Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé (Forum)
par Dédé, dimanche 22 octobre 2023, 13:00 (il y a 406 jours)
édité par Dédé, dimanche 22 octobre 2023, 13:03
__________________
Note de l'auteur :
Je vais retenter d'écrire des contes comme à mes débuts sur le virtuel. Évidemment, ils ne seront pas trop longs mais je vais m'efforcer à que ces contes se tiennent comme si je le ferais oralement devant un âtre à l'extérieur, avec un ciel de nuit rempli d'étoiles !
__________________
Je marche sans itinéraire, je ne sais pas où aller, j'ai juste envie de m'éclipser de ce supplice moral à voir la décadence humaine avec ces chicanes qui se règlent à coup de roquettes et un fusil pour la chasse aux humains. Pas mêlant, j'ai envie de vomir et je suis gêné d'être un humain, cet être de matières vivantes qui au lieu d'évoluer, il involue. Que puis-je faire pour changer cette tendance qui n'engendre que de querelles, de cohues, une surpuissance de macaques.
Finalement, je décide d'aller à mon lieu de contemplation, là où l'imagination soigne mes blessures morales, là où je ne fais qu'un avec la nature, là où j'ai la sainte paix, là où je le nomme le Royaume des Cieux. Même pas mis un orteil à cet endroit magnifique, je suis transporté par une bulle transparente comme Pépin Labulle et dans le temps de m'en apercevoir, je suis déjà dans ce firmament, à plus de 500 milles kilomètre de ma chère Terre-Mère. Pauvre Mère, elle devrait être déçue de son Fruit à le voir aller comme un ravageur et un tapageur. D'un coup, je passe à une vitesse inouïe qui dépasse tout entendement et je me retrouve devant Râ, assez proche pour être grillé comme une saucisse Lester mais demeurant confortable comme si ma Bulle est un bouclier contre la fureur de Père. Je suis perplexe, il me semble qu'il n'est pas à point ce Père, comme s'il aurait attrapé la COVID-19 !
Oups, un léger dérapage !
Mautadine que je ne suis pas du monde !
Or pour ne pas que vous perdiez le fil, Père me semblait pas normal, une impression certes mais étant donné que je suis à mon millième transport imaginaire dans le cosmos, je sais reconnaître un astre, car tout Luminaire est une Vie, autant que le mystère est immuable. Je l'observe et je lui dis :
- Coup donc son Père, es-tu malade ?
- Ah ! C'est toi ! Non mais je suis un brin déboussolé parce que mes Fils ( les planètes et leurs satellites ) ne semblent pas comprendre et que je dois rehausser mes ardeurs.
- Je comprends pourquoi c'est la folie furieuse chez ma Mère, ton Ardeur rend fou le monde dans lequel je vis. Tu devrais plutôt user une autre façon de persuasion parce que là, tu vas faire beaucoup de dommage si tu persistes ainsi.
- Expliques, mets de la chair après l'os !
- Un père doit avoir une compassion pour ses fils, les tapes sur les fesses n'a jamais donné de bon résultat parce que plus un Enfant se fait rabrouer de cette façon, plus il a tendance à s'endurcir et à vouloir prouver qu'il n'hésitera aucunement à avancer sur le chemin qu'il se construit et plutôt d'avoir une aide pour mieux comprendre le chemin à prendre avec sagesse, son orgueil enfle plus que son ego et devient irascible en vieillissant avant d'atteindre l'âge de la sagesse. L'Intelligence ne fonctionne pas à coup de pieds au cul !
Il me regarde et ses yeux deviennent hallucinants et je lui dis :
- Ne me regardes pas ainsi Père, tu le sais ce que je suis, est ce que tu es. Tu es mon Père après tout. Il est temps à avoir une autre vision de la Vie, cette belle expérimentation de la Conscience dans un corps animé. Fais une trêve de ta colère et compatis au lieu de détruire.
Il me lance une lame de feu sur ma Bulle, tellement fort que je me retrouve à nouveau à voyager à une vitesse vertigineuse, comme un enfant qui souffle sur une bulle de savon et que cette dernière fait des mouvements avec des formes d'enfoncement sans s'éclater. Seulement quelques secondes, je me retrouve devant Jupiter, tout juste à côté d'Europe, son satellite. Je décide de me rapprocher davantage de ce dernier et plus je m'avance, plus je ressens qu'il y a de la vie là, ça sent le méthane, la friture d'un barbecue. Calvince, j'ai oublié de fermer mon rond de poêle !
Pas d'allure !
