Mad Max n'est pas en faveur pour supporter l'Ukraine (Forum)
FRÉDÉRIQUE DE SIMONE
Vendredi, 24 février 2023 22:26
MISE À JOUR Vendredi, 24 février 2023 22:26
Selon le chef et fondateur du parti populaire du Canada (PPC), le Canada «n’a pas d’affaires» à prendre position et à soutenir l’Ukraine contre les forces russes. «On est en train de faire de la Russie notre ennemi. La Russie est notre voisin, les États-Unis sont nos voisins; on n’a pas d’affaire à participer», a-t-il soutenu sur le plateau de l’émission «Le monde à l’envers».
Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
L’ancien ministre des Affaires étrangères sous Stephen Harper a cependant fait savoir à Stéphan Bureau, vendredi soir, qu’il n’était pas pro russe et qu’il condamnait certains de ses actes.
«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
Vendredi soir à l’émission «Le monde à l‘envers», Alexandre Barrette a été le joueur invité, tandis que Guy Nantel, Sophie Durocher, Yasmine Abdelfadel et Biz ont complété le panel. L’équipe de débatteurs a notamment abordé la propreté de la ville de Montréal et s’est demandée s’il fallait élargir l'accès à l'aide médicale à mourir.
L’émission «Le monde à l’envers» est diffusée tous les vendredis sur le coup de 20 h à TVA.
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Sti de coucou en chef ! 
Un autre qui est payé à rien faire à part de chialer. Il peut bien avoir manger la volée aux dernières élections fédérales, il n'a absolument rien de concret dans son programme de coucou. TVA lui a donné la parole, quel manque flagrant de donner la chance à un coucou de parler. Font durs tabarnack ! 
Dédé
Mad Max n'est pas en faveur pour supporter l'Ukraine
Il derait changer de nom pour Le Parti Impopulaire du Canada (PIC du nez quoi)
Mad Max n'est pas en faveur pour supporter l'Ukraine
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Ça lui irait comme un gant...de latex !
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En esti.
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Vendredi, 24 février 2023 22:26
MISE À JOUR Vendredi, 24 février 2023 22:26Selon le chef et fondateur du parti populaire du Canada (PPC), le Canada «n’a pas d’affaires» à prendre position et à soutenir l’Ukraine contre les forces russes. «On est en train de faire de la Russie notre ennemi. La Russie est notre voisin, les États-Unis sont nos voisins; on n’a pas d’affaire à participer», a-t-il soutenu sur le plateau de l’émission «Le monde à l’envers».
Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
L’ancien ministre des Affaires étrangères sous Stephen Harper a cependant fait savoir à Stéphan Bureau, vendredi soir, qu’il n’était pas pro russe et qu’il condamnait certains de ses actes.
«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
Vendredi soir à l’émission «Le monde à l‘envers», Alexandre Barrette a été le joueur invité, tandis que Guy Nantel, Sophie Durocher, Yasmine Abdelfadel et Biz ont complété le panel. L’équipe de débatteurs a notamment abordé la propreté de la ville de Montréal et s’est demandée s’il fallait élargir l'accès à l'aide médicale à mourir.
L’émission «Le monde à l’envers» est diffusée tous les vendredis sur le coup de 20 h à TVA.
Sti de coucou en chef !
Un autre qui est payé à rien faire à part de chialer. Il peut bien avoir manger la volée aux dernières élections fédérales, il n'a absolument rien de concret dans son programme de coucou. TVA lui a donné la parole, quel manque flagrant de donner la chance à un coucou de parler. Font durs tabarnack !
Dédé
Depuis 2-3 ans, Stéphane Bureau se colle près des coucous et il les défend souvent à Qub Radio.
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Vendredi, 24 février 2023 22:26
MISE À JOUR Vendredi, 24 février 2023 22:26Selon le chef et fondateur du parti populaire du Canada (PPC), le Canada «n’a pas d’affaires» à prendre position et à soutenir l’Ukraine contre les forces russes. «On est en train de faire de la Russie notre ennemi. La Russie est notre voisin, les États-Unis sont nos voisins; on n’a pas d’affaire à participer», a-t-il soutenu sur le plateau de l’émission «Le monde à l’envers».
Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
L’ancien ministre des Affaires étrangères sous Stephen Harper a cependant fait savoir à Stéphan Bureau, vendredi soir, qu’il n’était pas pro russe et qu’il condamnait certains de ses actes.
«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
Vendredi soir à l’émission «Le monde à l‘envers», Alexandre Barrette a été le joueur invité, tandis que Guy Nantel, Sophie Durocher, Yasmine Abdelfadel et Biz ont complété le panel. L’équipe de débatteurs a notamment abordé la propreté de la ville de Montréal et s’est demandée s’il fallait élargir l'accès à l'aide médicale à mourir.
L’émission «Le monde à l’envers» est diffusée tous les vendredis sur le coup de 20 h à TVA.
