SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en (Forum)
l'illustration parfaite du système sovétique de la CAQ... ça arrive à la dernière minute avec un système imposé tout croche tout de travers... les mêmes qui s'occupent de la santé, éducation, environnement... etc...
et là on garoche des ministres pour tenter de nous faire avaler des couleuvres...
https://www.tvanouvelles.ca/2023/03/06/saaq-refuses-meme-sils-ont-un-rendez-vous
SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en place mardi à Henri-Bourassa
SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en place mardi à Henri-Bourassa - explications 17h
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Bien que 150 employés doivent être ajoutés dans les bureaux de la SAAQ afin de répondre à la forte demande des usagers, des dizaines de personnes faisaient toujours la file à l’extérieur lundi matin dans un bureau de Montréal.
Deux files d’attente étaient organisées au centre Henri-Bourassa: une pour les personnes ayant un rendez-vous et une autre pour ceux qui n’en avaient pas. Certains usagers qui avaient un rendez-vous affirmaient que l’heure prévue n’était pas respectée, et la confusion semblait régner, a constaté TVA Nouvelles.
Une porte-parole de la SAAQ a fait savoir à TVA Nouvelles qu’une installation temporaire chauffée pourra accueillir 100 personnes assises au chaud dès mardi matin au bureau d’Henri-Bourassa.
«Nous sommes en train d’évaluer si d’autres points de services pourraient être équipés de la sorte également», a fait savoir Anne Marie Dussault Turcotte.
Dans l’autre file, des gens sans rendez-vous qui attendaient depuis environ 8 heures du matin.
Certains doivent renouveler un permis de conduire qui est expiré, document obligatoire lorsque vous êtes au volant d’un véhicule.
Des personnes ont admis conduire avec leur document expiré puisqu’elles sont incapables de renouveler leur document en ligne, et incapables d’avoir un rendez-vous rapidement.
Une femme rencontrée par TVA Nouvelles a expliqué s’être rendue sur place pour une 4e fois en quelques jours.
«J’avais un rendez-vous vendredi, j’ai attendu vraiment très longtemps, sauf que je devais retourner travailler. Je suis repartie et je me suis fait arrêter. J’ai quand même eu une contravention, mais au moins ma voiture n’a pas été prise pour 30 jours. J’ai deux enfants en bas âge, donc c’est sûr que juste les amener à la garderie [sans voiture] c’est vraiment compliqué, c’est plus long. Je dois amener ma mère à l’aéroport ce soir, c’est compromis», explique la mère de famille.
TVA Nouvelles
Une autre personne rencontrée sur place qui avait un rendez-vous s’est fait dire, après des semaines d’attente, que le système ne fonctionne pas.
«On repousse la date de rendez-vous. On dit qu’il y a des délais. On dit d’appeler en janvier, on appelle en janvier, on nous dit de rappeler dans un mois quand le système est lancé... On appelle lorsque le système est lancé et on reste des heures et des heures au téléphone. On a enfin un rendez-vous pour des semaines plus tard, tu te pointes au rendez-vous ici, on te dit que le système ne fonctionne pas. Que le rendez-vous a été pris par erreur et on te donne un autre rendez-vous», déplore une usagère désabusée qui veut simplement renouveler son permis de conduire.
TVA Nouvelles
Elle devra revenir au 6 avril, et donc attendre encore un mois. Ainsi les problèmes techniques semblent compliquer les choses, même pour ceux qui pensaient avoir enfin accès aux services.
Plusieurs personnes rencontrées sur place vivaient des situations semblables, et l’annonce de l’ajout de personnel ne semblait pas encore faire son effet.
Écoutez l'entrevue avec Christian Daigle, président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec SFPQ sur QUB radio :
«Ça va mieux», assure la SAAQ
«Il y a des points chauds qui étaient là avant. Henri-Bourassa en est un, Langelier aussi. Laval va assez bien ce matin. Je n’aime pas voir ce que vous montrez aux téléspectateurs, des files d’attente. On met toute l’énergie nécessaire et on va chercher des personnes supplémentaires pour diminuer les files d’attente», explique le PDG de la SAAQ, Denis Marsolais en entrevue à Mario Dumont.
Problèmes à la SAAQ - entrevue avec Denis Marsolais, PDG de la SAAQ
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Il croit que les nouvelles mesures mises en place vont aider à la situation, qui s’améliore de jour en jour, assure-t-il.
«Nous sommes à 70% de la capacité que nous avions avant la transformation. Ça va de mieux en mieux. On a eu des problèmes majeurs la première semaine. Les problèmes important sont réglés, mais il va y avoir des petits problèmes qu’on règle au fur et à mesure», précise-t-il.
Le retour à une certaine normalité est prévue pour le mois d'avril.
SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en
l'illustration parfaite du système sovétique de la CAQ... ça arrive à la dernière minute avec un système imposé tout croche tout de travers... les mêmes qui s'occupent de la santé, éducation, environnement... etc...
et là on garoche des ministres pour tenter de nous faire avaler des couleuvres...
https://www.tvanouvelles.ca/2023/03/06/saaq-refuses-meme-sils-ont-un-rendez-vous
SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en place mardi à Henri-Bourassa
SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en place mardi à Henri-Bourassa - explications 17h
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Bien que 150 employés doivent être ajoutés dans les bureaux de la SAAQ afin de répondre à la forte demande des usagers, des dizaines de personnes faisaient toujours la file à l’extérieur lundi matin dans un bureau de Montréal.Deux files d’attente étaient organisées au centre Henri-Bourassa: une pour les personnes ayant un rendez-vous et une autre pour ceux qui n’en avaient pas. Certains usagers qui avaient un rendez-vous affirmaient que l’heure prévue n’était pas respectée, et la confusion semblait régner, a constaté TVA Nouvelles.
Une porte-parole de la SAAQ a fait savoir à TVA Nouvelles qu’une installation temporaire chauffée pourra accueillir 100 personnes assises au chaud dès mardi matin au bureau d’Henri-Bourassa.
