Privé en santé: Dubé favorable (Forum)
Dubé favorable au maintien de l’offre du privé en santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, veut que la plateforme gouvernementale Rendez-vous santé Québec (RSVQ) continue de diriger des patients vers des établissements de santé privés.
Il a par contre affirmé mercredi qu’il souhaite clarifier davantage quels sont les choix offerts aux patients. « Je vais voir les corrections à faire sur le site, pour m’assurer que les gens comprennent bien qu’il y a des rendez-vous qui sont gratuits et qu’il y a des rendez-vous qui sont payants », a-t-il déclaré dans un échange avec la presse parlementaire. « Je ne suis pas sûr que ça, c’est bien clair. »
Le Devoir a révélé mercredi le cas d’un patient qui s’est retrouvé dans une clinique privée après avoir été dirigé par RSVQ vers une liste de services de remplacement en raison d’un manque de disponibilité dans son groupe de médecine familiale.
M. Dubé s’est montré favorable à cette façon de procéder. « Je n’ai pas de problème avec ça », a-t-il dit.
Le ministre a toutefois indiqué qu’il ne veut pas que RSVQ offre directement des rendez-vous dans des entreprises privées de soins de santé. « Je veux juste préciser que Rendez-vous santé donne une liste où on peut avoir des rendez-vous publics, donc gratuits, mais qui donne aussi une liste dès qu’il y a des rendez-vous privés », a-t-il dit.
En septembre, M. Dubé avait déjà affirmé que l’offre du privé sur la populaire plateforme privée Clic santé était complémentaire à celle du secteur public.
Anormal, juge l’opposition
Le député libéral André Fortin juge anormal que le gouvernement ouvre ainsi la porte au secteur privé à travers sa propre plateforme. « Si les gens veulent des services privés, ils se tourneront vers les Pages jaunes ; ils iront voir ils sont où, ces services-là. Mais quand on se tourne vers le gouvernement, c’est pour avoir des services publics, a-t-il dit. On ne peut pas diriger des gens, sans leur dire de surcroît, vers des services pour lesquels ils vont avoir à débourser. »
Selon M. Fortin, le ministre Dubé s’était pourtant déjà engagé à colmater ce genre de brèche par laquelle les patients se retrouvent à devoir éponger des factures de 200 $ et plus. « Christian Dubé lui-même nous a dit : “Ça n’a pas de sens, il faut arrêter ça.” De toute évidence, ça n’a pas été fait. »
Le député solidaire Guillaume Cliche-Rivard a plaidé pour que la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) rembourse les patients dirigés ainsi vers le secteur privé. « Il y a des familles, c’est bien évident, qui sont incapables de se payer ça », a-t-il déploré.
Selon lui, l’offre du secteur privé semble plus accessible que celle du secteur public dans certains cas. « Les seules choses qui sont disponibles sur ces plateformes-là, en ce moment, si tu veux prendre un rendez-vous, c’est le payant — si tu veux prendre un rendez-vous à court terme, demain ou après-demain. »
https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/dub%C3%A9-favorable-au-maintien-de-l...
Ha! Pas vraiment surpris de ça. Je l'ai toujours dit et ce n'est qu'un début. Les ti-namis du privé vont se remplir les poches avec l'aide de la CAQ.
Privé en santé: Dubé favorable
Dubé favorable au maintien de l’offre du privé en santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, veut que la plateforme gouvernementale Rendez-vous santé Québec (RSVQ) continue de diriger des patients vers des établissements de santé privés.
Il a par contre affirmé mercredi qu’il souhaite clarifier davantage quels sont les choix offerts aux patients. « Je vais voir les corrections à faire sur le site, pour m’assurer que les gens comprennent bien qu’il y a des rendez-vous qui sont gratuits et qu’il y a des rendez-vous qui sont payants », a-t-il déclaré dans un échange avec la presse parlementaire. « Je ne suis pas sûr que ça, c’est bien clair. »
Le Devoir a révélé mercredi le cas d’un patient qui s’est retrouvé dans une clinique privée après avoir été dirigé par RSVQ vers une liste de services de remplacement en raison d’un manque de disponibilité dans son groupe de médecine familiale.
