Un cadeau de 1 M$ pour Michael Sabia chez Hydro (Forum)
https://www.journaldemontreal.com/2023/07/06/un-cadeau-de-1-m-pour-michael-sabia-chez-h...
Un cadeau de 1 M$ pour Michael Sabia chez Hydro
Le dirigeant a conclu un «arrangement particulier» avec la société d'État
Michael Sabia
PHOTO D'ARCHIVES, PIERRE-PAUL POULIN
PARTAGE
SYLVAIN LAROCQUE
Jeudi, 6 juillet 2023 00:00
MISE À JOUR Jeudi, 6 juillet 2023 00:00
Michael Sabia a conclu avec Hydro-Québec un «arrangement particulier» qui pourrait lui permettre de toucher 1 million $ de plus que ce qui a été annoncé le mois dernier.
Le 30 mai, le conseil d’administration de la société d’État a adopté une nouvelle version de son règlement de régie interne qui prévoit cet arrangement avec M. Sabia. Le gouvernement Legault a approuvé le nouveau règlement le 14 juin.
Un tiers du salaire
En vertu de l’arrangement, le dirigeant aura droit, au terme de son mandat de cinq ans, à un «montant forfaitaire» équivalant à un tiers du salaire de base qu’il aura reçu pendant cette période.
Comme il gagnera au moins 639 000$ par année, soit 3,2 millions $ pour l’ensemble de son mandat, Michael Sabia pourrait recevoir 1,05 million $ en 2028.
Chez Hydro-Québec, on assure que ce montant forfaitaire ne constitue pas une indemnité de départ ni une allocation de transition.
On précise que les employés de plus de 65 ans n’ont pas le droit de participer au régime de retraite d’Hydro. Or, Michael Sabia aura 70 ans en septembre.
Évaluation de la performance
«Puisque M. Sabia ne peut pas participer au régime de retraite de l’entreprise, Hydro-Québec [lui] versera, à la fin du mandat et conditionnellement à une évaluation de la performance du PDG par le conseil d’administration, un montant équivalent à la valeur qu’il aurait pu accumuler dans le régime», a précisé mercredi au Journal un porte-parole de la société d’État, Philippe Archambault.
«Sans l’adoption de cette mesure, M. Sabia aurait reçu une rémunération globale inférieure à celle de sa prédécesseure», Sophie Brochu, a-t-il ajouté.
Michael Sabia
Sophie Brochu PHOTO D'ARCHIVES, AGENCE QMI
Michael Sabia ne recevra pas le montant forfaitaire s’il est congédié «de plein droit», précise le règlement d’Hydro. Il aura toutefois droit à un «versement complet» du montant «dans l’éventualité d’une résiliation en cours de mandat prévue selon les termes du contrat».
L’an dernier, Mme Brochu a touché 1,13 million $ en tout, soit 615 000$ en salaire de base, 269 000$ en prime de rendement, 203 000$ au titre de son régime de retraite et 37 000$ sous la forme d’«autres avantages».
Précisons que le boni auquel a droit le PDG d’Hydro peut atteindre jusqu’à 50% de son salaire de base, soit près de 320 000$ par année dans le cas de M. Sabia.
L’ancien PDG de la Caisse de dépôt doit entrer en fonction le 1er août chez Hydro-Québec.
Il gagnait beaucoup moins à Ottawa
Dans son poste de sous-ministre fédéral des Finances, qu’il occupait jusqu’à tout récemment, Michael Sabia gagnait entre 291 700$ et 343 100$ par année.
Lors de sa nomination à la tête de la Caisse, en 2009, M. Sabia avait renoncé à participer à tout régime de retraite. Il était toutefois tenu de participer au Régime de retraite du personnel d’encadrement. Depuis l’âge de 65 ans, il a droit à un versement de 32 700$ par année grâce à ce régime gouvernemental.
À sa dernière année à la Caisse, Michael Sabia a obtenu une rémunération de plus de 4,4 millions $.
Les dirigeants de la SAQ pa$$ent à la Cai$$e
pour les féliciter d'avoir augmenté les prix sur de la piquette... la scrap que les autres pays ne boivent pas... pour acheter toute la scrap qui a sur le marché et le revendre avec une marge de profit$ incédente$...
