Mégachantier du tunnel : bouleversements à venir dans le rés (Forum)
Ils ont entendu juste après les élections et seulement quelques jours avant le début des travaux pour annoncer la ''bonne nouvelle'' le tunnel sera en réparation pendant au moins 3 ans...
https://www.tvanouvelles.ca/2022/10/27/megachantier-du-tunnel--bouleversements-a-venir-...
Mégachantier du tunnel : bouleversements à venir dans le réseau de la santé?
Le mégachantier du tunnel pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine va-t-il dégarnir les hôpitaux montréalais de membres du personnel au profit de centres hospitaliers en dehors de l’île de Montréal?
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Il est fort probable qu’il y ait des départs et du mouvement de personnel vers la Rive-Sud ou la Rive-Nord si on se fie à de nombreuses sources tant patronales que syndicales consultées par TVA Nouvelles.
L’ancien ministre de la Santé, Gaétan Barette, a abordé le sujet récemment à l’émission La Joute en expliquant que des employés préparaient leur C.V., car ils ne voulaient pas vivre l’enfer de la congestion pour se rendre au travail.
Une source sûre du milieu de la santé dans l’est de la ville de Montréal a mentionné qu’il n’y avait pas «officiellement de démissions d’employés» en date de mercredi attribuable au mégachantier.
«Est-ce que des gens se cherchent des jobs ailleurs? Ça se peut, mais ils ne nous le disent pas», ajoute notre informateur.
Questionné par Mario Dumont à ce sujet, le Dr Bernard Mathieu, urgentologue, à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, a réagi à cette possibilité de départs d’employés vers d’autres hôpitaux en banlieues.
«C’est certain que j’appréhende comme vous. Je sais que beaucoup de membres du personnel proviennent de la Rive-Nord. Ceux-là ne seront pas touchés par les travaux du tunnel. En ce qui a trait aux employés de la Rive-Sud, ceux qui achètent une maison de l’autre côté des ponts, ceux qui fondent une famille et qui ont des enfants, en effet, c’est un sujet de préoccupations majeur et on ne peut pas faire de l’urgence en télétravail.»
Enfin, une source syndicale dans le milieu des infirmières affirme que «ça se jase sur le terrain» et que l’employeur a proposé au personnel qui œuvre dans les établissements de l’est de la ville de Montréal des aménagements d’horaires pour éviter les heures de pointe.''
''Avant les élections il t'apellait pas ton prénom après les élections il avait oublié ton nom''
https://www.journaldequebec.com/2022/10/27/un-vehicule-en-feu-sur-lautoroute-20-tout-pr...
Un véhicule en feu sur l'autoroute 20 tout près du tunnel
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Un véhicule en feu près du tunnel - Explications 6h
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AGENCE QMI
Jeudi, 27 octobre 2022 07:06
MISE À JOUR Jeudi, 27 octobre 2022 07:06
Un véhicule a pris feu jeudi matin sur l’autoroute 20 avant le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine sur la Rive Sud de Montréal, provoquant des bouchons sur l’axe autoroutier.
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Le véhicule circulait sur l’A-20 en direction ouest lorsque, vers 5 h, il a pris feu à la hauteur du kilomètre 89, près de la route 132.
Écoutez la rencontre Dutrizac – Dumont diffusée chaque jour en direct 7 h via QUB radio :
En revanche, aucune collision n’a été provoquée et le conducteur du véhicule n’a pas été blessé, a indiqué une porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ).
Les pompiers de Longueuil ont été dépêchés sur les lieux pour éteindre le feu, qui a rapidement été maîtrisé.
Le ministère des Transports a précisé sur Twitter que l’A-20 en direction ouest a été fermée partiellement à raison de 1 voie sur 2...
Fermeture du tunnel: crainte d’une vague de démissionsSanté
Super Val fait semblant d'être surprise de l'annonce après les élections et juste avant la date du début des travaux... ça doit faire son affaire pour faire avancer son agenda onusien... ''Carboneutre''
https://www.journaldemontreal.com/2022/10/27/fermeture-du-tunnel-crainte-dune-vague-de-...
Fermeture du tunnel: crainte d’une vague de démissions dans les hôpitaux de Montréal
HÉLOÏSE ARCHAMBAULT
Jeudi, 27 octobre 2022 11:47
MISE À JOUR Jeudi, 27 octobre 2022 13:10
Déjà touchés par une pénurie de personnel, les hôpitaux de l’est de Montréal pourraient accumuler les démissions de précieuses infirmières qui demeurent sur la Rive-Sud et qui seront découragées devant la congestion du pont-tunnel, dès lundi.
«On est dans une situation tellement précaire. Seulement 2% des infirmières qui feront le move [de quitter], ça va être catastrophique au stade où on en est», confie Denis Cloutier, président du syndicat des infirmières (FIQ) du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île-de-Montréal.
Plus de 1000 employés
Présentement, entre 20% et 25% des employés du Centre intégré de santé et de services sociaux demeurent sur la Rive-Sud, dans la région de Montréal, estime le syndicat. Pour les infirmières, infirmières auxiliaires et inhalothérapeutes, cela représente au moins 1000 employés. La plupart travaillent à Maisonneuve-Rosemont, à l’Institut universitaire de santé mentale ou dans des CHSLD.