Maintenant, je vais prendre une pause mais, que feriez-vous si vous étiez en flottaison devant Jupiter dans une Bulle. Quelle serait votre impression et quelle émotion auriez-vous ?
Dédé
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé
par Blake, dimanche 22 octobre 2023, 19:08 (il y a 405 jours) @ Dédé
__________________Note de l'auteur :
Je vais retenter d'écrire des contes comme à mes débuts sur le virtuel. Évidemment, ils ne seront pas trop longs mais je vais m'efforcer à que ces contes se tiennent comme si je le ferais oralement devant un âtre à l'extérieur, avec un ciel de nuit rempli d'étoiles !
__________________Je marche sans itinéraire, je ne sais pas où aller, j'ai juste envie de m'éclipser de ce supplice moral à voir la décadence humaine avec ces chicanes qui se règlent à coup de roquettes et un fusil pour la chasse aux humains. Pas mêlant, j'ai envie de vomir et je suis gêné d'être un humain, cet être de matières vivantes qui au lieu d'évoluer, il involue. Que puis-je faire pour changer cette tendance qui n'engendre que de querelles, de cohues, une surpuissance de macaques.
Finalement, je décide d'aller à mon lieu de contemplation, là où l'imagination soigne mes blessures morales, là où je ne fais qu'un avec la nature, là où j'ai la sainte paix, là où je le nomme le Royaume des Cieux. Même pas mis un orteil à cet endroit magnifique, je suis transporté par une bulle transparente comme Pépin Labulle et dans le temps de m'en apercevoir, je suis déjà dans ce firmament, à plus de 500 milles kilomètre de ma chère Terre-Mère. Pauvre Mère, elle devrait être déçue de son Fruit à le voir aller comme un ravageur et un tapageur. D'un coup, je passe à une vitesse inouïe qui dépasse tout entendement et je me retrouve devant Râ, assez proche pour être grillé comme une saucisse Lester mais demeurant confortable comme si ma Bulle est un bouclier contre la fureur de Père. Je suis perplexe, il me semble qu'il n'est pas à point ce Père, comme s'il aurait attrapé la COVID-19 !
Oups, un léger dérapage !
Mautadine que je ne suis pas du monde !
Or pour ne pas que vous perdiez le fil, Père me semblait pas normal, une impression certes mais étant donné que je suis à mon millième transport imaginaire dans le cosmos, je sais reconnaître un astre, car tout Luminaire est une Vie, autant que le mystère est immuable. Je l'observe et je lui dis :
- Coup donc son Père, es-tu malade ?
- Ah ! C'est toi ! Non mais je suis un brin déboussolé parce que mes Fils ( les planètes et leurs satellites ) ne semblent pas comprendre et que je dois rehausser mes ardeurs.
- Je comprends pourquoi c'est la folie furieuse chez ma Mère, ton Ardeur rend fou le monde dans lequel je vis. Tu devrais plutôt user une autre façon de persuasion parce que là, tu vas faire beaucoup de dommage si tu persistes ainsi.
- Expliques, mets de la chair après l'os !
- Un père doit avoir une compassion pour ses fils, les tapes sur les fesses n'a jamais donné de bon résultat parce que plus un Enfant se fait rabrouer de cette façon, plus il a tendance à s'endurcir et à vouloir prouver qu'il n'hésitera aucunement à avancer sur le chemin qu'il se construit et plutôt d'avoir une aide pour mieux comprendre le chemin à prendre avec sagesse, son orgueil enfle plus que son ego et devient irascible en vieillissant avant d'atteindre l'âge de la sagesse. L'Intelligence ne fonctionne pas à coup de pieds au cul !
Il me regarde et ses yeux deviennent hallucinants et je lui dis :
- Ne me regardes pas ainsi Père, tu le sais ce que je suis, est ce que tu es. Tu es mon Père après tout. Il est temps à avoir une autre vision de la Vie, cette belle expérimentation de la Conscience dans un corps animé. Fais une trêve de ta colère et compatis au lieu de détruire.
Il me lance une lame de feu sur ma Bulle, tellement fort que je me retrouve à nouveau à voyager à une vitesse vertigineuse, comme un enfant qui souffle sur une bulle de savon et que cette dernière fait des mouvements avec des formes d'enfoncement sans s'éclater. Seulement quelques secondes, je me retrouve devant Jupiter, tout juste à côté d'Europe, son satellite. Je décide de me rapprocher davantage de ce dernier et plus je m'avance, plus je ressens qu'il y a de la vie là, ça sent le méthane, la friture d'un barbecue. Calvince, j'ai oublié de fermer mon rond de poêle !
Pas d'allure !
