La STM envisage de diminuer la fréquence des bus et métro (Forum)

par Jéromec, jeudi 24 novembre 2022, 09:50 (il y a 964 jours)

c'Est avec Fiârté que Montréal va pouvoir accueillir la Ville de Mouriale prend des mesures pour diminuer l'offre de services (déjà saturés) du transport en commun pour pallier au 800 million$ que SuPer Val à donné à Québec en échange de RIEN pentoute... même pas de ligne de métro rose imaginaire...
:boss:
Et dans le Drain fait toujours la promot du Tunnel Québec Lévis et Bruno Schouclac Marchand défend encore le Tramway nommé 5 milliard$ et C'est même pas encore commencé...

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https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1935340/baisse-metro-bus-montreal-stm-budget

Une baisse de fréquence des métros et bus envisagée à Montréal
Faute de revenus suffisants, le réseau de transport de la métropole songe à une réduction de service dès 2023, a appris Radio-Canada.


La STM envisage de diminuer la fréquence des bus et des métros à partir de 2023.

Publié à 4 h 01
La baisse d’achalandage et les difficultés de trouver de nouvelles sources de revenus pourraient inciter la Société de transport de Montréal (STM) à réduire son offre de service dans les rues et souterrains montréalais.

Selon des informations obtenues par Radio-Canada, plusieurs mesures qui permettraient d’équilibrer le budget sont étudiées sérieusement pour une implantation à partir de l’année 2023.

La plus importante concerne une diminution de la fréquence des métros et des autobus.

Une réduction de l’offre de service de 3,7 % [pour les] bus et de 4,8 % [pour le] métro par rapport à 2022 figure parmi les faits saillants d’un document que nous avons pu consulter, qui évoque un budget responsable dans un contexte économique difficile.


Une économie de 18 millions de dollars pourrait ainsi être réalisée, est-il ajouté.

Concrètement, ce scénario toucherait principalement les déplacements hors des heures de pointe et la fin de semaine, puisque la STM précise vouloir maintenir un niveau de service en pointe similaire à 2019.

D'ultimes discussions à venir
Contactée par Radio-Canada, la STM ne nie pas ces informations, tout en spécifiant que rien n’est encore ficelé.

Le temps presse, pourtant. En début de semaine, le budget final doit être présenté aux élus montréalais, explique en entrevue la directrice de l’organisme public, Marie-Claude Léonard.

On est toujours en discussion avec nos bailleurs de fonds. On n’a pas encore le scénario final aujourd’hui, indique-t-elle.

Ces négociations ont lieu avec la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec et l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), précise la directrice générale de la STM, nommée l’été dernier.

« Ça ne veut pas dire qu’on va toucher aux services [mais] ça va dépendre des sommes qu’on aura pour combler le manque à gagner. »

— Une citation de Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM
Des analyses au scalpel sont toujours en cours pour trouver des moyens de réaliser des économies, affirme-t-elle.


Dans le réseau d'autobus, par exemple, on va réajuster [des] lignes où on avait une fréquence élevée sans beaucoup de clients. Mais du service pourrait aussi être ajouté dans des quartiers industriels où on ne fait pas de télétravail, reprend-elle.

Selon les documents obtenus par Radio-Canada, la STM devrait encore chercher de nouvelles sources de revenus à identifier estimées à plus de 51 millions de dollars.

Un montant plus élevé qu’en 2022, où un manque à gagner de 43 millions de dollars avait été constaté, détaille Marie-Claude Léonard.

On avait ajusté la fréquence hors pointe [du métro] et ça avait réduit la fréquence d’à peine une minute, assure la directrice générale de la STM.

Désormais, la STM est touchée, comme tous, par l’inflation et l’indexation des salaires, reconnaît-elle.

Budget en hausse, achalandage inconnu
Selon les documents obtenus par Radio-Canada, le prochain budget de la STM pourrait atteindre 1,67 milliard de dollars l’an prochain, contre 1,58 milliard en 2022.