«Nous sommes en train d’évaluer si d’autres points de services pourraient être équipés de la sorte également», a fait savoir Anne Marie Dussault Turcotte.
Dans l’autre file, des gens sans rendez-vous qui attendaient depuis environ 8 heures du matin.
Certains doivent renouveler un permis de conduire qui est expiré, document obligatoire lorsque vous êtes au volant d’un véhicule.
Des personnes ont admis conduire avec leur document expiré puisqu’elles sont incapables de renouveler leur document en ligne, et incapables d’avoir un rendez-vous rapidement.
Une femme rencontrée par TVA Nouvelles a expliqué s’être rendue sur place pour une 4e fois en quelques jours.
«J’avais un rendez-vous vendredi, j’ai attendu vraiment très longtemps, sauf que je devais retourner travailler. Je suis repartie et je me suis fait arrêter. J’ai quand même eu une contravention, mais au moins ma voiture n’a pas été prise pour 30 jours. J’ai deux enfants en bas âge, donc c’est sûr que juste les amener à la garderie [sans voiture] c’est vraiment compliqué, c’est plus long. Je dois amener ma mère à l’aéroport ce soir, c’est compromis», explique la mère de famille.
TVA Nouvelles
Une autre personne rencontrée sur place qui avait un rendez-vous s’est fait dire, après des semaines d’attente, que le système ne fonctionne pas.«On repousse la date de rendez-vous. On dit qu’il y a des délais. On dit d’appeler en janvier, on appelle en janvier, on nous dit de rappeler dans un mois quand le système est lancé... On appelle lorsque le système est lancé et on reste des heures et des heures au téléphone. On a enfin un rendez-vous pour des semaines plus tard, tu te pointes au rendez-vous ici, on te dit que le système ne fonctionne pas. Que le rendez-vous a été pris par erreur et on te donne un autre rendez-vous», déplore une usagère désabusée qui veut simplement renouveler son permis de conduire.
TVA Nouvelles
Elle devra revenir au 6 avril, et donc attendre encore un mois. Ainsi les problèmes techniques semblent compliquer les choses, même pour ceux qui pensaient avoir enfin accès aux services.
Plusieurs personnes rencontrées sur place vivaient des situations semblables, et l’annonce de l’ajout de personnel ne semblait pas encore faire son effet.
Écoutez l'entrevue avec Christian Daigle, président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec SFPQ sur QUB radio :
«Ça va mieux», assure la SAAQ
«Il y a des points chauds qui étaient là avant. Henri-Bourassa en est un, Langelier aussi. Laval va assez bien ce matin. Je n’aime pas voir ce que vous montrez aux téléspectateurs, des files d’attente. On met toute l’énergie nécessaire et on va chercher des personnes supplémentaires pour diminuer les files d’attente», explique le PDG de la SAAQ, Denis Marsolais en entrevue à Mario Dumont.Problèmes à la SAAQ - entrevue avec Denis Marsolais, PDG de la SAAQ
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Il croit que les nouvelles mesures mises en place vont aider à la situation, qui s’améliore de jour en jour, assure-t-il.«Nous sommes à 70% de la capacité que nous avions avant la transformation. Ça va de mieux en mieux. On a eu des problèmes majeurs la première semaine. Les problèmes important sont réglés, mais il va y avoir des petits problèmes qu’on règle au fur et à mesure», précise-t-il.
Le retour à une certaine normalité est prévue pour le mois d'avril.
________________
Hier à TVA Nouvelles. ils ont dit que le tout s'arrangerait à la fin du mois d'avril. 
les cocos ! 
Qui croire ? 
Non mais sans farce, on l'a en tabarnack le système gouvernemental !
si ça peut enlever des automobilistes sur la route...
l'illustration parfaite du système sovétique de la CAQ... ça arrive à la dernière minute avec un système imposé tout croche tout de travers... les mêmes qui s'occupent de la santé, éducation, environnement... etc...
et là on garoche des ministres pour tenter de nous faire avaler des couleuvres...
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SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en place mardi à Henri-Bourassa
SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en place mardi à Henri-Bourassa - explications 17h
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Bien que 150 employés doivent être ajoutés dans les bureaux de la SAAQ afin de répondre à la forte demande des usagers, des dizaines de personnes faisaient toujours la file à l’extérieur lundi matin dans un bureau de Montréal.Deux files d’attente étaient organisées au centre Henri-Bourassa: une pour les personnes ayant un rendez-vous et une autre pour ceux qui n’en avaient pas. Certains usagers qui avaient un rendez-vous affirmaient que l’heure prévue n’était pas respectée, et la confusion semblait régner, a constaté TVA Nouvelles.
Une porte-parole de la SAAQ a fait savoir à TVA Nouvelles qu’une installation temporaire chauffée pourra accueillir 100 personnes assises au chaud dès mardi matin au bureau d’Henri-Bourassa.
«Nous sommes en train d’évaluer si d’autres points de services pourraient être équipés de la sorte également», a fait savoir Anne Marie Dussault Turcotte.
Dans l’autre file, des gens sans rendez-vous qui attendaient depuis environ 8 heures du matin.
Certains doivent renouveler un permis de conduire qui est expiré, document obligatoire lorsque vous êtes au volant d’un véhicule.
Des personnes ont admis conduire avec leur document expiré puisqu’elles sont incapables de renouveler leur document en ligne, et incapables d’avoir un rendez-vous rapidement.
Une femme rencontrée par TVA Nouvelles a expliqué s’être rendue sur place pour une 4e fois en quelques jours.
«J’avais un rendez-vous vendredi, j’ai attendu vraiment très longtemps, sauf que je devais retourner travailler. Je suis repartie et je me suis fait arrêter. J’ai quand même eu une contravention, mais au moins ma voiture n’a pas été prise pour 30 jours. J’ai deux enfants en bas âge, donc c’est sûr que juste les amener à la garderie [sans voiture] c’est vraiment compliqué, c’est plus long. Je dois amener ma mère à l’aéroport ce soir, c’est compromis», explique la mère de famille.