M. Dubé s’est montré favorable à cette façon de procéder. « Je n’ai pas de problème avec ça », a-t-il dit.
Le ministre a toutefois indiqué qu’il ne veut pas que RSVQ offre directement des rendez-vous dans des entreprises privées de soins de santé. « Je veux juste préciser que Rendez-vous santé donne une liste où on peut avoir des rendez-vous publics, donc gratuits, mais qui donne aussi une liste dès qu’il y a des rendez-vous privés », a-t-il dit.
En septembre, M. Dubé avait déjà affirmé que l’offre du privé sur la populaire plateforme privée Clic santé était complémentaire à celle du secteur public.
Anormal, juge l’opposition
Le député libéral André Fortin juge anormal que le gouvernement ouvre ainsi la porte au secteur privé à travers sa propre plateforme. « Si les gens veulent des services privés, ils se tourneront vers les Pages jaunes ; ils iront voir ils sont où, ces services-là. Mais quand on se tourne vers le gouvernement, c’est pour avoir des services publics, a-t-il dit. On ne peut pas diriger des gens, sans leur dire de surcroît, vers des services pour lesquels ils vont avoir à débourser. »Selon M. Fortin, le ministre Dubé s’était pourtant déjà engagé à colmater ce genre de brèche par laquelle les patients se retrouvent à devoir éponger des factures de 200 $ et plus. « Christian Dubé lui-même nous a dit : “Ça n’a pas de sens, il faut arrêter ça.” De toute évidence, ça n’a pas été fait. »
Le député solidaire Guillaume Cliche-Rivard a plaidé pour que la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) rembourse les patients dirigés ainsi vers le secteur privé. « Il y a des familles, c’est bien évident, qui sont incapables de se payer ça », a-t-il déploré.
Selon lui, l’offre du secteur privé semble plus accessible que celle du secteur public dans certains cas. « Les seules choses qui sont disponibles sur ces plateformes-là, en ce moment, si tu veux prendre un rendez-vous, c’est le payant — si tu veux prendre un rendez-vous à court terme, demain ou après-demain. »
https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/dub%C3%A9-favorable-au-maintien-de-l...
Ha! Pas vraiment surpris de ça. Je l'ai toujours dit et ce n'est qu'un début. Les ti-namis du privé vont se remplir les poches avec l'aide de la CAQ.
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C'est sensé être un moyen palliatif ou de remplacement dans le cas où il n'y a aucune ouverture pour se faire soigner au public. Juste par exemple, je dois aller rencontrer un ophtalmo en clinique privé pour mes cataractes parce que le service public est complètement saturé car plusieurs ophtalmos ont quitté pour le privé, en autre ailleurs qu'ici à Granby. Je dois débourser pour un scanner parce que la RAMQ ne rembourse pas un tel service privé, il rembourse seulement le médical du service privé. Je pourrais cependant lui demander qu'il me réfère en service public pour passer ce scanner mais le service public est débordé et cela pourrait prendre plus de 6 mois avant de la passer.
Étant donné que l'attente de l'opération de mes cataractes a dépassé les 8 mois et que je ne vois pratiquement plus, je vais le payer le crisse de scanner ( 80$ ) même si la RAMQ ne rembourse pas.
C'Est des Privatiseurs...Elvis Privatisation
Mulroney pendant la compagne électrominable de Erin No Tool avait laissé sous entendre une privatisation du système de santé... ce qui fait l'affaire de tout ceux qui ont du pognon$
Elvis Gratton II - Sur les privatisations
https://www.youtube.com/watch?v=_-pAgvJzKgw
C'est tous des Elvis de Privatisation....
Ils font exprès de démolir les systèmes publiques pour privatiser le plus possible...
dans Les Marais
Baleroney travaille avec PKUL
LesMarais est directement conseiller du PM qui lui travaille pour McKinchose
Mckinchose a signé un contrat de près de 100 ans avec le fed
Lulu était invité au party des Marais avec Moumouette Charue
Toute la même gang qui travaille à rendre le monde le plus pauvre que possible et l'élite la plus riche et puissante que possible.... et de couper le plus possible dans les dépenses publiques afin de subventionner les multinationales à coût$ de prêt$ pardonnables....
