La vague estivale gagne les hôpitaux québécois (Forum)

par Jéromec, vendredi 18 août 2023, 08:07 (il y a 441 jours)

:doc:

Nous allons avoir du plaisir cet automne...

:mdr:

L'approche Érik on laisse toute ouvert comme le Centre Laid pour être sûr de contaminer 18 000 et plus...
:mouche:
ça ne serait pas tellement brillant... laissons les bars à Karaoke ouvert aussi pour être sûr de contaminer le plus de gens possible...

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https://www.lapresse.ca/actualites/covid-19/2023-08-17/covid-19/la-vague-estivale-gagne...

La vague estivale gagne les hôpitaux québécois


La vague estivale de COVID-19 se fait sentir dans les hôpitaux du Québec, où on compte près de 560 patients ayant contracté le virus, une hausse de 30 % sur une semaine. Le gouvernement Legault ne s’inquiète pas outre mesure, mais suivra de près la situation, surtout la propagation du variant Eris.

Mis à jour hier à 5h00Partager
Henri Ouellette-Vézina
HENRI OUELLETTE-VÉZINA
LA PRESSE
Fanny Lévesque
FANNY LÉVESQUE
LA PRESSE
Selon les données de l’Institut national de santé publique (INSPQ) qui ont été actualisées mercredi – elles ne le sont maintenant qu’une fois par semaine –, 558 patients sont actuellement hospitalisés avec la COVID-19. C’est nettement plus que le bilan de 364 patients à la fin de juillet.

Ces chiffres montrent que les infections seraient responsables de la moitié des hospitalisations depuis une semaine. Autrement dit, près de 50 % des patients ont été hospitalisés pour la COVID-19. L’autre moitié a été admise pour une autre raison, avant de recevoir un test positif à la COVID-19.


La bonne nouvelle, c’est qu’encore très peu de ces patients se retrouvent aux soins intensifs. On dénombre seulement sept patients COVID aux soins intensifs dans l’ensemble de la province. Le nombre de décès attribués à la COVID-19 demeure également faible. Environ deux personnes par jour succombent à leur infection.


Les données de l’INSPQ continuent à montrer une hausse de la propagation de la COVID-19. Depuis une semaine, 1307 cas ont été dépistés par tests PCR, une hausse de 44 % sur une semaine. Les sondages menés par l’INSPQ confirment la hausse. Environ 13 500 Québécois attraperaient chaque jour la COVID-19, en hausse depuis le début de l’été.

Cette augmentation des cas se fait surtout sentir hors du Grand Montréal pour le moment. Le taux de positivité est particulièrement élevé au Saguenay–Lac-Saint-Jean, où près d’un test sur quatre effectué en ce moment se révèle positif.

Recommandations à venir
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a confirmé mercredi qu’une campagne de vaccination contre la COVID-19 aura lieu à l’automne, comme l’avait précédemment rapporté La Presse. L’exercice devrait, comme à l’habitude, s’adresser principalement aux personnes vulnérables et immunodéprimées. Il sera néanmoins possible pour toute personne qui souhaite recevoir le vaccin de l’obtenir.

Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé

Jamais on ne va empêcher quelqu’un d’aller se faire vacciner.

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux, à son arrivée au Conseil des ministres

M. Dubé attend d’ici la fin du mois les recommandations du Comité sur l’immunisation du Québec et du directeur national de santé publique, le Dr Luc Boileau, pour déterminer la marche à suivre pour l’automne. « On va avoir des recommandations très claires », a-t-il indiqué.

Eris, « principal coupable »
Pour le virologue Benoit Barbeau, professeur du département des sciences biologiques de l’Université du Québec à Montréal, l’émergence du variant Eris est « probablement le principal coupable » de la situation actuelle. « Il est bel et bien arrivé au Québec et il continue à se transmettre un peu partout. Cela dit, ce n’est pas un variant qui est plus dangereux, de ce qu’on en connaît, mais c’est certain que ça propulse les infections et, donc, les hospitalisations », rappelle-t-il.

« On sait aussi qu’il y a toute une partie de la population qui retourne au travail en ce moment, avec la fin des vacances de la construction. C’est aussi un facteur qui peut jouer dans ce qu’on voit », ajoute M. Barbeau.