TVA Nouvelles
Une autre personne rencontrée sur place qui avait un rendez-vous s’est fait dire, après des semaines d’attente, que le système ne fonctionne pas.«On repousse la date de rendez-vous. On dit qu’il y a des délais. On dit d’appeler en janvier, on appelle en janvier, on nous dit de rappeler dans un mois quand le système est lancé... On appelle lorsque le système est lancé et on reste des heures et des heures au téléphone. On a enfin un rendez-vous pour des semaines plus tard, tu te pointes au rendez-vous ici, on te dit que le système ne fonctionne pas. Que le rendez-vous a été pris par erreur et on te donne un autre rendez-vous», déplore une usagère désabusée qui veut simplement renouveler son permis de conduire.
TVA Nouvelles
Elle devra revenir au 6 avril, et donc attendre encore un mois. Ainsi les problèmes techniques semblent compliquer les choses, même pour ceux qui pensaient avoir enfin accès aux services.
Plusieurs personnes rencontrées sur place vivaient des situations semblables, et l’annonce de l’ajout de personnel ne semblait pas encore faire son effet.
Écoutez l'entrevue avec Christian Daigle, président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec SFPQ sur QUB radio :
«Ça va mieux», assure la SAAQ
«Il y a des points chauds qui étaient là avant. Henri-Bourassa en est un, Langelier aussi. Laval va assez bien ce matin. Je n’aime pas voir ce que vous montrez aux téléspectateurs, des files d’attente. On met toute l’énergie nécessaire et on va chercher des personnes supplémentaires pour diminuer les files d’attente», explique le PDG de la SAAQ, Denis Marsolais en entrevue à Mario Dumont.Problèmes à la SAAQ - entrevue avec Denis Marsolais, PDG de la SAAQ
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Il croit que les nouvelles mesures mises en place vont aider à la situation, qui s’améliore de jour en jour, assure-t-il.«Nous sommes à 70% de la capacité que nous avions avant la transformation. Ça va de mieux en mieux. On a eu des problèmes majeurs la première semaine. Les problèmes important sont réglés, mais il va y avoir des petits problèmes qu’on règle au fur et à mesure», précise-t-il.
Le retour à une certaine normalité est prévue pour le mois d'avril.
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Hier à TVA Nouvelles. ils ont dit que le tout s'arrangerait à la fin du mois d'avril.
Qui croire ?
Non mais sans farce, on l'a en tabarnack le système gouvernemental !
si ça peut enlever des automobilistes sur la route... à mon avis y a beaucoup trop d'automobilistes sur la route... y a moyen de vivre sans auto...
bon la méthode n'est pas idéale...
mais quand je regarde les files de chars dans le traffic matin et soir...
si ça peut enlever des automobilistes sur la route...
l'illustration parfaite du système sovétique de la CAQ... ça arrive à la dernière minute avec un système imposé tout croche tout de travers... les mêmes qui s'occupent de la santé, éducation, environnement... etc...
et là on garoche des ministres pour tenter de nous faire avaler des couleuvres...
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Bien que 150 employés doivent être ajoutés dans les bureaux de la SAAQ afin de répondre à la forte demande des usagers, des dizaines de personnes faisaient toujours la file à l’extérieur lundi matin dans un bureau de Montréal.Deux files d’attente étaient organisées au centre Henri-Bourassa: une pour les personnes ayant un rendez-vous et une autre pour ceux qui n’en avaient pas. Certains usagers qui avaient un rendez-vous affirmaient que l’heure prévue n’était pas respectée, et la confusion semblait régner, a constaté TVA Nouvelles.
Une porte-parole de la SAAQ a fait savoir à TVA Nouvelles qu’une installation temporaire chauffée pourra accueillir 100 personnes assises au chaud dès mardi matin au bureau d’Henri-Bourassa.
«Nous sommes en train d’évaluer si d’autres points de services pourraient être équipés de la sorte également», a fait savoir Anne Marie Dussault Turcotte.
Dans l’autre file, des gens sans rendez-vous qui attendaient depuis environ 8 heures du matin.
Certains doivent renouveler un permis de conduire qui est expiré, document obligatoire lorsque vous êtes au volant d’un véhicule.
Des personnes ont admis conduire avec leur document expiré puisqu’elles sont incapables de renouveler leur document en ligne, et incapables d’avoir un rendez-vous rapidement.
Une femme rencontrée par TVA Nouvelles a expliqué s’être rendue sur place pour une 4e fois en quelques jours.
«J’avais un rendez-vous vendredi, j’ai attendu vraiment très longtemps, sauf que je devais retourner travailler. Je suis repartie et je me suis fait arrêter. J’ai quand même eu une contravention, mais au moins ma voiture n’a pas été prise pour 30 jours. J’ai deux enfants en bas âge, donc c’est sûr que juste les amener à la garderie [sans voiture] c’est vraiment compliqué, c’est plus long. Je dois amener ma mère à l’aéroport ce soir, c’est compromis», explique la mère de famille.
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Une autre personne rencontrée sur place qui avait un rendez-vous s’est fait dire, après des semaines d’attente, que le système ne fonctionne pas.«On repousse la date de rendez-vous. On dit qu’il y a des délais. On dit d’appeler en janvier, on appelle en janvier, on nous dit de rappeler dans un mois quand le système est lancé... On appelle lorsque le système est lancé et on reste des heures et des heures au téléphone. On a enfin un rendez-vous pour des semaines plus tard, tu te pointes au rendez-vous ici, on te dit que le système ne fonctionne pas. Que le rendez-vous a été pris par erreur et on te donne un autre rendez-vous», déplore une usagère désabusée qui veut simplement renouveler son permis de conduire.
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Elle devra revenir au 6 avril, et donc attendre encore un mois. Ainsi les problèmes techniques semblent compliquer les choses, même pour ceux qui pensaient avoir enfin accès aux services.
