Killer pain et NHL (Forum)
par Blake, mercredi 23 septembre 2020, 00:21 (il y a 1528 jours)
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.
D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.
Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
Killer pain et NHL
par Dédé, mercredi 23 septembre 2020, 01:08 (il y a 1528 jours) @ Blake
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
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Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Killer pain et NHL
par Blake, mercredi 23 septembre 2020, 15:19 (il y a 1527 jours) @ Dédé
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
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Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
Killer pain et NHL
par Dédé, mercredi 23 septembre 2020, 16:11 (il y a 1527 jours) @ Blake
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
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Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
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C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Killer pain et NHL
par Blake, mercredi 23 septembre 2020, 16:23 (il y a 1527 jours) @ Dédé
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
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Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
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C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
Killer pain et NHL
par Dédé, mercredi 23 septembre 2020, 16:54 (il y a 1527 jours) @ Blake
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
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Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
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C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
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Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Killer pain et NHL
par Blake, mercredi 23 septembre 2020, 18:50 (il y a 1527 jours) @ Dédé
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
_________________
Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
______________
C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
_____________
Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Oui, le Vioxx, je me souviens de ça. C'était bien car un comprimé durait 24 heures. Mais il y avait eu plusieurs cas avec de gros problèmes aux USA. Donc, le Canada avait décidé de le retirer.
Killer pain et NHL
par Dédé, mercredi 23 septembre 2020, 20:08 (il y a 1527 jours) @ Blake
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
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Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
______________
C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
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Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Oui, le Vioxx, je me souviens de ça. C'était bien car un comprimé durait 24 heures. Mais il y avait eu plusieurs cas avec de gros problèmes aux USA. Donc, le Canada avait décidé de le retirer.
________________
J'aime mieux les produits naturels comme anti-inflammatoire. Pas des gélules et des pinules là, je parle de racines diverses dont la plupart agissent sur le corps comme anti-inflammatoire. La première racine en tête de liste, est le gingembre. Le ginseng, la racine de la fleur Griffe du diable, la carotte et le panais, le maca devraient être aussi des anti-inflammatoires.
Ce qu'il faut savoir aussi, lorsqu'un muscle fait de l'inflammation, cela provoque la rétention d'eau. Les plantes aux propriétés diurétiques et les tubercules riches en potassium ( pour une meilleur élimination de l'urée dans les reins ), aiderait en support sur les propriétés anti-inflammatoires des racines citées plus tôt. Un bon riz aux légumes et gingembres une fois par semaine, est dix fois mieux qu'une posologie d'un mois d'un anti-inflammatoire prescrit en pharmacie.
Killer pain et NHL
par Blake, mercredi 23 septembre 2020, 20:15 (il y a 1527 jours) @ Dédé
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
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Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
______________
C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
_____________
Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Oui, le Vioxx, je me souviens de ça. C'était bien car un comprimé durait 24 heures. Mais il y avait eu plusieurs cas avec de gros problèmes aux USA. Donc, le Canada avait décidé de le retirer.
________________
J'aime mieux les produits naturels comme anti-inflammatoire. Pas des gélules et des pinules là, je parle de racines diverses dont la plupart agissent sur le corps comme anti-inflammatoire. La première racine en tête de liste, est le gingembre. Le ginseng, la racine de la fleur Griffe du diable, la carotte et le panais, le maca devraient être aussi des anti-inflammatoires.
Ce qu'il faut savoir aussi, lorsqu'un muscle fait de l'inflammation, cela provoque la rétention d'eau. Les plantes aux propriétés diurétiques et les tubercules riches en potassium ( pour une meilleur élimination de l'urée dans les reins ), aiderait en support sur les propriétés anti-inflammatoires des racines citées plus tôt. Un bon riz aux légumes et gingembres une fois par semaine, est dix fois mieux qu'une posologie d'un mois d'un anti-inflammatoire prescrit en pharmacie.
La chondroïtine aussi, je pense, est un bon antiinflammatoire.
