Je m'inquiète du journalisme au Québec (Forum)
Les journalistes sont plus curieux quand c'est pour savoir si le prix du gaz est correct ou si des riches se font voler dans l'immobilier en équateur.
Je m'inquiète du journalisme au Québec
Les journalistes sont plus curieux quand c'est pour savoir si le prix du gaz est correct ou si des riches se font voler dans l'immobilier en équateur.
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Avec les journalistes d'aujourd'hui, ce n'est plus de l'information mais bien de la formation !
Ça me fait penser lorsque la police municipale est venue me chercher avec un mandat pour possession de mari dans le but d'en faire le trafic. J'avais une once sèche et une centaine de boutures prêtes à être transplantées. Dans le journal local, j'étais un gangster reconnu par les policiers et j'avais plus de 100,000$ de stock prêt à être vendu. N'importe quoi pour rendre une nouvelle intéressante afin de vendre leur ostique de feuille de chou !
Il y a belles lurettes que je ne crois plus les médias.
Je m'inquiète du journalisme au Québec
mdrr
chaque bouture vaut 20 000 $
Je m'inquiète du journalisme au Québec
mdrr
chaque bouture vaut 20 000 $
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Imagines si j'aurais eu 100 plants matures !
Je m'inquiète du journalisme au Québec
mdrr
chaque bouture vaut 20 000 $
________________Imagines si j'aurais eu 100 plants matures !
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Le pire dans cette saga de producteur et vendeur, j'ai eu comme sentence une sur-amende de 100$ ( pour le Portail, une maison de désintoxication ), 100 hrs de travaux compensatoires en raison de 10 hrs par semaine vu l'état mon état physique et deux ans de probation. C'était mon premier délit et la procureur de la cour demandait une sentence d'emprisonnement de deux ans moins un jour. Le juge l'a regardé et lui a dit ; Selon de le dossier que j'ai ici devant moi, ce jeune homme s'est scrapé le dos à son métier d'ambulancier, un métier qui a duré 17 ans et dans sa déposition, il mentionne que cette micro-culture était pour une consommation personnelle afin d'atténuer sa douleur chronique, tout en coopérant avec la sureté municipale pour indiquer l'endroit de sa micro-production et plaidant coupable sur les accusations dont il fait face ( car j'ai vendu un gramme à un agent double ). Je ne crois pas qu'une telle sentence que vous proposez fera de lui un producteur assidu et un récidiviste.
À la perquisition, j'ai dit au détective qui était à la perquisition ( que je connais personnellement puisque je l'avais formé aux premiers soins ) de ne pas tout saccagé dans l'appartement en lui indiquant que tout se faisait dans la remise à l'extérieur et que mon pot sec et non quantifié était dans l'armoire ( je savais qu'il me restait qu'une once ). Je n'ai pas dit par contre qu'il y avait 8 plants dans le jardin, en demi-hauteur de maturité. Le soir même après avoir signé ma comparution à la cour du Québec et qu'ils m'ont libéré, j'ai transplanté ailleurs mes 8 plants dans les boisées tout près de chez-moi. Je n'avais pas tout perdu mais j'ai cessé la production pour me contenter d'en acheter auprès de mes connaissances jusqu'en 2006 avant d'avoir le droit de recevoir de la mari thérapeutique ( qui est plus cher que le marché au noir en passant ). Évidemment avec le dossier pénal que j'avais, il m'a été refusé d'en produire. C'est de valeur parce que j'étais bon en hybridation des essences et que j'ai parvenu à un produire une essence que le THC sortait littéralement du plant, tellement collant et fort que les abeilles restaient accrochées et que les papillons volaient comme des kamikazes !
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mdrr
chaque bouture vaut 20 000 $
________________Imagines si j'aurais eu 100 plants matures !
__________________Le pire dans cette saga de producteur et vendeur, j'ai eu comme sentence une sur-amende de 100$ ( pour le Portail, une maison de désintoxication ), 100 hrs de travaux compensatoires en raison de 10 hrs par semaine vu l'état mon état physique et deux ans de probation. C'était mon premier délit et la procureur de la cour demandait une sentence d'emprisonnement de deux ans moins un jour. Le juge l'a regardé et lui a dit ; Selon de le dossier que j'ai ici devant moi, ce jeune homme s'est scrapé le dos à son métier d'ambulancier, un métier qui a duré 17 ans et dans sa déposition, il mentionne que cette micro-culture était pour une consommation personnelle afin d'atténuer sa douleur chronique, tout en coopérant avec la sureté municipale pour indiquer l'endroit de sa micro-production et plaidant coupable sur les accusations dont il fait face ( car j'ai vendu un gramme à un agent double ). Je ne crois pas qu'une telle sentence que vous proposez fera de lui un producteur assidu et un récidiviste.