Plusieurs personnes rencontrées sur place vivaient des situations semblables, et l’annonce de l’ajout de personnel ne semblait pas encore faire son effet.
Écoutez l'entrevue avec Christian Daigle, président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec SFPQ sur QUB radio :
«Ça va mieux», assure la SAAQ
«Il y a des points chauds qui étaient là avant. Henri-Bourassa en est un, Langelier aussi. Laval va assez bien ce matin. Je n’aime pas voir ce que vous montrez aux téléspectateurs, des files d’attente. On met toute l’énergie nécessaire et on va chercher des personnes supplémentaires pour diminuer les files d’attente», explique le PDG de la SAAQ, Denis Marsolais en entrevue à Mario Dumont.Problèmes à la SAAQ - entrevue avec Denis Marsolais, PDG de la SAAQ
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Il croit que les nouvelles mesures mises en place vont aider à la situation, qui s’améliore de jour en jour, assure-t-il.«Nous sommes à 70% de la capacité que nous avions avant la transformation. Ça va de mieux en mieux. On a eu des problèmes majeurs la première semaine. Les problèmes important sont réglés, mais il va y avoir des petits problèmes qu’on règle au fur et à mesure», précise-t-il.
Le retour à une certaine normalité est prévue pour le mois d'avril.
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Hier à TVA Nouvelles. ils ont dit que le tout s'arrangerait à la fin du mois d'avril.
Qui croire ?
Non mais sans farce, on l'a en tabarnack le système gouvernemental !
si ça peut enlever des automobilistes sur la route... à mon avis y a beaucoup trop d'automobilistes sur la route... y a moyen de vivre sans auto...bon la méthode n'est pas idéale...
mais quand je regarde les files de chars dans le traffic matin et soir...
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Un char est nécessaire pour les personnes qui demeurent en banlieue ou en rural, puisque le transport en commun est inexistant et il ne fournisse pas les zones externes de certaines villes.
Par contre, dans une ville où il y a le transport en commun, ce n'est vraiment pas nécessaire d'avoir une auto. Essaies d'expliquer ça aux gens, c'est comme leur enlever le toutou en peluche pour dormir !
si ça peut enlever des automobilistes sur la route...
l'illustration parfaite du système sovétique de la CAQ... ça arrive à la dernière minute avec un système imposé tout croche tout de travers... les mêmes qui s'occupent de la santé, éducation, environnement... etc...
et là on garoche des ministres pour tenter de nous faire avaler des couleuvres...
https://www.tvanouvelles.ca/2023/03/06/saaq-refuses-meme-sils-ont-un-rendez-vous
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Bien que 150 employés doivent être ajoutés dans les bureaux de la SAAQ afin de répondre à la forte demande des usagers, des dizaines de personnes faisaient toujours la file à l’extérieur lundi matin dans un bureau de Montréal.Deux files d’attente étaient organisées au centre Henri-Bourassa: une pour les personnes ayant un rendez-vous et une autre pour ceux qui n’en avaient pas. Certains usagers qui avaient un rendez-vous affirmaient que l’heure prévue n’était pas respectée, et la confusion semblait régner, a constaté TVA Nouvelles.
Une porte-parole de la SAAQ a fait savoir à TVA Nouvelles qu’une installation temporaire chauffée pourra accueillir 100 personnes assises au chaud dès mardi matin au bureau d’Henri-Bourassa.
«Nous sommes en train d’évaluer si d’autres points de services pourraient être équipés de la sorte également», a fait savoir Anne Marie Dussault Turcotte.
Dans l’autre file, des gens sans rendez-vous qui attendaient depuis environ 8 heures du matin.
Certains doivent renouveler un permis de conduire qui est expiré, document obligatoire lorsque vous êtes au volant d’un véhicule.
Des personnes ont admis conduire avec leur document expiré puisqu’elles sont incapables de renouveler leur document en ligne, et incapables d’avoir un rendez-vous rapidement.
Une femme rencontrée par TVA Nouvelles a expliqué s’être rendue sur place pour une 4e fois en quelques jours.
«J’avais un rendez-vous vendredi, j’ai attendu vraiment très longtemps, sauf que je devais retourner travailler. Je suis repartie et je me suis fait arrêter. J’ai quand même eu une contravention, mais au moins ma voiture n’a pas été prise pour 30 jours. J’ai deux enfants en bas âge, donc c’est sûr que juste les amener à la garderie [sans voiture] c’est vraiment compliqué, c’est plus long. Je dois amener ma mère à l’aéroport ce soir, c’est compromis», explique la mère de famille.
TVA Nouvelles
Une autre personne rencontrée sur place qui avait un rendez-vous s’est fait dire, après des semaines d’attente, que le système ne fonctionne pas.«On repousse la date de rendez-vous. On dit qu’il y a des délais. On dit d’appeler en janvier, on appelle en janvier, on nous dit de rappeler dans un mois quand le système est lancé... On appelle lorsque le système est lancé et on reste des heures et des heures au téléphone. On a enfin un rendez-vous pour des semaines plus tard, tu te pointes au rendez-vous ici, on te dit que le système ne fonctionne pas. Que le rendez-vous a été pris par erreur et on te donne un autre rendez-vous», déplore une usagère désabusée qui veut simplement renouveler son permis de conduire.
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Elle devra revenir au 6 avril, et donc attendre encore un mois. Ainsi les problèmes techniques semblent compliquer les choses, même pour ceux qui pensaient avoir enfin accès aux services.
Plusieurs personnes rencontrées sur place vivaient des situations semblables, et l’annonce de l’ajout de personnel ne semblait pas encore faire son effet.
