Les Québécois favorables au masque en majorité. (Forum)
Sondage CROP: les trois quarts des Québécois favorables au port du masque
Un nouveau coup de sonde de CROP montre que les Québécois sont prêts à se discipliner en portant le masque dans les endroits fermés. À peine 14 % s’opposent au couvre-visage, ce qui montre que les Québécois « s’en vont dans la bonne direction », affirme la maison de sondage. Seul hic, selon le vice-président, Dominic Bourdages, il faut demeurer vigilant, car certains segments de la population résistent plus que d’autres : la cohorte des 18-34 ans ainsi que les résidants de la région de Québec.
Consensus autour du port du masque
Réalisée quelques jours avant l’entrée en vigueur de l’obligation du port du masque dans les commerces, l’enquête de la firme CROP révèle que 77 % des Montréalais sortaient déjà toujours ou la plupart du temps avec leur couvre-visage. Mais dans le reste du Québec, c’était environ une personne sur deux.
« Avant qu’il soit obligatoire, le masque était moins porté à l’extérieur de Montréal parce que les citoyens ne vivent pas la même réalité que dans la métropole. Si j’habite Jonquière, ça se peut que je ne connaisse personne qui a eu la COVID-19 », illustre Dominic Bourdages.
Cela dit, quand on s’attarde à la portion de la population qui accepte qu’on soit obligé de porter le masque dans les lieux publics intérieurs, on se rend compte qu’il y a consensus un peu partout au Québec. Plus de trois personnes sur quatre (76 %) sont d’accord avec cette décision. « Les anti-masques sont une minorité bruyante », évoque le vice-président de CROP, en ajoutant que 14 % de refus ne sont quand même pas une portion « marginale » de la population.
Alors qu’à peine 12 % des personnes sondées étaient peu ou pas satisfaites en mars du travail de François Legault, ce taux a grimpé à 17 % en avril, pour se fixer à 30 % aujourd’hui.
Les Québécois sont par ailleurs moins satisfaits du travail de François Legault pour sa gestion de la COVID-19 que dans les derniers mois. Alors qu’à peine 12 % des personnes sondées étaient peu ou pas satisfaites en mars, ce taux a grimpé à 17 % en avril, pour se fixer à 30 % aujourd’hui. Quant à ceux qui sont « très satisfaits », leur proportion est passée de 66 % au début du mois d’avril à 35 %.
Le niveau d’insatisfaction augmente donc dans la population, mais selon le vice-président de CROP, il n’y a là rien de dramatique. « Au début de la pandémie, on lui donnait le Bon Dieu sans confession. Là, on retrouve un niveau plus logique. »
L’insatisfaction est aussi en hausse au fédéral : 51 % des Québécois jugent négativement le travail de Justin Trudeau, une hausse de 6 % depuis la fin d’avril. « Les gens sont quand même beaucoup plus satisfaits de M. Legault que de M. Trudeau », fait remarquer M. Bourdages.
Besoin de « câlins »
Preuve que les Québécois ont besoin de socialiser : au cours du dernier mois, plus d’un Québécois sur deux (54 %) a participé à au moins une activité réunissant plusieurs personnes ne provenant pas du même foyer. « Un chiffre fort révélé par notre sondage : une personne sur trois a aussi fait un câlin ! Ça montre justement le besoin de socialiser », constate le représentant de CROP. Malgré tout, les gens continuent de faire de leur mieux pour respecter les mesures de distanciation physique. Ils sont 54 % à dire qu’ils observent « scrupuleusement » les consignes, alors que 44 % « trichent parfois ». « C’est très intéressant, parce qu’on s’aperçoit que ce n’est pas une masse de gens qui ne respectent pas les mesures. Ils sont très nombreux à respecter les règles, même s’ils avouent tricher des fois », observe M. Bourdages.