Dès lundi prochain, un calvaire est annoncé pour les automobilistes qui empruntent quotidiennement le tunnel relié à Montréal. Déjà, le syndicat constate que plusieurs employés songent à quitter pour un emploi sur la Rive-Sud.
«C’est la question à 100$. On va pouvoir mieux l’évaluer quand les gens vont en prendre acte. Pour plusieurs, ça demeure abstrait tant qu’elles ne l’ont pas vécu et réalisé à partir de chez elles. Est-ce que 200 vont quitter? Je ne peux pas le dire», confie M. Cloutier.
Dans le contexte actuel de pénurie de personnel, les infirmières n’auraient aucun mal à se relocaliser.
Questionné à ce sujet, le CIUSSS refuse toute demande d’entrevue à ce sujet pour l’instant, «car la fermeture n’est pas encore véritablement commencée», écrit-on par courriel. On dit avoir rencontré les employés qui vivent sur la Rive-Sud et avoir proposé des mesures de flexibilité: télétravail, horaire adapté, etc. Les options de transport en commun ont été aussi suggérées.
Or, le télétravail ne s’applique pas aux professionnels en soins. Étant donné les heures de travail atypiques et le temps supplémentaire imprévisible, il est impensable de demander aux infirmières de prendre l’autobus ou de covoiturer, croit le syndicat.
«Une utopie»
«Le transport en commun, c’est une utopie», dit M. Cloutier.
Par ailleurs, les urgences des hôpitaux de l’est de Montréal font partie des plus achalandées présentement, et la pénurie de personnel frappe fort.
«Le tunnel vient ajouter à une situation pas facile dans l’est de Montréal, dit M. Cloutier. Chaque personne qui quitte apporte un poids supplémentaire à l’équipe.»
Par ailleurs, ce dernier souligne que les infirmières atteindront bientôt la fin d’un contrat d’un an qui leur a permis de toucher une prime de 15 000$. Plusieurs attendent la fin de cette année pour changer d’employeur sans pénalité financière ou de prendre leur retraite.
«Des gens disent: “Quand le contrat va être fini, je m’en vais.” Ça fait aussi peur que le tunnel», dit M. Cloutier.
Urgences débordées: Québec met en place une cellule de crise
pas un mot des dossiers sensibles pendant la campagne électorale...
et là...
Mortréal va sortir grande perdante de ''l'aventure'' plusieurs personnes vont choisir d'aller travailler en régions... ce qui va servir les comptés Caquissse....
Pendant que les Libâraux vont sombrer à Mortréal...
Oui la KAQ c'est le parti des Régions... ils vont tout faire pour sortir la richesse de Montréal et en redonner le moins possible à la Métro Nid de Poules...
https://www.journaldequebec.com/2022/10/26/urgences-debordees--quebec-met-en-place-une-...
Urgences débordées: Québec met en place une cellule de crise
GABRIEL CÔTÉ
Mercredi, 26 octobre 2022 16:38
MISE À JOUR Mercredi, 26 octobre 2022 16:38
Pour faire face au taux d’occupation dans les urgences qui explose en particulier à Montréal, le gouvernement a mis en place une cellule de crise chargée de lui faire des «recommandations très spécifiques» pour régler la situation.
«Ce n’est pas compliqué : on va faire une cellule de crise avec 3-4 PDG à Montréal», a annoncé le ministre de la santé, Christian Dubé, pour expliquer comment le gouvernement entend régler la crise dans les urgences.
Cette cellule de crise sera formée par des PDG des CISSS et des CIUSSS de la région métropolitaine et de la Montérégie, ainsi que d’autres «experts terrains», qui auront le mandat de trouver des solutions pour permettre au gouvernement de «prendre les grands moyens» pour résorber les débordements dans les urgences les plus critiques, a précisé son attaché de presse par texto quelques minutes plus tard.
Par ailleurs, une telle cellule de crise serait «une première», selon la nouvelle ministre déléguée à la Santé, Sonia Bélanger.
Depuis plusieurs semaines, les salles d’attentes débordent dans les hôpitaux montréalais, notamment en raison des virus respiratoires qui affectent les enfants, a expliqué Christian Dubé. Le directeur national de Santé publique, Luc Boileau, doit d’ailleurs faire le point au sujet de ces virus la semaine prochaine.
En attendant, le ministre de la Santé assure que le gouvernement travaille déjà sur deux fronts, soit le «volume» de patients qui visitent les urgences et la «capacité» du réseau hospitalier, pour régler la crise.
En particulier, M. Dubé s’est félicité des résultats du «guichet d’accès à la première ligne» (GAP), qui permettrait actuellement de rediriger 75 000 patients par mois en-dehors des urgences. À titre de comparaison, il y aurait environ 300 000 visites par mois dans les urgences du Québec, selon le ministre.
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Concernant la capacité des milieux hospitaliers, Christian Dubé a convenu que le manque de personnel est un enjeu important. «On peut réussir à baisser les volumes, mais en termes de capacité, on a un enjeu s’il n’y a pas d’infirmières pour répondre à la demande».
Selon le ministre, «plusieurs mesures sont en cours» pour tenter de régler ce problème. Interrogé sur la possibilité de déplacer du personnel vers les hôpitaux où la situation est plus délicate, M. Dubé a affirmé qu’il n’exclut aucun scénario.