Et le conseiller du PM du KC est encore plus baveux et arrogant que le PM... ça grandit avec une cuillière d'argent et d'or dans la bouche et ça paraît...
Brian Mulroney, l'improbable mentor de PKP
si vous croyez au hasard.... la lettre n'est pas apparue comme par magie..
https://www.lapresse.ca/actualites/elections-quebec-2014/201403/13/01-4747591-brian-mul...
Brian Mulroney, l'improbable mentor de PKP
Champion de la souveraineté du Québec, Pierre Karl Péladeau a un improbable mentor: Brian Mulroney, fédéraliste parmi les fédéralistes. Et l'ancien premier ministre du Canada était d'accord avec la décision du baron de la presse de contribuer à la vie publique, de faire le saut en politique.
Mis à jour le 14 mars 2014Partager
DENIS LESSARD ET KATIA GAGNON
LA PRESSE
De toute évidence, Péladeau n'a pas demandé de permission à qui que ce soit avant de dire oui à Pauline Marois. Mais il savait avoir l'aval d'un Mulroney pour qui «quelqu'un qui veut faire de la politique, c'est en soi respectable». «Pour Mulroney, les gens qui plongent ont plus de courage que ceux qui ne plongent pas», confiera un proche de l'étonnant tandem.
La Presse a joint quelques témoins des tractations qui ont mené à cette étonnante candidature. La piste de Brian Mulroney est vite apparue. Mulroney était l'avocat de Pierre Péladeau, le père, dès le début des années 70. Il avait négocié la première convention collective du Journal de Montréal. L'ancien politicien a été nommé en 1998 au conseil d'administration de Québecor, qui s'écrivait alors Quebecor; il en est actuellement le vice-président.
Signe d'une relation bien plus intime, M. Mulroney est le parrain de Thomas, le fils de M. Péladeau et de Julie Snyder. Ultimement, l'ancien premier ministre a été «informé» de la décision quelques heures à l'avance et «il lui a souhaité la meilleure des chances», expliquera une autre source.
Péladeau est plein de «déférence», de respect évident pour Brian Mulroney, même si les deux hommes sont carrément aux antipodes sur leur vision du Québec et du Canada. Le patron de l'empire de presse est souverainiste depuis longtemps. «J'ai toujours eu des convictions politiques profondes depuis ma tendre enfance», dira-t-il en entrevue. En 1980, Péladeau avait voté Oui; en 1995, il n'avait pas voté, parce qu'il se trouvait en Europe.
Un nom de code
Le projet d'attirer Pierre Karl Péladeau au Parti québécois (PQ) était tenu dans le plus grand secret dans l'entourage de Pauline Marois, où l'on utilisait un nom de code, de trois lettres, pour parler du candidat. Depuis des semaines, le directeur du PQ, Sylvain Tanguay, avait eu comme seule consigne de ne pas annoncer tout de suite de candidat pour Saint-Jérôme.
Ce n'est que le vendredi, soit la veille du conseil national de Laval, que l'organisation du PQ a su que PKP avait accepté de faire le saut. Samedi matin, on a prévenu la direction péquiste de Saint-Jérôme. Péladeau a eu, ce soir-là, sa première rencontre avec des permanents de son nouveau parti.
Le lendemain, juste avant qu'on procède à l'annonce, il a fait une rapide tournée au téléphone pour aviser des gens comme Gilles Duceppe et Bernard Landry de sa décision. «On était le 9 mars, je pensais qu'il m'appelait pour mon anniversaire! Je lui ai dit: "Tu me fais un maudit beau cadeau d'anniversaire!"», a confié M. Landry, qui rencontrait régulièrement Péladeau au cours des dernières années. Mme Snyder est aussi proche de Chantal Renaud, la conjointe de M. Landry.
L'automne dernier, Péladeau «était déjà en réflexion avancée». «Ce qui dominait chez lui déjà, c'est son désir que l'indépendance se fasse!», résume l'ancien premier ministre. Pour l'homme d'affaires, «c'est un saut vertigineux. Il est normal de poser quelques questions, il m'en a posé».