528 000$ par année!
C'est ti pas indécent... de sa lourde de charge de devoir manipuler l'opinion publique pour expliquer pourquoi ils augmentent les prix pour de la piquette de bas de gamme qui ferait vomir un bouc....
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SAQ : C'Est mauvais, mais au moins c'est cher...
La médiocrité a bien meilleurs COÛT$$
Kébeck Moins de services et toujours plus cher$....
https://nouvelles-dujour.com/grosse-augmentation-de-salaire-pour-le-nouveau-grand-patro...
L’assiette au beurre
Article qui a malheureusement bien vieillit...
pire encore depuis la Pandémie ça semble devenu ''Open Bar'' au Diable la dépense....
L’assiette au beurre
https://www.journaldequebec.com/2012/12/04/lassiette-au-beurre
Mardi, 4 décembre 2012 22:08
MISE À JOUR Mardi, 4 décembre 2012 22:15
Les élus québécois ont les deux mains dans l’assiette au beurre et ils s’en mettent plein la face sans gêne.
Les lois qui prévoient de généreuses allocations de départ et de transition pour les députés, maires et conseillers municipaux qui démissionnent en cours de mandat doivent être amendées.
Au cours des cinq dernières années seulement, les contribuables ont versé des dizaines de millions pour se débarrasser d’élus dont les situations étaient devenues intenables ou parce qu’ils étaient malheureux dans leur peau. Le même contribuable doit assumer les coûts des élections pour les remplacer lorsque cela est obligatoire. Depuis 2008, des élections partielles ont dû être tenues dans 13 circonscriptions. Au cours du premier mandat du gouvernement Charest, de 2003 à 2007, onze élections partielles ont été provoquées par des départs. Une élection partielle sur la scène provinciale coûte quelque 600 000 $ provenant de fonds publics. Une partielle pour un siège de conseiller municipal à Québec coûte 150 000 $.
Versements reportés
Seulement au cours des dernières semaines, les maires de Montréal, Laval et de Mascouche ont été poussés dehors et ils ont respectivement empoché au passage 216 000 $, 250 000 $ et 168 000 $ alors que leurs administrations baignaient dans des allégations de corruption. Le maire de Mascouche, Richard Marcotte, fait même notamment face à des accusations criminelles de fraude, de corruption et d’abus de confiance.
L’ex-ministre libéral Tony Tomassi, qui attend son procès pour fraude, a eu droit à 122 000 $.
La loi devrait au minimum prévoir que le paiement des primes et allocations est reporté à la fin des procédures judiciaires, si l’accusé est blanchi, ou que les sommes versées doivent être remboursées, dans les cas de personnes reconnues coupables.
Les états d’âme
De plus en plus d’élus abandonnent par ailleurs leur poste en cours de mandat, sans raison plus valable que leurs tourments intérieurs. Entre 2008 et 2012, ce fut le cas entre autres pour les ministres David Whissell, Nathalie Normandeau, Line Beauchamp, Monique Jérôme-Forget, Jacques Dupuis...
Deux actuels chefs de parti, Pauline Marois et François Legault, ont déjà déserté avant la fin de leur mandat, ont touché de généreuses allocations et primes et sont revenus après une courte parenthèse de quelques années dans leur vie politique.
En 2006, l’ego de Mme Marois était froissé après sa défaite aux mains d’André Boisclair dans la course à la direction du Parti québécois de 2005. François Legault, pour sa part, était devenu inconfortable au PQ en 2009, un an seulement après avoir sollicité un nouveau mandat sous la bannière de ce parti. Mme Marois avait quitté avec une allocation de 128 000 $ et M. Legault de 122 000 $.
André Boisclair a touché 100 000 $ lors de sa démission de 2004 et 35 000 $ après celle de 2007 et il repart pour New York dans un carrosse doré. La face directement dans l’assiette au beurre, dans ce cas.
La première ministre a affirmé, en juillet, qu’elle renoncera à la prime de départ à laquelle elle aurait à nouveau droit lorsqu’elle quittera la vie politique.
La chef péquiste a déjà aussi indiqué, avant les dernières élections, qu’elle voulait abolir les allocations dites «de transition» pour les députés qui démissionnent en cours de mandat. François Legault l’appuyait alors dans ses intentions.
