Éclosion chez l'Armada de Blainville-Boisbriand. (Forum)
Source : Éclosion monstre: au moins 18 cas de COVID-19 chez l’Armada
Roby St-Gelais , mardi le 13 Fevrier 2018 , au Centre Videotron a Quebec. PHOTO:JEAN-FRANCOIS DESGAGNES/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI.
ROBY ST-GELAIS
Mercredi, 7 octobre 2020 09:48
MISE À JOUR Mercredi, 7 octobre 2020 14:17
Deux jours après qu’un premier joueur ait été déclaré positif à la COVID-19, la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) doit maintenant gérer une éclosion monstre chez l’Armada de Blainville-Boisbriand pendant que le Phoenix de Sherbrooke attend toujours les résultats de l’enquête de la Santé publique.
La LHJMQ a confirmé mercredi que 18 échantillons s’étaient révélés positifs «jusqu’à maintenant» parmi les joueurs et les membres du personnel. Tout ce beau monde a été mis en isolement pour 14 jours. Un joueur du Phoenix aurait aussi contracté la maladie, rapporte La Tribune.
L’Armada et le Phoenix avait interrompu leurs activités lundi lorsqu’un premier cas au nouveau coronavirus avait été recensé, ce qui avait déclenché une enquête de traçage des autorités de santé publique.
Selon nos informations, la plupart des cas rapportés liés à cette première éclosion dans un vestiaire d’une équipe du circuit Courteau ne ressentiraient aucun symptôme.
Malgré tout, les personnes infectées «asymptomatiques et celles en phase présymptomatique peuvent transmettre le SRAS-Cov-2», signale l’Institut national de santé publique du Québec sur son site Internet en se basant sur la littérature scientifique.
Les membres des familles de pension chez lesquelles logent les joueurs de l’Armada ont toutes été testés, tel que le prévoit le plan de contingence de la LHJMQ en cas d’éclosion.
Plan efficace
Par voie de communiqué, le commissaire de la LHJMQ, Gilles Courteau, a défendu le protocole sanitaire appliqué par les 18 équipes depuis l’ouverture des camps d’entraînement, à la fin août, pour limiter la transmission du virus. La saison régulière s’est amorcée le 2 octobre dernier, soit il y a moins d’une semaine.
«Malgré un protocole sanitaire et médical très serré et rigoureux, nous savions que la COVID-19 était une maladie à un risque de contagion élevé qui pourrait éventuellement se répandre chez certains joueurs et membres du personnel de nos équipes.
«Or, nous sommes excessivement confiants de l’efficacité des mesures contenues dans notre plan de contingence qui est actuellement en marche. Nous voulons réitérer que la situation est prise en charge sérieusement au niveau de la ligue et que les équipes médicales de la LHJMQ et de l'Armada font le suivi approprié. La ligue et ses formations continuent de suivre attentivement les directives de la Santé publique», a-t-il réagi.
Une «bulle» perméable
Cette vague de contamination met en relief le fait que les clubs n’évoluent pas dans des bulles à proprement dit, et ce, même si les contacts des joueurs se limitent essentiellement aux membres de leur équipe et à leur famille de pension. Ils font aussi l’école à distance.
À Boisbriand, les joueurs de l’Armada partagent cependant la salle d’entrainement du Centre d’excellence Sports Rousseau en même temps que la clientèle régulière, a-t-on appris. Ils se donc trouvés en compagnie de personnes externes à leur environnement lors des séances en gymnase. Il est prévu dans le plan de la Ligue que des clubs utilisent «une salle d’entrainement ouverte au public».
La LHJMQ a indiqué par l’entremise de son directeur des communications que l’utilisation de ce gym était la seule option pour l’organisation.
Plus de détails à venir...
________________
Il y a anguille sous roche !
La santé public devra trancher sur cette histoire de pandémie à cette ligue de hockey mineure majeure, afin que la contagion ne dépasse pas le cadre de la ligue concernant les mesures prises par cette ligue car nous le voyons bien que leurs mesures sont inadéquats. Je veux bien croire qu'il y a beaucoup de sous en question mais la santé des joueurs et de leurs environnements est plus importante. En plus par surcroît, le virus semble donner aux gens depuis cette deuxième vague, des supers contagieux !
Il ne serait pas surprenant d'apprendre que le club de Patrick Roy, les Remparts de Québec, soit aussi au prise d'une éclosion importante d'ici quelques jours.
La ligue n'aura pas le choix de cesser la saison s'il y a dérapage d'éclosion massive.
