Un changement en moi s'opère ! (Forum)
J'ai fait un rêve cette nuit, un rêve tout à fait banal puisqu'il n'y a aucune envolée astrale que j'ai coutume de faire durant cette période lunaire. Je vous raconte le rêve et je vous écris ce que j'en pense.
Je suis chez-moi et je demeure seul. La municipalité est St-Jérôme mais je me sens étrange tout comme l'environnement de mon home du rêve. J'attendais la visite d'une infirmière du CLSC. Je la reçois et prend mes signes vitaux. Je faisais une légère hypertension et me regardant me dit qu'elle m'amène à l'hôpital. Sans rien dire, je suis sa recommandation, tout en me disant qu'elle arrêterait quelques secondes pour ramasser sa fille à l'école. Je la regarde et je suppose qu'elle a moins de 25 ans et elle m'a dit que sa fille avait 16 ans. Évidemment, ça comme un peu ébranler ma vision que j'avais pour son âge et c'est là que je lui demande son âge. Elle m'a dit qu'elle avait 32 ans.
Nous sortons de chez-moi mais je reconnais pas du tout l'endroit et tout en regardant ma main pour verrouiller la porte, je m'aperçois que j'avais les mains d'un vieillard de plus de 90 ans. Elle me conduit jusqu'à son auto et je vois bien que ce n'est pas une auto d'aujourd'hui, elle était très petite et ne faisait aucun bruit en roulant. Elle me parlait sans regarder devant mais j'avais quand même l'impression qu'elle conduisait l'auto. J'essayais de placer mes pieds sur le plancher mais j'étais dans l'inconfort et j'ai trouvé la position plus confortable en croisant mes jambes.
Je lui demande alors comment sa fille pourrait embarquer dans l'auto, c'était très restreint. C'est alors qu'elle m'a dit qu'elle s'assoira sur moi. Évidemment j'ai protesté et elle riait. Elle avait qu'une place derrière elle. La fille ressemble à une petite-fillotte de ma Claudie et elle semblait contente de me voir et elle raconte sa journée à sa mère. Nous arrivons à l'hôpital et dès que je rentre, 2 gardiens de sécurité m'attendais aux portes, me saisissent les poignets et m'emmènent vers une salle. Évidemment étant fougueux de nature, je donne un bon coup de pied sur une jambe de celui de gauche et d'un geste ma foi étonnant, je tire mon bras droit tellement fort que celui de droite s'est ramassé sur l'autre qui avait tomber après mon coup de pied.
Je me rappelle que j'étais en beau fusil en regardant l'infirmière qui s'en allait après m'avoir conduit. Je me réveille ainsi.
Je vous reviens pour l'analyse et si ça vous tente, que ressentez-vous ?
Dédé