Pour l’heure, le ministre Dubé soutient suivre de « très proche » l’évolution du sous-variant Eris. « On parle un peu d’augmentation dans les hospitalisations, mais pas au niveau des soins intensifs, donc, ça, c’est rassurant », a-t-il indiqué.

Le Dr Boileau devrait aussi revenir sur la question de la distribution des tests rapides, a précisé M. Dubé. Ces tests sont toujours offerts gratuitement dans les centres de vaccination et dans les écoles, mais ne sont plus accessibles sans frais dans les pharmacies.

Tant que les tests [rapides] ne seront pas vraiment accessibles facilement à toute la population, on va naviguer encore une fois dans un certain brouillard.

Benoit Barbeau, professeur au département des sciences biologiques de l’Université du Québec à Montréal

L’expert espère que la campagne vaccinale de l’automne arrivera « plutôt tôt que tard », mais surtout que le produit offert sera adapté au nouveau variant Eris. Il invite enfin Québec à accompagner cette nouvelle campagne « d’une forte incitation gouvernementale, surtout auprès des personnes plus vulnérables et âgées », qui risquent davantage d’être hospitalisées.

Néanmoins, à l’heure actuelle, la plupart des Canadiens ont acquis des anticorps contre la COVID-19 grâce à l’infection et à la vaccination, selon une étude parue lundi dans la revue scientifique Canadian Medical Association Journal. La majorité ont été infectées par le virus pour la première fois pendant l’ère Omicron, après avoir été vaccinées.

Avec Pierre-André Normandin, La Presse

Recrudescence de la COVID-19 en Estrie : éclosions dans deux

par Jéromec, vendredi 18 août 2023, 08:11 (il y a 441 jours) @ Jéromec

l'approche Érik on rentre dans un CHSLD comme dans une étable, on ne se lave pas les mains on porte pas de masque non plus pour être sûr d'éternuer sur les plus vulnérable....

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2003963/chsld-estrie-covid19-coronavirus-eris

Recrudescence de la COVID-19 en Estrie : éclosions dans deux CHSLD de la région

Radio-Canada
Publié hier à 18 h 17 HAE
Partager l’article

Le virus qui a mis nos vies sur pause pendant plus de deux ans gagne à nouveau du terrain. Les professionnels de la santé observent en effet une hausse des cas de COVID-19 depuis quelque temps, notamment en raison du variant Eris. Des éclosions sont en cours dans deux Centres d'hébergement et de soin longue durée (CHSLD) de l'Estrie.

Ce sont 14 cas de COVID-19 qui ont été détectés dans le CHSLD Leclerc à Granby et 20 cas au CSSS Memphrémagog à Magog, rapporte le Centre intégré de santé universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l'Estrie-CHUS.

Le CIUSSS enregistre 5 patients hospitalisés dans le réseau qui ont la COVID-19, incluant ceux qui sont aux soins intensifs.

Heureusement, ces personnes ont des symptômes mineurs de courte durée et aucun transfert en milieu hospitalier ou de décès n'a été rapporté pour le moment, indique par courriel le CIUSSS de l'Estrie-CHUS, qui n'a pas été en mesure de nous accorder une entrevue à ce sujet jeudi.

Le professeur au département des sciences biologiques de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et spécialiste en virologie, Benoît Barbeau, se dit peu surpris de voir une augmentation des cas dans la région. C'est un peu ce qu'on affiche un peu partout au Canada, soutient le spécialiste.

Il est fort probable que le sous-variant Eris soit le coupable de ces infections, mais il n'est pas le seul, explique Benoît Barbeau.

Ça ne veut pas dire pour autant qu’il n’y aura pas d’autre sous-variant qui pourra causer des symptômes importants, donc plus graves. Pour cette raison, il faut surveiller de près non seulement le sous-variant Eris, mais aussi ceux qui pourraient devenir plus importants.


Le professeur de virologie au département des sciences biologiques à l’UQAM, Benoit Barbeau.
Ouvrir en mode plein écran
Le professeur de virologie au département des sciences biologiques à l’UQAM, Benoit Barbeau (archives).