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Il peut bien être sorti de Radio-Canada, il a une face de rat ! 
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MISE À JOUR Vendredi, 24 février 2023 22:26Selon le chef et fondateur du parti populaire du Canada (PPC), le Canada «n’a pas d’affaires» à prendre position et à soutenir l’Ukraine contre les forces russes. «On est en train de faire de la Russie notre ennemi. La Russie est notre voisin, les États-Unis sont nos voisins; on n’a pas d’affaire à participer», a-t-il soutenu sur le plateau de l’émission «Le monde à l’envers».
Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
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«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
Vendredi soir à l’émission «Le monde à l‘envers», Alexandre Barrette a été le joueur invité, tandis que Guy Nantel, Sophie Durocher, Yasmine Abdelfadel et Biz ont complété le panel. L’équipe de débatteurs a notamment abordé la propreté de la ville de Montréal et s’est demandée s’il fallait élargir l'accès à l'aide médicale à mourir.
L’émission «Le monde à l’envers» est diffusée tous les vendredis sur le coup de 20 h à TVA.
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Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
L’ancien ministre des Affaires étrangères sous Stephen Harper a cependant fait savoir à Stéphan Bureau, vendredi soir, qu’il n’était pas pro russe et qu’il condamnait certains de ses actes.
«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
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Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
L’ancien ministre des Affaires étrangères sous Stephen Harper a cependant fait savoir à Stéphan Bureau, vendredi soir, qu’il n’était pas pro russe et qu’il condamnait certains de ses actes.
«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
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L’émission «Le monde à l’envers» est diffusée tous les vendredis sur le coup de 20 h à TVA.
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Un autre qui est payé à rien faire à part de chialer. Il peut bien avoir manger la volée aux dernières élections fédérales, il n'a absolument rien de concret dans son programme de coucou. TVA lui a donné la parole, quel manque flagrant de donner la chance à un coucou de parler. Font durs tabarnack !
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Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
L’ancien ministre des Affaires étrangères sous Stephen Harper a cependant fait savoir à Stéphan Bureau, vendredi soir, qu’il n’était pas pro russe et qu’il condamnait certains de ses actes.
«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
Vendredi soir à l’émission «Le monde à l‘envers», Alexandre Barrette a été le joueur invité, tandis que Guy Nantel, Sophie Durocher, Yasmine Abdelfadel et Biz ont complété le panel. L’équipe de débatteurs a notamment abordé la propreté de la ville de Montréal et s’est demandée s’il fallait élargir l'accès à l'aide médicale à mourir.
L’émission «Le monde à l’envers» est diffusée tous les vendredis sur le coup de 20 h à TVA.
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Un autre qui est payé à rien faire à part de chialer. Il peut bien avoir manger la volée aux dernières élections fédérales, il n'a absolument rien de concret dans son programme de coucou. TVA lui a donné la parole, quel manque flagrant de donner la chance à un coucou de parler. Font durs tabarnack !
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À vrai dire, il ressemble plus à un cochon dingue !
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Il a également prétendu que les médias traditionnels québécois écartaient la position de Poutine dans leur couverture du conflit.
L’ancien ministre des Affaires étrangères sous Stephen Harper a cependant fait savoir à Stéphan Bureau, vendredi soir, qu’il n’était pas pro russe et qu’il condamnait certains de ses actes.
«Les pays de l’Ouest, on pousse l’Ukraine à être membre de l’OTAN et si l’Ukraine est membre de l’OTAN, il va y avoir des bases [militaires] là-bas, des missiles, donc la ligne rouge [cette ligne téléphonique reliant Washington à Moscou dans les années 1960] pour Kennedy et Khrouchtchev, à l’époque en1962, et la ligne rouge pour Poutine qui dit depuis 10 qu’il ne veut pas que l’Ukraine fasse partie de l’OTAN, on ne la respecte pas», a-t-il soutenu, établissant un parallèle entre la guerre en Ukraine et la crise des missiles de Cuba pendant la guerre froide.
«On n’est pas un peuple guerrier», a ensuite ajouté M. Bernier, soulignant l’apport de Lester B. Pearson, à l’époque qu’il était ministre canadien des Affaires étrangères, dans la création des Casques bleus.
Selon le chef du PPC, le Canada devrait cesser de fournir des armes de défense à l’Ukraine en raison de l’escalade du conflit, de la participation active d’autre pays et du risque de déclencher une troisième guerre mondiale. «Je ne dis pas que M. Poutine avait de bonnes raisons de faire cette invasion-là, il n’aurait pas dû la faire. Maintenant il faut négocier», a-t-il déclaré.
Vendredi soir à l’émission «Le monde à l‘envers», Alexandre Barrette a été le joueur invité, tandis que Guy Nantel, Sophie Durocher, Yasmine Abdelfadel et Biz ont complété le panel. L’équipe de débatteurs a notamment abordé la propreté de la ville de Montréal et s’est demandée s’il fallait élargir l'accès à l'aide médicale à mourir.
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