Maintenant, je vais prendre une pause mais, que feriez-vous si vous étiez en flottaison devant Jupiter dans une Bulle. Quelle serait votre impression et quelle émotion auriez-vous ?
Dédé
Aucune idée.
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé
par Dédé, dimanche 22 octobre 2023, 20:03 (il y a 405 jours) @ Blake
Chooooo !
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé
par Blake, dimanche 22 octobre 2023, 20:55 (il y a 405 jours) @ Dédé
Chooooo !
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé
par Ammabaoth , dimanche 22 octobre 2023, 20:41 (il y a 405 jours) @ Blake
__________________Note de l'auteur :
Je vais retenter d'écrire des contes comme à mes débuts sur le virtuel. Évidemment, ils ne seront pas trop longs mais je vais m'efforcer à que ces contes se tiennent comme si je le ferais oralement devant un âtre à l'extérieur, avec un ciel de nuit rempli d'étoiles !
__________________Je marche sans itinéraire, je ne sais pas où aller, j'ai juste envie de m'éclipser de ce supplice moral à voir la décadence humaine avec ces chicanes qui se règlent à coup de roquettes et un fusil pour la chasse aux humains. Pas mêlant, j'ai envie de vomir et je suis gêné d'être un humain, cet être de matières vivantes qui au lieu d'évoluer, il involue. Que puis-je faire pour changer cette tendance qui n'engendre que de querelles, de cohues, une surpuissance de macaques.
Finalement, je décide d'aller à mon lieu de contemplation, là où l'imagination soigne mes blessures morales, là où je ne fais qu'un avec la nature, là où j'ai la sainte paix, là où je le nomme le Royaume des Cieux. Même pas mis un orteil à cet endroit magnifique, je suis transporté par une bulle transparente comme Pépin Labulle et dans le temps de m'en apercevoir, je suis déjà dans ce firmament, à plus de 500 milles kilomètre de ma chère Terre-Mère. Pauvre Mère, elle devrait être déçue de son Fruit à le voir aller comme un ravageur et un tapageur. D'un coup, je passe à une vitesse inouïe qui dépasse tout entendement et je me retrouve devant Râ, assez proche pour être grillé comme une saucisse Lester mais demeurant confortable comme si ma Bulle est un bouclier contre la fureur de Père. Je suis perplexe, il me semble qu'il n'est pas à point ce Père, comme s'il aurait attrapé la COVID-19 !
Oups, un léger dérapage !
Mautadine que je ne suis pas du monde !
Or pour ne pas que vous perdiez le fil, Père me semblait pas normal, une impression certes mais étant donné que je suis à mon millième transport imaginaire dans le cosmos, je sais reconnaître un astre, car tout Luminaire est une Vie, autant que le mystère est immuable. Je l'observe et je lui dis :
- Coup donc son Père, es-tu malade ?
- Ah ! C'est toi ! Non mais je suis un brin déboussolé parce que mes Fils ( les planètes et leurs satellites ) ne semblent pas comprendre et que je dois rehausser mes ardeurs.
- Je comprends pourquoi c'est la folie furieuse chez ma Mère, ton Ardeur rend fou le monde dans lequel je vis. Tu devrais plutôt user une autre façon de persuasion parce que là, tu vas faire beaucoup de dommage si tu persistes ainsi.
- Expliques, mets de la chair après l'os !
- Un père doit avoir une compassion pour ses fils, les tapes sur les fesses n'a jamais donné de bon résultat parce que plus un Enfant se fait rabrouer de cette façon, plus il a tendance à s'endurcir et à vouloir prouver qu'il n'hésitera aucunement à avancer sur le chemin qu'il se construit et plutôt d'avoir une aide pour mieux comprendre le chemin à prendre avec sagesse, son orgueil enfle plus que son ego et devient irascible en vieillissant avant d'atteindre l'âge de la sagesse. L'Intelligence ne fonctionne pas à coup de pieds au cul !
Il me regarde et ses yeux deviennent hallucinants et je lui dis :
- Ne me regardes pas ainsi Père, tu le sais ce que je suis, est ce que tu es. Tu es mon Père après tout. Il est temps à avoir une autre vision de la Vie, cette belle expérimentation de la Conscience dans un corps animé. Fais une trêve de ta colère et compatis au lieu de détruire.
Il me lance une lame de feu sur ma Bulle, tellement fort que je me retrouve à nouveau à voyager à une vitesse vertigineuse, comme un enfant qui souffle sur une bulle de savon et que cette dernière fait des mouvements avec des formes d'enfoncement sans s'éclater. Seulement quelques secondes, je me retrouve devant Jupiter, tout juste à côté d'Europe, son satellite. Je décide de me rapprocher davantage de ce dernier et plus je m'avance, plus je ressens qu'il y a de la vie là, ça sent le méthane, la friture d'un barbecue. Calvince, j'ai oublié de fermer mon rond de poêle !