Déjà l'automne dernier, une figure connue avait confié à La Presse que Pierre Karl Péladeau serait candidat pour le PQ et deviendrait un super-ministre économique. Des propos qui, semble-t-il, avaient été tenus dans un cercle restreint par le chef de cabinet adjoint de Mme Marois, Dominique Lebel. Ce dernier avait, à l'époque, opposé un démenti formel.
C'était Québec
Pierre Karl préparait une carrière politique, mais un peu plus tard. S'il avait pu annoncer que la Ligue nationale de hockey acceptait d'accorder une concession à Québec, il se serait trouvé une circonscription dans la région de la Capitale. Depuis des mois, ses nombreuses participations à des activités publiques, son appui à des sociétés caritatives de Québec montraient un intérêt aussi subit qu'inusité chez ce Montréalais. Il croyait pouvoir annoncer une équipe en avril 2014 et faire savoir du même coup qu'il venait vivre à Québec, confie-t-on. Mais la concession n'est jamais arrivée.
Tout le mois de février, le baron de la presse semble souffler le chaud et le froid, même avec des proches. Il se dit souvent en «réflexion» avec un sourire entendu. Plus tard, quand on lui rappelle en privé sa déclaration à la chambre de commerce de Lévis, le 24 février, il réplique: «Que vouliez-vous que je réponde!»
Dix jours avant son annonce, à un collaborateur de longue date, il affirme pourtant: «Je n'y vais pas, ma décision est prise.» Ceux qui ont suivi de près son cheminement expliquent alors que sa rupture avec Julie Snyder canalise beaucoup de son énergie et de son temps.
Mais subitement, tout bascule; en processus de séparation, Péladeau et Snyder en arrivent à une entente sur la suite des choses; l'obstacle qui restait sur la route du futur politicien venait de disparaître. «J'ai rencontré une problématique dans ma vie. Ça m'empêchait de m'engager. Julie et moi avons trouvé des pistes de solution.» L'accord de Snyder «a été plus que déterminant», explique Péladeau en entrevue à La Presse.
Mme Snyder passera d'ailleurs un coup de fil à Mme Marois, à ce moment, pour l'assurer qu'elle était pleinement en accord avec la décision de son ex-conjoint. Comme il l'a révélé, Pierre Karl Péladeau téléphone à Mme Marois le lundi suivant la semaine de relâche pour lui dire que sa décision est prise: il sera candidat. Dès lors, la consigne est formelle, ce sera silence radio jusqu'à l'annonce de dimanche.
Brian Mulroney, l'improbable mentor de PKP
Franchement, veux-tu bien cesser ta propagande avec des vieilles actualités qui n'ont aucun rapport au sujet actuel !
Nous savons tous qu'il y a de la magouille en politique, crisse, nous ne sommes pas nés d'hier sacréfesse. Le sujet est la Santé, pas Malrunné esti !
Malrunné esti
Franchement, veux-tu bien cesser ta propagande avec des vieilles actualités qui n'ont aucun rapport au sujet actuel !
Nous savons tous qu'il y a de la magouille en politique, crisse, nous ne sommes pas nés d'hier sacréfesse. Le sujet est la Santé, pas Malrunné esti !
la politique canadienne québécoise est incestueuse...
Dans un discours électorale pour aider Mulroney, il avait parlé des changements en santé, notamment laissant sous entendre la privatiation....
Bref une élite qui travaille dans tous les secteurs contre nous autres...
Privé en santé: Dubé favorable
Dubé favorable au maintien de l’offre du privé en santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, veut que la plateforme gouvernementale Rendez-vous santé Québec (RSVQ) continue de diriger des patients vers des établissements de santé privés.
Il a par contre affirmé mercredi qu’il souhaite clarifier davantage quels sont les choix offerts aux patients. « Je vais voir les corrections à faire sur le site, pour m’assurer que les gens comprennent bien qu’il y a des rendez-vous qui sont gratuits et qu’il y a des rendez-vous qui sont payants », a-t-il déclaré dans un échange avec la presse parlementaire. « Je ne suis pas sûr que ça, c’est bien clair. »
Le Devoir a révélé mercredi le cas d’un patient qui s’est retrouvé dans une clinique privée après avoir été dirigé par RSVQ vers une liste de services de remplacement en raison d’un manque de disponibilité dans son groupe de médecine familiale.