Écoutez l'entrevue avec Christian Daigle, président du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec SFPQ sur QUB radio :
«Ça va mieux», assure la SAAQ
«Il y a des points chauds qui étaient là avant. Henri-Bourassa en est un, Langelier aussi. Laval va assez bien ce matin. Je n’aime pas voir ce que vous montrez aux téléspectateurs, des files d’attente. On met toute l’énergie nécessaire et on va chercher des personnes supplémentaires pour diminuer les files d’attente», explique le PDG de la SAAQ, Denis Marsolais en entrevue à Mario Dumont.Problèmes à la SAAQ - entrevue avec Denis Marsolais, PDG de la SAAQ
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Il croit que les nouvelles mesures mises en place vont aider à la situation, qui s’améliore de jour en jour, assure-t-il.«Nous sommes à 70% de la capacité que nous avions avant la transformation. Ça va de mieux en mieux. On a eu des problèmes majeurs la première semaine. Les problèmes important sont réglés, mais il va y avoir des petits problèmes qu’on règle au fur et à mesure», précise-t-il.
Le retour à une certaine normalité est prévue pour le mois d'avril.
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Hier à TVA Nouvelles. ils ont dit que le tout s'arrangerait à la fin du mois d'avril.
Qui croire ?
Non mais sans farce, on l'a en tabarnack le système gouvernemental !
si ça peut enlever des automobilistes sur la route... à mon avis y a beaucoup trop d'automobilistes sur la route... y a moyen de vivre sans auto...bon la méthode n'est pas idéale...
mais quand je regarde les files de chars dans le traffic matin et soir...
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Un char est nécessaire pour les personnes qui demeurent en banlieue ou en rural, puisque le transport en commun est inexistant et il ne fournisse pas les zones externes de certaines villes.
Par contre, dans une ville où il y a le transport en commun, ce n'est vraiment pas nécessaire d'avoir une auto. Essaies d'expliquer ça aux gens, c'est comme leur enlever le toutou en peluche pour dormir !
Maintenant avec le télétravail, une auto c'est suffisant.
«Il faut réussir à convaincre les citoyens de s’inscrire» -D
c'est la première année que je pense ne pas renouveller mon permis de conduire!"
ben oui, convainquez moi....
https://www.985fm.ca/audio/544342/saaq-convaincre-les-gens-a-s-incrire-en-ligne
«Il faut réussir à convaincre les citoyens de s’inscrire» -Denis Marsolais
Alors que les problèmes subsistent toujours autour de la nouvelle plateforme numérique SAAQclic de la Société de l’assurance automobile du Québec, le président-directeur général, Denis Marsolais a commenté l’ajout de ressources supplémentaires, dont 150 employés additionnels, qui seront déployés par la SAAQ pour tenter de minimiser les désagréments de la transition.
Il précise que les techniciens informatiques ont travaillé jour et nuit tout au long du week-end pour régler les problèmes qui persistent. Il explique toutefois que les citoyens devront s’habituer à transiger sur la plateforme et de limiter leurs déplacements en succursale que lorsque c’est vraiment nécessaire.
«On est de retour à environ 70% de notre capacité normale. Il y a une progression significative de notre capacité à recevoir des clients dans nos succursales. Le problème, c’est de faire en sorte que les citoyens qui viennent dans les points de service, puis que lorsqu’on s’aperçoit que 50 % de ces citoyens auraient pu faire le service en ligne avec SAAQclic. Il faut réussir à convaincre les citoyens de s’inscrire et par la suite d’ouvrir un compte SAAQclic.»
Denis Marsolais, président-directeur général de la Société de l’assurance automobile du Québec
Monsieur Marsolais explique aussi que sept points de services permettront d’authentifier les utilisateurs sans qu’on ait besoin de fournir leur numéro d’assurance sociale et leur numéro d’avis de cotisation.
Guilbault et Caire s'en chargent... ;0)
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Éric Caire a retweeté
Geneviève Guilbault
@GGuilbaultCAQ
Nouvelles mesures dès demain pour des services plus efficaces en succursales à la
@SAAQ
: ajout de personnel, plages horaires et info en ligne, notamment. J'ai demandé à ce que les Québécois n'attendent plus dehors, et que le service soit de qualité partout...
ostie il impose à la dernière minute un système de marde et se posent par la suite en sauveur...
T'Aurais juste dû RIEN faire....
c'Est comme les chars d'aujourd'hui ajouter des problèmes à des solutions qui n'existent pas encore....
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Nouvelles mesures dès demain pour des services plus efficaces en succursales à la
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ostie il impose à la dernière minute un système de marde et se posent par la suite en sauveur...
T'Aurais juste dû RIEN faire....
c'Est comme les chars d'aujourd'hui ajouter des problèmes à des solutions qui n'existent pas encore....
__________________
Parlant de char, trouves-tu ça normal que le gouvernement québécois intensifie le fait que l'automobile soit complètement électrique en interdisant à partir de 2025, les automobiles à énergie fossile ?
Je trouve une certaine normalité concernant la crise climatique mais il y a anguille sous roche, parce que les piles électriques pour les autos, ça scrappe l'environnement pour soutirer le minerai essentiel pour ces piles. L'anguille pour moi, c'est Hydro-Québec. Ce n'est absolument pas une énergie propre puisque le chauffage électrique est aussi pire pour le réchauffement climatique, et que dire de tous les luminaires électriques qui illuminent la nuit.
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T'Aurais juste dû RIEN faire....
c'Est comme les chars d'aujourd'hui ajouter des problèmes à des solutions qui n'existent pas encore....
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Parlant de char, trouves-tu ça normal que le gouvernement québécois intensifie le fait que l'automobile soit complètement électrique en interdisant à partir de 2025, les automobiles à énergie fossile ?
Je trouve une certaine normalité concernant la crise climatique mais il y a anguille sous roche, parce que les piles électriques pour les autos, ça scrappe l'environnement pour soutirer le minerai essentiel pour ces piles. L'anguille pour moi, c'est Hydro-Québec. Ce n'est absolument pas une énergie propre puisque le chauffage électrique est aussi pire pour le réchauffement climatique, et que dire de tous les luminaires électriques qui illuminent la nuit.
Oui mais lorsque tu fait marcher ton char avec Hydro, les sous restent ici. C'est ça la grosse différence. Les chars électriques ont eux aussi une empreinte environnementale néfaste mais ça n'a rien à voir avec les chars à gaz.
