Aucune étude sur les risques liés à la filière batterie ? (Forum)
Source : Québec accusé de ne pas avoir étudié assez les risques liés à sa filière batterie
FRANCIS HALIN
Jeudi, 16 novembre 2023 00:00
MISE À JOUR Jeudi, 16 novembre 2023 00:00
Malgré la valse des milliards de dollars de fonds publics dans la filière batterie, Investissement Québec (IQ) n’a aucun document significatif à fournir en deux ans sur les divers risques liés à cette stratégie chère au gouvernement Legault, ce que dénoncent des experts.
«On met tous nos œufs dans le même panier. Si dans cinq et huit ans les batteries sont dépassées, qu’est-ce que l’on va faire de nos usines, qui nous auront coûté des milliards?», se demande Luc Bernier, professeur à l’École supérieure d’affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa.
«Le gouvernement doit être plus transparent et plus exigeant en matière d’évaluation des risques. Ça n’a aucun bon sens», s’étonne Saidatou Dicko, professeure de sciences comptables à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), experte en gouvernance.
Beaucoup de résistance à Québec
Le 15 juin 2022, Le Journal a demandé à ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE), en demande d’accès à l’information, les documents des deux dernières années portant sur les risques liés à la filière batterie.
Le MEIE a refusé de les fournir parce qu’ils contiennent «essentiellement de renseignements relatifs à une recommandation ministérielle produite pour le Conseil exécutif ou correspondant à des ébauches ou des brouillons».
Le ministère de l’Économie a aussi demandé au Journal de s’adresser à Investissement Québec (IQ), qui a refusé à son tour de les transmettre.
Le Journal a contesté cette décision en août 2022. Un an plus tard, un avis de règlement a été déposé.
Dans une déclaration sous serment, Danielle Vivier, directrice de l’accès à l’information d’IQ, a indiqué qu’il n’y a qu’un seul document portant sur les risques liés à la filière batterie pour cette période de deux ans.
Étude caviardée fournie par IQ
Il s’agit d’une étude de 78 pages de Hatch, portant sur l’approvisionnement en nickel, avec plusieurs pages caviardées. Celle-ci souligne notamment l’importance de sécuriser cette matière première dans la filière batterie, avec un géant comme Vale par exemple.
Ces derniers jours, Le Journal a questionné IQ, le MEIE et le cabinet du ministre de l'Économie pour savoir combien d'études ont été produites au total sur les risques liés à la filière batterie. La réponse est venue du cabinet qui a indiqué qu'une seule étude avait été produite à ce jour.
Le cabinet se défend
Lorsque Le Journal a demandé au cabinet du ministre s'il est important de connaître les risques liés à la filière batterie au moment où l'État québécois y injecte des milliards de dollars provenant des poches des contribuables, ce dernier a répondu que ce travail se faisait déjà.
«Bien sûr. Nous évaluons les risques de façon continue. Nos équipes au MEIE et IQ sont aux aguets», a assuré son porte-parole Mathieu St-Amand.
«La vérification diligente qui est menée de façon systématique lors de chaque intervention financière dans le secteur de la batterie, est rigoureuse, et tient compte de tous les risques inhérents à l’intervention, qu’ils soient financiers, sociaux ou de gouvernance. Nous sommes à la bonne place», a-t-il conclu.
-Avec la collaboration de Sylvain Larocque
__________________
Avec les technologies qui avancent à grand pas, il n'est pas rare de voir certains produits devenir obsolètes pour être remplacer par un autre produit plus performant. Juste comme exemple, l'ordinateur devient de plus en plus performant et ces appareils avant 2000 sont complètement obsolètes à moins de changer et mettre à jour ce qu'il convient pour ce qui se fait avec ces appareils de nos jours. Les environnements ordiniques sont plus gros et demandent bien plus d'espace-disque, comme tout de qui se télécharge comme application qui demandent en plus d'espace, beaucoup de mémoire vive.
Or, les piles électriques pour l'automobile, changent depuis que le procédé pour sa conception, au dernier cri, les besoins en lithium sont modérés considérant les nouvelles batteries lithium-ion. Le cobalt, le manganèse et le nickel sont aussi des éléments essentiels pour la composition de ces dites batteries. Nouvellement, ce sont les batteries au sodium qui semblent prendre le relais pour sa capacité d'autonomie. Alors, il est évident qu'une industrie de conception devra s'adapter ou bien qu'elle cesse sa production. Il est là le danger d'investir des millions de dollars pour une industrie qui pourrait au jour du lendemain, devenir obsolète si les expertises ne suivent pas l'évolution des ces piles électriques pour l'automobile électrique. Ces industries pourraient fermer au lieu de suivre l'évolution parce que les coût d'exploitation et les appareils qui servent la conception, seront devenus obsolètes.
Le gouvernement semble avoir oublier que la technologie change plus rapidement que dans les années 40 !
Dédé
Quand une idée n'a pas de sens...
Quand une idée n'a pas de sens $uivez l'Argent... pour comprendre....
Northvolt Des milieux humides sont menacés
La KAQ s'en SAAQ...
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https://www.985fm.ca/audio/590988/des-milieux-humides-sont-menaces
Construction de Northvolt
Des milieux humides sont menacés
L'usine Northvolt va s'installer dans les prochaines années sur la Rive-Sud de Montréal afin d'y construire des batteries.
Or, la méga-usine va être construite dans ce que l'on désigne comme étant un milieu humide. En fait, il y aurait pas moins de 74 milieux humides qui pourraient être détruits.
L'entreprise a déjà été soustraite par le gouvernement à l'examen du BAPE.
L'animateur Luc Ferandez en parle avec Alain Branchaud de la Société pour la nature et les parcs.
«Est-ce que l'on peut faire preuve de transparence? Est-ce que l'on peut s'assoir et faire confiance à la société civile pour voir ce que l'on peut préserver de certains de ces milieux humides?»
Alain Branchaud, SNAP Québec
Northvolt Des milieux humides sont menacés
La KAQ s'en SAAQ...
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https://www.985fm.ca/audio/590988/des-milieux-humides-sont-menaces
Construction de Northvolt
Des milieux humides sont menacésL'usine Northvolt va s'installer dans les prochaines années sur la Rive-Sud de Montréal afin d'y construire des batteries.
Or, la méga-usine va être construite dans ce que l'on désigne comme étant un milieu humide. En fait, il y aurait pas moins de 74 milieux humides qui pourraient être détruits.
L'entreprise a déjà été soustraite par le gouvernement à l'examen du BAPE.
L'animateur Luc Ferandez en parle avec Alain Branchaud de la Société pour la nature et les parcs.
«Est-ce que l'on peut faire preuve de transparence? Est-ce que l'on peut s'assoir et faire confiance à la société civile pour voir ce que l'on peut préserver de certains de ces milieux humides?»
Alain Branchaud, SNAP Québec
________________
Que peut faire l'environnement devant autant d'argent sur la table ? Il n'a aucune chance de se faire écouter et dire que c'est pour sauver la planète !
Quelle ineptie mentale de la part des dirigeants. Pire, quelle hypocrisie !
Aucune étude sur les risques liés à la filière batterie ?