Alors que le tarif des bus et du métro a augmenté, l’achalandage, quant à lui, stagne aux environs de 70 % dans le réseau souterrain, comparativement à la période prépandémique. Au maximum, anticipe la STM, cet achalandage remontera à 82 % en 2023.

Une nouvelle réflexion devra alors être menée, indique Marie-Claude Léonard. Probablement qu’à l’été 2023, les gens auront leurs habitudes de travail et ce sera à nous de refaire notre offre de service pour aller chercher de nouveaux clients.

Une volonté de maintenir les services
Quelles sont les différentes pistes de réduction budgétaire de la STM, qui rendra également l'an prochain le bus et le métro gratuits pour les aînés?

Outre la diminution de l'offre de service, les documents obtenus par Radio-Canada évoquent des coupures dans les campagnes publicitaires, une réduction des services professionnels externes ou encore un report de divers projets.

Par respect pour [sa] gouvernance, Marie-Claude Léonard refuse d’évoquer les autres hypothèses sur la table. Elle met néanmoins de la pression sur la Ville de Montréal et le gouvernement Legault.

La STM a la volonté, si l’argent est au rendez-vous, de proposer en 2023 une offre similaire à celle de 2022. C’est toujours notre objectif, répète-t-elle.

« On est toujours la solution à la crise climatique, on est un acteur clé là-dedans et on se doit de garder une offre de service attrayante. »

— Une citation de Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM
Réduire l'offre de service est la dernière piste qu'on souhaite mettre en place.

Toutefois, admet-elle, j’ai quand même la responsabilité, en fonction de l’argent que je réussis à aller chercher, de faire des scénarios pour être capable d'équilibrer mon budget.''

Coupure à La STM mais coût$ de la Cop Montréal

par Jéromec, jeudi 24 novembre 2022, 10:05 (il y a 964 jours) @ Jéromec

On coupe à la STM pour le donner pour la sécurité de la COP de Montréal

:bravo:

La preuve irréfutable qu'il y a du plomb dans l'Eau de Montréal...
:mouche:

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1929683/cop15-securite-police-chine-onu-biodiversi...

25 millions de dollars pour la Ville de Montréal

Le plus grand déploiement policier des 20 dernières années pour la COP15 à Montréal
Le bâtiment dans lequel se déroule la COP15.
La 15e Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique aura lieu à Montréal, en raison des mesures sanitaires trop restrictives en Chine.


Publié le 2 novembre 2022
La Conférence de l'ONU sur la biodiversité, ou COP15, en décembre prochain à Montréal, transformera le secteur du Palais des congrès, au cœur du centre-ville, en zone internationale dont les points d'accès, selon nos informations, seront surveillés par plus de 500 policiers quotidiennement.

Lors d'un breffage technique avec les médias, mercredi, la Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui sera responsable de la zone bleue ultrasécurisée mise en place du 1er au 20 décembre, a indiqué que les besoins en ressources policières pour cet événement à Montréal sont sans précédent depuis deux décennies.

La GRC aura l'appui de la Sûreté du Québec (SQ) et du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) pour fournir le nombre d'agents et d'enquêteurs nécessaires et, surtout, s'assurer que les principaux axes routiers de Montréal sont sécuritaires. Des policiers de Québec, de Laval, de Longueuil et de Gatineau seront aussi présents dans la métropole.

Les chefs d'État seront transportés par convoi entre l'aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau et le Palais des congrès.


Sur le terrain, le SPVM se chargera des arrestations ou de toutes formes d'enquêtes si des incidents surviennent durant le déroulement de la COP15.

On estime que plus de 15 000 personnes participeront à l'événement, du 7 au 19 décembre.

La GRC n'a pas voulu dévoiler combien de chefs d'État seront du nombre et qui, précisément, a répondu à l'invitation de la Chine, qui est officiellement le pays hôte de la COP15.

