Avatar

Sont chanceux les conspis au Québec ! (Forum)

par Dédé, vendredi 04 novembre 2022, 12:52 (il y a 975 jours)

Source : Une journaliste arrêtée en Iran après une entrevue du père de Mahsa Amini

[image]


AFP
Vendredi, 4 novembre 2022 08:45
MISE À JOUR Vendredi, 4 novembre 2022 08:45

Les forces de sécurité iraniennes ont arrêté une journaliste auteure d’une interview avec le père de Mahsa Amini, dont la mort en septembre a déclenché des manifestations et un grand mouvement de contestation anti-régime, a affirmé vendredi une ONG.

D’après l’organisation de défense des droits humains Hengaw basée en Norvège, Nazila Maroufian, une journaliste basée à Téhéran et originaire comme Mahsa Amini de Saghez, dans la province iranienne du Kurdistan, a été arrêtée dimanche.

Elle a été interpellée dans la maison de proches et transférée à la prison d’Evine de la capitale iranienne, affirme l’ONG en citant un appel téléphonique passé à sa famille.

La journaliste, qui travaille pour le site d’information Ruydad 24, avait publié un entretien avec Amjad, le père de Mahsa Amini, le 19 octobre sur le site en ligne Mostaghel.

« Je n’ai pas l’intention de me suicider et ne suis atteinte d’aucune maladie sous-jacente », a-t-elle commenté en postant un lien vers son article, allusion directe aux risques qu’elle savait avoir pris en publiant l’interview.

Le site Mostaghel a depuis retiré le texte, mais une version cachée témoigne du fait que le père nie les explications des autorités iraniennes selon lesquelles sa fille souffrait de problèmes de santé. Le titre de l’article est sans équivoque : « Le père de Mahsa Amini : ils mentent !+ ».

L’Iran est secoué depuis près de deux mois par des manifestations déclenchées par la mort le 16 septembre de la jeune femme. Elle avait été arrêtée par la police des mœurs pour non-respect du code vestimentaire très stricte que la République islamique impose aux femmes.

Les manifestations, qualifiées d’émeutes par les autorités iraniennes, sont sans précédent en Iran par leur ampleur et leur nature depuis la Révolution islamique de 1979.

Les deux journalistes qui ont contribué à rendre publique l’affaire sont détenues à Evine.

Niloufar Hamedi, 30 ans, du journal Shargh, s’était rendue dans l’hôpital où Mahsa Amini se trouvait dans le coma avant de décéder. Elle a été arrêtée le 20 septembre, selon sa famille.

Elaheh Mohammadi, 35 ans, reporter pour le quotidien Ham Mihan, s’était pour sa part rendue à Saghez pour couvrir les funérailles de la jeune femme, où avait aussi eu lieu l’une des premières manifestations de ce grand mouvement de contestation. La journaliste a été arrêtée le 29 septembre.

Selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), basé à New York, 54 d’entre eux ont été arrêtés dans la vague de répression des manifestations. Une dizaine d’entre eux seulement ont été libérés sous caution depuis.

[image]

Ils sont bien chanceux les conspis puissent dire et écrire leurs inepties mentales au Québec, parce que s'ils seraient dans ce pays arabe, ils recevraient des coups de fouet en plus d'être enfermés dans des douves insalubres. :D

En plus, la répression aurait passablement été plus forte avec leurs manifestations incongrues et bien souvent, illégales selon les nouvelles lois pour le droit de manifester. Mais que voulez-vous, au Québec, LA LIBÂÂÂÂÂRTÉ est sacrée ! :D

À cet endroit, le journalisme est un métier super dangereux, surtout si c'est une journaliste.

Je vais dire comme Charles de Gaule ; Vive le Québec librrrrre ! :D

Dédé

Nos Louves Aux Québek.

par Jéromec, vendredi 04 novembre 2022, 15:13 (il y a 975 jours) @ Dédé

Avatar

Sont chanceux les conspis au Québec !

par Blake, vendredi 04 novembre 2022, 16:18 (il y a 975 jours) @ Dédé

Source : Une journaliste arrêtée en Iran après une entrevue du père de Mahsa Amini

[image]


AFP
Vendredi, 4 novembre 2022 08:45
MISE À JOUR Vendredi, 4 novembre 2022 08:45

Les forces de sécurité iraniennes ont arrêté une journaliste auteure d’une interview avec le père de Mahsa Amini, dont la mort en septembre a déclenché des manifestations et un grand mouvement de contestation anti-régime, a affirmé vendredi une ONG.