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Parlant de char, trouves-tu ça normal que le gouvernement québécois intensifie le fait que l'automobile soit complètement électrique en interdisant à partir de 2025, les automobiles à énergie fossile ?
Je trouve une certaine normalité concernant la crise climatique mais il y a anguille sous roche, parce que les piles électriques pour les autos, ça scrappe l'environnement pour soutirer le minerai essentiel pour ces piles. L'anguille pour moi, c'est Hydro-Québec. Ce n'est absolument pas une énergie propre puisque le chauffage électrique est aussi pire pour le réchauffement climatique, et que dire de tous les luminaires électriques qui illuminent la nuit.
Oui mais lorsque tu fait marcher ton char avec Hydro, les sous restent ici. C'est ça la grosse différence. Les chars électriques ont eux aussi une empreinte environnementale néfaste mais ça n'a rien à voir avec les chars à gaz.
___________
Bien d'accord que les sous demeurent au Québec, mais char usé va où lorsqu'il n'est plus utilisable ? Qu'il soit au gaz ou électrique, il va à la scrap !
Guilbault et Caire s'en chargent... ;0)
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Geneviève Guilbault
@GGuilbaultCAQ
Nouvelles mesures dès demain pour des services plus efficaces en succursales à la
@SAAQ
: ajout de personnel, plages horaires et info en ligne, notamment. J'ai demandé à ce que les Québécois n'attendent plus dehors, et que le service soit de qualité partout...
ostie il impose à la dernière minute un système de marde et se posent par la suite en sauveur...
T'Aurais juste dû RIEN faire....
c'Est comme les chars d'aujourd'hui ajouter des problèmes à des solutions qui n'existent pas encore....
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Parlant de char, trouves-tu ça normal que le gouvernement québécois intensifie le fait que l'automobile soit complètement électrique en interdisant à partir de 2025, les automobiles à énergie fossile ?
Je trouve une certaine normalité concernant la crise climatique mais il y a anguille sous roche, parce que les piles électriques pour les autos, ça scrappe l'environnement pour soutirer le minerai essentiel pour ces piles. L'anguille pour moi, c'est Hydro-Québec. Ce n'est absolument pas une énergie propre puisque le chauffage électrique est aussi pire pour le réchauffement climatique, et que dire de tous les luminaires électriques qui illuminent la nuit.
Oui mais lorsque tu fait marcher ton char avec Hydro, les sous restent ici. C'est ça la grosse différence. Les chars électriques ont eux aussi une empreinte environnementale néfaste mais ça n'a rien à voir avec les chars à gaz.
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Bien d'accord que les sous demeurent au Québec, mais char usé va où lorsqu'il n'est plus utilisable ? Qu'il soit au gaz ou électrique, il va à la scrap !
Il y a beaucoup de recyclage maintenant pour les chars mais évidemment, il y aussi de la perte écologique.
Subventionner le covoiturage plutôt que l’auto électrique?
Quand une histoire n'a pas de $en$ suivez l'Argent pour comprendre...
c'est loin d'être l'écologie au centre des décisions...
Les subventions pour les voitures au lithium, ça profite à qui vous pensez...
Vélo électrique NAH c'est pas assez gourmand en lithium...
https://www.ledevoir.com/economie/781850/remettre-7000-au-covoiturage-plutot-qu-aux-aut...
Subventionner le covoiturage plutôt que l’auto électrique?
Le bilan annuel de HEC Montréal sur la consommation énergétique du Québec est clair : le secteur du transport tarde à réduire sa dépendance aux hydrocarbures. Et devant une trop lente électrification du secteur, des solutions plus efficaces devraient être envisagées si le Québec désire vraiment atteindre des objectifs climatiques dont l’échéance approche à grands pas.
Parmi celles-ci, un des deux auteurs du rapport de HEC Montréal, État de l’énergie au Québec 2023, avance l’idée de rediriger l’aide à l’achat de 7000 $ pour chaque véhicule électrique vendu dans la province vers d’autres formes de réduction de la pollution et de la congestion automobile comme le transport en commun ou le covoiturage.
« Imaginez si on donnait 7000 $ à chaque personne qui décide de covoiturer ou de prendre l’autobus », dit Pierre-Olivier Pineau, titulaire de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie de HEC Montréal et coauteur du rapport avec sa collègue Johanne Whitmore. « Ça en ferait, de l’aide financière. Ces systèmes en auraient bien besoin. »
Une telle formule serait aussi socialement plus équitable, ajoute le professeur montréalais. L’aide actuelle va essentiellement aux Québécois les plus nantis, ceux qui ont déjà les moyens de s’offrir un véhicule électrique, dont le coût moyen est supérieur à 50 000 $, selon les données de l’industrie. « En plus, ce programme aide ces consommateurs à empirer la congestion routière. »
Québec dans le brouillard climatique
Dans son Plan pour une économie verte 2030, lancé en novembre 2020, le gouvernement québécois l’admet d’emblée : il n’a aucune idée de la façon dont il s’y prendra pour respecter, au plus tard en 2030, sa promesse de réduire de 37,5 % sous le niveau de 1990 les émissions de gaz à effet de serre de la province. Il avance des solutions pour environ la moitié de cet objectif. Quant au reste : mystère.
L’industrie automobile n’aide actuellement pas beaucoup. Les dirigeants de Toyota Canada et de Honda Canada, deux des plus grands constructeurs et vendeurs d’autos et de VUS au pays, ont qualifié d’irréaliste le virage électrique imposé d’ici 2035 par Ottawa et certaines provinces, dont le Québec. Ils disent de plus en plus ouvertement qu’ils ne s’y conformeront probablement pas.
61 %
C’est l’augmentation du nombre de véhicules personnels au Québec entre 1990 et 2020.
Préférant voir le verre à moitié plein, Pierre-Olivier Pineau pense que l’occasion est belle de réorienter la stratégie provinciale pour le transport en tenant compte de ces contraintes.
