Des québécois qui sont dans la lune ! (Sciences & Paranormal)
Source : Conquête de l'espace: des Québécois à la conquête d’un marché de 508 milliards $
DAVID DESCÔTEAUX
Samedi, 17 décembre 2022 00:00
MISE À JOUR Samedi, 17 décembre 2022 00:00
Les voyages sur la Lune et sur Mars deviennent peu à peu réalité, et les entreprises privées – dont des québécoises – affûtent leurs armes pour conquérir l’El Dorado interstellaire.
Fini le temps où les gouvernements soviétiques et américains se bagarraient à coups de milliards pour savoir qui pousse le plus loin dans l’espace. Les entreprises privées sont maintenant sur la première ligne de cette course, qui représente un marché de plus de 370 milliards $ US (508 G$ CA) , selon la firme Euroconsult.
Des milliardaires, comme Elon Musk, envoient déjà des astronautes vers la Station spatiale internationale (SSI) avec son entreprise SpaceX, mais les Québécois ne sont pas en reste.
Des Québécois qui voient loin
« Au Québec, on a 950 employés qui travaillent sur l’espace. Ils fabriquent des satellites, des pièces pour des satellites d’autres entreprises et des ordinateurs pour l’espace », dit Giovanni D’Aliesio, directeur du développement chez MDA Satellite Systems.
MDA, qui a un bureau à Sainte-Anne-de-Bellevue, a construit le bras robotique Canadarm de la Station spatiale internationale, qui sert notamment à assurer la maintenance de la Station et à saisir des vaisseaux-cargos et les amarrer à la Station.
L’entreprise est d’ailleurs chargée de construire Canadarm3, le bras robotique de la nouvelle station spatiale en orbite autour de la Lune qui sera lancée vers 2026.
Un foreur autonome utilisé pour extraire de l’eau sous la surface lunaire.
PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE LA NASA
Un foreur autonome utilisé pour extraire de l’eau sous la surface lunaire.
Un marché qui s’ouvre
« Avant, c’était toujours les gouvernements qui avaient l’argent. Il fallait attendre après le gouvernement pour des projets. Mais le coût pour envoyer des technologies dans l’espace a diminué beaucoup dernièrement, grâce à des entreprises comme SpaceX. Aujourd’hui, c’est possible d’être profitable en exploitant l’espace », ajoute Giovanni D’Aliesio.
D’autres entreprises québécoises se sont lancées dans l’espace. Felix & Paul Studios, de Montréal, développent entre autres une caméra pour capter des images à l’extérieur de la Station spatiale internationale.
NGC Aerospace, de Sherbrooke, développe quant à elle un système informatisé permettant aux véhicules spatiaux d’atterrir en sécurité sur la Lune.
Objectif Mars
« Depuis la course vers la Lune des années 1960, les gouvernements ont toujours dominé les programmes d’exploration spatiale. Ce qu’on voit de plus en plus, c’est l’émergence de partenariats public-privé et la présence d’entreprises qui aident à réduire les coûts et améliorer l’efficacité des programmes », dit Miguel Ouellette, économiste pour Euroconsult, une firme spécialisée dans l’accompagnement des entreprises et des entités gouvernementales du secteur spatial, qui a un bureau à Montréal.
La compagnie américaine Bobcat, également, travaille à construire des machines qui permettront de faire du minage de matériaux sur la Lune, selon nos sources.
Des concurrents inattendus
Rappelons que la mission principale d’Artémis, de la NASA, est de mettre un pied sur Mars d’ici 2040, ouvrant ainsi des possibilités pour des entreprises qui veulent contribuer aux missions.
L’américaine Caterpillar, connue pour ses tracteurs et ses machines lourdes pour l’agriculture et la construction, planche de son côté sur de l’équipement minier télécommandé, qui pourrait se retrouver sur la Lune, rapportait récemment la chaîne CNBC.
Un fou dans une poche, pourquoi que nos milliardaires n'investiraient pas pour la conquête sidérale ? Dans un proche avenir, disons dans 50 ans, chaque roche dans la ceinture d'astéroïdes aura aucun doute une mine pour exploiter ses minerais, ça va être la course folle puisqu'il va y avoir des vaisseaux pour ramener ça sur terre, des minerais qui vont valoir beaucoup de bidous.
Rendu à ce niveau, on ne parlera plus de milliardaire mais bien de «billionnaire».