M. Dubé s’est montré favorable à cette façon de procéder. « Je n’ai pas de problème avec ça », a-t-il dit.
Le ministre a toutefois indiqué qu’il ne veut pas que RSVQ offre directement des rendez-vous dans des entreprises privées de soins de santé. « Je veux juste préciser que Rendez-vous santé donne une liste où on peut avoir des rendez-vous publics, donc gratuits, mais qui donne aussi une liste dès qu’il y a des rendez-vous privés », a-t-il dit.
En septembre, M. Dubé avait déjà affirmé que l’offre du privé sur la populaire plateforme privée Clic santé était complémentaire à celle du secteur public.
Anormal, juge l’opposition
Le député libéral André Fortin juge anormal que le gouvernement ouvre ainsi la porte au secteur privé à travers sa propre plateforme. « Si les gens veulent des services privés, ils se tourneront vers les Pages jaunes ; ils iront voir ils sont où, ces services-là. Mais quand on se tourne vers le gouvernement, c’est pour avoir des services publics, a-t-il dit. On ne peut pas diriger des gens, sans leur dire de surcroît, vers des services pour lesquels ils vont avoir à débourser. »Selon M. Fortin, le ministre Dubé s’était pourtant déjà engagé à colmater ce genre de brèche par laquelle les patients se retrouvent à devoir éponger des factures de 200 $ et plus. « Christian Dubé lui-même nous a dit : “Ça n’a pas de sens, il faut arrêter ça.” De toute évidence, ça n’a pas été fait. »
Le député solidaire Guillaume Cliche-Rivard a plaidé pour que la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) rembourse les patients dirigés ainsi vers le secteur privé. « Il y a des familles, c’est bien évident, qui sont incapables de se payer ça », a-t-il déploré.
Selon lui, l’offre du secteur privé semble plus accessible que celle du secteur public dans certains cas. « Les seules choses qui sont disponibles sur ces plateformes-là, en ce moment, si tu veux prendre un rendez-vous, c’est le payant — si tu veux prendre un rendez-vous à court terme, demain ou après-demain. »
https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/dub%C3%A9-favorable-au-maintien-de-l...
Ha! Pas vraiment surpris de ça. Je l'ai toujours dit et ce n'est qu'un début. Les ti-namis du privé vont se remplir les poches avec l'aide de la CAQ.
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C'est sensé être un moyen palliatif ou de remplacement dans le cas où il n'y a aucune ouverture pour se faire soigner au public. Juste par exemple, je dois aller rencontrer un ophtalmo en clinique privé pour mes cataractes parce que le service public est complètement saturé car plusieurs ophtalmos ont quitté pour le privé, en autre ailleurs qu'ici à Granby. Je dois débourser pour un scanner parce que la RAMQ ne rembourse pas un tel service privé, il rembourse seulement le médical du service privé. Je pourrais cependant lui demander qu'il me réfère en service public pour passer ce scanner mais le service public est débordé et cela pourrait prendre plus de 6 mois avant de la passer.
Étant donné que l'attente de l'opération de mes cataractes a dépassé les 8 mois et que je ne vois pratiquement plus, je vais le payer le crisse de scanner ( 80$ ) même si la RAMQ ne rembourse pas.
C'est pas plus cher que ça un scan au privé? J'ai un ami qui a dû payer 900$ pour un IRM au privé par ici.
Privé en santé: Dubé favorable
Dubé favorable au maintien de l’offre du privé en santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, veut que la plateforme gouvernementale Rendez-vous santé Québec (RSVQ) continue de diriger des patients vers des établissements de santé privés.
Il a par contre affirmé mercredi qu’il souhaite clarifier davantage quels sont les choix offerts aux patients. « Je vais voir les corrections à faire sur le site, pour m’assurer que les gens comprennent bien qu’il y a des rendez-vous qui sont gratuits et qu’il y a des rendez-vous qui sont payants », a-t-il déclaré dans un échange avec la presse parlementaire. « Je ne suis pas sûr que ça, c’est bien clair. »
Le Devoir a révélé mercredi le cas d’un patient qui s’est retrouvé dans une clinique privée après avoir été dirigé par RSVQ vers une liste de services de remplacement en raison d’un manque de disponibilité dans son groupe de médecine familiale.