Source : Québec accusé de ne pas avoir étudié assez les risques liés à sa filière batterie
FRANCIS HALIN
Jeudi, 16 novembre 2023 00:00MISE À JOUR Jeudi, 16 novembre 2023 00:00
Malgré la valse des milliards de dollars de fonds publics dans la filière batterie, Investissement Québec (IQ) n’a aucun document significatif à fournir en deux ans sur les divers risques liés à cette stratégie chère au gouvernement Legault, ce que dénoncent des experts.
«On met tous nos œufs dans le même panier. Si dans cinq et huit ans les batteries sont dépassées, qu’est-ce que l’on va faire de nos usines, qui nous auront coûté des milliards?», se demande Luc Bernier, professeur à l’École supérieure d’affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa.
«Le gouvernement doit être plus transparent et plus exigeant en matière d’évaluation des risques. Ça n’a aucun bon sens», s’étonne Saidatou Dicko, professeure de sciences comptables à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), experte en gouvernance.
Beaucoup de résistance à Québec
Le 15 juin 2022, Le Journal a demandé à ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE), en demande d’accès à l’information, les documents des deux dernières années portant sur les risques liés à la filière batterie.
Le MEIE a refusé de les fournir parce qu’ils contiennent «essentiellement de renseignements relatifs à une recommandation ministérielle produite pour le Conseil exécutif ou correspondant à des ébauches ou des brouillons».
Le ministère de l’Économie a aussi demandé au Journal de s’adresser à Investissement Québec (IQ), qui a refusé à son tour de les transmettre.
Le Journal a contesté cette décision en août 2022. Un an plus tard, un avis de règlement a été déposé.
Dans une déclaration sous serment, Danielle Vivier, directrice de l’accès à l’information d’IQ, a indiqué qu’il n’y a qu’un seul document portant sur les risques liés à la filière batterie pour cette période de deux ans.
Étude caviardée fournie par IQ
Il s’agit d’une étude de 78 pages de Hatch, portant sur l’approvisionnement en nickel, avec plusieurs pages caviardées. Celle-ci souligne notamment l’importance de sécuriser cette matière première dans la filière batterie, avec un géant comme Vale par exemple.Ces derniers jours, Le Journal a questionné IQ, le MEIE et le cabinet du ministre de l'Économie pour savoir combien d'études ont été produites au total sur les risques liés à la filière batterie. La réponse est venue du cabinet qui a indiqué qu'une seule étude avait été produite à ce jour.
Le cabinet se défend
Lorsque Le Journal a demandé au cabinet du ministre s'il est important de connaître les risques liés à la filière batterie au moment où l'État québécois y injecte des milliards de dollars provenant des poches des contribuables, ce dernier a répondu que ce travail se faisait déjà.
«Bien sûr. Nous évaluons les risques de façon continue. Nos équipes au MEIE et IQ sont aux aguets», a assuré son porte-parole Mathieu St-Amand.
«La vérification diligente qui est menée de façon systématique lors de chaque intervention financière dans le secteur de la batterie, est rigoureuse, et tient compte de tous les risques inhérents à l’intervention, qu’ils soient financiers, sociaux ou de gouvernance. Nous sommes à la bonne place», a-t-il conclu.
-Avec la collaboration de Sylvain Larocque
__________________Avec les technologies qui avancent à grand pas, il n'est pas rare de voir certains produits devenir obsolètes pour être remplacer par un autre produit plus performant. Juste comme exemple, l'ordinateur devient de plus en plus performant et ces appareils avant 2000 sont complètement obsolètes à moins de changer et mettre à jour ce qu'il convient pour ce qui se fait avec ces appareils de nos jours. Les environnements ordiniques sont plus gros et demandent bien plus d'espace-disque, comme tout de qui se télécharge comme application qui demandent en plus d'espace, beaucoup de mémoire vive.
Or, les piles électriques pour l'automobile, changent depuis que le procédé pour sa conception, au dernier cri, les besoins en lithium sont modérés considérant les nouvelles batteries lithium-ion. Le cobalt, le manganèse et le nickel sont aussi des éléments essentiels pour la composition de ces dites batteries. Nouvellement, ce sont les batteries au sodium qui semblent prendre le relais pour sa capacité d'autonomie. Alors, il est évident qu'une industrie de conception devra s'adapter ou bien qu'elle cesse sa production. Il est là le danger d'investir des millions de dollars pour une industrie qui pourrait au jour du lendemain, devenir obsolète si les expertises ne suivent pas l'évolution des ces piles électriques pour l'automobile électrique. Ces industries pourraient fermer au lieu de suivre l'évolution parce que les coût d'exploitation et les appareils qui servent la conception, seront devenus obsolètes.
Le gouvernement semble avoir oublier que la technologie change plus rapidement que dans les années 40 !
Dédé
La plupart des grosses recherches vont dans le sens de l'électrique. C'est possible que ça change mais ça restera électrique selon les ingénieurs. Mais comme tout, ça évolue et il est fort possible que le char électrique en soit un de transition. Mais personne ne sait combien de temps durera la transition.
Northvolt Des milieux humides sont menacés
La KAQ s'en SAAQ...
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https://www.985fm.ca/audio/590988/des-milieux-humides-sont-menaces
Construction de Northvolt
Des milieux humides sont menacésL'usine Northvolt va s'installer dans les prochaines années sur la Rive-Sud de Montréal afin d'y construire des batteries.
Or, la méga-usine va être construite dans ce que l'on désigne comme étant un milieu humide. En fait, il y aurait pas moins de 74 milieux humides qui pourraient être détruits.
L'entreprise a déjà été soustraite par le gouvernement à l'examen du BAPE.
L'animateur Luc Ferandez en parle avec Alain Branchaud de la Société pour la nature et les parcs.
«Est-ce que l'on peut faire preuve de transparence? Est-ce que l'on peut s'assoir et faire confiance à la société civile pour voir ce que l'on peut préserver de certains de ces milieux humides?»
Alain Branchaud, SNAP Québec
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Que peut faire l'environnement devant autant d'argent sur la table ? Il n'a aucune chance de se faire écouter et dire que c'est pour sauver la planète !
Quelle ineptie mentale de la part des dirigeants. Pire, quelle hypocrisie !
J'espère qu'ils vont régler ça car ça n'a pas de sens briser les milieux humides.
Northvolt Des milieux humides sont menacés
Que peut faire l'environnement devant autant d'argent sur la table ? Il n'a aucune chance de se faire écouter et dire que c'est pour sauver la planète !
Quelle ineptie mentale de la part des dirigeants. Pire, quelle hypocrisie !
J'espère qu'ils vont régler ça car ça n'a pas de sens briser les milieux humides.
______________
Devant un gouvernement majoritaire, que peuvent faire les gens qui veulent protéger l'environnement devant une telle tyrannie pour préserver la sacro-sainte économie ?
Le chat est mort !
Aucune étude sur les risques liés à la filière batterie ?
Source : Québec accusé de ne pas avoir étudié assez les risques liés à sa filière batterie
FRANCIS HALIN
Jeudi, 16 novembre 2023 00:00MISE À JOUR Jeudi, 16 novembre 2023 00:00
Malgré la valse des milliards de dollars de fonds publics dans la filière batterie, Investissement Québec (IQ) n’a aucun document significatif à fournir en deux ans sur les divers risques liés à cette stratégie chère au gouvernement Legault, ce que dénoncent des experts.