Plus de récalcitrants dans la région de Québec
Les personnes de la catégorie 18-34 ans et celles de la région de Québec sont les plus récalcitrantes aux nouvelles mesures sanitaires, dont le port du masque dans les commerces. Par exemple, les résidants de la grande région de Québec sont en désaccord avec le port du masque dans les commerces à 24 %, contrairement à 18 % dans le reste du Québec et à 9 % dans le Grand Montréal. « C’est un fait que les gens de Québec et les 18-34 ans ont un comportement moins exemplaire et sont plus réfractaires aux mesures », fait remarquer M. Bourdages. « Ce n’est pas juste que les gens de Québec ne sont pas favorables au port du masque, ajoute-t-il, ce sont aussi ceux qui nous disent avoir le plus sorti, avoir fait le plus de câlins, avoir le plus triché, etc. Leurs réponses à toutes les questions vont dans le même sens. C’est pour ça qu’on peut dire qu’en comparaison avec les autres régions du Québec, les différences sont réelles et significatives. »
Résignés à une seconde vague
Le vice-président de CROP a remarqué à la lecture du sondage qu’une majorité de Québécois s’étaient résignés au fait qu’il pourrait y avoir une deuxième vague. « Seulement 3 % disent qu’il n’y en aura pas », note-t-il. Et 45 % des répondants s’attendent à ce que les effets de cette deuxième vague soient plus « grands » que ceux de la première. Le chiffre grimpe à 53 % chez les 18-34 ans. « C’est un peu déstabilisant de voir que ceux qui agissent avec le plus de désinvolture et qui ont le plus de comportements à risque sont ceux qui croient en plus grand nombre que les impacts de la deuxième vague seront plus importants », observe M. Bourdages, sans pouvoir l’expliquer.
Inquiets du déficit budgétaire du fédéral
Alors que le gouvernement Trudeau a annoncé qu’il prévoyait un déficit budgétaire de 343 milliards de dollars pour l’exercice 2020-2021, CROP a demandé aux Québécois si cet important déficit les inquiétait. Près de trois personnes sur quatre (72 %) affirment être inquiètes. « On note que les Québécois qui ne résident pas à Montréal et à Québec sont moins inquiets, peut-être parce qu’ils ont été moins touchés économiquement. En plus, la période de l’été va être bonne pour les régions puisque les touristes sont nombreux », constate le vice-président de la firme de sondage.
Méthodologie
La collecte de données s’est déroulée entre les 14 et 16 juillet par l’entremise d’un panel web. Au total, 1029 questionnaires ont été remplis par des Québécois de 18 ans et plus. Les résultats ont été pondérés afin de refléter la distribution de la population à l’étude selon le sexe, l’âge, la langue maternelle et la scolarité des répondants. Notons que, compte tenu du caractère non probabiliste de l’échantillon, le calcul de la marge d’erreur ne s’applique pas.
https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-07-22/sondage-crop-les-trois-quarts-des-quebecois...
Les Québécois favorables au masque en majorité.
Sondage CROP: les trois quarts des Québécois favorables au port du masque
Un nouveau coup de sonde de CROP montre que les Québécois sont prêts à se discipliner en portant le masque dans les endroits fermés. À peine 14 % s’opposent au couvre-visage, ce qui montre que les Québécois « s’en vont dans la bonne direction », affirme la maison de sondage. Seul hic, selon le vice-président, Dominic Bourdages, il faut demeurer vigilant, car certains segments de la population résistent plus que d’autres : la cohorte des 18-34 ans ainsi que les résidants de la région de Québec.
Consensus autour du port du masqueRéalisée quelques jours avant l’entrée en vigueur de l’obligation du port du masque dans les commerces, l’enquête de la firme CROP révèle que 77 % des Montréalais sortaient déjà toujours ou la plupart du temps avec leur couvre-visage. Mais dans le reste du Québec, c’était environ une personne sur deux.
« Avant qu’il soit obligatoire, le masque était moins porté à l’extérieur de Montréal parce que les citoyens ne vivent pas la même réalité que dans la métropole. Si j’habite Jonquière, ça se peut que je ne connaisse personne qui a eu la COVID-19 », illustre Dominic Bourdages.
Cela dit, quand on s’attarde à la portion de la population qui accepte qu’on soit obligé de porter le masque dans les lieux publics intérieurs, on se rend compte qu’il y a consensus un peu partout au Québec. Plus de trois personnes sur quatre (76 %) sont d’accord avec cette décision. « Les anti-masques sont une minorité bruyante », évoque le vice-président de CROP, en ajoutant que 14 % de refus ne sont quand même pas une portion « marginale » de la population.
