attribuées à la Vierge ou autres puissances divines ou prétendues telles).
6 vertèbres bousillées ! ça te suffit !
Dans le cas de la santé et de la douleur, il ne semble malheureusement pas davantage exister de recette universelle. Et l'esprit n'a pas encore appris comment réparer des vertèbres bousillées, même s'il peut dans une certaine mesure diminuer les douleurs ou y réagir de différentes manières.Vulcain
VULCAIN ! si tu te donnais la peine d'écouter ou de lire le témoignage de Jo Dispenza,
tu apprendrais qu'à la suite d'un accident de voiture qui l'a traîné sur plusieurs mètres et a bousillé 6 de ces vertèbres,
il a refusé les opérations préconisées par 3 neurochirurgiens malgré le diagnostic de paralysie et fauteuil roulant !!!
et a exploré, à ses risques et périls, de façon totalement intuitive, un nouveau champs de conscience pour s'en sortir et se rétablir,
ce qui lui a permis de reprendre quelques semaines plus tard son travail à la stupéfaction du corps médical.
Depuis de nombreuses années, il témoigne de son expérience à travers le monde, avec le concours de scientifiques.
Lilou Macé dit que c'est l'être le plus " incroyable " qu'elle a interviewé et celui vers lequel elle revient le plus souvent. J'aurai la chance de suivre un de ses séminaires à Paris en février 17, je pourrai alors te donner des impressions plus personnelles.J'ai déjà donné l'info à Dédé sur ce forum sans retour.
Qui cherche, trouve !
Demandez et vous recevrez ! au moins des infos, des pistes, des ouvertures ....
après chacun son deal.
On ne communique pas pour s'enfoncer mutuellement mais pour s'ouvrir à d'autres horizons, qui peuvent aider !
Ce serait intéressant en effet que tu fasses un topo lorsque tu auras suivi ce séminaire et nous dire ce que ça t'aura apporté et le reste de ton feeling global.
L'approche comptable
Bien sûr que le questionnement de Dédé est légitime,
mais je tentais d'offrir dans cet échange, à la lumière de mon expérience professionnelle et personnelle,
une perspective qui oblige à avoir une autre façon de penser et de réagir vis à vis de la maladie, d'une lésion, d'un accident, autre que celle de nos automatismes et cristallisations.
Je pense que c'est un échange très intéressant à développer, et qui mériterait son propre sujet. J'ai aussi quelques expériences en la matière et j'aimerais bien y participer !
Ma lecture du questionnement de Dédé exprimé ici: il se demande s'il vaut la peine qu'il fasse valoir ses droits, il se questionne sur sa capacité financière et physique à livrer une telle bataille (pcq ça en sera une). Soupeser la situation actuelle par rapport à engager un mouvement qui aura des conséquences. Et ces conséquences sont difficiles à évaluer...Dédé a peur de se battre pour rien.
En passant Dédé, je veux préciser que je ne connais pas l'avocat du lien ! C'est juste le résultat d'une recherche Google rapide, mais j'ai pensé que ça nourrirait ta réflexion.
De toute façon, tu sauras exactement à quoi t'en tenir seulement après le 1er décembre. Si jamais l'examen confirme l'aggravation de la lésion pro, perso, je me poserais les questions suivantes:
"Comment le fait de recevoir 90% de mon salaire, par rapport à la situation actuelle, affectera ma vie ?"...et "comment l'attente face au verdict affectera ma vie ?"... et "si je perdais la bataille, quelles seraient les différences dans ma vie par rapport à ma situation actuelle ? " C'est ça, l'approche comptable dont je te parlais
6 vertèbres bousillées ! ça te suffit !