Pas d'allure !
Maintenant, je vais prendre une pause mais, que feriez-vous si vous étiez en flottaison devant Jupiter dans une Bulle. Quelle serait votre impression et quelle émotion auriez-vous ?
Dédé
Aucune idée.
Moé itou Dédé.
Jupiter parait qui fait pas beau là.
Moi c'est l'anneau de Saturne qui m'intéresse.
Parait qu'il y a une énorme prison de minier. (Casseur de Pierre) par là.
Probable qu'il cherche de l'énergie?
C'est ce genre de Field qui m'intéresserait de voir comment il fonctionne.
--
☆Ammabaoth☆
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé
par Dédé, lundi 23 octobre 2023, 12:16 (il y a 405 jours) @ Dédé
Me retrouvant proche d'Europe, ce gros satellite de Jupiter, c'est grosse bille blanche et des lignes crevassées à sa surface, je tends mon oreille parce que j'ai le pressentiment qu'il y a de la vie sous sa croûte. Je n'entends pas rien qui bouge mais par contre, je ressens un vrombissement comme le fait d'écouter le sang circuler avec un stéthoscope et je me dis tout bonnement, a-t-il un cœur ce satellite ? J'ai ma réponse :
- Oui j'ai un cœur autant que mes frères qui tournent près de Mère Jupiter. Je suis le premier et le plus près d'elle. Je suis le plus petit mais le plus grand en matière vivante, je suis l'Arche de Noé.
Ô boy que je me dis, il semble en avoir fumé du très bon lui !
- Alors dis-moi, si tu es une arche de la vie, est-ce que je serais ce qui est en toi ?
- Poser la question, c'est d'y répondre.
Je suis surpris de sa réponse et j'entre en réflexion en scrutant l'environnement étoilé et je me dis pourquoi pas, il y a certainement de la vie parmi cette immensité. Je reprends la discussion :
- Alors si je suis ce qui est dans ton sein, est-ce à dire que tu as aussi des éléments de vie qui viennent d'ailleurs qu'ici ?
- Exactement comme sur et dans ta Mère.
- Donc, mon monde n'est pas seul.
- Tout à fait.
- J'imagine que si tu es une arche de Noé, la vie en toi se résume à être que des micro-organismes. À voir ton manteau, il est évident que la vie de matière ne peut pas survivre sur celui-ci.
- Tu ne vois qu'une dimension Dédé sur la multitude dimensionnelle, c'est normal de te poser ce genre de commentaire.
Après avoir dit ceci, mes yeux se brouillent et là, sa surface change de physionomie. Au lieu de voir du blanc et des lignes rouillées, je vois des terres, des océans et un effet de grossissement causé par l'atmosphère qui l'entoure.
- Bon Dieu du ciel bleu, un monde parmi un monde. Je comprends mieux pourquoi que mon monde n'est pas seul.
- À chacun son Plan et à chacun sa Vie.
Après avoir dit ça, un grand vent me repousse de l'endroit où j'étais et je m'éloigne de ce gros caillou, tout en m'éloignant de Jupiter. Je m'aperçois que ma bulle s'embrouille et comme de raison, je ne vois plus à l'extérieur. Par contre, je me sens quand même bien à l'aise parce qu'aucun heurt se fait. Après une trentaine de seconde, l'embrouille se dissipe rapidement pour me retrouver devant Râ. Bizarre tout de même, il n'est pas aussi flamboyant que de coutume, il a comme une teinte rougeâtre qui ne caractérise pas normalement sa physionomie. Plus je m'avance vers lui, je ressens sa thermie mais moins intensive que normalement aussi.
À suivre.
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé suite 3
par Dédé, vendredi 27 octobre 2023, 11:24 (il y a 401 jours) @ Dédé
Étant proche de Râ, ce dernier me dit :
- Tu n'es plus dans la dimension de ta galaxie mais bien à des années-lumières que même je suis surpris que tu sois encore vivant devant moi. Tu dois avoir quelque chose de différent pour un humanoïde de ton genre, tu es le premier que je vois. Le voyage a été bon ?
- Donc, je ne suis pas devant Râ de mon système solaire. Il me semblait que tu n'étais pas pareil comme lui. Mon voyage, il n'a pas été long pour me retrouver devant toi, à peine quelques minutes d'embrouille et je suis ici.