Alors qu’est-ce qu’elle attend?
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528 000$ par année!
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La médiocrité a bien meilleurs COÛT$$
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On l'a bien vu durant la pandémie que l'alcool était un bien essentiel et que les vêtements d'hiver, non.
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L’assiette au beurre
Article qui a malheureusement bien vieillit...
pire encore depuis la Pandémie ça semble devenu ''Open Bar'' au Diable la dépense....L’assiette au beurre
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Mardi, 4 décembre 2012 22:08
MISE À JOUR Mardi, 4 décembre 2012 22:15
Les élus québécois ont les deux mains dans l’assiette au beurre et ils s’en mettent plein la face sans gêne.
Les lois qui prévoient de généreuses allocations de départ et de transition pour les députés, maires et conseillers municipaux qui démissionnent en cours de mandat doivent être amendées.
Au cours des cinq dernières années seulement, les contribuables ont versé des dizaines de millions pour se débarrasser d’élus dont les situations étaient devenues intenables ou parce qu’ils étaient malheureux dans leur peau. Le même contribuable doit assumer les coûts des élections pour les remplacer lorsque cela est obligatoire. Depuis 2008, des élections partielles ont dû être tenues dans 13 circonscriptions. Au cours du premier mandat du gouvernement Charest, de 2003 à 2007, onze élections partielles ont été provoquées par des départs. Une élection partielle sur la scène provinciale coûte quelque 600 000 $ provenant de fonds publics. Une partielle pour un siège de conseiller municipal à Québec coûte 150 000 $.
Versements reportésSeulement au cours des dernières semaines, les maires de Montréal, Laval et de Mascouche ont été poussés dehors et ils ont respectivement empoché au passage 216 000 $, 250 000 $ et 168 000 $ alors que leurs administrations baignaient dans des allégations de corruption. Le maire de Mascouche, Richard Marcotte, fait même notamment face à des accusations criminelles de fraude, de corruption et d’abus de confiance.
L’ex-ministre libéral Tony Tomassi, qui attend son procès pour fraude, a eu droit à 122 000 $.
La loi devrait au minimum prévoir que le paiement des primes et allocations est reporté à la fin des procédures judiciaires, si l’accusé est blanchi, ou que les sommes versées doivent être remboursées, dans les cas de personnes reconnues coupables.
Les états d’âme
De plus en plus d’élus abandonnent par ailleurs leur poste en cours de mandat, sans raison plus valable que leurs tourments intérieurs. Entre 2008 et 2012, ce fut le cas entre autres pour les ministres David Whissell, Nathalie Normandeau, Line Beauchamp, Monique Jérôme-Forget, Jacques Dupuis...
Deux actuels chefs de parti, Pauline Marois et François Legault, ont déjà déserté avant la fin de leur mandat, ont touché de généreuses allocations et primes et sont revenus après une courte parenthèse de quelques années dans leur vie politique.
En 2006, l’ego de Mme Marois était froissé après sa défaite aux mains d’André Boisclair dans la course à la direction du Parti québécois de 2005. François Legault, pour sa part, était devenu inconfortable au PQ en 2009, un an seulement après avoir sollicité un nouveau mandat sous la bannière de ce parti. Mme Marois avait quitté avec une allocation de 128 000 $ et M. Legault de 122 000 $.
André Boisclair a touché 100 000 $ lors de sa démission de 2004 et 35 000 $ après celle de 2007 et il repart pour New York dans un carrosse doré. La face directement dans l’assiette au beurre, dans ce cas.
La première ministre a affirmé, en juillet, qu’elle renoncera à la prime de départ à laquelle elle aurait à nouveau droit lorsqu’elle quittera la vie politique.
La chef péquiste a déjà aussi indiqué, avant les dernières élections, qu’elle voulait abolir les allocations dites «de transition» pour les députés qui démissionnent en cours de mandat. François Legault l’appuyait alors dans ses intentions.
Alors qu’est-ce qu’elle attend?
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Je me rappelle que Sadam Marois voulait un décret pour que les élu.es qui démissionnaient et ou, mise à la porte, ne recevraient pas d'allocations de départ.
Ça ben l'air que ça pas passé !