«On met tous nos œufs dans le même panier. Si dans cinq et huit ans les batteries sont dépassées, qu’est-ce que l’on va faire de nos usines, qui nous auront coûté des milliards?», se demande Luc Bernier, professeur à l’École supérieure d’affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa.
«Le gouvernement doit être plus transparent et plus exigeant en matière d’évaluation des risques. Ça n’a aucun bon sens», s’étonne Saidatou Dicko, professeure de sciences comptables à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), experte en gouvernance.
Beaucoup de résistance à Québec
Le 15 juin 2022, Le Journal a demandé à ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE), en demande d’accès à l’information, les documents des deux dernières années portant sur les risques liés à la filière batterie.
Le MEIE a refusé de les fournir parce qu’ils contiennent «essentiellement de renseignements relatifs à une recommandation ministérielle produite pour le Conseil exécutif ou correspondant à des ébauches ou des brouillons».
Le ministère de l’Économie a aussi demandé au Journal de s’adresser à Investissement Québec (IQ), qui a refusé à son tour de les transmettre.
Le Journal a contesté cette décision en août 2022. Un an plus tard, un avis de règlement a été déposé.
Dans une déclaration sous serment, Danielle Vivier, directrice de l’accès à l’information d’IQ, a indiqué qu’il n’y a qu’un seul document portant sur les risques liés à la filière batterie pour cette période de deux ans.
Étude caviardée fournie par IQ
Il s’agit d’une étude de 78 pages de Hatch, portant sur l’approvisionnement en nickel, avec plusieurs pages caviardées. Celle-ci souligne notamment l’importance de sécuriser cette matière première dans la filière batterie, avec un géant comme Vale par exemple.Ces derniers jours, Le Journal a questionné IQ, le MEIE et le cabinet du ministre de l'Économie pour savoir combien d'études ont été produites au total sur les risques liés à la filière batterie. La réponse est venue du cabinet qui a indiqué qu'une seule étude avait été produite à ce jour.
Le cabinet se défend
Lorsque Le Journal a demandé au cabinet du ministre s'il est important de connaître les risques liés à la filière batterie au moment où l'État québécois y injecte des milliards de dollars provenant des poches des contribuables, ce dernier a répondu que ce travail se faisait déjà.
«Bien sûr. Nous évaluons les risques de façon continue. Nos équipes au MEIE et IQ sont aux aguets», a assuré son porte-parole Mathieu St-Amand.
«La vérification diligente qui est menée de façon systématique lors de chaque intervention financière dans le secteur de la batterie, est rigoureuse, et tient compte de tous les risques inhérents à l’intervention, qu’ils soient financiers, sociaux ou de gouvernance. Nous sommes à la bonne place», a-t-il conclu.
-Avec la collaboration de Sylvain Larocque
__________________Avec les technologies qui avancent à grand pas, il n'est pas rare de voir certains produits devenir obsolètes pour être remplacer par un autre produit plus performant. Juste comme exemple, l'ordinateur devient de plus en plus performant et ces appareils avant 2000 sont complètement obsolètes à moins de changer et mettre à jour ce qu'il convient pour ce qui se fait avec ces appareils de nos jours. Les environnements ordiniques sont plus gros et demandent bien plus d'espace-disque, comme tout de qui se télécharge comme application qui demandent en plus d'espace, beaucoup de mémoire vive.
Or, les piles électriques pour l'automobile, changent depuis que le procédé pour sa conception, au dernier cri, les besoins en lithium sont modérés considérant les nouvelles batteries lithium-ion. Le cobalt, le manganèse et le nickel sont aussi des éléments essentiels pour la composition de ces dites batteries. Nouvellement, ce sont les batteries au sodium qui semblent prendre le relais pour sa capacité d'autonomie. Alors, il est évident qu'une industrie de conception devra s'adapter ou bien qu'elle cesse sa production. Il est là le danger d'investir des millions de dollars pour une industrie qui pourrait au jour du lendemain, devenir obsolète si les expertises ne suivent pas l'évolution des ces piles électriques pour l'automobile électrique. Ces industries pourraient fermer au lieu de suivre l'évolution parce que les coût d'exploitation et les appareils qui servent la conception, seront devenus obsolètes.
Le gouvernement semble avoir oublier que la technologie change plus rapidement que dans les années 40 !
Dédé
La plupart des grosses recherches vont dans le sens de l'électrique. C'est possible que ça change mais ça restera électrique selon les ingénieurs. Mais comme tout, ça évolue et il est fort possible que le char électrique en soit un de transition. Mais personne ne sait combien de temps durera la transition.
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Il y a un système de propulsion qui actuellement est envisagé pour un voyage vers Mars en 26 jours plutôt que 9 mois de trajet. Or si une telle chose est envisageable avec cette nouvelle technologie de propulsion nucléique, il est fort possible d'envisager un changement radical sur de simple pile électrique dans un avenir bien plus proche que l'on pourrait croire.
La transition risque d'être permanente en tabarnack !
Il y a bien des puces partout maintenant !
Northvolt Des milieux humides sont menacés
Que peut faire l'environnement devant autant d'argent sur la table ? Il n'a aucune chance de se faire écouter et dire que c'est pour sauver la planète !
Quelle ineptie mentale de la part des dirigeants. Pire, quelle hypocrisie !
J'espère qu'ils vont régler ça car ça n'a pas de sens briser les milieux humides.
______________
Devant un gouvernement majoritaire, que peuvent faire les gens qui veulent protéger l'environnement devant une telle tyrannie pour préserver la sacro-sainte économie ?
Le chat est mort !
C'est aussi ce que je pense.
Aucune étude sur les risques liés à la filière batterie ?
Source : Québec accusé de ne pas avoir étudié assez les risques liés à sa filière batterie
FRANCIS HALIN
Jeudi, 16 novembre 2023 00:00MISE À JOUR Jeudi, 16 novembre 2023 00:00
Malgré la valse des milliards de dollars de fonds publics dans la filière batterie, Investissement Québec (IQ) n’a aucun document significatif à fournir en deux ans sur les divers risques liés à cette stratégie chère au gouvernement Legault, ce que dénoncent des experts.
«On met tous nos œufs dans le même panier. Si dans cinq et huit ans les batteries sont dépassées, qu’est-ce que l’on va faire de nos usines, qui nous auront coûté des milliards?», se demande Luc Bernier, professeur à l’École supérieure d’affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa.
«Le gouvernement doit être plus transparent et plus exigeant en matière d’évaluation des risques. Ça n’a aucun bon sens», s’étonne Saidatou Dicko, professeure de sciences comptables à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), experte en gouvernance.
Beaucoup de résistance à Québec
Le 15 juin 2022, Le Journal a demandé à ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE), en demande d’accès à l’information, les documents des deux dernières années portant sur les risques liés à la filière batterie.
Le MEIE a refusé de les fournir parce qu’ils contiennent «essentiellement de renseignements relatifs à une recommandation ministérielle produite pour le Conseil exécutif ou correspondant à des ébauches ou des brouillons».