- C'est bien que je me disais lorsque j'ai reçu écho de ta visite. On m'avait averti que je recevrais la visite d'un humanoïde qui a découvert le secret des déplacements subtils. Si tu es devant moi, c'est que tu es l'un parmi les humanoïdes qui vivent en surface sur les planètes qui se trouvent derrière toi.
En me tournant de bord, je vois une énorme planète bleue et en vision à ma gauche, je vois une autre grosse planète striée de jaune et une énorme crevasse en perpendiculaire d'une couleur ocre. J'observe scrupuleusement la grosse planète bleue et je vois certainement ses satellites dont la plupart sont toutes bleues, comme ma Mère. Je scrute la Jaune et je vois une dizaine de ses satellites qui ont la même couleur. Je me revire et je dis à ce Râ :
- Il me semble reconnaître ce que je vois maintenant. Apparemment lors des innombrables rêves faits dans mon monde, que je reconnais ces deux planètes. La grosse bleue selon ces rêves, se nommait Yasépheph et la grosse jaune, Tirimaki.
Des yeux s'ouvrent sur ce Râ, je me sens observer et pas à peu près. Plus il m'observe, plus je me sens intimidé. Pourtant, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive de voir les Râ de cet Univers. Il prend la parole :
- Tu es si minuscule et tellement fragile que je ne comprends pas pourquoi tu n'es pas entrain de consumer par ma chaleur intense. Tu es vraiment spécial.
- Je suis protégé par ma bulle.
- Quelle bulle, je ne vois pas de bulle.
Je regarde autour de moi et je ne vois plus la pellicule que j'avais autour de moi. En fait, je me retrouve en flottaison devant Râ et je suis étonné et en même temps, avec une énorme crainte.
- Comment se fait-il que je n'ai plus ma bulle ? Il me répond :
- Sans doute que tu n'as plus besoin d'avoir cette bulle, ici dans mon monde, aucune chance de mourir, c'est pour ça qu'il y a autant de monde autour des satellites que tu vois. J'en ai seulement 2 planètes qui gravitent autour de moi, je les aime tellement qu'elles sont toutes proche de moi.
- Donc si je comprends bien, il y a des êtres-vivants sur ces satellites et sur cette grosse planète bleue.
- Oui et chaque être ne meurt pas, ils transitent en demeurant la même créature après 400 ans, la période de transition de chaque âme qui s'y réincarne. Le corps ne meurt pas, seule l'Âme s'y réincarne.
- Est-ce que ces Âmes sont toutes individuelles ?
- Elles le deviennent à chaque réincarnation mais demeure toujours la même identité. La transition se fait une fois au 400 ans après un sommeil de deux ans du corps, afin de rétablir le contact de la créature à sa Mère. Les Mères sont les Âmes et ne font qu'unes avec les créatures.
À suivre !
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé suite 3
par Ammabaoth , vendredi 27 octobre 2023, 20:54 (il y a 400 jours) @ Dédé
Étant proche de Râ, ce dernier me dit :
- Tu n'es plus dans la dimension de ta galaxie mais bien à des années-lumières que même je suis surpris que tu sois encore vivant devant moi. Tu dois avoir quelque chose de différent pour un humanoïde de ton genre, tu es le premier que je vois. Le voyage a été bon ?
- Donc, je ne suis pas devant Râ de mon système solaire. Il me semblait que tu n'étais pas pareil comme lui. Mon voyage, il n'a pas été long pour me retrouver devant toi, à peine quelques minutes d'embrouille et je suis ici.
- C'est bien que je me disais lorsque j'ai reçu écho de ta visite. On m'avait averti que je recevrais la visite d'un humanoïde qui a découvert le secret des déplacements subtils. Si tu es devant moi, c'est que tu es l'un parmi les humanoïdes qui vivent en surface sur les planètes qui se trouvent derrière toi.
En me tournant de bord, je vois une énorme planète bleue et en vision à ma gauche, je vois une autre grosse planète striée de jaune et une énorme crevasse en perpendiculaire d'une couleur ocre. J'observe scrupuleusement la grosse planète bleue et je vois certainement ses satellites dont la plupart sont toutes bleues, comme ma Mère. Je scrute la Jaune et je vois une dizaine de ses satellites qui ont la même couleur. Je me revire et je dis à ce Râ :
- Il me semble reconnaître ce que je vois maintenant. Apparemment lors des innombrables rêves faits dans mon monde, que je reconnais ces deux planètes. La grosse bleue selon ces rêves, se nommait Yasépheph et la grosse jaune, Tirimaki.