Alors qu’à peine 12 % des personnes sondées étaient peu ou pas satisfaites en mars du travail de François Legault, ce taux a grimpé à 17 % en avril, pour se fixer à 30 % aujourd’hui.
Les Québécois sont par ailleurs moins satisfaits du travail de François Legault pour sa gestion de la COVID-19 que dans les derniers mois. Alors qu’à peine 12 % des personnes sondées étaient peu ou pas satisfaites en mars, ce taux a grimpé à 17 % en avril, pour se fixer à 30 % aujourd’hui. Quant à ceux qui sont « très satisfaits », leur proportion est passée de 66 % au début du mois d’avril à 35 %.
Le niveau d’insatisfaction augmente donc dans la population, mais selon le vice-président de CROP, il n’y a là rien de dramatique. « Au début de la pandémie, on lui donnait le Bon Dieu sans confession. Là, on retrouve un niveau plus logique. »
L’insatisfaction est aussi en hausse au fédéral : 51 % des Québécois jugent négativement le travail de Justin Trudeau, une hausse de 6 % depuis la fin d’avril. « Les gens sont quand même beaucoup plus satisfaits de M. Legault que de M. Trudeau », fait remarquer M. Bourdages.
Besoin de « câlins »
Preuve que les Québécois ont besoin de socialiser : au cours du dernier mois, plus d’un Québécois sur deux (54 %) a participé à au moins une activité réunissant plusieurs personnes ne provenant pas du même foyer. « Un chiffre fort révélé par notre sondage : une personne sur trois a aussi fait un câlin ! Ça montre justement le besoin de socialiser », constate le représentant de CROP. Malgré tout, les gens continuent de faire de leur mieux pour respecter les mesures de distanciation physique. Ils sont 54 % à dire qu’ils observent « scrupuleusement » les consignes, alors que 44 % « trichent parfois ». « C’est très intéressant, parce qu’on s’aperçoit que ce n’est pas une masse de gens qui ne respectent pas les mesures. Ils sont très nombreux à respecter les règles, même s’ils avouent tricher des fois », observe M. Bourdages.
Plus de récalcitrants dans la région de Québec
Les personnes de la catégorie 18-34 ans et celles de la région de Québec sont les plus récalcitrantes aux nouvelles mesures sanitaires, dont le port du masque dans les commerces. Par exemple, les résidants de la grande région de Québec sont en désaccord avec le port du masque dans les commerces à 24 %, contrairement à 18 % dans le reste du Québec et à 9 % dans le Grand Montréal. « C’est un fait que les gens de Québec et les 18-34 ans ont un comportement moins exemplaire et sont plus réfractaires aux mesures », fait remarquer M. Bourdages. « Ce n’est pas juste que les gens de Québec ne sont pas favorables au port du masque, ajoute-t-il, ce sont aussi ceux qui nous disent avoir le plus sorti, avoir fait le plus de câlins, avoir le plus triché, etc. Leurs réponses à toutes les questions vont dans le même sens. C’est pour ça qu’on peut dire qu’en comparaison avec les autres régions du Québec, les différences sont réelles et significatives. »Résignés à une seconde vague
Le vice-président de CROP a remarqué à la lecture du sondage qu’une majorité de Québécois s’étaient résignés au fait qu’il pourrait y avoir une deuxième vague. « Seulement 3 % disent qu’il n’y en aura pas », note-t-il. Et 45 % des répondants s’attendent à ce que les effets de cette deuxième vague soient plus « grands » que ceux de la première. Le chiffre grimpe à 53 % chez les 18-34 ans. « C’est un peu déstabilisant de voir que ceux qui agissent avec le plus de désinvolture et qui ont le plus de comportements à risque sont ceux qui croient en plus grand nombre que les impacts de la deuxième vague seront plus importants », observe M. Bourdages, sans pouvoir l’expliquer.