Le ministère de l’Économie a aussi demandé au Journal de s’adresser à Investissement Québec (IQ), qui a refusé à son tour de les transmettre.
Le Journal a contesté cette décision en août 2022. Un an plus tard, un avis de règlement a été déposé.
Dans une déclaration sous serment, Danielle Vivier, directrice de l’accès à l’information d’IQ, a indiqué qu’il n’y a qu’un seul document portant sur les risques liés à la filière batterie pour cette période de deux ans.
Étude caviardée fournie par IQ
Il s’agit d’une étude de 78 pages de Hatch, portant sur l’approvisionnement en nickel, avec plusieurs pages caviardées. Celle-ci souligne notamment l’importance de sécuriser cette matière première dans la filière batterie, avec un géant comme Vale par exemple.Ces derniers jours, Le Journal a questionné IQ, le MEIE et le cabinet du ministre de l'Économie pour savoir combien d'études ont été produites au total sur les risques liés à la filière batterie. La réponse est venue du cabinet qui a indiqué qu'une seule étude avait été produite à ce jour.
Le cabinet se défend
Lorsque Le Journal a demandé au cabinet du ministre s'il est important de connaître les risques liés à la filière batterie au moment où l'État québécois y injecte des milliards de dollars provenant des poches des contribuables, ce dernier a répondu que ce travail se faisait déjà.
«Bien sûr. Nous évaluons les risques de façon continue. Nos équipes au MEIE et IQ sont aux aguets», a assuré son porte-parole Mathieu St-Amand.
«La vérification diligente qui est menée de façon systématique lors de chaque intervention financière dans le secteur de la batterie, est rigoureuse, et tient compte de tous les risques inhérents à l’intervention, qu’ils soient financiers, sociaux ou de gouvernance. Nous sommes à la bonne place», a-t-il conclu.
-Avec la collaboration de Sylvain Larocque
__________________Avec les technologies qui avancent à grand pas, il n'est pas rare de voir certains produits devenir obsolètes pour être remplacer par un autre produit plus performant. Juste comme exemple, l'ordinateur devient de plus en plus performant et ces appareils avant 2000 sont complètement obsolètes à moins de changer et mettre à jour ce qu'il convient pour ce qui se fait avec ces appareils de nos jours. Les environnements ordiniques sont plus gros et demandent bien plus d'espace-disque, comme tout de qui se télécharge comme application qui demandent en plus d'espace, beaucoup de mémoire vive.
Or, les piles électriques pour l'automobile, changent depuis que le procédé pour sa conception, au dernier cri, les besoins en lithium sont modérés considérant les nouvelles batteries lithium-ion. Le cobalt, le manganèse et le nickel sont aussi des éléments essentiels pour la composition de ces dites batteries. Nouvellement, ce sont les batteries au sodium qui semblent prendre le relais pour sa capacité d'autonomie. Alors, il est évident qu'une industrie de conception devra s'adapter ou bien qu'elle cesse sa production. Il est là le danger d'investir des millions de dollars pour une industrie qui pourrait au jour du lendemain, devenir obsolète si les expertises ne suivent pas l'évolution des ces piles électriques pour l'automobile électrique. Ces industries pourraient fermer au lieu de suivre l'évolution parce que les coût d'exploitation et les appareils qui servent la conception, seront devenus obsolètes.
Le gouvernement semble avoir oublier que la technologie change plus rapidement que dans les années 40 !
Dédé
La plupart des grosses recherches vont dans le sens de l'électrique. C'est possible que ça change mais ça restera électrique selon les ingénieurs. Mais comme tout, ça évolue et il est fort possible que le char électrique en soit un de transition. Mais personne ne sait combien de temps durera la transition.
________________
Il y a un système de propulsion qui actuellement est envisagé pour un voyage vers Mars en 26 jours plutôt que 9 mois de trajet. Or si une telle chose est envisageable avec cette nouvelle technologie de propulsion nucléique, il est fort possible d'envisager un changement radical sur de simple pile électrique dans un avenir bien plus proche que l'on pourrait croire.
La transition risque d'être permanente en tabarnack !
Il y a bien des puces partout maintenant !
Il serait préférable de garder cette technologie pour envoyer nos coucous sur d'autres planètes.
Slap KAQ la lune de miel est terminée....;0)
De toutes façons les projets de la KAQ aboutissent rarement ou du moins plusieurs années plus tard, peut-être...
Avoir subventionné les Deux de pique de LA...hum...
Prolongement de l’A-20 : Guilbault chahutée lors de sa visit
couper dans le transport en commun, baisser le prix du permis de conduire, financer les voitures électriques, c'Est ça la KAQ torcher les pauvres pour financer les voitures et les routes des riches....
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2027262/trois-pistoles-autoroute-genevieve-guilbault
La ministre des Transports a présenté une mise à jour du projet de prolongement de l’autoroute 20 jeudi sous les invectives d’une trentaine de manifestants et avec une imposante présence policière.
Des médias devant la vice-première ministre.
3:32
Le Téléjournal Est du Québec
Prolongement de l’A-20 : Guilbault chahutée lors de sa visite
La vice-première ministre Geneviève Guilbault a été accueillie à Trois-Pistoles par les manifestants.
Photo : Radio-Canada / Édouard Beaudoin
Édouard Beaudoin (Consulter le profil)
Édouard Beaudoin
Publié à 11 h 28 HNEMis à jour aujourd’hui à 19 h 36 HNE
La ministre des Transports était attendue de pied ferme au Bas-Saint-Laurent, lors de sa visite éclair pour aborder la question du prolongement de l’autoroute 20. Tant à Saint-Fabien qu’à Trois-Pistoles et Notre-Dame-des-Neiges, les manifestants pour et contre le projet ont accueilli Geneviève Guilbault à chaque arrêt, alors qu’elle annonçait la création de deux comités, d’ici la fin de l’année, pour la suite du projet.
"Dans l’ensemble, on sent une grande volonté d’avoir le prolongement de l’autoroute 20", a assuré la ministre des Transports, parlant du projet comme étant "stratégique et important" pour le développement du Bas-Saint-Laurent.
Ironiquement, ses paroles ont pour la plupart été noyées par les propos contestataires de la trentaine de citoyens qui l’attendaient à Trois-Pistoles. Pancartes à la main, ils ont conspué la ministre tout au long de la mêlée de presse, l’accusant de vouloir saccager la rivière des Trois Pistoles et d’ignorer la crise climatique.
Des manifestants contre le prolongement de la 20 à la rencontre des élues caquistes en visite à Trois-Pistoles.
Un militant de longue date opposé au prolongement de la 20 à Trois-Pistoles, Mikaël Rioux, interpelle la députée Maïté Blanchette Vézina.
Photo : Radio-Canada / Edouard Beaudoin
"Sécurisez la 132 maintenant! La rivière! La rivière!", ont-ils scandé en plus de nombreuses insultes pendant le point de presse, qui n’aura duré que quelques minutes, sous les regards d’une vingtaine de policiers. La ministre responsable du Bas-Saint-Laurent et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, a aussi été interpellée personnellement par Mikaël Rioux, l’une des principales voix du mouvement s’opposant au prolongement de l’autoroute.