À la perquisition, j'ai dit au détective qui était à la perquisition ( que je connais personnellement puisque je l'avais formé aux premiers soins ) de ne pas tout saccagé dans l'appartement en lui indiquant que tout se faisait dans la remise à l'extérieur et que mon pot sec et non quantifié était dans l'armoire ( je savais qu'il me restait qu'une once ). Je n'ai pas dit par contre qu'il y avait 8 plants dans le jardin, en demi-hauteur de maturité. Le soir même après avoir signé ma comparution à la cour du Québec et qu'ils m'ont libéré, j'ai transplanté ailleurs mes 8 plants dans les boisées tout près de chez-moi. Je n'avais pas tout perdu mais j'ai cessé la production pour me contenter d'en acheter auprès de mes connaissances jusqu'en 2006 avant d'avoir le droit de recevoir de la mari thérapeutique ( qui est plus cher que le marché au noir en passant ). Évidemment avec le dossier pénal que j'avais, il m'a été refusé d'en produire. C'est de valeur parce que j'étais bon en hybridation des essences et que j'ai parvenu à un produire une essence que le THC sortait littéralement du plant, tellement collant et fort que les abeilles restaient accrochées et que les papillons volaient comme des kamikazes !
Moi, si j'avais été le juge, je t'aurais mis dans la même cellule que Sir.
Je m'inquiète du journalisme au Québec
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À la perquisition, j'ai dit au détective qui était à la perquisition ( que je connais personnellement puisque je l'avais formé aux premiers soins ) de ne pas tout saccagé dans l'appartement en lui indiquant que tout se faisait dans la remise à l'extérieur et que mon pot sec et non quantifié était dans l'armoire ( je savais qu'il me restait qu'une once ). Je n'ai pas dit par contre qu'il y avait 8 plants dans le jardin, en demi-hauteur de maturité. Le soir même après avoir signé ma comparution à la cour du Québec et qu'ils m'ont libéré, j'ai transplanté ailleurs mes 8 plants dans les boisées tout près de chez-moi. Je n'avais pas tout perdu mais j'ai cessé la production pour me contenter d'en acheter auprès de mes connaissances jusqu'en 2006 avant d'avoir le droit de recevoir de la mari thérapeutique ( qui est plus cher que le marché au noir en passant ). Évidemment avec le dossier pénal que j'avais, il m'a été refusé d'en produire. C'est de valeur parce que j'étais bon en hybridation des essences et que j'ai parvenu à un produire une essence que le THC sortait littéralement du plant, tellement collant et fort que les abeilles restaient accrochées et que les papillons volaient comme des kamikazes !
Moi, si j'avais été le juge, je t'aurais mis dans la même cellule que Sir.
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Dans la même wing, avec mes petits namis !
Je suis certain qu'après un quart d'heure, il en verrait pour de vrai des ti-gris glowings !
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À la perquisition, j'ai dit au détective qui était à la perquisition ( que je connais personnellement puisque je l'avais formé aux premiers soins ) de ne pas tout saccagé dans l'appartement en lui indiquant que tout se faisait dans la remise à l'extérieur et que mon pot sec et non quantifié était dans l'armoire ( je savais qu'il me restait qu'une once ). Je n'ai pas dit par contre qu'il y avait 8 plants dans le jardin, en demi-hauteur de maturité. Le soir même après avoir signé ma comparution à la cour du Québec et qu'ils m'ont libéré, j'ai transplanté ailleurs mes 8 plants dans les boisées tout près de chez-moi. Je n'avais pas tout perdu mais j'ai cessé la production pour me contenter d'en acheter auprès de mes connaissances jusqu'en 2006 avant d'avoir le droit de recevoir de la mari thérapeutique ( qui est plus cher que le marché au noir en passant ). Évidemment avec le dossier pénal que j'avais, il m'a été refusé d'en produire. C'est de valeur parce que j'étais bon en hybridation des essences et que j'ai parvenu à un produire une essence que le THC sortait littéralement du plant, tellement collant et fort que les abeilles restaient accrochées et que les papillons volaient comme des kamikazes !
Moi, si j'avais été le juge, je t'aurais mis dans la même cellule que Sir.
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Je suis certain qu'après un quart d'heure, il en verrait pour de vrai des ti-gris glowings !