Des yeux s'ouvrent sur ce Râ, je me sens observer et pas à peu près. Plus il m'observe, plus je me sens intimidé. Pourtant, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive de voir les Râ de cet Univers. Il prend la parole :
- Tu es si minuscule et tellement fragile que je ne comprends pas pourquoi tu n'es pas entrain de consumer par ma chaleur intense. Tu es vraiment spécial.
- Je suis protégé par ma bulle.
- Quelle bulle, je ne vois pas de bulle.
Je regarde autour de moi et je ne vois plus la pellicule que j'avais autour de moi. En fait, je me retrouve en flottaison devant Râ et je suis étonné et en même temps, avec une énorme crainte.
- Comment se fait-il que je n'ai plus ma bulle ? Il me répond :
- Sans doute que tu n'as plus besoin d'avoir cette bulle, ici dans mon monde, aucune chance de mourir, c'est pour ça qu'il y a autant de monde autour des satellites que tu vois. J'en ai seulement 2 planètes qui gravitent autour de moi, je les aime tellement qu'elles sont toutes proche de moi.
- Donc si je comprends bien, il y a des êtres-vivants sur ces satellites et sur cette grosse planète bleue.
- Oui et chaque être ne meurt pas, ils transitent en demeurant la même créature après 400 ans, la période de transition de chaque âme qui s'y réincarne. Le corps ne meurt pas, seule l'Âme s'y réincarne.
- Est-ce que ces Âmes sont toutes individuelles ?
- Elles le deviennent à chaque réincarnation mais demeure toujours la même identité. La transition se fait une fois au 400 ans après un sommeil de deux ans du corps, afin de rétablir le contact de la créature à sa Mère. Les Mères sont les Âmes et ne font qu'unes avec les créatures.
À suivre !
C'est intéressant comme tu planes en ta !
--
☆Ammabaoth☆
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé suite 3
par Dédé, samedi 28 octobre 2023, 10:54 (il y a 400 jours) @ Ammabaoth
C'est intéressant comme tu planes en ta !
______________
L'imagination n'a aucune limite du temps, du mouvement et des dimensions.
Le conte, est une captation de cette imagination.
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé suite 3
par Ammabaoth , samedi 28 octobre 2023, 18:38 (il y a 400 jours) @ Dédé
C'est intéressant comme tu planes en ta !
______________
L'imagination n'a aucune limite du temps, du mouvement et des dimensions.
Le conte, est une captation de cette imagination.
En plus, c'est une Pleine Lune de Sang pour cette fin de semaine de l'halloween.
C'est pas bon signe je pense.
Encore bravo pour ton texte, il y avait beaucoup d'imagination dans certain élément.
Ça m'a faite trippé.
Espérons que tu souffres pas trop
--
☆Ammabaoth☆
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé suite 3
par Claudie, dimanche 29 octobre 2023, 22:24 (il y a 398 jours) @ Dédé
Étant proche de Râ, ce dernier me dit :
- Tu n'es plus dans la dimension de ta galaxie mais bien à des années-lumières que même je suis surpris que tu sois encore vivant devant moi. Tu dois avoir quelque chose de différent pour un humanoïde de ton genre, tu es le premier que je vois. Le voyage a été bon ?
- Donc, je ne suis pas devant Râ de mon système solaire. Il me semblait que tu n'étais pas pareil comme lui. Mon voyage, il n'a pas été long pour me retrouver devant toi, à peine quelques minutes d'embrouille et je suis ici.
- C'est bien que je me disais lorsque j'ai reçu écho de ta visite. On m'avait averti que je recevrais la visite d'un humanoïde qui a découvert le secret des déplacements subtils. Si tu es devant moi, c'est que tu es l'un parmi les humanoïdes qui vivent en surface sur les planètes qui se trouvent derrière toi.
En me tournant de bord, je vois une énorme planète bleue et en vision à ma gauche, je vois une autre grosse planète striée de jaune et une énorme crevasse en perpendiculaire d'une couleur ocre. J'observe scrupuleusement la grosse planète bleue et je vois certainement ses satellites dont la plupart sont toutes bleues, comme ma Mère. Je scrute la Jaune et je vois une dizaine de ses satellites qui ont la même couleur. Je me revire et je dis à ce Râ :
- Il me semble reconnaître ce que je vois maintenant. Apparemment lors des innombrables rêves faits dans mon monde, que je reconnais ces deux planètes. La grosse bleue selon ces rêves, se nommait Yasépheph et la grosse jaune, Tirimaki.