Avec le retour à l'école et au travail qui est prévu pour plusieurs dans les prochaines semaines, la situation sera à surveiller, prévient-il.

Il met de l'avant que ceux qui n'ont pas reçu de nouvelles doses de vaccin depuis plusieurs mois ont probablement perdu une certaine immunité contre le virus, particulièrement les groupes qui sont plus à risque. Le spécialiste ajoute que des compagnies pharmaceutiques sont en train de travailler sur un nouveau vaccin qui répond mieux aux nouveaux sous-variants.

Si on parle d'un délai de six mois depuis votre dernière dose vaccinale ou de six mois depuis votre dernière infection et bien à ce moment-là vous devriez aller chercher une nouvelle dose vaccinale.

Une citation deBenoît Barbeau, spécialiste en virologie
M. Barbeau se fait toutefois rassurant. Même si le virus peut surprendre, il croit que la population pourra passer au travers de l’automne et même de l’hiver.


L'inquiétude nuancée au sein de la population
Le pharmacien et propriétaire au Familiprix Extra à Sherbrooke, Marc-Denis Hubert, remarque qu'il y a plus de patients qui fréquentent sa pharmacie qui s'inquiètent de leurs symptômes et qui demandent des tests de COVID-19, mais que ces clients restent plutôt rares.

On est convaincu qu’il y a une augmentation du nombre de cas, mais sur le terrain, on ne l’observe pas au niveau de la pharmacie communautaire, observe-t-il. En général, ceux qui viennent nous voir au laboratoire [pour des tests] ce sont des patients que l'on connait avec des maladies chroniques, précise-t-il.

Un Sherbrookois rencontré jeudi matin demeure inquiet. Bien sûr qu’on est toujours inquiet pour la COVID-19. On est sortis, mais on recommence à tomber dedans, mais dès que ça recommence je recommence à mettre le masque et on fait la distanciation.

Une citoyenne rencontrée au lac des Nations dit s'inquiéter du retour du virus. On a été confinés pendant deux ans et demi, toutes les règles qui avaient autour de ça, j'espère qu'on ne reviendra pas là, j'espère qu'on va apprendre et que ça va être moins lourd comme conséquences, dit-elle.

C'est un virus comme un autre.

Une citation decitoyenne rencontrée au lac des Nations
Un autre marcheur dit ne pas se soucier du sous-variant puisqu'il a reçu cinq doses de vaccin. Je fais attention quand même, assure-t-il.

Précautions à prendre
Les experts rencontrés par Radio-Canada jeudi recommandent de prendre les choses sérieusement et de faire le nécessaire pour éviter la propagation.

Pour ceux qui désirent faire un test de dépistage, les tests rapides sont toujours disponibles, mais ils sont réservés à des personnes plus vulnérables qui sont à plus haut risque.

Pour les patients en bonne santé, ils ne sont plus disponibles en magasin gratuitement.

Pour ceux qui possèdent encore des tests datant de 2022, ils devraient être encore valides jusqu'au printemps 2024.

Prélèvements sanguins en Estrie
Par ailleurs, ceux qui doivent se rendre dans un centre de prélèvements sont invités à se rendre au Centre de prélèvement de l'Édifice Murray. Le centre de prélèvement Argyll prolonge sa fermeture pour une durée indéterminée en raison de la pénurie de main-d'œuvre. Ceux qui avaient rendez-vous au centre Argyll seront contactés pour être redirigés à un autre endroit, assure le CIUSSS de l'Estrie-CHUS.

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Recrudescence de la COVID-19 en Estrie : éclosions dans deux

par Blake, vendredi 18 août 2023, 11:46 (il y a 440 jours) @ Jéromec

l'approche Érik on rentre dans un CHSLD comme dans une étable, on ne se lave pas les mains on porte pas de masque non plus pour être sûr d'éternuer sur les plus vulnérable....

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2003963/chsld-estrie-covid19-coronavirus-eris

Recrudescence de la COVID-19 en Estrie : éclosions dans deux CHSLD de la région

Radio-Canada
Publié hier à 18 h 17 HAE
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Le virus qui a mis nos vies sur pause pendant plus de deux ans gagne à nouveau du terrain. Les professionnels de la santé observent en effet une hausse des cas de COVID-19 depuis quelque temps, notamment en raison du variant Eris. Des éclosions sont en cours dans deux Centres d'hébergement et de soin longue durée (CHSLD) de l'Estrie.