Les protestataires ont également suivi les trois élues jusqu’à Notre-Dame-des-Neiges, où elles rencontraient des maires de la région, touchés de près ou de loin par le projet. Certains se sont mis à frapper les murs du bâtiment pour perturber la réunion, à laquelle prenaient part entre autres le préfet de la MRC des Basques et les maires de Trois-Pistoles, de Notre-Dame-des-Neiges et de Rimouski.
Des manifestants encerclent un bâtiment et tapent dessus avec leurs mains.
Une trentaine de manifestants ont tenté de déranger la rencontre entre Geneviève Guilbault et les élus touchés par le projet de prolongement de l'autoroute 20.
Photo : Radio-Canada / Marie-Christine Rioux
Deux comités créés d’ici la fin de l’année
Même si la première pelletée de terre est encore loin, la ministre Guilbault, également accompagnée de la députée de Rivière-du-Loup—Témiscouata, Amélie Dionne, n’est pas arrivée les mains vides. Elle a annoncé la formation de deux comités qui superviseront les étapes du prolongement de l’autoroute.
Un premier groupe de suivi composé d’élus des municipalités concernées par le projet routier sera mis sur pied. Des membres de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk y participeront également.
Le second groupe constitue le comité de suivi et de vigilance environnementale, qui regroupera des élus des Basques, des citoyens et des experts pour surveiller toutes les étapes d’ici la construction du pont qui enjambera la rivière des Trois-Pistoles, à Notre-Dame-des-Neiges.
Un pont enjambant une rivière, l'automne.
Le pont de la route 132 qui enjambe la rivière Trois-Pistoles, à Notre-Dame-des-Neiges
Photo : Radio-Canada / Édouard Beaudoin
Cette étape, banale en apparence, est pourtant essentielle à l’avancement du projet, à en croire le ministère des Transports du Québec (MTQ). La formation d’un tel comité est prescrite par décret environnemental par le gouvernement.
"Ça prend des forums, ça prend des tables où les gens peuvent s’exprimer, qu’on soit pour ou contre", a affirmé Geneviève Guilbault, quand elle a été questionnée sur l’acceptabilité sociale du projet.
Au-delà de la création de ces groupes, la visite avait pour objectif de rappeler que de prolonger l’A-20 est toujours d’actualité, près de deux ans après le retour du projet au Plan québécois des infrastructures (PQI). Même si aucun chantier n’est encore en vue dans les parages, le travail se poursuit en coulisses, tout comme les études, qui doivent être actualisées. C’est notamment le cas pour la phase entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski, longue de 47 kilomètres.
Une carte montrant les différents tronçons livrés et prévus de l'autoroute 20, au Bas-Saint-Laurent
C'est la phase 2B de 6 kilomètres qui débutera en premier, en raison des études qui sont plus avancées. La phase 3 du prolongement, longue de 47 kilomètres, doit relier Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski.
Photo : Capture d'écran / Ministère des Transports et de la Mobilité durable
Pour ce qui est de l’éventuel pont au-dessus de la rivière des Trois-Pistoles, le ministère précise être rendu à l’analyse conceptuelle de la structure. "Quel est le meilleur pont que l’on pourrait faire aujourd’hui, en 2023, en tenant compte des facteurs environnementaux, des besoins du milieu et des coûts?", a formulé la vice-première ministre, faisant allusion aux prix des matériaux qui ont explosé.
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Pour l’heure, le MTQ ne se prononce toujours pas sur un échéancier ni sur une facture totale, que ce soit pour l’une ou l’autre des phases du parachèvement de l’autoroute. "Les deux phases avancent", s’est contentée de dire Mme Guilbault.
Bonifier l’A-20 entre Rimouski et Mont-Joli, "pas une option sur la table" pour l’instant
La ministre a d’abord pris la parole à Saint-Fabien, aux abords de la route 132, quelques heures seulement après un accident mortel sur l’autoroute 20 quelques dizaines de kilomètres plus loin, à Saint-Anaclet-de-Lessard, qui compte deux voies sur ce tronçon. Selon toute vraisemblance, c’est une collision frontale qui se serait produite jeudi matin.
Des voitures accidentées et des véhicules d'urgence.
L'accident mortel a forcé la fermeture de l'autoroute 20 à la hauteur de Saint-Anaclet-de-Lessard pendant quelques heures.
Photo : Radio-Canada
Une triste coïncidence, alors qu’une pétition a été lancée récemment pour que le tronçon passe de deux à quatre voies entre Mont-Joli et Rimouski. Le secteur est bien plus achalandé que la route 175, qui traverse la réserve faunique des Laurentides, pourtant une artère à quatre voies.
La ministre Guilbault a pour le moment écarté la possibilité d’élargir le tronçon le plus à l’est de l’autoroute 20, expliquant qu’un tel projet doit être appuyé par des données et des recommandations émanant de coroners.
Il n’y a pas, à ce jour, de recommandations de coroners sur l’élargissement de l’autoroute 20 entre Mont-Joli et Le Bic. [...] Il ne faut jamais dire jamais, mais actuellement, ce n’est pas une option sur la table.
Une citation de Geneviève Guilbault, ministre des Transports et vice-première ministre du Québec
Des voitures circulent sur la route 132.
Selon le ministère, en été, environ 4600 véhicules de plus circulent en moyenne chaque jour sur le tronçon fabiennois par rapport à il y a 20 ans. Le trafic journalier moyen est passé de 7400 en 2002 à plus de 12 000 véhicules en 2022 pendant la période estivale. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Jean-Luc Blanchet
Quant à la question de la sécurisation de la route 132, demandée par des résidents habitant aux abords de l’artère, des démarches seraient en cours pour évaluer les effets de certaines améliorations déjà apportées sur l’axe, notamment à la hauteur de Saint-Fabien. Plus récemment, le conseil municipal fabiennois a demandé au ministère d’abaisser la limite de vitesse sur la 132, entre autres.
"S’il y a des demandes des municipalités, on y va de façon ponctuelle, on fait une étude et s’il y a des améliorations à faire, on va les apporter", a expliqué Christian D’Amours, directeur de la planification et de la gestion des infrastructures pour le bureau régional du MTQ, présent pour accompagner le gratin politique sur place.
À lire aussi :
Le prolongement de l’autoroute 20, une saga truffée de détours
Plaidoyer pour une A-20 à quatre voies entre Mont-Joli et Le Bic
Autour de la mêlée de presse, un plus petit groupe de manifestants observait attentivement l’allocution des députées, non sans injures.
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"Ce projet-là, c’est pas viable en 2023 ni dans les prochaines années à venir, et si on veut atteindre nos objectifs de réduction de GES, il faut s’opposer à un tel projet", a fait valoir Alexis Cimon, un étudiant venu protester contre le prolongement de l’autoroute 20.
"Le pont passerait juste au-dessus de ma maison!" ajoute le jeune homme, craignant que l’éventuelle structure enjambant la rivière des Trois Pistoles ne gâche sa tranquillité.
Contrairement au comité d’accueil de Trois-Pistoles, un contingent en faveur du parachèvement de l’autoroute 20 a fait acte de présence à Saint-Fabien. Du nombre, Blandine Michaud, une résidente de Saint-Fabien qui en a assez du trafic incessant sur la route 132 qui circule devant chez elle, tenait dans ses mains une banderole jaune sur laquelle on pouvait lire "On veut l’autoroute 20".