Killer pain et NHL
par Dédé, mercredi 23 septembre 2020, 20:45 (il y a 1527 jours) @ Blake
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
_________________
Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
______________
C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
_____________
Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Oui, le Vioxx, je me souviens de ça. C'était bien car un comprimé durait 24 heures. Mais il y avait eu plusieurs cas avec de gros problèmes aux USA. Donc, le Canada avait décidé de le retirer.
________________
J'aime mieux les produits naturels comme anti-inflammatoire. Pas des gélules et des pinules là, je parle de racines diverses dont la plupart agissent sur le corps comme anti-inflammatoire. La première racine en tête de liste, est le gingembre. Le ginseng, la racine de la fleur Griffe du diable, la carotte et le panais, le maca devraient être aussi des anti-inflammatoires.
Ce qu'il faut savoir aussi, lorsqu'un muscle fait de l'inflammation, cela provoque la rétention d'eau. Les plantes aux propriétés diurétiques et les tubercules riches en potassium ( pour une meilleur élimination de l'urée dans les reins ), aiderait en support sur les propriétés anti-inflammatoires des racines citées plus tôt. Un bon riz aux légumes et gingembres une fois par semaine, est dix fois mieux qu'une posologie d'un mois d'un anti-inflammatoire prescrit en pharmacie.
La chondroïtine aussi, je pense, est un bon antiinflammatoire.
____________
Les racines que j'ai mentionné, en produisent !
Killer pain et NHL
par Blake, mercredi 23 septembre 2020, 21:12 (il y a 1527 jours) @ Dédé
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
_________________
Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
______________
C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
_____________
Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Oui, le Vioxx, je me souviens de ça. C'était bien car un comprimé durait 24 heures. Mais il y avait eu plusieurs cas avec de gros problèmes aux USA. Donc, le Canada avait décidé de le retirer.
________________
J'aime mieux les produits naturels comme anti-inflammatoire. Pas des gélules et des pinules là, je parle de racines diverses dont la plupart agissent sur le corps comme anti-inflammatoire. La première racine en tête de liste, est le gingembre. Le ginseng, la racine de la fleur Griffe du diable, la carotte et le panais, le maca devraient être aussi des anti-inflammatoires.
Ce qu'il faut savoir aussi, lorsqu'un muscle fait de l'inflammation, cela provoque la rétention d'eau. Les plantes aux propriétés diurétiques et les tubercules riches en potassium ( pour une meilleur élimination de l'urée dans les reins ), aiderait en support sur les propriétés anti-inflammatoires des racines citées plus tôt. Un bon riz aux légumes et gingembres une fois par semaine, est dix fois mieux qu'une posologie d'un mois d'un anti-inflammatoire prescrit en pharmacie.
La chondroïtine aussi, je pense, est un bon antiinflammatoire.
____________
Les racines que j'ai mentionné, en produisent !
J'ai justement des tisanes ici avec Griffe du diable, griffe du chat, ortie, reine des prés, prêle, gingembre, réglisse, romarin. Mais ça goûte pas très bon.
Killer pain et NHL
par Dédé, mercredi 23 septembre 2020, 22:58 (il y a 1527 jours) @ Blake
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
_________________Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
______________
C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
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Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Oui, le Vioxx, je me souviens de ça. C'était bien car un comprimé durait 24 heures. Mais il y avait eu plusieurs cas avec de gros problèmes aux USA. Donc, le Canada avait décidé de le retirer.
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J'aime mieux les produits naturels comme anti-inflammatoire. Pas des gélules et des pinules là, je parle de racines diverses dont la plupart agissent sur le corps comme anti-inflammatoire. La première racine en tête de liste, est le gingembre. Le ginseng, la racine de la fleur Griffe du diable, la carotte et le panais, le maca devraient être aussi des anti-inflammatoires.
Ce qu'il faut savoir aussi, lorsqu'un muscle fait de l'inflammation, cela provoque la rétention d'eau. Les plantes aux propriétés diurétiques et les tubercules riches en potassium ( pour une meilleur élimination de l'urée dans les reins ), aiderait en support sur les propriétés anti-inflammatoires des racines citées plus tôt. Un bon riz aux légumes et gingembres une fois par semaine, est dix fois mieux qu'une posologie d'un mois d'un anti-inflammatoire prescrit en pharmacie.