Ça n'avance pas aussi rapidement parce que la mission de polluer Mars pour les premiers terriens à fouler son sol, est prévu qu'en 2040. Ce qui m'indique qu'au 22ième siècle, il y aura des martiens sur Mars.
Ça va coûter un bras et une jambe pour aller visiter Tante Agathe !
Pendant ce temps, rien ici sur terre n'aura changé la progression de la pollution humaine, il y aura de plus en plus de bitume sur le plancher des vaches, les lacs auront pratiquement des villes tout autour d'eux et l'énergie libre sera partout partout sur la planète, aussi grande que la toile internet.
Alors, vivement une autre planète à polluer sti !
Dédé
Des québécois qui sont dans la lune !
Source : Conquête de l'espace: des Québécois à la conquête d’un marché de 508 milliards $
DAVID DESCÔTEAUX
Samedi, 17 décembre 2022 00:00
MISE À JOUR Samedi, 17 décembre 2022 00:00Les voyages sur la Lune et sur Mars deviennent peu à peu réalité, et les entreprises privées – dont des québécoises – affûtent leurs armes pour conquérir l’El Dorado interstellaire.
Fini le temps où les gouvernements soviétiques et américains se bagarraient à coups de milliards pour savoir qui pousse le plus loin dans l’espace. Les entreprises privées sont maintenant sur la première ligne de cette course, qui représente un marché de plus de 370 milliards $ US (508 G$ CA) , selon la firme Euroconsult.
Des milliardaires, comme Elon Musk, envoient déjà des astronautes vers la Station spatiale internationale (SSI) avec son entreprise SpaceX, mais les Québécois ne sont pas en reste.
Des Québécois qui voient loin
« Au Québec, on a 950 employés qui travaillent sur l’espace. Ils fabriquent des satellites, des pièces pour des satellites d’autres entreprises et des ordinateurs pour l’espace », dit Giovanni D’Aliesio, directeur du développement chez MDA Satellite Systems.
MDA, qui a un bureau à Sainte-Anne-de-Bellevue, a construit le bras robotique Canadarm de la Station spatiale internationale, qui sert notamment à assurer la maintenance de la Station et à saisir des vaisseaux-cargos et les amarrer à la Station.
L’entreprise est d’ailleurs chargée de construire Canadarm3, le bras robotique de la nouvelle station spatiale en orbite autour de la Lune qui sera lancée vers 2026.
Un foreur autonome utilisé pour extraire de l’eau sous la surface lunaire.
PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE LA NASA
Un foreur autonome utilisé pour extraire de l’eau sous la surface lunaire.
Un marché qui s’ouvre« Avant, c’était toujours les gouvernements qui avaient l’argent. Il fallait attendre après le gouvernement pour des projets. Mais le coût pour envoyer des technologies dans l’espace a diminué beaucoup dernièrement, grâce à des entreprises comme SpaceX. Aujourd’hui, c’est possible d’être profitable en exploitant l’espace », ajoute Giovanni D’Aliesio.
D’autres entreprises québécoises se sont lancées dans l’espace. Felix & Paul Studios, de Montréal, développent entre autres une caméra pour capter des images à l’extérieur de la Station spatiale internationale.
NGC Aerospace, de Sherbrooke, développe quant à elle un système informatisé permettant aux véhicules spatiaux d’atterrir en sécurité sur la Lune.
Objectif Mars
« Depuis la course vers la Lune des années 1960, les gouvernements ont toujours dominé les programmes d’exploration spatiale. Ce qu’on voit de plus en plus, c’est l’émergence de partenariats public-privé et la présence d’entreprises qui aident à réduire les coûts et améliorer l’efficacité des programmes », dit Miguel Ouellette, économiste pour Euroconsult, une firme spécialisée dans l’accompagnement des entreprises et des entités gouvernementales du secteur spatial, qui a un bureau à Montréal.
La compagnie américaine Bobcat, également, travaille à construire des machines qui permettront de faire du minage de matériaux sur la Lune, selon nos sources.
Des concurrents inattendus
Rappelons que la mission principale d’Artémis, de la NASA, est de mettre un pied sur Mars d’ici 2040, ouvrant ainsi des possibilités pour des entreprises qui veulent contribuer aux missions.
L’américaine Caterpillar, connue pour ses tracteurs et ses machines lourdes pour l’agriculture et la construction, planche de son côté sur de l’équipement minier télécommandé, qui pourrait se retrouver sur la Lune, rapportait récemment la chaîne CNBC.