Deux petits groupes de manifestants brandissent des banderoles et des pancartes.
Deux groupes, l'un en faveur et l'autre opposé au projet, attendaient la venue de la ministre Guilbault à Saint-Fabien.
Photo : Radio-Canada / François Gagnon
"Il faut que [la ministre Guilbault] voie qu’il y a des gens qui habitent sur la 132", a-t-elle plaidé, évoquant le bruit qu’occasionne le passage quotidien des poids lourds sur l’artère.
"Je veux qu’elle comprenne le caractère urgent qu’il y a présentement", a poursuivi la dame, la gorge nouée. "Qu’ils respectent les étapes, mais qu’ils comprennent qu’il y a des gens qui vivent l’enfer et que c’est pas sécuritaire du tout."
Le branle-bas de combat à Trois-Pistoles aura écourté la visite de Geneviève Guilbault dans la région. La visite prévue de l’éventuel chantier de l’autoroute 20 à Notre-Dame-des-Neiges n’a jamais eu lieu. La ministre s’est plutôt directement rendue à sa rencontre avec les élus des Basques.
Kébec la Province la Plus Corrompue... du KAnada
Kébec la Province la Plus Corrompue... du KAnada
Imaginez sur L'Ontario avait subventionné LA! on rirais-tu d'eux...!
Kébec la Province la Plus Corrompue... du KAnada
Kébec la Province la Plus Corrompue... du KAnadaImaginez sur L'Ontario avait subventionné LA! on rirais-tu d'eux...!
Si on nous disait combien l'Alberta subventionne les milliardaires du pétrole sale.
Michel Chartrand la politique...
Michel Chartrand la politique...
___________
Peut-on dire le contraire ? Absolument pas !
Michel Chartrand la politique...
Hydro-Québec manquera de courant deux ans plus tôt que prévu
y vont nous le faire payer en tabarnak leurs kâlisses de piles électriques... et importer de l'électricité au charbon pour produire des piles électriques alimentées par des usines au charbon des états-Unis! Pis les ''verts'' vont approuver!
Asile Kébec!
https://www.journaldemontreal.com/2023/11/17/hydro-quebec-manquera-de-courant-deux-ans-...
Hydro-Québec manquera de courant deux ans plus tôt que prévu
La filière batterie et la forte demande du secteur industriel forcera la société d'État à accroître ses importations.
barrage Romaine 3
PHOTO D'ARCHIVES, SIMON CLARK
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SYLVAIN LAROCQUE
Vendredi, 17 novembre 2023 00:00
MISE À JOUR Vendredi, 17 novembre 2023 00:00
À cause du développement de la filière batterie et des besoins industriels grandissants, Hydro-Québec sera à court d’électricité deux ans plus tôt que prévu, ce qui l’obligera à accroître ses importations pendant les pointes hivernales.
• À lire aussi: Même les projets de moins de 5 MW devront être approuvés, selon Michael Sabia
• À lire aussi: Investissements massifs d’Hydro-Québec: Sabia fera appel aux contribuables et au secteur privé
Il y a un an, Hydro s'attendait à avoir suffisamment d’électricité jusqu’en 2029. Or, dans un document déposé à la Régie de l’énergie au début du mois, la société d’État révèle qu’elle est maintenant à la recherche de nouveaux approvisionnements pour 2027, soit deux ans plus tôt que ce qu’elle prévoyait en novembre 2022.
«Le bilan de puissance montre que de nouveaux approvisionnements sont requis à partir de l’hiver 2027-2028», peut-on lire dans le document.
Hydro-Québec prévoit qu’à l’hiver 2026-2027, la filière batterie consommera 85 mégawatts (MW) de plus que ce qui était prévu l’an dernier. L’écart augmentera à 205 MW l’hiver suivant et à 343 MW en 2028-2029.
Soulignons qu’à lui seul, le fabricant suédois de batteries Northvolt a obtenu un bloc de 360 MW pour son projet d’usine en Montérégie, qui doit entrer en service en 2026.
Projets critiqués
Pierre-Olivier Pineau, spécialiste en énergie à HEC Montréal, comprend mal la «précipitation» du gouvernement Legault dans le secteur des batteries.
«Ce sont des investissements dans des industries qui peuvent aider à décarboner, mais en soi, on ne décarbone pas en ajoutant une usine de batteries», soutient-il.
L’autre élément qui fera bondir la consommation d’électricité, selon Hydro, c’est la volonté de plusieurs entreprises de se décarboner en électrifiant leurs procédés, notamment la production de chaleur dans les secteurs agroalimentaires et de la transformation du bois.
«On prévoit maintenant que la conversion des procédés industriels va venir plus un peu plus tôt que ce qui était prévu initialement», affirme Maxence Huard-Lefebvre, porte-parole d’Hydro-Québec.
La société d’État projette qu’à elle seule, la décarbonation du secteur industriel requerra 175 mégawatts de plus que prévu en 2026-2027 et 600 MW de plus en 2028-2029.
Des importations qui pourraient coûter cher
Pour répondre à cette demande beaucoup plus importante que prévu, surtout pendant les pointes hivernales, Hydro devra augmenter ses achats d’électricité aux États-Unis et en Ontario. D’après les prévisions, ces importations de puissance effectuées sur les marchés de court terme («spot») passeront de 900 MW, l’hiver dernier, à 1350 MW en 2027-2028 – une augmentation de 50%.
Hydro-Québec «planifie un rehaussement de la contribution maximale reconnue des marchés de court terme en puissance, actuellement établie à 1100 MW [...] pour l’établir à 1500 MW à partir de l’hiver 2024-2025», précise le document remis à la Régie.
Les importations d’électricité risquent de coûter de plus en plus cher, note Normand Mousseau, professeur à l’Université de Montréal et directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier.
barrage Romaine 3
Normand Mousseau est professeur de physique et directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier. PHOTO FOURNIE PAR NORMAND MOUSSEAU
«Dans sept ans, la quantité d’électricité disponible va être beaucoup moins grande sur les marchés internationaux parce que tout le monde veut se décarboner», dit-il.
Selon plusieurs experts, Hydro-Québec ferait mieux de mettre les bouchées doubles pour inciter les Québécois à réduire leur consommation, surtout en hiver.
«Il est inconcevable qu’à -20 degrés, on fasse fonctionner un spa extérieur, lance François Bouffard, professeur à l’Université McGill. C’est une consommation qui est complètement ridicule!»
Northvolt : Québec accusé de mettre de la pression sur les f
Ben voyons donc, c'est tellement pas son style de mettre de la pression et de tourner les coins ronds sur l'environnement...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2027318/benoit-charette-delais-autorisation-northv...
Northvolt : Québec accusé de mettre de la pression sur les fonctionnaires
Thomas Gerbet
Publié hier à 18 h 44 HNE
L'opposition accuse le ministre de l'Environnement du Québec, Benoit Charette, d'avoir manqué à son devoir de réserve jeudi en vantant les mérites du projet de méga-usine de batteries de Northvolt et en souhaitant qu'il démarre le plus tôt possible. Au même moment, ses fonctionnaires sont toujours en train d'évaluer les répercussions environnementales du projet avant de l'autoriser.