Inquiets du déficit budgétaire du fédéral
Alors que le gouvernement Trudeau a annoncé qu’il prévoyait un déficit budgétaire de 343 milliards de dollars pour l’exercice 2020-2021, CROP a demandé aux Québécois si cet important déficit les inquiétait. Près de trois personnes sur quatre (72 %) affirment être inquiètes. « On note que les Québécois qui ne résident pas à Montréal et à Québec sont moins inquiets, peut-être parce qu’ils ont été moins touchés économiquement. En plus, la période de l’été va être bonne pour les régions puisque les touristes sont nombreux », constate le vice-président de la firme de sondage.Méthodologie
La collecte de données s’est déroulée entre les 14 et 16 juillet par l’entremise d’un panel web. Au total, 1029 questionnaires ont été remplis par des Québécois de 18 ans et plus. Les résultats ont été pondérés afin de refléter la distribution de la population à l’étude selon le sexe, l’âge, la langue maternelle et la scolarité des répondants. Notons que, compte tenu du caractère non probabiliste de l’échantillon, le calcul de la marge d’erreur ne s’applique pas.
https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-07-22/sondage-crop-les-trois-quarts-des-quebecois...
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Un sondage bien analysé.
La gang de tawouins de l'autre forum, sont certainement pour la plupart, des gens de la vieille capitale.
Les Québécois favorables au masque en majorité.
Sondage CROP: les trois quarts des Québécois favorables au port du masque
Un nouveau coup de sonde de CROP montre que les Québécois sont prêts à se discipliner en portant le masque dans les endroits fermés. À peine 14 % s’opposent au couvre-visage, ce qui montre que les Québécois « s’en vont dans la bonne direction », affirme la maison de sondage. Seul hic, selon le vice-président, Dominic Bourdages, il faut demeurer vigilant, car certains segments de la population résistent plus que d’autres : la cohorte des 18-34 ans ainsi que les résidants de la région de Québec.
Consensus autour du port du masqueRéalisée quelques jours avant l’entrée en vigueur de l’obligation du port du masque dans les commerces, l’enquête de la firme CROP révèle que 77 % des Montréalais sortaient déjà toujours ou la plupart du temps avec leur couvre-visage. Mais dans le reste du Québec, c’était environ une personne sur deux.
« Avant qu’il soit obligatoire, le masque était moins porté à l’extérieur de Montréal parce que les citoyens ne vivent pas la même réalité que dans la métropole. Si j’habite Jonquière, ça se peut que je ne connaisse personne qui a eu la COVID-19 », illustre Dominic Bourdages.
Cela dit, quand on s’attarde à la portion de la population qui accepte qu’on soit obligé de porter le masque dans les lieux publics intérieurs, on se rend compte qu’il y a consensus un peu partout au Québec. Plus de trois personnes sur quatre (76 %) sont d’accord avec cette décision. « Les anti-masques sont une minorité bruyante », évoque le vice-président de CROP, en ajoutant que 14 % de refus ne sont quand même pas une portion « marginale » de la population.
Alors qu’à peine 12 % des personnes sondées étaient peu ou pas satisfaites en mars du travail de François Legault, ce taux a grimpé à 17 % en avril, pour se fixer à 30 % aujourd’hui.
Les Québécois sont par ailleurs moins satisfaits du travail de François Legault pour sa gestion de la COVID-19 que dans les derniers mois. Alors qu’à peine 12 % des personnes sondées étaient peu ou pas satisfaites en mars, ce taux a grimpé à 17 % en avril, pour se fixer à 30 % aujourd’hui. Quant à ceux qui sont « très satisfaits », leur proportion est passée de 66 % au début du mois d’avril à 35 %.
Le niveau d’insatisfaction augmente donc dans la population, mais selon le vice-président de CROP, il n’y a là rien de dramatique. « Au début de la pandémie, on lui donnait le Bon Dieu sans confession. Là, on retrouve un niveau plus logique. »
L’insatisfaction est aussi en hausse au fédéral : 51 % des Québécois jugent négativement le travail de Justin Trudeau, une hausse de 6 % depuis la fin d’avril. « Les gens sont quand même beaucoup plus satisfaits de M. Legault que de M. Trudeau », fait remarquer M. Bourdages.