« Je ne pense pas que la lutte climatique au Québec est perdue d’avance, assure-t-il. On peut adopter des solutions et des technologies qui existent déjà et qui ne coûtent pas cher, comme le télétravail, les autos partagées et le covoiturage. »
Citant les entreprises Communauto et Netlift, le professeur de HEC Montréal rappelle que la technologie existe déjà et qu’elle pourrait rapporter des bénéfices immédiats, surtout dans le contexte macroéconomique actuel.
« Avec l’inflation et le coût de la vie élevés, les consommateurs ont sans doute le désir de limiter leurs dépenses. Ces technologies pourraient aider. »
Plus de nouveaux véhiculesque d’habitants
Diversifier l’aide de Québec qui va à l’achat de véhicules électriques pour inclure le transport actif, le covoiturage et le transport collectif tomberait effectivement sous le sens, constate le président de Mobilité électrique Canada et ex-ministre de l’Environnement du Québec, Daniel Breton.
« C’est évident que ça doit faire partie de la solution, dit-il. Une subvention pour le covoiturage et l’autopartage qui permet de laisser sa voiture à la maison, ça permettrait de couvrir une partie des besoins autour des grandes villes. »
Daniel Breton estime tout de même qu’il ne faut pas pour autant lever le pied sur l’accélérateur électrique. « Si on souhaite décarboner le transport partout au Québec, si on oublie les autos électriques, on oublie les régions plus éloignées où elles font partie de la solution. »
Mais réduire le parc automobile de la province doit devenir une priorité. Daniel Breton cite Statistique Canada : entre 1990 et 2020, la population du Québec a augmenté de 22 %. Sur la même période, les routes québécoises ont accueilli 61 % plus de véhicules personnels et 194 % plus de camions de marchandises.
En plus de ses cibles climatiques, le Québec a promis en 2015 qu’il réduirait de 40 % sous le niveau de 2013 et au plus tard en 2030 sa consommation de produits pétroliers. Avant la COVID, la tendance de consommation énergétique du Québec était en hausse. Cette tendance est repartie à la hausse après la pandémie.
À ce rythme, il sera impossible de réduire de 40 % en 2030 la consommation énergétique du Québec. Les experts de HEC Montréal en arrivent à la même conclusion. Ils calculent que pour renverser la tendance et atteindre les cibles, il faudrait, en plus d’une hausse soutenue du prix des carburants, un nouvel événement dont l’impact sur l’économie de la province serait semblable à celui de la COVID-19.
Et même là, sans changement majeur de direction, il est « incertain » que le Québec arrive à réduire sa consommation énergétique, dit le rapport.
Subventionner le covoiturage plutôt que l’auto électrique?
Quand une histoire n'a pas de $en$ suivez l'Argent pour comprendre...
c'est loin d'être l'écologie au centre des décisions...
Les subventions pour les voitures au lithium, ça profite à qui vous pensez...
Vélo électrique NAH c'est pas assez gourmand en lithium...
https://www.ledevoir.com/economie/781850/remettre-7000-au-covoiturage-plutot-qu-aux-aut...Subventionner le covoiturage plutôt que l’auto électrique?
Le bilan annuel de HEC Montréal sur la consommation énergétique du Québec est clair : le secteur du transport tarde à réduire sa dépendance aux hydrocarbures. Et devant une trop lente électrification du secteur, des solutions plus efficaces devraient être envisagées si le Québec désire vraiment atteindre des objectifs climatiques dont l’échéance approche à grands pas.
Parmi celles-ci, un des deux auteurs du rapport de HEC Montréal, État de l’énergie au Québec 2023, avance l’idée de rediriger l’aide à l’achat de 7000 $ pour chaque véhicule électrique vendu dans la province vers d’autres formes de réduction de la pollution et de la congestion automobile comme le transport en commun ou le covoiturage.
« Imaginez si on donnait 7000 $ à chaque personne qui décide de covoiturer ou de prendre l’autobus », dit Pierre-Olivier Pineau, titulaire de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie de HEC Montréal et coauteur du rapport avec sa collègue Johanne Whitmore. « Ça en ferait, de l’aide financière. Ces systèmes en auraient bien besoin. »
Une telle formule serait aussi socialement plus équitable, ajoute le professeur montréalais. L’aide actuelle va essentiellement aux Québécois les plus nantis, ceux qui ont déjà les moyens de s’offrir un véhicule électrique, dont le coût moyen est supérieur à 50 000 $, selon les données de l’industrie. « En plus, ce programme aide ces consommateurs à empirer la congestion routière. »
Québec dans le brouillard climatique
Dans son Plan pour une économie verte 2030, lancé en novembre 2020, le gouvernement québécois l’admet d’emblée : il n’a aucune idée de la façon dont il s’y prendra pour respecter, au plus tard en 2030, sa promesse de réduire de 37,5 % sous le niveau de 1990 les émissions de gaz à effet de serre de la province. Il avance des solutions pour environ la moitié de cet objectif. Quant au reste : mystère.L’industrie automobile n’aide actuellement pas beaucoup. Les dirigeants de Toyota Canada et de Honda Canada, deux des plus grands constructeurs et vendeurs d’autos et de VUS au pays, ont qualifié d’irréaliste le virage électrique imposé d’ici 2035 par Ottawa et certaines provinces, dont le Québec. Ils disent de plus en plus ouvertement qu’ils ne s’y conformeront probablement pas.
61 %
C’est l’augmentation du nombre de véhicules personnels au Québec entre 1990 et 2020.
Préférant voir le verre à moitié plein, Pierre-Olivier Pineau pense que l’occasion est belle de réorienter la stratégie provinciale pour le transport en tenant compte de ces contraintes.« Je ne pense pas que la lutte climatique au Québec est perdue d’avance, assure-t-il. On peut adopter des solutions et des technologies qui existent déjà et qui ne coûtent pas cher, comme le télétravail, les autos partagées et le covoiturage. »
Citant les entreprises Communauto et Netlift, le professeur de HEC Montréal rappelle que la technologie existe déjà et qu’elle pourrait rapporter des bénéfices immédiats, surtout dans le contexte macroéconomique actuel.