Ce sont 14 cas de COVID-19 qui ont été détectés dans le CHSLD Leclerc à Granby et 20 cas au CSSS Memphrémagog à Magog, rapporte le Centre intégré de santé universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l'Estrie-CHUS.

Le CIUSSS enregistre 5 patients hospitalisés dans le réseau qui ont la COVID-19, incluant ceux qui sont aux soins intensifs.

Heureusement, ces personnes ont des symptômes mineurs de courte durée et aucun transfert en milieu hospitalier ou de décès n'a été rapporté pour le moment, indique par courriel le CIUSSS de l'Estrie-CHUS, qui n'a pas été en mesure de nous accorder une entrevue à ce sujet jeudi.

Le professeur au département des sciences biologiques de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et spécialiste en virologie, Benoît Barbeau, se dit peu surpris de voir une augmentation des cas dans la région. C'est un peu ce qu'on affiche un peu partout au Canada, soutient le spécialiste.

Il est fort probable que le sous-variant Eris soit le coupable de ces infections, mais il n'est pas le seul, explique Benoît Barbeau.

Ça ne veut pas dire pour autant qu’il n’y aura pas d’autre sous-variant qui pourra causer des symptômes importants, donc plus graves. Pour cette raison, il faut surveiller de près non seulement le sous-variant Eris, mais aussi ceux qui pourraient devenir plus importants.


Le professeur de virologie au département des sciences biologiques à l’UQAM, Benoit Barbeau.
Ouvrir en mode plein écran
Le professeur de virologie au département des sciences biologiques à l’UQAM, Benoit Barbeau (archives).


Avec le retour à l'école et au travail qui est prévu pour plusieurs dans les prochaines semaines, la situation sera à surveiller, prévient-il.

Il met de l'avant que ceux qui n'ont pas reçu de nouvelles doses de vaccin depuis plusieurs mois ont probablement perdu une certaine immunité contre le virus, particulièrement les groupes qui sont plus à risque. Le spécialiste ajoute que des compagnies pharmaceutiques sont en train de travailler sur un nouveau vaccin qui répond mieux aux nouveaux sous-variants.

Si on parle d'un délai de six mois depuis votre dernière dose vaccinale ou de six mois depuis votre dernière infection et bien à ce moment-là vous devriez aller chercher une nouvelle dose vaccinale.

Une citation deBenoît Barbeau, spécialiste en virologie
M. Barbeau se fait toutefois rassurant. Même si le virus peut surprendre, il croit que la population pourra passer au travers de l’automne et même de l’hiver.


L'inquiétude nuancée au sein de la population
Le pharmacien et propriétaire au Familiprix Extra à Sherbrooke, Marc-Denis Hubert, remarque qu'il y a plus de patients qui fréquentent sa pharmacie qui s'inquiètent de leurs symptômes et qui demandent des tests de COVID-19, mais que ces clients restent plutôt rares.

On est convaincu qu’il y a une augmentation du nombre de cas, mais sur le terrain, on ne l’observe pas au niveau de la pharmacie communautaire, observe-t-il. En général, ceux qui viennent nous voir au laboratoire [pour des tests] ce sont des patients que l'on connait avec des maladies chroniques, précise-t-il.

Un Sherbrookois rencontré jeudi matin demeure inquiet. Bien sûr qu’on est toujours inquiet pour la COVID-19. On est sortis, mais on recommence à tomber dedans, mais dès que ça recommence je recommence à mettre le masque et on fait la distanciation.

Une citoyenne rencontrée au lac des Nations dit s'inquiéter du retour du virus. On a été confinés pendant deux ans et demi, toutes les règles qui avaient autour de ça, j'espère qu'on ne reviendra pas là, j'espère qu'on va apprendre et que ça va être moins lourd comme conséquences, dit-elle.

C'est un virus comme un autre.

Une citation decitoyenne rencontrée au lac des Nations
Un autre marcheur dit ne pas se soucier du sous-variant puisqu'il a reçu cinq doses de vaccin. Je fais attention quand même, assure-t-il.