Des yeux s'ouvrent sur ce Râ, je me sens observer et pas à peu près. Plus il m'observe, plus je me sens intimidé. Pourtant, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive de voir les Râ de cet Univers. Il prend la parole :
- Tu es si minuscule et tellement fragile que je ne comprends pas pourquoi tu n'es pas entrain de consumer par ma chaleur intense. Tu es vraiment spécial.
- Je suis protégé par ma bulle.
- Quelle bulle, je ne vois pas de bulle.
Je regarde autour de moi et je ne vois plus la pellicule que j'avais autour de moi. En fait, je me retrouve en flottaison devant Râ et je suis étonné et en même temps, avec une énorme crainte.
- Comment se fait-il que je n'ai plus ma bulle ? Il me répond :
- Sans doute que tu n'as plus besoin d'avoir cette bulle, ici dans mon monde, aucune chance de mourir, c'est pour ça qu'il y a autant de monde autour des satellites que tu vois. J'en ai seulement 2 planètes qui gravitent autour de moi, je les aime tellement qu'elles sont toutes proche de moi.
- Donc si je comprends bien, il y a des êtres-vivants sur ces satellites et sur cette grosse planète bleue.
- Oui et chaque être ne meurt pas, ils transitent en demeurant la même créature après 400 ans, la période de transition de chaque âme qui s'y réincarne. Le corps ne meurt pas, seule l'Âme s'y réincarne.
- Est-ce que ces Âmes sont toutes individuelles ?
- Elles le deviennent à chaque réincarnation mais demeure toujours la même identité. La transition se fait une fois au 400 ans après un sommeil de deux ans du corps, afin de rétablir le contact de la créature à sa Mère. Les Mères sont les Âmes et ne font qu'unes avec les créatures.
À suivre !
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Tu dis "" que feriez-vous si vous étiez en flottaison devant Jupiter dans une Bulle. Quelle serait votre impression et quelle émotion auriez-vous ? ""
Je meurs drette là ?
Mais j'adore tes histoires Mononcle Dédé ? Tu expliques si bien que je vois tout ça et mon imagination me permet de les voir comme un beau film 3D Merci mon amour !!! Je t'aime !!!
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé suite 4 et fin
par Dédé, lundi 30 octobre 2023, 14:10 (il y a 398 jours) @ Dédé
Après son narratif des âmes vivantes sur ces astres devant moi, j'observe Tirimaki dont l'un de ses satellites se démarquent amplement des autres.
- Dis-moi Râ, il est anormalement gros ce satellite comparativement aux autres qui gravitent autour de Tirimaki. Y-a-t-il une raison particulière ?
- Ce satellite se nomme La Gourde, c'est un gigantesque puits d'eau qui sert uniquement de réserve sur les possibles sécheresses qui se produisent sur certains satellites trop proche de leur Mère. Par contre, c'est plutôt rare que cela se produit, la dernière fois c'était il y a plus de 5,000 ans, Jéronimo un satellite de Yasépheph, ont envoyé une expédition pour aller puiser l'eau sur La Gourde, Jéronimo se lamentait tellement j'ai eu écho jusqu'à moi.
Plus que j'observe Tirimaki, plus je vois un satellite qui ressemble passablement à ma Mère.
- Comment se nomme le satellite à droite de Tirimaki, il ressemble pas mal à ma Mère.
- Il se nomme Diesténome, c'est ce satellite dont tu as la mémoire de ton incarnation sur ta planète Terre, car non seulement tu as les mémoires de ta planète, tu as aussi celles de Diesténome. Pas pour rien que tu es ici devant moi.
- Mouin, ai-je demandé de m'exiler aussi loin dans le fin fond de ce monde en cohue ?
- Tu n'es pas le seul au cas où tu ne le saurais pas, après plusieurs incarnations, les âmes voyagent à travers cet Univers afin de faire évoluer la vie intelligente ailleurs qu'ici. En plus, il y a des systèmes solaires qui agissent comme tel ailleurs qu'ici. En fait, il y a plus d'âmes que toi et les autres, qu'il y a de gens sur votre planète.
- Ah ben ! Une autre raison pourquoi nous ne sommes pas seuls !
Je l'entends rire et ça me rassure, parce que je trouve ça assez pesant à accepter, moi l'âme terrestre qui s'incarne depuis tellement de siècles sur Mère. Tout d'un coup, je ressens un vent chaud sur moi et je m'éloigne de ce Râ tout en me faisant un bye-bye. La bulle se reforme autour de moi et s'embrouille de nouveau. Je dois filer à toute allure parce que je ressens un léger inconfort par la force G qui se produit. Au bout de quelques secondes, je me retrouve devant Mère en voyant l'embrouille se dissiper.