Dans le cas de la santé et de la douleur, il ne semble malheureusement pas davantage exister de recette universelle. Et l'esprit n'a pas encore appris comment réparer des vertèbres bousillées, même s'il peut dans une certaine mesure diminuer les douleurs ou y réagir de différentes manières.Vulcain
VULCAIN ! si tu te donnais la peine d'écouter ou de lire le témoignage de Jo Dispenza,
tu apprendrais qu'à la suite d'un accident de voiture qui l'a traîné sur plusieurs mètres et a bousillé 6 de ces vertèbres,
il a refusé les opérations préconisées par 3 neurochirurgiens malgré le diagnostic de paralysie et fauteuil roulant !!!
et a exploré, à ses risques et périls, de façon totalement intuitive, un nouveau champs de conscience pour s'en sortir et se rétablir,
ce qui lui a permis de reprendre quelques semaines plus tard son travail à la stupéfaction du corps médical.
Bâtèche, est-ce que ce docteur a vu, lorsqu'il était enfant, ses Tonkas bougé tout seul ?
Prend-il les gens avec des poignée en or 24 carats dans le dos ?
Une fracture vertébrale comme toute autre fracture d'un os, prend environ entre deux semaines et un mois pour se réparer de lui-même. Ça s'il n'y a aucune complication rattachée à la blessure. Donc si dans ses 6 vertèbres fracturées, il n'y a eu aucune lésion au niveau des disques intervertébraux, il se peut que ça lui a fallu au moins quelques semaines pour se rétablir en suivant des précautions pour ne pas qu'il bouge aucunement durant cette convalescence. Ce qui veut dire, au moins deux semaines alité sur une planche et complètement immobilisé avec sondes urinaires et fécales.
Une hernie discale est résorbable lorsque cette dernière ne sort pas de son lit et qu'elle soit au début ( environ 1 mm de grosseur ), en faisant de la physiothérapie pour cette lésion précise. J'ai eu le malheur que l'hernie discale que j'ai eu, était de la grosseur de 9 mm et qu'elle a été séquestrée ( sortie de son lit avec rupture du noyau central avec épanchement du liquide rachidien ).
Depuis de nombreuses années, il témoigne de son expérience à travers le monde, avec le concours de scientifiques.
Lilou Macé dit que c'est l'être le plus " incroyable " qu'elle a interviewé et celui vers lequel elle revient le plus souvent. J'aurai la chance de suivre un de ses séminaires à Paris en février 17, je pourrai alors te donner des impressions plus personnelles.
Ne me donne pas tes impressions sur ce que tu suivras de ce personnage. De un, je ne le crois pas puisque je ressens à prime abord qu'il soit rien d'autre qu'un autre fabulateur, un ti-clin qui abuse de sa renommée pour flagorner avec sa personnalité. J'en ai rien à cirer de ces menteurs !
J'ai déjà donné l'info à Dédé sur ce forum sans retour.
Qui cherche, trouve !
Demandez et vous recevrez ! au moins des infos, des pistes, des ouvertures ....
après chacun son deal.
On ne communique pas pour s'enfoncer mutuellement mais pour s'ouvrir à d'autres horizons, qui peuvent aider !
J'ai confiance à mon neurochirurgien car il m'a bien expliqué qu'une intervention ne m'avantagerait pas pour les raisons suivantes :
- Je suis un sujet qui a fait une pacchyméningite suite à ma première intervention chirurgicale ( une infection post-opératoire qui a touché la dure-mère )
- Que la neurochirurgie serait inutile puisque les sténoses ne sont pas assez importantes pour intervenir, même si elles affectent trois vertèbres ( L3-L4, L4-L5, L5-S1 )
- Les risques de paralysie sont trop importantes et se situent à 90% ( sans même avoir le rapport de l'électromyographie )
Voilà, je suis en attente du déroulement sur ce dossier épineux !
Dédé
L'approche comptable
Bien sûr que le questionnement de Dédé est légitime,
mais je tentais d'offrir dans cet échange, à la lumière de mon expérience professionnelle et personnelle,
une perspective qui oblige à avoir une autre façon de penser et de réagir vis à vis de la maladie, d'une lésion, d'un accident, autre que celle de nos automatismes et cristallisations.
Je pense que c'est un échange très intéressant à développer, et qui mériterait son propre sujet. J'ai aussi quelques expériences en la matière et j'aimerais bien y participer !
Oui, ça pourrait être intéressant comme sujet !