Précautions à prendre
Les experts rencontrés par Radio-Canada jeudi recommandent de prendre les choses sérieusement et de faire le nécessaire pour éviter la propagation.

Pour ceux qui désirent faire un test de dépistage, les tests rapides sont toujours disponibles, mais ils sont réservés à des personnes plus vulnérables qui sont à plus haut risque.

Pour les patients en bonne santé, ils ne sont plus disponibles en magasin gratuitement.

Pour ceux qui possèdent encore des tests datant de 2022, ils devraient être encore valides jusqu'au printemps 2024.

Prélèvements sanguins en Estrie
Par ailleurs, ceux qui doivent se rendre dans un centre de prélèvements sont invités à se rendre au Centre de prélèvement de l'Édifice Murray. Le centre de prélèvement Argyll prolonge sa fermeture pour une durée indéterminée en raison de la pénurie de main-d'œuvre. Ceux qui avaient rendez-vous au centre Argyll seront contactés pour être redirigés à un autre endroit, assure le CIUSSS de l'Estrie-CHUS.

:D

Covid : retour du masque...

par Jéromec, vendredi 18 août 2023, 12:12 (il y a 440 jours) @ Blake

vous pensiez que c'était finit.. ben non...

:mdr:

ceci étant dit c'est toujours mignon de voir à TÉVÉ du monde pas de masque parler de l'importance de l'obligation du masque... en autant que ça s'applique pas aux politico$ et les ti tarti$$e$.....

https://fr.news.yahoo.com/covid-scientifiques-alerte-nouveau-variant-appellent-retour-m...
Covid : les scientifiques tirent la sonnette d’alarme sur le nouveau variant et appellent au retour des masques

Covid : les scientifiques tirent la sonnette d’alarme sur le nouveau variant et appellent au retour des masques
Avec l’arrivée d’un nouveau variant du Covid, surnommé BA.6, les scientifiques se sont dits très inquiets et ont d’ores et déjà appelé au retour du masque.


Amandine Zirah
Mis à jour jeu. 17 août 2023 à 4:36 AM UTC−4

DuKai photographer via Getty Images
Dans cet article:

Santé
Santé
Une nouvelle vague Covid se profile-t-elle ? Avec l’arrivée d’un nouveau variant, surnommé BA.6, des scientifiques, dont les propos ont été relayés par le Daily mail, se sont dits très inquiets et ont d’ores et déjà appelé au retour du masque. Mais que les plus angoissés se rassurent : tous n’ont pas le même son de cloche. D'autres chercheurs ont averti qu’il était bien trop tôt pour paniquer. Pour eux, les restrictions de l’ère pandémique ne sont pas nécessaires, du moins pour l’instant. Concrètement, le nouveau variant aurait déjà été repéré au Danemark et en Israël mais rien n’indique, pour le moment, qu’il représente un véritable danger.

"Il est trop tôt pour dire s’il dominera de la même manière que BA.1 et BA.2, mais il existe un certain nombre de mutations qui peuvent être préoccupantes si elles commencent à se propager”, a déclaré le professeur Stephen Griffin, expert en maladies infectieuses à l'Université de Leeds.

VIDÉO - Dr Christian Recchia : "Les allergies provoquent des signes identiques au Covid, donc il faut vous tester"

Carnet de Santé - Dr Christian Recchia : &quot;Les allergies provoquent des signes identiques au Covid, donc il faut vous tester&quot;Scroll back up to restore default view.
“Cela pourrait être gérable”
De son côté, le professeur Lawrence Young, virologue à l'Université de Warwick, a tenu à rassurer la population au vu de ces nouvelles informations. "Tout cela pourrait être gérable tant qu'il s'agit de variants sur le fond d'Omicron car de nombreuses personnes ont déjà été exposées à une infection par différents variants d'Omicron et le rappel du vaccin a probablement été adapté pour couvrir toute la famille.”