D’après l’organisation de défense des droits humains Hengaw basée en Norvège, Nazila Maroufian, une journaliste basée à Téhéran et originaire comme Mahsa Amini de Saghez, dans la province iranienne du Kurdistan, a été arrêtée dimanche.

Elle a été interpellée dans la maison de proches et transférée à la prison d’Evine de la capitale iranienne, affirme l’ONG en citant un appel téléphonique passé à sa famille.

La journaliste, qui travaille pour le site d’information Ruydad 24, avait publié un entretien avec Amjad, le père de Mahsa Amini, le 19 octobre sur le site en ligne Mostaghel.

« Je n’ai pas l’intention de me suicider et ne suis atteinte d’aucune maladie sous-jacente », a-t-elle commenté en postant un lien vers son article, allusion directe aux risques qu’elle savait avoir pris en publiant l’interview.

Le site Mostaghel a depuis retiré le texte, mais une version cachée témoigne du fait que le père nie les explications des autorités iraniennes selon lesquelles sa fille souffrait de problèmes de santé. Le titre de l’article est sans équivoque : « Le père de Mahsa Amini : ils mentent !+ ».

L’Iran est secoué depuis près de deux mois par des manifestations déclenchées par la mort le 16 septembre de la jeune femme. Elle avait été arrêtée par la police des mœurs pour non-respect du code vestimentaire très stricte que la République islamique impose aux femmes.

Les manifestations, qualifiées d’émeutes par les autorités iraniennes, sont sans précédent en Iran par leur ampleur et leur nature depuis la Révolution islamique de 1979.

Les deux journalistes qui ont contribué à rendre publique l’affaire sont détenues à Evine.

Niloufar Hamedi, 30 ans, du journal Shargh, s’était rendue dans l’hôpital où Mahsa Amini se trouvait dans le coma avant de décéder. Elle a été arrêtée le 20 septembre, selon sa famille.

Elaheh Mohammadi, 35 ans, reporter pour le quotidien Ham Mihan, s’était pour sa part rendue à Saghez pour couvrir les funérailles de la jeune femme, où avait aussi eu lieu l’une des premières manifestations de ce grand mouvement de contestation. La journaliste a été arrêtée le 29 septembre.

Selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), basé à New York, 54 d’entre eux ont été arrêtés dans la vague de répression des manifestations. Une dizaine d’entre eux seulement ont été libérés sous caution depuis.

[image]

Ils sont bien chanceux les conspis puissent dire et écrire leurs inepties mentales au Québec, parce que s'ils seraient dans ce pays arabe, ils recevraient des coups de fouet en plus d'être enfermés dans des douves insalubres. :D

En plus, la répression aurait passablement été plus forte avec leurs manifestations incongrues et bien souvent, illégales selon les nouvelles lois pour le droit de manifester. Mais que voulez-vous, au Québec, LA LIBÂÂÂÂÂRTÉ est sacrée ! :D

À cet endroit, le journalisme est un métier super dangereux, surtout si c'est une journaliste.

Je vais dire comme Charles de Gaule ; Vive le Québec librrrrre ! :D

Dédé

J'aimerais tellement les voir faire leurs smats dans des endroits comme ça.

:evil:

Avatar

Sont chanceux les conspis au Québec !

par Dédé, vendredi 04 novembre 2022, 16:31 (il y a 975 jours) @ Blake

Source : Une journaliste arrêtée en Iran après une entrevue du père de Mahsa Amini

[image]


AFP
Vendredi, 4 novembre 2022 08:45
MISE À JOUR Vendredi, 4 novembre 2022 08:45

Les forces de sécurité iraniennes ont arrêté une journaliste auteure d’une interview avec le père de Mahsa Amini, dont la mort en septembre a déclenché des manifestations et un grand mouvement de contestation anti-régime, a affirmé vendredi une ONG.

D’après l’organisation de défense des droits humains Hengaw basée en Norvège, Nazila Maroufian, une journaliste basée à Téhéran et originaire comme Mahsa Amini de Saghez, dans la province iranienne du Kurdistan, a été arrêtée dimanche.