Ma lecture du questionnement de Dédé exprimé ici: il se demande s'il vaut la peine qu'il fasse valoir ses droits, il se questionne sur sa capacité financière et physique à livrer une telle bataille (pcq ça en sera une). Soupeser la situation actuelle par rapport à engager un mouvement qui aura des conséquences. Et ces conséquences sont difficiles à évaluer...Dédé a peur de se battre pour rien.
C'est exactement ce fait qui m'inquiète.
En passant Dédé, je veux préciser que je ne connais pas l'avocat du lien ! C'est juste le résultat d'une recherche Google rapide, mais j'ai pensé que ça nourrirait ta réflexion.
J'ai saisi le lien quand même dans le cas où mon conseiller juridique aurait besoin d'un avocat, puisqu'il n'est pas un avocat. Il me représente sur le dossier mais il ne peux pas intervenir dans le cas où il y aurait un débat judiciaire.
De toute façon, tu sauras exactement à quoi t'en tenir seulement après le 1er décembre. Si jamais l'examen confirme l'aggravation de la lésion pro, perso, je me poserais les questions suivantes:
"Comment le fait de recevoir 90% de mon salaire, par rapport à la situation actuelle, affectera ma vie ?"...et "comment l'attente face au verdict affectera ma vie ?"... et "si je perdais la bataille, quelles seraient les différences dans ma vie par rapport à ma situation actuelle ? " C'est ça, l'approche comptable dont je te parlais
Je l'ai bien compris !
On en a discuté moi et Claudie, de long et en large.
Merci encore !
Dédé
Avec raison
Ne dit -on pas que l'expérience de l'un ne sert pas l'autre ?
ou est un peigne pour un crâne chauve !
C'est pour cela que l'humanité refait , refait et refait l'expérience de la guerre, des camps de concentrations, de la torture.....Trop dure d'apprendre de l'autre !
Sortir encore aujourd'hui du sillon, s'extraire du bétail condamne à la critique , au lynchage, ou à la mort.
VIVE la ROUTINE, le CONFORMISME, les AUTOMATISMES, les CRISTALLISATIONS
et...... vive les aventuriers dans tous les domaines..... j'adore leurs témoignages et séminaires car pour eux TOUT EST POSSIBLE )
Qu'est ce qui t'es arrivé.
C'est quoi qui t'es arrivé Dédé pour avoir brisé ce dos.
Tu as soulevé de grosse personne ?
Tu as emprunté des escaliers ?
Je t'avoue que ça doit pas toujours être facile de secourir des gens et ce à toute vitesse.
Avec raison
Ne dit -on pas que l'expérience de l'un ne sert pas l'autre ?
ou est un peigne pour un crâne chauve !
C'est pour cela que l'humanité refait , refait et refait l'expérience de la guerre, des camps de concentrations, de la torture.....Trop dure d'apprendre de l'autre !
Sortir encore aujourd'hui du sillon, s'extraire du bétail condamne à la critique , au lynchage, ou à la mort.
VIVE la ROUTINE, le CONFORMISME, les AUTOMATISMES, les CRISTALLISATIONSet...... vive les aventuriers dans tous les domaines..... j'adore leurs témoignages et séminaires car pour eux TOUT EST POSSIBLE )
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Pas besoin de peigne lorsqu'une histoire est tirée par les cheveux !
J'aime mieux me faire traité de conformiste que de croire à un mensonge aussi évident !
Dédé
Qu'est ce qui t'es arrivé.
C'est quoi qui t'es arrivé Dédé pour avoir brisé ce dos.
Tu as soulevé de grosse personne ?
Tu as emprunté des escaliers ?Je t'avoue que ça doit pas toujours être facile de secourir des gens et ce à toute vitesse.
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C'est lors d'une intervention à un accident de la route dans la nuit, en janvier 1994 après un redoux. Il avait tombé une mince couche de neige et la personne a perdu contrôle de sa voiture dans une courbe sur l'autoroute 15 direction nord à la hauteur de Lafontaine. Une dame d'une cinquantaine d'année dont son poids devait frisé les 240 lbs.