La chondroïtine aussi, je pense, est un bon antiinflammatoire.
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Les racines que j'ai mentionné, en produisent !
J'ai justement des tisanes ici avec Griffe du diable, griffe du chat, ortie, reine des prés, prêle, gingembre, réglisse, romarin. Mais ça goûte pas très bon.
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Avec une cuillère à thé de miel et deux feuilles de menthe, ça devrait donner un bon goût !
Killer pain et NHL
par Blake, mercredi 23 septembre 2020, 23:05 (il y a 1527 jours) @ Dédé
« Tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs »
Le nom Toradol ne dit peut-être pas grand-chose aux fans de hockey, mais dans les coulisses de la LNH, ce puissant médicament contre la douleur est très bien connu d’une majorité de joueurs. Peut-être trop.
C’est du moins ce que laisse entendre le documentaire The Problem of Pain, diffusé mardi soir sur les ondes de TSN.D’une durée de quelque 45 minutes, ce puissant reportage vient entre autres lever le voile sur l’utilisation, très répandue semble-t-il, du Toradol, un anti-inflammatoire qui serait très populaire dans les vestiaires de la LNH.
L’ex-poids lourd Zenon Konopka affirme avoir vu des joueurs faire la file pour en recevoir une dose, et Kyle Quincey, défenseur qui a joué pendant plus de 10 saisons, surtout avec les Red Wings de Detroit, jure qu’il se sentait comme Superman quand il en prenait avant les matchs.
C’est difficile de se rendre à la Ligue nationale et c’est encore plus difficile d’y rester. Alors tu dois faire ce que tu dois faire.
Kyle Quincey
Et parmi ce qui « doit » être fait, il y aurait l’utilisation du Toradol, qui serait devenue tellement banale que la majorité des joueurs en consomme comme s’il n’y avait pas de lendemain.
Quincey, lui, confie qu’il en prenait chaque jour de la saison, sans jamais avoir été mis au courant des effets à long terme. Aujourd’hui, à l’âge de 35 ans, il se demande de quoi il aura l’air lors de sa prochaine décennie, avec un peu d’inquiétude dans les yeux.
« Il n’y a personne qui nous a parlé des effets secondaires ou à long terme, ajoute-t-il. Mais c’est comme ça parce qu’au hockey, dès un très jeune âge, on te dit que tu dois jouer malgré les blessures. »
« C’est terrible »
Ryan Kesler, attaquant qui s’est brisé les os pendant 15 ans avec les Canucks de Vancouver et les Ducks d’Anaheim, avoue aujourd’hui que sa vie n’a rien de normal (« je passe la plupart de mes journées à regarder les autres avoir du plaisir ») parce qu’il a mal partout, et pire encore, il se dit convaincu d’avoir développé des troubles intestinaux et la maladie de Crohn en raison de son utilisation abusive des antidouleurs lors de ses années comme joueur.Aujourd’hui, il le regrette.
« Les médecins de la ligue sont payés par l’équipe et ils veulent que les gars jouent, a-t-il expliqué. Je ne voulais pas faire mal à mon équipe alors je savais que je devais jouer. Je ne voulais pas être étiqueté comme celui qui ne joue pas malgré les blessures.
« J’avais des trous dans mon côlon, j’avais des ulcères, et j’avais des spasmes aux intestins. C’est très déplaisant. Je devais aller aux toilettes de 30 à 40 fois par jour. […] C’est terrible et c’est seulement parce que personne ne m’a jamais expliqué ce que ces antidouleurs pouvaient potentiellement me faire. »
On apprend par ailleurs dans The Problem of Pain que le Toradol, au départ, n’a été créé que pour une brève période de remise en forme, par exemple sur cinq jours. Mais la plupart des intervenants cités dans ce reportage affirment que des joueurs de la LNH en prennent tous les jours de la saison et des séries éliminatoires.
« Les joueurs peuvent mentir, mais la vérité, c’est que tout le monde dans cette ligue carbure aux antidouleurs », ajoute Kesler.