Comme les restrictions sanitaires sont encore très contraignantes en Chine en raison de la COVID-19, Montréal est devenue à l'automne 2021 l'endroit choisi par l'ONU pour tenir ce sommet sur la protection de la biodiversité.

La COP15, présidée et organisée par la Chine, aura lieu à Montréal parce que les restrictions sanitaires liées à la COVID 19 sont moins sévères qu'en Chine pour accueillir des délégations du monde entier.

Une forteresse autour du Palais des congrès
Une clôture sera érigée autour du Palais des congrès. Le SPVM précise que le périmètre touchera une partie des rues Saint-Urbain et Saint-Antoine Ouest, de l'avenue Viger Ouest et de la place Jean-Paul-Riopelle. Il en va de même pour les rues Côté, De la Gauchetière Ouest et Chenneville.


À travers ce périmètre se trouveront des points d'entrée surveillés par les policiers.

Seules les personnes accréditées auront accès à l'intérieur de la zone sécurisée du 1er au 20 décembre. La station de métro Place-d'Armes sera également fermée durant cette période.

La circulation devrait commencer à être perturbée dès la semaine prochaine autour du Palais des congrès.

L'installation de la clôture débutera dans les prochains jours. C'est pourquoi on déploiera des policiers dès lors pour détourner la circulation. Les automobilistes sont donc appelés à éviter les abords du Palais des congrès si possible.

Pas moins de 500 policiers, selon nos informations, seront nécessaires, 24 heures sur 24, pendant toute la durée de l'événement, pour assurer le bon fonctionnement de la COP15 et gérer les nombreuses manifestations prévues aux abords du périmètre.

Les membres du SPVM seront au travail sur une base volontaire et en heures supplémentaires pour les besoins de la COP15. S'il manque des policiers sur le terrain, la SQ viendra combler le manque de ressources policières.

Le coût total des salaires des policiers pourrait s'élever à 25 millions de dollars pour la Ville de Montréal, au terme de l'événement de trois semaines.

Le SPVM estime que ces données sont préliminaires, puisque l'événement n'a pas encore eu lieu. Le gouvernement fédéral devrait (CONDITONNEL) éponger la facture de Montréal.''

:mouche:

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La STM envisage de diminuer la fréquence des bus et métro

par Blake, jeudi 24 novembre 2022, 12:04 (il y a 964 jours) @ Jéromec

c'Est avec Fiârté que Montréal va pouvoir accueillir la Ville de Mouriale prend des mesures pour diminuer l'offre de services (déjà saturés) du transport en commun pour pallier au 800 million$ que SuPer Val à donné à Québec en échange de RIEN pentoute... même pas de ligne de métro rose imaginaire...
:boss:
Et dans le Drain fait toujours la promot du Tunnel Québec Lévis et Bruno Schouclac Marchand défend encore le Tramway nommé 5 milliard$ et C'est même pas encore commencé...

<img src=" />

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1935340/baisse-metro-bus-montreal-stm-budget

Une baisse de fréquence des métros et bus envisagée à Montréal
Faute de revenus suffisants, le réseau de transport de la métropole songe à une réduction de service dès 2023, a appris Radio-Canada.


La STM envisage de diminuer la fréquence des bus et des métros à partir de 2023.

Publié à 4 h 01
La baisse d’achalandage et les difficultés de trouver de nouvelles sources de revenus pourraient inciter la Société de transport de Montréal (STM) à réduire son offre de service dans les rues et souterrains montréalais.

Selon des informations obtenues par Radio-Canada, plusieurs mesures qui permettraient d’équilibrer le budget sont étudiées sérieusement pour une implantation à partir de l’année 2023.

La plus importante concerne une diminution de la fréquence des métros et des autobus.

Une réduction de l’offre de service de 3,7 % [pour les] bus et de 4,8 % [pour le] métro par rapport à 2022 figure parmi les faits saillants d’un document que nous avons pu consulter, qui évoque un budget responsable dans un contexte économique difficile.