Nous l'avons immobilisé avant de la sortir de son véhicule et c'est en la sortant du véhicule que l'incident s'est produit car mon partenaire de travail a lâché les courroies de contrôle puisqu'il a glissé sur la glace et pour éviter d'échapper cette dame, j'ai retenu le poids et mes jambes se sont écartelées sur cette même glace noire recouverte de neige. Ça donner un coup au bas de mon dos et j'ai ressenti immédiatement une douleur intense au bas du dos. D'ailleurs j'ai demandé à mon partenaire de conduire car je ne ressentais plus mes pieds et mes jambes.
Comble de malheur, nous étions les seules intervenants pour cette nuit et j'ai du continuer mon quart de travail avant de voir un médecin car je ne pouvais pas me faire remplacer puisqu'il n'y avait pas de remplaçant. Par chance qu'il n'y a eu aucune intervention par la suite.
C'est en passant un scanner un mois plus tard après quelques séances de physiothérapie qui n'avançaient à rien, qu'il y avait une hernie discale majeure à L5-S1. J'ai eu la première neurochirurgie ( discoectomie ) en juillet 6 mois plus tard et après un mois de physiothérapie, j'ai eu la rechute causée par la pacchyméningithe. La deuxième neurochirurgie ( une laminectomie ) a été faite au début d'octobre de la même année.
Depuis ce temps, j'ai des périodes de névralgie sciatique et que par la suite, j'ai été diagnostiqué au syndrome de la douleur chronique. Ce qui veut dire, que j'aurai cette foutue douleur jusqu'à ma fin de vie. Les pires périodes se retrouvent au premier croissant lunaire mais en général, la douleur se situe entre 5 et 8 sur 10.
Voilà !
Dédé
L'approche comptable
On en a discuté moi et Claudie, de long et en large.
oui, et je suis sûre que vous en parlerez encore ! C'est une grosse décision.
As-tu une date limite après ton examen pour amorcer les démarches ?
Merci encore !
Plaisir.
L'approche comptable
On en a discuté moi et Claudie, de long et en large.
oui, et je suis sûre que vous en parlerez encore ! C'est une grosse décision.As-tu une date limite après ton examen pour amorcer les démarches ?
Merci encore !
Plaisir.
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Dès que je vais revoir mon neurochirurgien lorsqu'il recevra les résultats de l'électromyographie, et qu'il signe un billet concernant l'aggravation lésionnelle, le dossier rechute débute de là. À partir de ce billet, la CSST entre en contact ( par lettre évidemment ) avec moi soit pour contester la décision de la rechute ou pour me demander de rencontrer mon agent sur le dossier afin de voir ce qu'ils peuvent faire suite aux recommandations du médecin qui signera ce billet.
Il se peut grâce à l'appuie des résultats de tous mes examens ( imagerie de la résonance magétique, scanner et Xray, et l'électromyographie ) que la CSST ou maintenant la CNESST, ne conteste pas le dossier de la rechute. Alors, j'aurais droit à l'indemnisation complète de mon salaire pour au moins deux ans et me classifier après une autre évaluation concernant l'employabilité. Actuellement, je suis au grade 2, c.a.d., invalide de travailler plus de 20 heures/semaine. Le grade 4 est une invalidité complète mais pour obtenir ceci, il faut que tu te promènes avec ta tête dans tes bras...genre !
Dédé
L'approche comptable
... mais pour obtenir ceci, il faut que tu te promènes avec ta tête dans tes bras...genre !
Dédé
Qu'est-ce que t'attends ?
Sérieusement, j'espère que l'examen médical seul suffira à compléter ton dossier et faire la preuve pour que tu n'aies pas à passer à travers toutes les procédures.
L'approche comptable
... mais pour obtenir ceci, il faut que tu te promènes avec ta tête dans tes bras...genre !
Dédé
Qu'est-ce que t'attends ?Sérieusement, j'espère que l'examen médical seul suffira à compléter ton dossier et faire la preuve pour que tu n'aies pas à passer à travers toutes les procédures.
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Je l'espère bien mais connaissant ce régime de terreur, je dois m'attendre à tout de leur part.