« Avec l’inflation et le coût de la vie élevés, les consommateurs ont sans doute le désir de limiter leurs dépenses. Ces technologies pourraient aider. »
Plus de nouveaux véhiculesque d’habitants
Diversifier l’aide de Québec qui va à l’achat de véhicules électriques pour inclure le transport actif, le covoiturage et le transport collectif tomberait effectivement sous le sens, constate le président de Mobilité électrique Canada et ex-ministre de l’Environnement du Québec, Daniel Breton.« C’est évident que ça doit faire partie de la solution, dit-il. Une subvention pour le covoiturage et l’autopartage qui permet de laisser sa voiture à la maison, ça permettrait de couvrir une partie des besoins autour des grandes villes. »
Daniel Breton estime tout de même qu’il ne faut pas pour autant lever le pied sur l’accélérateur électrique. « Si on souhaite décarboner le transport partout au Québec, si on oublie les autos électriques, on oublie les régions plus éloignées où elles font partie de la solution. »
Mais réduire le parc automobile de la province doit devenir une priorité. Daniel Breton cite Statistique Canada : entre 1990 et 2020, la population du Québec a augmenté de 22 %. Sur la même période, les routes québécoises ont accueilli 61 % plus de véhicules personnels et 194 % plus de camions de marchandises.
En plus de ses cibles climatiques, le Québec a promis en 2015 qu’il réduirait de 40 % sous le niveau de 2013 et au plus tard en 2030 sa consommation de produits pétroliers. Avant la COVID, la tendance de consommation énergétique du Québec était en hausse. Cette tendance est repartie à la hausse après la pandémie.
À ce rythme, il sera impossible de réduire de 40 % en 2030 la consommation énergétique du Québec. Les experts de HEC Montréal en arrivent à la même conclusion. Ils calculent que pour renverser la tendance et atteindre les cibles, il faudrait, en plus d’une hausse soutenue du prix des carburants, un nouvel événement dont l’impact sur l’économie de la province serait semblable à celui de la COVID-19.
Et même là, sans changement majeur de direction, il est « incertain » que le Québec arrive à réduire sa consommation énergétique, dit le rapport.
Ton observation est correct mais tu mélanges les dossiers. Les autos, c'est une chose, le covoiturage et les bus, autre chose ainsi que les vélos électriques et trottinettes. Pour le dossier auto, il s'agit de rendre les autos moins polluantes et en même temps les sous restent ici pour recharger les autos. Et à 30,000 km, l'empreinte écolo de l'auto électrique tombe à 0. Mais une chose est sûre, il y a trop d'autos sur les routes et surtout trop de poids lourds et de camions de toutes sortes. Le chemin de fer n'est pas assez utilisé pour le transport de toutes sortes de choses. Mais étant donné que les gens sont accrocs aux autos, le moindre mal est l'auto électrique. Évidemment, quand il fait beau, l'idéal, c'est la marche si le trajet n'est pas trop loin sinon, si possible, l'utilisation du vélo ou de la trottinette électrique ou non. Et pour ceux qui sont émotifs et accrocs aux VUS, il existe de petits VUS très peu énergivore comme le Hyundai Kona et bien d'autres du même type. Les grosses crisses de patentes à gosses sur les routes comme les Ford F-150 et autres du même genre, ça devrait être bannies.
SAAQ: des places assises et installations chauffées mises en
des places assises et installations chauffées mises en place mardi à Henri-Bourassa
Y pourrait faire ça au Forum!
Ratés à la SAAQ: la ministre Guilbault revient au Québec pou
tout est sous contrôle...
chanté la ministre est là... tout sera réglé en un quart de tour....
Nous sommes sauvés... ça aurait pu être pire...
https://www.journaldequebec.com/2023/03/07/rates-a-la-saaq-la-ministre-guilbault-revien...
Ratés à la SAAQ: la ministre Guilbault revient au Québec pour gérer la crise
TVA NOUVELLES
Mardi, 7 mars 2023 06:35
MISE À JOUR Mardi, 7 mars 2023 08:00
La ministre Geneviève Guilbault a pris la décision mardi d'écourter sa mission en Suède et de revenir au Québec plus tôt que prévu afin de gérer la crise qui touche la SAAQ depuis le lancement du portail web SAAQclic.
• À lire aussi: «Ça aurait pu être pire», se défend l'organisation
• À lire aussi: Legault «pas du tout satisfait de ce qui se passe»
Les ratés de la SAAQ provoquent des problèmes d'accessibilité aux services pour les automobilistes, alors que les bureaux de l'organisation sont envahis par des files monstres d'usagers.
De longues files d’attente se sont formées devant plusieurs points de service de la SAAQ, comme celui-ci, à Place Longueuil, alors que la société d’État a repris ses activités après une interruption quasi totale d’un mois.
De longues files d’attente se sont formées devant plusieurs points de service de la SAAQ, comme celui-ci, à Place Longueuil, alors que la société d’État a repris ses activités après une interruption quasi totale d’un mois.
Depuis mercredi dernier, la ministre des Transports est dépêchée en Europe pour en apprendre davantage sur la mobilité durable.
L'heure est grave dans la Capitale-Nationale », affirme Gen
et voilà, deux ans plus tard elle a sauvé le ministère de la santé et va sauver la SAAQ... ouff
L'heure est grave dans la Capitale-Nationale », affirme Geneviève Guilbault
Avec le pire bilan au Québec au chapitre des cas actifs par habitant, la grande région de Québec pourrait faire face à des ruptures de soins dans les hôpitaux. Pour la première fois depuis le début de la pandémie les élus de la région ont pris la parole ensemble pour demander à la population de se ressaisir. Reportage de Marie-Maude Pontbriand.
https://www.youtube.com/watch?v=DDPN1nB24_A
Sauvé