Besoin de « câlins »
Preuve que les Québécois ont besoin de socialiser : au cours du dernier mois, plus d’un Québécois sur deux (54 %) a participé à au moins une activité réunissant plusieurs personnes ne provenant pas du même foyer. « Un chiffre fort révélé par notre sondage : une personne sur trois a aussi fait un câlin ! Ça montre justement le besoin de socialiser », constate le représentant de CROP. Malgré tout, les gens continuent de faire de leur mieux pour respecter les mesures de distanciation physique. Ils sont 54 % à dire qu’ils observent « scrupuleusement » les consignes, alors que 44 % « trichent parfois ». « C’est très intéressant, parce qu’on s’aperçoit que ce n’est pas une masse de gens qui ne respectent pas les mesures. Ils sont très nombreux à respecter les règles, même s’ils avouent tricher des fois », observe M. Bourdages.
Plus de récalcitrants dans la région de Québec
Les personnes de la catégorie 18-34 ans et celles de la région de Québec sont les plus récalcitrantes aux nouvelles mesures sanitaires, dont le port du masque dans les commerces. Par exemple, les résidants de la grande région de Québec sont en désaccord avec le port du masque dans les commerces à 24 %, contrairement à 18 % dans le reste du Québec et à 9 % dans le Grand Montréal. « C’est un fait que les gens de Québec et les 18-34 ans ont un comportement moins exemplaire et sont plus réfractaires aux mesures », fait remarquer M. Bourdages. « Ce n’est pas juste que les gens de Québec ne sont pas favorables au port du masque, ajoute-t-il, ce sont aussi ceux qui nous disent avoir le plus sorti, avoir fait le plus de câlins, avoir le plus triché, etc. Leurs réponses à toutes les questions vont dans le même sens. C’est pour ça qu’on peut dire qu’en comparaison avec les autres régions du Québec, les différences sont réelles et significatives. »Résignés à une seconde vague
Le vice-président de CROP a remarqué à la lecture du sondage qu’une majorité de Québécois s’étaient résignés au fait qu’il pourrait y avoir une deuxième vague. « Seulement 3 % disent qu’il n’y en aura pas », note-t-il. Et 45 % des répondants s’attendent à ce que les effets de cette deuxième vague soient plus « grands » que ceux de la première. Le chiffre grimpe à 53 % chez les 18-34 ans. « C’est un peu déstabilisant de voir que ceux qui agissent avec le plus de désinvolture et qui ont le plus de comportements à risque sont ceux qui croient en plus grand nombre que les impacts de la deuxième vague seront plus importants », observe M. Bourdages, sans pouvoir l’expliquer.
Inquiets du déficit budgétaire du fédéral
Alors que le gouvernement Trudeau a annoncé qu’il prévoyait un déficit budgétaire de 343 milliards de dollars pour l’exercice 2020-2021, CROP a demandé aux Québécois si cet important déficit les inquiétait. Près de trois personnes sur quatre (72 %) affirment être inquiètes. « On note que les Québécois qui ne résident pas à Montréal et à Québec sont moins inquiets, peut-être parce qu’ils ont été moins touchés économiquement. En plus, la période de l’été va être bonne pour les régions puisque les touristes sont nombreux », constate le vice-président de la firme de sondage.Méthodologie
La collecte de données s’est déroulée entre les 14 et 16 juillet par l’entremise d’un panel web. Au total, 1029 questionnaires ont été remplis par des Québécois de 18 ans et plus. Les résultats ont été pondérés afin de refléter la distribution de la population à l’étude selon le sexe, l’âge, la langue maternelle et la scolarité des répondants. Notons que, compte tenu du caractère non probabiliste de l’échantillon, le calcul de la marge d’erreur ne s’applique pas.
https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-07-22/sondage-crop-les-trois-quarts-des-quebecois...
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Un sondage bien analysé.
La gang de tawouins de l'autre forum, sont certainement pour la plupart, des gens de la vieille capitale.
Je ne sais pas mais c'est sûr que dans ce coin, ça votre CONServateurs et ça écoute les radio-poubelles. Donc ..... Ça va avec le reste.