Accompagné du ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie, Pierre Fitzgibbon, le ministre Charette a affirmé au micro de Radio-Canada que cette entreprise suédoise ne bénéficie pas d'un traitement de faveur : Dans le cas de l'entreprise Northvolt comme de toute autre entreprise, il n'y a pas de passe-droit. La réglementation est respectée.
Tout indique que cette entreprise obtiendra très bientôt l'autorisation du ministère pour remblayer 130 000 mètres carrés de milieux humides, un délai record pour une demande faite en septembre, alors que l'attente est en moyenne de 15 mois.
Benoit Charette a aussi ajouté une phrase qui a fait réagir :
On va souhaiter la réalisation de ce beau projet-là le plus rapidement possible.
Une citation deBenoit Charette, ministre de l'Environnement du Québec
Chez Greenpeace Canada, le responsable de la campagne Climat-Énergie, Patrick Bonin, n'en revient pas. Le ministre devrait se garder un devoir de réserve. Il met de la pression indûment sur son personnel pour qu'il autorise ce projet-là alors qu'on ne connaît pas l'ensemble des impacts.
Il rappelle qu'un changement de règlement a déjà permis à Northvolt d'éviter le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Seule la phase de recyclage sera étudiée par le BAPE.
On a l'impression que c'est un processus d'évaluation parallèle qui est mis en place pour le plus gros projet manufacturier de l'histoire du Québec.
Une citation dePatrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie à Greenpeace Canada
Représentation de la future usine de Northvolt en Montérégie sur le terrain de cette entreprise.
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Représentation de la future usine de Northvolt en Montérégie sur le terrain de cette entreprise.
PHOTO : NORTHVOLT
Il est évident qu'il y a une fast track, a réagi le porte-parole de Québec solidaire en matière d'économie et d'énergie, Haroun Bouazzi. Le député affirme que des industriels craignent que leurs propres projets soient retardés par les priorités d'analyse accordées à Northvolt.
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Mercredi, le Centre régional de l'environnement du Centre-du-Québec, qui inclut Bécancour, affirmait que des analystes du ministère étaient spécialement mobilisés sur la filière batteriepour accélérer [le traitement des] dossiers.
Il est évident que cette compagnie-là a des rapports préférentiels avec nos institutions, croit M. Bouazzi.
Le porte-parole du Parti québécois en matière d'environnement, Joël Arseneau, s'interroge lui aussi.
Est-ce que les fonctionnaires vont faire leur travail de façon rigoureuse s'il y a une certaine pression du ministre qui dit qu'il faut débloquer ce projet-là?
Une citation deJoël Arseneau, député du Parti québécois
De son côté, le Parti libéral du Québec pense que les dernières informations dans ce dossier militent pour que l'ensemble du projet soit soumis au BAPE.
Le gouvernement a contourné les règles afin d'exempter Northvolt et nous savons maintenant pourquoi, a déclaré la députée libérale Désirée McGraw, porte-parole de l’opposition officielle en matière d’environnement.
« Le faire bien et le faire vite »
Sur le site web de l'entreprise suédoise, on peut lire une citation de la responsable de l’environnement pour Northvolt, Emma Nehrenheim : Le véritable défi consiste à le faire bien et à le faire vite. (« The real challenge is to do it right and do it fast. »)
L'entreprise affirme qu'elle a fait des efforts considérables pour rencontrer les exigences. Le ministre Benoit Charette a d'ailleurs expliqué qu'un bon degré de préparation peut expliquer le fait qu'un promoteur obtienne une autorisation plus vite qu'un autre. Northvolt collabore bien, a-t-il ajouté.
Même la Caisse de dépôt et placement du Québec semble persuadée que le projet recevra le feu vert sous peu. Dans son communiqué publié jeudi pour annoncer un investissement de 200 millions de dollars dans Northvolt, elle évoque une mise en chantier qui devrait commencer vers la fin 2023.
Plus de 43,6 G$ de fonds publics dans la fabrication de batt
Pas d'argent pour les banques alimentaires.. MAIS..
https://www.journaldemontreal.com/2023/11/17/plus-de-436-milliards-de-dollars-de-fonds-...
Plus de 43,6 G$ de fonds publics dans la fabrication de batterie, selon le directeur parlementaire du budget
FRANCIS HALIN
Vendredi, 17 novembre 2023 09:48
MISE À JOUR Vendredi, 17 novembre 2023 09:48
Plus de 43,6 G$ de fonds publics seront injectés dans les usines de Volkswagen, Stellantis-LGES et Northvolt pour fabriquer des batteries de véhicules électriques, selon le directeur parlementaire du budget (DPB), qui estime qu’il s’agit d’un bon de 5,8 G$ de plus que prévu.
«Nous estimons que le coût total de l’aide gouvernementale accordée à Northvolt, à Volkswagen et à Stellantis-LGES pour la fabrication de batteries de VE s’élèvera à 43,6 G$ au cours de la période de 2022-2023 à 2032-2033, ce qui représentera une augmentation de 5,8 G$ par rapport aux coûts annoncés de 37,7 G$», calcule le directeur parlementaire du budget (DPB) dans une étude publiée vendredi.
De ces 43,6 G$, le DPB évalue à 26,9 G$ (62 %) les coûts qui seront assumés par Ottawa et 16,7 G$ (38 %) ceux qui le seront l’Ontario et du Québec.
Northvolt dans 11 ans
Le DPB précise que cette estimation dépend «du maintien du crédit pour la production manufacturière de pointe (AMPC) des États-Unis (jusqu’à la fin de 2032) et à la réalisation des calendriers de production de batteries de VE fournis par Northvolt, Volkswagen et Stellantis-LGES».
Pour ce qui est de Northvolt, le DPB soutient que le seuil de rentabilité des subventions à la production de 4,6 G$ sera atteint dans 11 ans, et non dans 9 ans comme l’avait indiqué le gouvernement fédéral.
ben oui cé ça!
sans compter les barrages supp plus les éoliennes!
et le retour du nucléaire aussi
!
Hydro-Québec manquera de courant deux ans plus tôt que prévu
y vont nous le faire payer en tabarnak leurs kâlisses de piles électriques... et importer de l'électricité au charbon pour produire des piles électriques alimentées par des usines au charbon des états-Unis! Pis les ''verts'' vont approuver!
Asile Kébec!
https://www.journaldemontreal.com/2023/11/17/hydro-quebec-manquera-de-courant-deux-ans-...
Hydro-Québec manquera de courant deux ans plus tôt que prévuLa filière batterie et la forte demande du secteur industriel forcera la société d'État à accroître ses importations.
barrage Romaine 3
PHOTO D'ARCHIVES, SIMON CLARK
PARTAGESYLVAIN LAROCQUE
Vendredi, 17 novembre 2023 00:00MISE À JOUR Vendredi, 17 novembre 2023 00:00
À cause du développement de la filière batterie et des besoins industriels grandissants, Hydro-Québec sera à court d’électricité deux ans plus tôt que prévu, ce qui l’obligera à accroître ses importations pendant les pointes hivernales.