Une économie de 18 millions de dollars pourrait ainsi être réalisée, est-il ajouté.

Concrètement, ce scénario toucherait principalement les déplacements hors des heures de pointe et la fin de semaine, puisque la STM précise vouloir maintenir un niveau de service en pointe similaire à 2019.

D'ultimes discussions à venir
Contactée par Radio-Canada, la STM ne nie pas ces informations, tout en spécifiant que rien n’est encore ficelé.

Le temps presse, pourtant. En début de semaine, le budget final doit être présenté aux élus montréalais, explique en entrevue la directrice de l’organisme public, Marie-Claude Léonard.

On est toujours en discussion avec nos bailleurs de fonds. On n’a pas encore le scénario final aujourd’hui, indique-t-elle.

Ces négociations ont lieu avec la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec et l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), précise la directrice générale de la STM, nommée l’été dernier.

« Ça ne veut pas dire qu’on va toucher aux services [mais] ça va dépendre des sommes qu’on aura pour combler le manque à gagner. »

— Une citation de Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM
Des analyses au scalpel sont toujours en cours pour trouver des moyens de réaliser des économies, affirme-t-elle.


Dans le réseau d'autobus, par exemple, on va réajuster [des] lignes où on avait une fréquence élevée sans beaucoup de clients. Mais du service pourrait aussi être ajouté dans des quartiers industriels où on ne fait pas de télétravail, reprend-elle.

Selon les documents obtenus par Radio-Canada, la STM devrait encore chercher de nouvelles sources de revenus à identifier estimées à plus de 51 millions de dollars.

Un montant plus élevé qu’en 2022, où un manque à gagner de 43 millions de dollars avait été constaté, détaille Marie-Claude Léonard.

On avait ajusté la fréquence hors pointe [du métro] et ça avait réduit la fréquence d’à peine une minute, assure la directrice générale de la STM.

Désormais, la STM est touchée, comme tous, par l’inflation et l’indexation des salaires, reconnaît-elle.

Budget en hausse, achalandage inconnu
Selon les documents obtenus par Radio-Canada, le prochain budget de la STM pourrait atteindre 1,67 milliard de dollars l’an prochain, contre 1,58 milliard en 2022.

Alors que le tarif des bus et du métro a augmenté, l’achalandage, quant à lui, stagne aux environs de 70 % dans le réseau souterrain, comparativement à la période prépandémique. Au maximum, anticipe la STM, cet achalandage remontera à 82 % en 2023.

Une nouvelle réflexion devra alors être menée, indique Marie-Claude Léonard. Probablement qu’à l’été 2023, les gens auront leurs habitudes de travail et ce sera à nous de refaire notre offre de service pour aller chercher de nouveaux clients.

Une volonté de maintenir les services
Quelles sont les différentes pistes de réduction budgétaire de la STM, qui rendra également l'an prochain le bus et le métro gratuits pour les aînés?

Outre la diminution de l'offre de service, les documents obtenus par Radio-Canada évoquent des coupures dans les campagnes publicitaires, une réduction des services professionnels externes ou encore un report de divers projets.

Par respect pour [sa] gouvernance, Marie-Claude Léonard refuse d’évoquer les autres hypothèses sur la table. Elle met néanmoins de la pression sur la Ville de Montréal et le gouvernement Legault.

La STM a la volonté, si l’argent est au rendez-vous, de proposer en 2023 une offre similaire à celle de 2022. C’est toujours notre objectif, répète-t-elle.

« On est toujours la solution à la crise climatique, on est un acteur clé là-dedans et on se doit de garder une offre de service attrayante. »

— Une citation de Marie-Claude Léonard, directrice générale de la STM
Réduire l'offre de service est la dernière piste qu'on souhaite mettre en place.

Toutefois, admet-elle, j’ai quand même la responsabilité, en fonction de l’argent que je réussis à aller chercher, de faire des scénarios pour être capable d'équilibrer mon budget.''

Pas de sens.

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