M. Dubé s’est montré favorable à cette façon de procéder. « Je n’ai pas de problème avec ça », a-t-il dit.
Le ministre a toutefois indiqué qu’il ne veut pas que RSVQ offre directement des rendez-vous dans des entreprises privées de soins de santé. « Je veux juste préciser que Rendez-vous santé donne une liste où on peut avoir des rendez-vous publics, donc gratuits, mais qui donne aussi une liste dès qu’il y a des rendez-vous privés », a-t-il dit.
En septembre, M. Dubé avait déjà affirmé que l’offre du privé sur la populaire plateforme privée Clic santé était complémentaire à celle du secteur public.
Anormal, juge l’opposition
Le député libéral André Fortin juge anormal que le gouvernement ouvre ainsi la porte au secteur privé à travers sa propre plateforme. « Si les gens veulent des services privés, ils se tourneront vers les Pages jaunes ; ils iront voir ils sont où, ces services-là. Mais quand on se tourne vers le gouvernement, c’est pour avoir des services publics, a-t-il dit. On ne peut pas diriger des gens, sans leur dire de surcroît, vers des services pour lesquels ils vont avoir à débourser. »Selon M. Fortin, le ministre Dubé s’était pourtant déjà engagé à colmater ce genre de brèche par laquelle les patients se retrouvent à devoir éponger des factures de 200 $ et plus. « Christian Dubé lui-même nous a dit : “Ça n’a pas de sens, il faut arrêter ça.” De toute évidence, ça n’a pas été fait. »
Le député solidaire Guillaume Cliche-Rivard a plaidé pour que la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) rembourse les patients dirigés ainsi vers le secteur privé. « Il y a des familles, c’est bien évident, qui sont incapables de se payer ça », a-t-il déploré.
Selon lui, l’offre du secteur privé semble plus accessible que celle du secteur public dans certains cas. « Les seules choses qui sont disponibles sur ces plateformes-là, en ce moment, si tu veux prendre un rendez-vous, c’est le payant — si tu veux prendre un rendez-vous à court terme, demain ou après-demain. »
https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/dub%C3%A9-favorable-au-maintien-de-l...
Ha! Pas vraiment surpris de ça. Je l'ai toujours dit et ce n'est qu'un début. Les ti-namis du privé vont se remplir les poches avec l'aide de la CAQ.
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C'est sensé être un moyen palliatif ou de remplacement dans le cas où il n'y a aucune ouverture pour se faire soigner au public. Juste par exemple, je dois aller rencontrer un ophtalmo en clinique privé pour mes cataractes parce que le service public est complètement saturé car plusieurs ophtalmos ont quitté pour le privé, en autre ailleurs qu'ici à Granby. Je dois débourser pour un scanner parce que la RAMQ ne rembourse pas un tel service privé, il rembourse seulement le médical du service privé. Je pourrais cependant lui demander qu'il me réfère en service public pour passer ce scanner mais le service public est débordé et cela pourrait prendre plus de 6 mois avant de la passer.
Étant donné que l'attente de l'opération de mes cataractes a dépassé les 8 mois et que je ne vois pratiquement plus, je vais le payer le crisse de scanner ( 80$ ) même si la RAMQ ne rembourse pas.
C'est pas plus cher que ça un scan au privé? J'ai un ami qui a dû payer 900$ pour un IRM au privé par ici.
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C'est ce que j'ai reçu de la part de la secrétaire comme prix pour le scanner. Sans doute que ce scanner n'est pas un appareil conventionnel comme la tomographie axiale.
Privé en santé: Dubé favorable
Dubé favorable au maintien de l’offre du privé en santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, veut que la plateforme gouvernementale Rendez-vous santé Québec (RSVQ) continue de diriger des patients vers des établissements de santé privés.