Je me dis que le voyage se termine ici tout en me demandant, que puis-je faire autre pour atténuer la folie humaine sur le saccage sur Mère, sur la cohue existentielle qui perdure depuis que le monde est monde et tout l'étendue de poubelle cosmique qu'envoie l'humain dans ce firmament. Que puis-je faire autre que d'observer notre déchéance tout en sachant que je suis l'incarnation de Diesténome qui doit parvenir à l'humain, de se retrouver à la source même de Mère afin de répondre à la vie à ce qu'elle doit être et non à ce que nous les humains faisons à ce qu'elle soit. Tôt ou tard, elle devra tous nous éliminer, du premier au dernier, c'est une question de sa propre survie.
À moins bien sûr de recevoir de l'aide des Voyageurs !
Voilà, c'est la fin de ce conte. En espérant que cela vous a plu.
Dédé
Les contes pour Enfants de Mononcle Dédé suite 4 et fin
par Claudie, lundi 30 octobre 2023, 15:42 (il y a 398 jours) @ Dédé
Après son narratif des âmes vivantes sur ces astres devant moi, j'observe Tirimaki dont l'un de ses satellites se démarquent amplement des autres.
- Dis-moi Râ, il est anormalement gros ce satellite comparativement aux autres qui gravitent autour de Tirimaki. Y-a-t-il une raison particulière ?
- Ce satellite se nomme La Gourde, c'est un gigantesque puits d'eau qui sert uniquement de réserve sur les possibles sécheresses qui se produisent sur certains satellites trop proche de leur Mère. Par contre, c'est plutôt rare que cela se produit, la dernière fois c'était il y a plus de 5,000 ans, Jéronimo un satellite de Yasépheph, ont envoyé une expédition pour aller puiser l'eau sur La Gourde, Jéronimo se lamentait tellement j'ai eu écho jusqu'à moi.
Plus que j'observe Tirimaki, plus je vois un satellite qui ressemble passablement à ma Mère.
- Comment se nomme le satellite à droite de Tirimaki, il ressemble pas mal à ma Mère.
- Il se nomme Diesténome, c'est ce satellite dont tu as la mémoire de ton incarnation sur ta planète Terre, car non seulement tu as les mémoires de ta planète, tu as aussi celles de Diesténome. Pas pour rien que tu es ici devant moi.
- Mouin, ai-je demandé de m'exiler aussi loin dans le fin fond de ce monde en cohue ?
- Tu n'es pas le seul au cas où tu ne le saurais pas, après plusieurs incarnations, les âmes voyagent à travers cet Univers afin de faire évoluer la vie intelligente ailleurs qu'ici. En plus, il y a des systèmes solaires qui agissent comme tel ailleurs qu'ici. En fait, il y a plus d'âmes que toi et les autres, qu'il y a de gens sur votre planète.
- Ah ben ! Une autre raison pourquoi nous ne sommes pas seuls !
Je l'entends rire et ça me rassure, parce que je trouve ça assez pesant à accepter, moi l'âme terrestre qui s'incarne depuis tellement de siècles sur Mère. Tout d'un coup, je ressens un vent chaud sur moi et je m'éloigne de ce Râ tout en me faisant un bye-bye. La bulle se reforme autour de moi et s'embrouille de nouveau. Je dois filer à toute allure parce que je ressens un léger inconfort par la force G qui se produit. Au bout de quelques secondes, je me retrouve devant Mère en voyant l'embrouille se dissiper.
Je me dis que le voyage se termine ici tout en me demandant, que puis-je faire autre pour atténuer la folie humaine sur le saccage sur Mère, sur la cohue existentielle qui perdure depuis que le monde est monde et tout l'étendue de poubelle cosmique qu'envoie l'humain dans ce firmament. Que puis-je faire autre que d'observer notre déchéance tout en sachant que je suis l'incarnation de Diesténome qui doit parvenir à l'humain, de se retrouver à la source même de Mère afin de répondre à la vie à ce qu'elle doit être et non à ce que nous les humains faisons à ce qu'elle soit. Tôt ou tard, elle devra tous nous éliminer, du premier au dernier, c'est une question de sa propre survie.
À moins bien sûr de recevoir de l'aide des Voyageurs !
Voilà, c'est la fin de ce conte. En espérant que cela vous a plu.
Dédé
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Ben moi j'ai adoré !!! C'est comme si je regardais un bon film ou que je vivrais un beau rêve.... L'imagination c'est le plus merveilleux exemple de ce qu'on peut vivre sans être contrôlés parce que pour tout le reste on est contrôlés... contrôlés...... partout !!!