Un fou dans une poche, pourquoi que nos milliardaires n'investiraient pas pour la conquête sidérale ? Dans un proche avenir, disons dans 50 ans, chaque roche dans la ceinture d'astéroïdes aura aucun doute une mine pour exploiter ses minerais, ça va être la course folle puisqu'il va y avoir des vaisseaux pour ramener ça sur terre, des minerais qui vont valoir beaucoup de bidous.
Rendu à ce niveau, on ne parlera plus de milliardaire mais bien de «billionnaire».
Ça n'avance pas aussi rapidement parce que la mission de polluer Mars pour les premiers terriens à fouler son sol, est prévu qu'en 2040. Ce qui m'indique qu'au 22ième siècle, il y aura des martiens sur Mars.
Ça va coûter un bras et une jambe pour aller visiter Tante Agathe !
Pendant ce temps, rien ici sur terre n'aura changé la progression de la pollution humaine, il y aura de plus en plus de bitume sur le plancher des vaches, les lacs auront pratiquement des villes tout autour d'eux et l'énergie libre sera partout partout sur la planète, aussi grande que la toile internet.
Alors, vivement une autre planète à polluer sti !
Dédé
Tout à fait d'accord avec ce que tu dis à la fin que j'ai mis en rouge.
Des québécois qui sont dans la lune !
Un fou dans une poche, pourquoi que nos milliardaires n'investiraient pas pour la conquête sidérale ? Dans un proche avenir, disons dans 50 ans, chaque roche dans la ceinture d'astéroïdes aura aucun doute une mine pour exploiter ses minerais, ça va être la course folle puisqu'il va y avoir des vaisseaux pour ramener ça sur terre, des minerais qui vont valoir beaucoup de bidous.
Rendu à ce niveau, on ne parlera plus de milliardaire mais bien de «billionnaire».
Ça n'avance pas aussi rapidement parce que la mission de polluer Mars pour les premiers terriens à fouler son sol, est prévu qu'en 2040. Ce qui m'indique qu'au 22ième siècle, il y aura des martiens sur Mars.
Ça va coûter un bras et une jambe pour aller visiter Tante Agathe !
Pendant ce temps, rien ici sur terre n'aura changé la progression de la pollution humaine, il y aura de plus en plus de bitume sur le plancher des vaches, les lacs auront pratiquement des villes tout autour d'eux et l'énergie libre sera partout partout sur la planète, aussi grande que la toile internet.
Alors, vivement une autre planète à polluer sti !
Dédé
Tout à fait d'accord avec ce que tu dis à la fin que j'ai mis en rouge.
________________
Tout cet argent gaspiller au lieu de traiter la source de nos vies afin d'en améliorer les conditions climatiques.
C'est fou l'humain !
Des québécois qui sont dans la lune !
Un fou dans une poche, pourquoi que nos milliardaires n'investiraient pas pour la conquête sidérale ? Dans un proche avenir, disons dans 50 ans, chaque roche dans la ceinture d'astéroïdes aura aucun doute une mine pour exploiter ses minerais, ça va être la course folle puisqu'il va y avoir des vaisseaux pour ramener ça sur terre, des minerais qui vont valoir beaucoup de bidous.
Rendu à ce niveau, on ne parlera plus de milliardaire mais bien de «billionnaire».
Ça n'avance pas aussi rapidement parce que la mission de polluer Mars pour les premiers terriens à fouler son sol, est prévu qu'en 2040. Ce qui m'indique qu'au 22ième siècle, il y aura des martiens sur Mars.
Ça va coûter un bras et une jambe pour aller visiter Tante Agathe !
Pendant ce temps, rien ici sur terre n'aura changé la progression de la pollution humaine, il y aura de plus en plus de bitume sur le plancher des vaches, les lacs auront pratiquement des villes tout autour d'eux et l'énergie libre sera partout partout sur la planète, aussi grande que la toile internet.
Alors, vivement une autre planète à polluer sti !
Dédé
Tout à fait d'accord avec ce que tu dis à la fin que j'ai mis en rouge.
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Tout cet argent gaspiller au lieu de traiter la source de nos vies afin d'en améliorer les conditions climatiques.
C'est fou l'humain !
C'est ça l'humain, le spécialiste de l'auto-destruction.