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ça regarde mal... pour cet automne...

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Menace de mort contre Legault et Trudeau: le BEI déclenche une enquête
Menace de mort contre Legault et Trudeau: le BEI déclenche une enquête - Explications de Félix Séguin, 18h
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TVA Nouvelles

Mercredi, 27 septembre 2023 16:10

MISE À JOUR Mercredi, 27 septembre 2023 18:07

Le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) annonce mercredi le déclenchement d’une enquête concernant un individu qui aurait menacé de mort les premiers ministres Justin Trudeau et François Legault.

Lors de l'opération policière majeure, un policier aurait fait feu sur l'individu qui avait les moyens de ses ambitions.

L’escouade tactique d’intervention de la sûreté du Québec (SQ) a pénétré, mercredi matin peu après 5h, dans une demeure de la route 214 à Scotstown, près de Lac-Mégantic en Estrie.

Cette visite était motivée par des propos inquiétants visant les deux premiers ministres François Legault et Justin Trudeau partagés par le suspect sur la plateforme TikTok.
Menaces de mort sérieuses contre Legault et Trudeau - La Joute des analystes

Le suspect a notamment affirmé avoir l’intention de pendre ses victimes par les parties intimes pour ensuite les traîner sur le béton.

La menace a été repérée par le service de cybersurveillance de la SQ.

Les explications d'Alexandre Moranville-Ouellet sur cette affaire et sur le double meurtre de Longueuil au micro de Mario Dumont, via QUB radio :

Dans la vidéo publiée sur les médias sociaux, les projectiles d’armes à feu auraient été aperçus.

Selon les renseignements préliminaires du BEI, la personne aurait pointé une arme à feu en direction de la porte lorsque les membres du GTI seraient entrés dans la résidence.

Le policier aurait fait feu en direction de la personne qui aurait alors été blessée par le tir policier.

Les menaces envers les élus sont devenues un phénomène fréquent depuis les dernières années.

Depuis 2020, le nombre de menaces a oscillé entre plus de 220 et près de 400.

La coucounne minissssse du sport se dit à l'aise de ne pas avoir d'arbitre durant les matchs de hockey au Québec.

Source : Pénurie d’officiels: la ministre Isabelle Charest favorable à des matchs sans arbitres

GENEVIÈVE LAJOIE
Mercredi, 27 septembre 2023 15:57

MISE À JOUR Mercredi, 27 septembre 2023 15:57

La ministre Isabelle Charest voit d'un bon oeil la tenue de parties sans arbitres pour pallier la pénurie d'officiels dans le sport.

« Moi j'y crois à des matchs pas d'arbitres pour des jeunes et je crois aussi beaucoup à faire une rotation des rôles, que des parents aillent arbitrer, puis que des jeunes aillent arbitrer, puis que tout le monde prenne conscience que, de la même façon que les joueurs ne sont pas parfaits, les arbitres ne sont pas parfaits non plus », a lancé mercredi la ministre responsables des Sports.

Le sport étudiant est actuellement aux prises avec une grave pénurie d’arbitres, au point où des matchs se disputent sans officiels, du jamais-vu. Depuis la pandémie, la hausse des comportements agressifs sur le terrain et dans les gradins rend le recrutement ardu.

Isabelle Charest croit que la « grogne populaire » présente sur les réseaux sociaux se reflète sur le terrain.

« On a l'impression que dans les estrades, on a le même comportement que sur les réseaux sociaux, qu'on est anonyme et qu'on peut dire n'importe quoi et que ça n'a pas d'influence », déplore la ministre.

Les jeunes formés à l’arbitrage
Selon le député libéral Enrico Ciccone, disputer des matchs sans officiels ne règlera pas le problème criant de pénurie d’arbitres à long terme. «Tu veux avoir sur la glace des personnes qualifiées, l’arbitre est là pour garder les choses civilisées sur la glace et faire respecter les règles », souligne l’ex-hockeyeur.

Il suggère que tous les jeunes sportifs reçoivent une formation d’arbitrage, une manière de les sensibiliser au rôle d’officiel, sans oublier leurs parents. « Le parent qui crie après les arbitres, quand ça va être le tour de son enfant d’arbitrer, il ne va pas vouloir que les gens crient après son enfant », insiste l’élu du PLQ.

Selon lui, il faut aussi s'interroger sur la rémunération offerte aux officiels, qui sont parfois confrontés à «des parents écervelés».

Enrico Ciccone ne croit pas qu’il y ait nécessairement plus d’agressivité maintenant sur le terrain et dans les gradins que par le passé.

« Dans mon temps, c’était pathétique, mais on dirait qu’autres temps autres mœurs. On était habitué à ça, les arbitres étaient habitués de se faire crier après. Il y a des choses qui ne sont plus acceptées aujourd’hui dans la société, et c’est correct de même », affirme l’ancien joueur de la LNH.
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Une autre qui démontre une incompétence pathétique !

Elle en fume du bon.

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Ou bien, elle mange trop de crème aux champignons !