À noter qu’un autre variant, surnommé Eris, fait également parler de lui, notamment au Royaume-Uni où les taux d'hospitalisation ont fortement augmenté, ce qui contribue à alimenter l'effet de panique. Pour les scientifiques, le mauvais temps et l’effet “Barbenheimer” (la sortie au cinéma de Barbie et Oppenheimer) pourraient avoir contribué à l’augmentation des infections ainsi qu’à la baisse de l’immunité. Au total, ce variant a été enregistré dans 51 pays, selon l’agence de santé des Nations Unies. Il est rapidement devenu dominant en Amérique, représentant une infection sur cinq, tandis qu'au Japon, il représenterait jusqu'à 46% des cas.

Avatar

Covid : retour du masque...

par Blake, vendredi 18 août 2023, 16:31 (il y a 440 jours) @ Jéromec

vous pensiez que c'était finit.. ben non...

:mdr:

ceci étant dit c'est toujours mignon de voir à TÉVÉ du monde pas de masque parler de l'importance de l'obligation du masque... en autant que ça s'applique pas aux politico$ et les ti tarti$$e$.....

https://fr.news.yahoo.com/covid-scientifiques-alerte-nouveau-variant-appellent-retour-m...
Covid : les scientifiques tirent la sonnette d’alarme sur le nouveau variant et appellent au retour des masques

Covid : les scientifiques tirent la sonnette d’alarme sur le nouveau variant et appellent au retour des masques
Avec l’arrivée d’un nouveau variant du Covid, surnommé BA.6, les scientifiques se sont dits très inquiets et ont d’ores et déjà appelé au retour du masque.


Amandine Zirah
Mis à jour jeu. 17 août 2023 à 4:36 AM UTC−4

DuKai photographer via Getty Images
Dans cet article:

Santé
Santé
Une nouvelle vague Covid se profile-t-elle ? Avec l’arrivée d’un nouveau variant, surnommé BA.6, des scientifiques, dont les propos ont été relayés par le Daily mail, se sont dits très inquiets et ont d’ores et déjà appelé au retour du masque. Mais que les plus angoissés se rassurent : tous n’ont pas le même son de cloche. D'autres chercheurs ont averti qu’il était bien trop tôt pour paniquer. Pour eux, les restrictions de l’ère pandémique ne sont pas nécessaires, du moins pour l’instant. Concrètement, le nouveau variant aurait déjà été repéré au Danemark et en Israël mais rien n’indique, pour le moment, qu’il représente un véritable danger.

"Il est trop tôt pour dire s’il dominera de la même manière que BA.1 et BA.2, mais il existe un certain nombre de mutations qui peuvent être préoccupantes si elles commencent à se propager”, a déclaré le professeur Stephen Griffin, expert en maladies infectieuses à l'Université de Leeds.

VIDÉO - Dr Christian Recchia : "Les allergies provoquent des signes identiques au Covid, donc il faut vous tester"

Carnet de Santé - Dr Christian Recchia : &quot;Les allergies provoquent des signes identiques au Covid, donc il faut vous tester&quot;Scroll back up to restore default view.
“Cela pourrait être gérable”
De son côté, le professeur Lawrence Young, virologue à l'Université de Warwick, a tenu à rassurer la population au vu de ces nouvelles informations. "Tout cela pourrait être gérable tant qu'il s'agit de variants sur le fond d'Omicron car de nombreuses personnes ont déjà été exposées à une infection par différents variants d'Omicron et le rappel du vaccin a probablement été adapté pour couvrir toute la famille.”

À noter qu’un autre variant, surnommé Eris, fait également parler de lui, notamment au Royaume-Uni où les taux d'hospitalisation ont fortement augmenté, ce qui contribue à alimenter l'effet de panique. Pour les scientifiques, le mauvais temps et l’effet “Barbenheimer” (la sortie au cinéma de Barbie et Oppenheimer) pourraient avoir contribué à l’augmentation des infections ainsi qu’à la baisse de l’immunité. Au total, ce variant a été enregistré dans 51 pays, selon l’agence de santé des Nations Unies. Il est rapidement devenu dominant en Amérique, représentant une infection sur cinq, tandis qu'au Japon, il représenterait jusqu'à 46% des cas.

Pas surprenant. Le petit monde ne fait plus attention et donc, l'automne sera hot pour nous avec ce nouveau variant. Ça va chialer en crisse.

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