• On parle de plus en plus de manque de personnel dans les différentes entreprises et qu'il faut absolument trouver du monde pour combler des postes. Évidemment du côté de la santé, on ne peut pas faire de compromis et il faut que ça roule, ce qui n'est pas le cas depuis plusieurs années. Mais pour ce qui est des autres postes, je crois qu'il y aurait moyen plutôt de diminuer les heures d'ouverture ce qui ferait peut-être en sorte que les gens consommeraient moins. Mais on veut tellement surconsommer qu'on veut absolument que tout soit ouvert tout le temps. Lâchez-moi avec votre crisse de sacrosainte économie! C'est pas compliqué, les gens veulent consommer et posséder des bébelles inutiles pour essayer de se valoriser. il serait plus que temps que les gens mettent leurs valeurs à la bonne place et cesse de surconsommer pour flatter leur égo.

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Bien dit, je n'aurais pas mieux dit !

Même je dirais qu'il faudrait une loi pour empêcher les vendredis fous. Par ce que d'un, les prix bonifiés à plus de 50% de rabais ne sont que les prix du coût d'exploitation avec faible marge de bénéfice ( qui est enregistré à des fins d'imposition dans les pertes d'entreprises afin de diminuer le montant net de bénéfice et moins payer de taxes évidemment ). De deux, ça diminuerait la surconsommation de façon substantielle en sachant très bien qu'il y aura toujours des consommateurs compulsifs.

En plus, la génération de bébés lalas veulent tout avoir, faque adieu toute tentative de réduire la surconsommation.

c'est quand même fou de penser que c'est le Covid qui en a fait le plus pour l'environnement!

la nature avait repris sa place, le couvre feu a ramené la magie la nuit...

et là
Vlang!
le délire recommence..

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C'est revenu pire qu'avant...

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Serge Bouchard Des chemins de travers...
Ensemble soyons d'effet papillon...

On peut changer les choses....

Première heure : la maladie de l'inquiétude : 00:00

Serge Bouchard reçoit le Dr Fernand Turcotte, professeur au Département de médecine sociale et préventive de l'Université Laval et médecin retraité du Centre hospitalier universitaire de Québec. Il a traduit Le dernier des bien portants. Comment mettre son bien-être à l'abri des services de santé et Malades d'inquiétude? Diagnostic : la surmédicalisation! de Nortin Hadler, ainsi que Le surdiagnostic. Rendre les gens malades par la poursuite de la santé de H. Gilbert Welch.

Deuxième heure : l'industrie médicale et l'éthique des soins : 53:13

L'aspect éthique de la relation entre le médecin et le patient est au programme de la deuxième heure, avec le Dr Martin Winckler, écrivain et auteur de la postface du livre Les inventeurs de maladies : manoeuvres et manipulations de l'industrie pharmaceutique de Jorg Blech. Pour Winckler, le système de santé est aussi un marché économique où l'on a toujours des traitements à vendre aux malades pour guérir leurs maux.

Troisième heure : la marchandisation des médicaments : 1:46:27

L'animateur s'entretient avec le pharmacien Jean-Yves Dionne, expert en produits de santé naturels et apothicaire éclectique, auteur du livre Fatigue, stress, insomnie : briser le triangle infernal. Il nous parle du marketing pharmaceutique et dénonce l'accent mis sur les symptômes plutôt que sur les causes des maladies, souvent liées à notre mode de vie.

https://www.youtube.com/watch?v=pF9wrGjKjG8