Il a par contre affirmé mercredi qu’il souhaite clarifier davantage quels sont les choix offerts aux patients. « Je vais voir les corrections à faire sur le site, pour m’assurer que les gens comprennent bien qu’il y a des rendez-vous qui sont gratuits et qu’il y a des rendez-vous qui sont payants », a-t-il déclaré dans un échange avec la presse parlementaire. « Je ne suis pas sûr que ça, c’est bien clair. »
Le Devoir a révélé mercredi le cas d’un patient qui s’est retrouvé dans une clinique privée après avoir été dirigé par RSVQ vers une liste de services de remplacement en raison d’un manque de disponibilité dans son groupe de médecine familiale.
M. Dubé s’est montré favorable à cette façon de procéder. « Je n’ai pas de problème avec ça », a-t-il dit.
Le ministre a toutefois indiqué qu’il ne veut pas que RSVQ offre directement des rendez-vous dans des entreprises privées de soins de santé. « Je veux juste préciser que Rendez-vous santé donne une liste où on peut avoir des rendez-vous publics, donc gratuits, mais qui donne aussi une liste dès qu’il y a des rendez-vous privés », a-t-il dit.
En septembre, M. Dubé avait déjà affirmé que l’offre du privé sur la populaire plateforme privée Clic santé était complémentaire à celle du secteur public.
Anormal, juge l’opposition
Le député libéral André Fortin juge anormal que le gouvernement ouvre ainsi la porte au secteur privé à travers sa propre plateforme. « Si les gens veulent des services privés, ils se tourneront vers les Pages jaunes ; ils iront voir ils sont où, ces services-là. Mais quand on se tourne vers le gouvernement, c’est pour avoir des services publics, a-t-il dit. On ne peut pas diriger des gens, sans leur dire de surcroît, vers des services pour lesquels ils vont avoir à débourser. »Selon M. Fortin, le ministre Dubé s’était pourtant déjà engagé à colmater ce genre de brèche par laquelle les patients se retrouvent à devoir éponger des factures de 200 $ et plus. « Christian Dubé lui-même nous a dit : “Ça n’a pas de sens, il faut arrêter ça.” De toute évidence, ça n’a pas été fait. »
Le député solidaire Guillaume Cliche-Rivard a plaidé pour que la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) rembourse les patients dirigés ainsi vers le secteur privé. « Il y a des familles, c’est bien évident, qui sont incapables de se payer ça », a-t-il déploré.
Selon lui, l’offre du secteur privé semble plus accessible que celle du secteur public dans certains cas. « Les seules choses qui sont disponibles sur ces plateformes-là, en ce moment, si tu veux prendre un rendez-vous, c’est le payant — si tu veux prendre un rendez-vous à court terme, demain ou après-demain. »
https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/dub%C3%A9-favorable-au-maintien-de-l...
Ha! Pas vraiment surpris de ça. Je l'ai toujours dit et ce n'est qu'un début. Les ti-namis du privé vont se remplir les poches avec l'aide de la CAQ.
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C'est sensé être un moyen palliatif ou de remplacement dans le cas où il n'y a aucune ouverture pour se faire soigner au public. Juste par exemple, je dois aller rencontrer un ophtalmo en clinique privé pour mes cataractes parce que le service public est complètement saturé car plusieurs ophtalmos ont quitté pour le privé, en autre ailleurs qu'ici à Granby. Je dois débourser pour un scanner parce que la RAMQ ne rembourse pas un tel service privé, il rembourse seulement le médical du service privé. Je pourrais cependant lui demander qu'il me réfère en service public pour passer ce scanner mais le service public est débordé et cela pourrait prendre plus de 6 mois avant de la passer.
Étant donné que l'attente de l'opération de mes cataractes a dépassé les 8 mois et que je ne vois pratiquement plus, je vais le payer le crisse de scanner ( 80$ ) même si la RAMQ ne rembourse pas.
C'est pas plus cher que ça un scan au privé? J'ai un ami qui a dû payer 900$ pour un IRM au privé par ici.
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C'est ce que j'ai reçu de la part de la secrétaire comme prix pour le scanner. Sans doute que ce scanner n'est pas un appareil conventionnel comme la tomographie axiale.
Ah! C'est possible.