• À lire aussi: Même les projets de moins de 5 MW devront être approuvés, selon Michael Sabia
• À lire aussi: Investissements massifs d’Hydro-Québec: Sabia fera appel aux contribuables et au secteur privéIl y a un an, Hydro s'attendait à avoir suffisamment d’électricité jusqu’en 2029. Or, dans un document déposé à la Régie de l’énergie au début du mois, la société d’État révèle qu’elle est maintenant à la recherche de nouveaux approvisionnements pour 2027, soit deux ans plus tôt que ce qu’elle prévoyait en novembre 2022.
«Le bilan de puissance montre que de nouveaux approvisionnements sont requis à partir de l’hiver 2027-2028», peut-on lire dans le document.Hydro-Québec prévoit qu’à l’hiver 2026-2027, la filière batterie consommera 85 mégawatts (MW) de plus que ce qui était prévu l’an dernier. L’écart augmentera à 205 MW l’hiver suivant et à 343 MW en 2028-2029.
Soulignons qu’à lui seul, le fabricant suédois de batteries Northvolt a obtenu un bloc de 360 MW pour son projet d’usine en Montérégie, qui doit entrer en service en 2026.
Projets critiqués
Pierre-Olivier Pineau, spécialiste en énergie à HEC Montréal, comprend mal la «précipitation» du gouvernement Legault dans le secteur des batteries.«Ce sont des investissements dans des industries qui peuvent aider à décarboner, mais en soi, on ne décarbone pas en ajoutant une usine de batteries», soutient-il.
L’autre élément qui fera bondir la consommation d’électricité, selon Hydro, c’est la volonté de plusieurs entreprises de se décarboner en électrifiant leurs procédés, notamment la production de chaleur dans les secteurs agroalimentaires et de la transformation du bois.
«On prévoit maintenant que la conversion des procédés industriels va venir plus un peu plus tôt que ce qui était prévu initialement», affirme Maxence Huard-Lefebvre, porte-parole d’Hydro-Québec.
La société d’État projette qu’à elle seule, la décarbonation du secteur industriel requerra 175 mégawatts de plus que prévu en 2026-2027 et 600 MW de plus en 2028-2029.Des importations qui pourraient coûter cher
Pour répondre à cette demande beaucoup plus importante que prévu, surtout pendant les pointes hivernales, Hydro devra augmenter ses achats d’électricité aux États-Unis et en Ontario. D’après les prévisions, ces importations de puissance effectuées sur les marchés de court terme («spot») passeront de 900 MW, l’hiver dernier, à 1350 MW en 2027-2028 – une augmentation de 50%.Hydro-Québec «planifie un rehaussement de la contribution maximale reconnue des marchés de court terme en puissance, actuellement établie à 1100 MW [...] pour l’établir à 1500 MW à partir de l’hiver 2024-2025», précise le document remis à la Régie.
Les importations d’électricité risquent de coûter de plus en plus cher, note Normand Mousseau, professeur à l’Université de Montréal et directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier.
barrage Romaine 3
Normand Mousseau est professeur de physique et directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier. PHOTO FOURNIE PAR NORMAND MOUSSEAU
«Dans sept ans, la quantité d’électricité disponible va être beaucoup moins grande sur les marchés internationaux parce que tout le monde veut se décarboner», dit-il.Selon plusieurs experts, Hydro-Québec ferait mieux de mettre les bouchées doubles pour inciter les Québécois à réduire leur consommation, surtout en hiver.
«Il est inconcevable qu’à -20 degrés, on fasse fonctionner un spa extérieur, lance François Bouffard, professeur à l’Université McGill. C’est une consommation qui est complètement ridicule!»
Il existe des turbines modernes plus performantes. Certaines doivent être dues pour être changées. Ce serait une façon de régler le problème. Et je pense pas qu'on arrive au même prix que l'Ontario, c'est pratiquement le double de ce qu'on paie ici.
Plus de 43,6 G$ de fonds publics dans la fabrication de batt
Pas d'argent pour les banques alimentaires.. MAIS..
https://www.journaldemontreal.com/2023/11/17/plus-de-436-milliards-de-dollars-de-fonds-...Plus de 43,6 G$ de fonds publics dans la fabrication de batterie, selon le directeur parlementaire du budget
FRANCIS HALIN
Vendredi, 17 novembre 2023 09:48MISE À JOUR Vendredi, 17 novembre 2023 09:48
Plus de 43,6 G$ de fonds publics seront injectés dans les usines de Volkswagen, Stellantis-LGES et Northvolt pour fabriquer des batteries de véhicules électriques, selon le directeur parlementaire du budget (DPB), qui estime qu’il s’agit d’un bon de 5,8 G$ de plus que prévu.
«Nous estimons que le coût total de l’aide gouvernementale accordée à Northvolt, à Volkswagen et à Stellantis-LGES pour la fabrication de batteries de VE s’élèvera à 43,6 G$ au cours de la période de 2022-2023 à 2032-2033, ce qui représentera une augmentation de 5,8 G$ par rapport aux coûts annoncés de 37,7 G$», calcule le directeur parlementaire du budget (DPB) dans une étude publiée vendredi.
De ces 43,6 G$, le DPB évalue à 26,9 G$ (62 %) les coûts qui seront assumés par Ottawa et 16,7 G$ (38 %) ceux qui le seront l’Ontario et du Québec.
Northvolt dans 11 ans
Le DPB précise que cette estimation dépend «du maintien du crédit pour la production manufacturière de pointe (AMPC) des États-Unis (jusqu’à la fin de 2032) et à la réalisation des calendriers de production de batteries de VE fournis par Northvolt, Volkswagen et Stellantis-LGES».Pour ce qui est de Northvolt, le DPB soutient que le seuil de rentabilité des subventions à la production de 4,6 G$ sera atteint dans 11 ans, et non dans 9 ans comme l’avait indiqué le gouvernement fédéral.
ben oui cé ça!
sans compter les barrages supp plus les éoliennes!
et le retour du nucléaire aussi
!
Juste le 7 millions donné au Kings aurait fait la job selon la directrice de la banque alimentaire juste à côté du Centre Vide-étron.
https://www.985fm.ca/audio/590735/une-banque-alimentaire-aurait-aime-recevoir-l-argent
Tout à perdre rien à gagner pour nous...
Il existe des turbines modernes plus performantes. Certaines doivent être dues pour être changées. Ce serait une façon de régler le problème. Et je pense pas qu'on arrive au même prix que l'Ontario, c'est pratiquement le double de ce qu'on paie ici.
chose sur la CAQ c'est tout à perdre notre argent rien à gagner si ça marche...
Tout à perdre rien à gagner pour nous...
Il existe des turbines modernes plus performantes. Certaines doivent être dues pour être changées. Ce serait une façon de régler le problème. Et je pense pas qu'on arrive au même prix que l'Ontario, c'est pratiquement le double de ce qu'on paie ici.
chose sur la CAQ c'est tout à perdre notre argent rien à gagner si ça marche...
Un beau 7 millions à des milliardaires, ça va très bien. Les Kings valent 1.7 milliard et l'an passé, ils ont fait des profits des 100 millions. Ils ont vraiment besoin d'aide pour pousser un morceau de caoutchouc noir.