Elle a été interpellée dans la maison de proches et transférée à la prison d’Evine de la capitale iranienne, affirme l’ONG en citant un appel téléphonique passé à sa famille.

La journaliste, qui travaille pour le site d’information Ruydad 24, avait publié un entretien avec Amjad, le père de Mahsa Amini, le 19 octobre sur le site en ligne Mostaghel.

« Je n’ai pas l’intention de me suicider et ne suis atteinte d’aucune maladie sous-jacente », a-t-elle commenté en postant un lien vers son article, allusion directe aux risques qu’elle savait avoir pris en publiant l’interview.

Le site Mostaghel a depuis retiré le texte, mais une version cachée témoigne du fait que le père nie les explications des autorités iraniennes selon lesquelles sa fille souffrait de problèmes de santé. Le titre de l’article est sans équivoque : « Le père de Mahsa Amini : ils mentent !+ ».

L’Iran est secoué depuis près de deux mois par des manifestations déclenchées par la mort le 16 septembre de la jeune femme. Elle avait été arrêtée par la police des mœurs pour non-respect du code vestimentaire très stricte que la République islamique impose aux femmes.

Les manifestations, qualifiées d’émeutes par les autorités iraniennes, sont sans précédent en Iran par leur ampleur et leur nature depuis la Révolution islamique de 1979.

Les deux journalistes qui ont contribué à rendre publique l’affaire sont détenues à Evine.

Niloufar Hamedi, 30 ans, du journal Shargh, s’était rendue dans l’hôpital où Mahsa Amini se trouvait dans le coma avant de décéder. Elle a été arrêtée le 20 septembre, selon sa famille.

Elaheh Mohammadi, 35 ans, reporter pour le quotidien Ham Mihan, s’était pour sa part rendue à Saghez pour couvrir les funérailles de la jeune femme, où avait aussi eu lieu l’une des premières manifestations de ce grand mouvement de contestation. La journaliste a été arrêtée le 29 septembre.

Selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), basé à New York, 54 d’entre eux ont été arrêtés dans la vague de répression des manifestations. Une dizaine d’entre eux seulement ont été libérés sous caution depuis.

[image]

Ils sont bien chanceux les conspis puissent dire et écrire leurs inepties mentales au Québec, parce que s'ils seraient dans ce pays arabe, ils recevraient des coups de fouet en plus d'être enfermés dans des douves insalubres. :D

En plus, la répression aurait passablement été plus forte avec leurs manifestations incongrues et bien souvent, illégales selon les nouvelles lois pour le droit de manifester. Mais que voulez-vous, au Québec, LA LIBÂÂÂÂÂRTÉ est sacrée ! :D

À cet endroit, le journalisme est un métier super dangereux, surtout si c'est une journaliste.

Je vais dire comme Charles de Gaule ; Vive le Québec librrrrre ! :D

Dédé


J'aimerais tellement les voir faire leurs smats dans des endroits comme ça.

:evil:

____________________

Ils se feraient ramasser en tabarnack ! :evil:

comme en témoigne ces images....Matraques et motos

par Jéromec, vendredi 04 novembre 2022, 16:45 (il y a 974 jours) @ Dédé

comme en témoigne ces images....

Le manifestant mange des volées, puis encore, encore, encore, et encore.. et encore, encore, encore et encore...

Iranian officers beat and shoot protester in shocking police brutality footage

https://www.youtube.com/watch?v=owm9XXaaVXU

Et encore, encore, encore, encore, et encore...

Matraques et motos(!)

:mouche:

Sont chanceux les journaleux au Québec...

par Jéromec, vendredi 04 novembre 2022, 16:50 (il y a 974 jours) @ Jéromec

Pendant ce temps la ministre des affaires étrangères du québec passe sous le silence la répression en Iran pour lécher le postérieur d'un journaliste...

:mdr:

Martine Biron
@M_Biron
·
4h
Félicitations
@hugolavallee


Quel bon choix! Hugo est un excellent journaliste. ????
Citer le Tweet
Sébastien Bovet
@SebBovetSRC
·
5h
Très heureux d'annoncer la nomination @hugolavallee comme analyste à notre Bureau parlementaire à l'#assnat

Il entre en fonction immédiatement.

Il remplace @M_Biron qui a occupé cette fonction ces dernières années. ????<<

Fil RSS du sujet
powered by my little forum