Dédé
Éclosion chez l'Armada de Blainville-Boisbriand.
Source : Éclosion monstre: au moins 18 cas de COVID-19 chez l’Armada
Roby St-Gelais , mardi le 13 Fevrier 2018 , au Centre Videotron a Quebec. PHOTO:JEAN-FRANCOIS DESGAGNES/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI.
ROBY ST-GELAIS
Mercredi, 7 octobre 2020 09:48
MISE À JOUR Mercredi, 7 octobre 2020 14:17Deux jours après qu’un premier joueur ait été déclaré positif à la COVID-19, la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) doit maintenant gérer une éclosion monstre chez l’Armada de Blainville-Boisbriand pendant que le Phoenix de Sherbrooke attend toujours les résultats de l’enquête de la Santé publique.
La LHJMQ a confirmé mercredi que 18 échantillons s’étaient révélés positifs «jusqu’à maintenant» parmi les joueurs et les membres du personnel. Tout ce beau monde a été mis en isolement pour 14 jours. Un joueur du Phoenix aurait aussi contracté la maladie, rapporte La Tribune.
L’Armada et le Phoenix avait interrompu leurs activités lundi lorsqu’un premier cas au nouveau coronavirus avait été recensé, ce qui avait déclenché une enquête de traçage des autorités de santé publique.
Selon nos informations, la plupart des cas rapportés liés à cette première éclosion dans un vestiaire d’une équipe du circuit Courteau ne ressentiraient aucun symptôme.
Malgré tout, les personnes infectées «asymptomatiques et celles en phase présymptomatique peuvent transmettre le SRAS-Cov-2», signale l’Institut national de santé publique du Québec sur son site Internet en se basant sur la littérature scientifique.
Les membres des familles de pension chez lesquelles logent les joueurs de l’Armada ont toutes été testés, tel que le prévoit le plan de contingence de la LHJMQ en cas d’éclosion.
Plan efficace
Par voie de communiqué, le commissaire de la LHJMQ, Gilles Courteau, a défendu le protocole sanitaire appliqué par les 18 équipes depuis l’ouverture des camps d’entraînement, à la fin août, pour limiter la transmission du virus. La saison régulière s’est amorcée le 2 octobre dernier, soit il y a moins d’une semaine.
«Malgré un protocole sanitaire et médical très serré et rigoureux, nous savions que la COVID-19 était une maladie à un risque de contagion élevé qui pourrait éventuellement se répandre chez certains joueurs et membres du personnel de nos équipes.
«Or, nous sommes excessivement confiants de l’efficacité des mesures contenues dans notre plan de contingence qui est actuellement en marche. Nous voulons réitérer que la situation est prise en charge sérieusement au niveau de la ligue et que les équipes médicales de la LHJMQ et de l'Armada font le suivi approprié. La ligue et ses formations continuent de suivre attentivement les directives de la Santé publique», a-t-il réagi.
Une «bulle» perméable
Cette vague de contamination met en relief le fait que les clubs n’évoluent pas dans des bulles à proprement dit, et ce, même si les contacts des joueurs se limitent essentiellement aux membres de leur équipe et à leur famille de pension. Ils font aussi l’école à distance.
À Boisbriand, les joueurs de l’Armada partagent cependant la salle d’entrainement du Centre d’excellence Sports Rousseau en même temps que la clientèle régulière, a-t-on appris. Ils se donc trouvés en compagnie de personnes externes à leur environnement lors des séances en gymnase. Il est prévu dans le plan de la Ligue que des clubs utilisent «une salle d’entrainement ouverte au public».
La LHJMQ a indiqué par l’entremise de son directeur des communications que l’utilisation de ce gym était la seule option pour l’organisation.
Plus de détails à venir...
________________Il y a anguille sous roche !
La santé public devra trancher sur cette histoire de pandémie à cette ligue de hockey mineure majeure, afin que la contagion ne dépasse pas le cadre de la ligue concernant les mesures prises par cette ligue car nous le voyons bien que leurs mesures sont inadéquats. Je veux bien croire qu'il y a beaucoup de sous en question mais la santé des joueurs et de leurs environnements est plus importante. En plus par surcroît, le virus semble donner aux gens depuis cette deuxième vague, des supers contagieux !
Il ne serait pas surprenant d'apprendre que le club de Patrick Roy, les Remparts de Québec, soit aussi au prise d'une éclosion importante d'ici quelques jours.
La ligue n'aura pas le choix de cesser la saison s'il y a dérapage d'éclosion massive.
Dédé
Oh boy! Ça va pas ben à shop.