Reste à voir si les choses vont changer à la suite de ces révélations, ou bien si elles vont rester les mêmes, comme elles le font souvent au hockey.
https://www.lapresse.ca/sports/hockey/2020-09-22/lnh/tout-le-monde-dans-cette-ligue-car...
_________________Le Toradol est avant tout un anti-inflammatoire avant d'être un anti-douleur. Tous les anti-inflammatoires peuvent être dangereux à long terme pour des problèmes intestinaux. La médecine actuelle prescrive en premier lieu des anti-inflammatoires pour les douleurs récurrentes et personnellement, je les refuse systématiquement en leur expliquant de se les foutre dans le cul. Le médecin n'aime pas ça mais je m'en câlisse parce que la posologie à long terme, cause de l'accoutumance physiologique en plus de créer de l’œdème au côlon et provoquer des polypes, voire même parvenir à un cancer colo-rectum. Pas envie de finir ma vie avec un sac sur le côté !
C'est comme le pot téhérapeutique que les gens ne connaissent pas les effets secondaires à long terme. Le CBD est un anti-inflammatoire naturel mais prise à long terme, fait exactement la même chose que les anti-inflammatoires prescrits. Pas pour rien que je choisis 0% de CBD !
Je ne connais pas le Toradol. C'est proche du célébrex ou du naprocyn?
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C'est la même chose mais le Celebrex a été enlevé du marché parce qu'il avait un effet secondaire dangereux pour le côlon ( pouvait le perforer ). Le Toradol a des propriétés analgésiques en plus d'être un anti-inflammatoire. Ses effets secondaires sortent après un mois de posologie et peut-être dangereux pour le côlon et provoquer la maladie de Crohn.
Je ne conseille à personne de prendre des anti-inflammatoires prescrits à long terme. Même pour le Naproxen qui est efficace.
Le problème ne serait pas plutôt pour les perforations à l'estomac? Le célébrex est encore disponible en pharmacie car j'ai un ami qui en prend tous les jours. Il doit aussi prendre du nexium avec ça pour protéger son estomac.
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Je me suis trompé d'anti-inflammatoire, c'est le Viox qui a été retiré du marché.
Les effets secondaires peuvent en effet produire des ulcères à l'estomac et normalement, les médecins prescrivent du Pantoprazole pour éviter les reflux gastriques qui peuvent provoquer des ulcères à long terme. Par contre, les anti-inflammatoires peuvent aussi produire des polypes au côlon. À l'apparition de sels blanches, il faut cesser immédiatement la posologie.
Oui, le Vioxx, je me souviens de ça. C'était bien car un comprimé durait 24 heures. Mais il y avait eu plusieurs cas avec de gros problèmes aux USA. Donc, le Canada avait décidé de le retirer.
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J'aime mieux les produits naturels comme anti-inflammatoire. Pas des gélules et des pinules là, je parle de racines diverses dont la plupart agissent sur le corps comme anti-inflammatoire. La première racine en tête de liste, est le gingembre. Le ginseng, la racine de la fleur Griffe du diable, la carotte et le panais, le maca devraient être aussi des anti-inflammatoires.
Ce qu'il faut savoir aussi, lorsqu'un muscle fait de l'inflammation, cela provoque la rétention d'eau. Les plantes aux propriétés diurétiques et les tubercules riches en potassium ( pour une meilleur élimination de l'urée dans les reins ), aiderait en support sur les propriétés anti-inflammatoires des racines citées plus tôt. Un bon riz aux légumes et gingembres une fois par semaine, est dix fois mieux qu'une posologie d'un mois d'un anti-inflammatoire prescrit en pharmacie.
La chondroïtine aussi, je pense, est un bon antiinflammatoire.
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Les racines que j'ai mentionné, en produisent !
J'ai justement des tisanes ici avec Griffe du diable, griffe du chat, ortie, reine des prés, prêle, gingembre, réglisse, romarin. Mais ça goûte pas très bon.
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Avec une cuillère à thé de miel et deux feuilles de menthe, ça devrait donner un bon goût !
Juste le miel ferait sûrement la job.