La covid toujours présente (Forum)
Il ne faut pas banaliser la covid parce qu'il y a encore des éclosions ici et là à plusieurs municipalités au Québec. Évidemment, le dernier variant est très virulent et se propage très rapidement mais le hic, il agit en duo avec l'influenza, ce qui donne une rallonge sur la durabilité du virus à se tenir dans l'organisme. Normalement, la covid avec le variant Omicron, ne dure que quelques jours en intensité lorsqu'il est au stade d'incubation. Toutefois, il devient persistant lorsqu'il se retrouve en duo avec les virus grippaux.
Avec le dernier vaccin pour contrer l'Omicron, sa dangerosité pour vous retrouver aux soins intensifs si vous êtes immuno-dépressif, est plutôt mince mais avec le virus respiratoire ( le VRS ), il est évident que cela parvienne à la complication respiratoire. Il faut donc consulter un médecin et se déplacer avec un masque pour éviter la propagation.
Lorsque vous êtes positif à la covid, restez chez-vous, ne sortez pas pour aller magasiner ou faire vos emplettes, même après la période d'incubation, il faut se faire tester et que le test soit négatif pour pouvoir sortir. Normalement, l'incubation dure 3 jours et l'effet grippal peut prendre jusqu'à 2 semaines ( une semaine normalement mais avec les virus grippaux qui s'immiscent en même temps, la tolérance physique est diminuée tout comme le combat physiologique viral ). Dès que vous présentez des troubles respiratoires, n'hésitez pas de vous rendre aux urgences.
Si vous savez qu'il y a une éclosion près de chez-vous, évitez de sortir et ou, n'hésitez pas de vous couvrir le visage, ne faites pas les coucous !
Dédé
La covid toujours présente
Il ne faut pas banaliser la covid parce qu'il y a encore des éclosions ici et là à plusieurs municipalités au Québec. Évidemment, le dernier variant est très virulent et se propage très rapidement mais le hic, il agit en duo avec l'influenza, ce qui donne une rallonge sur la durabilité du virus à se tenir dans l'organisme. Normalement, la covid avec le variant Omicron, ne dure que quelques jours en intensité lorsqu'il est au stade d'incubation. Toutefois, il devient persistant lorsqu'il se retrouve en duo avec les virus grippaux.
Avec le dernier vaccin pour contrer l'Omicron, sa dangerosité pour vous retrouver aux soins intensifs si vous êtes immuno-dépressif, est plutôt mince mais avec le virus respiratoire ( le VRS ), il est évident que cela parvienne à la complication respiratoire. Il faut donc consulter un médecin et se déplacer avec un masque pour éviter la propagation.
Lorsque vous êtes positif à la covid, restez chez-vous, ne sortez pas pour aller magasiner ou faire vos emplettes, même après la période d'incubation, il faut se faire tester et que le test soit négatif pour pouvoir sortir. Normalement, l'incubation dure 3 jours et l'effet grippal peut prendre jusqu'à 2 semaines ( une semaine normalement mais avec les virus grippaux qui s'immiscent en même temps, la tolérance physique est diminuée tout comme le combat physiologique viral ). Dès que vous présentez des troubles respiratoires, n'hésitez pas de vous rendre aux urgences.
Si vous savez qu'il y a une éclosion près de chez-vous, évitez de sortir et ou, n'hésitez pas de vous couvrir le visage, ne faites pas les coucous !
Dédé
Avec l'hiver qui arrive, ça va sûrement augmenter surtout que les gens pensent que c'est derrière nous.
La covid toujours présente
Avec l'hiver qui arrive, ça va sûrement augmenter surtout que les gens pensent que c'est derrière nous.
________________
Dans la famille de Claudie, qui sont près de Valcourt, un couple ont contracté la covid et sont pas mal amochés. Alors, s'il y a une éclosion à cet endroit, les plus grosses communautés ont certainement des éclosions.
Il faut croire que ce n'est pas derrière nous !
La covid toujours présente
Avec l'hiver qui arrive, ça va sûrement augmenter surtout que les gens pensent que c'est derrière nous.
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Dans la famille de Claudie, qui sont près de Valcourt, un couple ont contracté la covid et sont pas mal amochés. Alors, s'il y a une éclosion à cet endroit, les plus grosses communautés ont certainement des éclosions.
Il faut croire que ce n'est pas derrière nous !
En effet.
COVID ENCORE PIRE!!!
COVID ENCORE PIRE!!! pis t'as une gang de kave à l'assemblée nationale qui vont comme si y avait pas de crise dans le réseau de la santé!!
Bandes d'abrutis!
Je ne dis pas de remettre des mesures de débiles, mais au moins sensibiliser la population de ce qui se passe actuellement
gang de cave à 30% da'augmentation et ça prend un air surpris à quel point lde monde déteste les élus!
ça va bien aller!
Urgences du Québec Une situation « extrêmement difficile »
Bandes de KAVES tout parti poliques provinciaux réunis!!! Estis d'imbéciloes!
https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2023-11-23/urgences-du-quebec/une-situation-ex...
Urgences du Québec Une situation « extrêmement difficile »`
La circulation des virus respiratoires et la grève dans le réseau de la santé rendent la situation dans les urgences « extrêmement difficile », prévient l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec. Le taux d’occupation des civières dépasse 200 % dans plusieurs hôpitaux de la province.
Mis à jour le 23 novembrePartager
Alice Girard-Bossé
ALICE GIRARD-BOSSÉ
LA PRESSE
Ce qu’il faut savoir
La situation est « extrêmement difficile » dans les urgences depuis la fin de semaine dernière.
Le taux d’achalandage dans les urgences du Québec s’est établi à 132 % en moyenne dans la dernière semaine, mais plusieurs hôpitaux enregistrent des taux de plus de 200 %.
La circulation des virus respiratoires et la grève dans le réseau de la santé contribuent à cette situation difficile, estime l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec.
« Depuis dimanche, c’est extrêmement difficile. Il manque de personnel », indique le président de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec, le Dr Gilbert Boucher. De nombreux patients nécessitant d’être hospitalisés aux étages se voient obligés de demeurer aux urgences, parfois pendant des jours.
« Dans toutes les urgences sur l’île de Montréal, à une ou deux exceptions près, on a des patients qui ont passé plus que 48 heures dans le corridor », dit le Dr Boucher. Lanaudière et les Laurentides sont les régions qui enregistrent actuellement le plus haut taux d’occupation des urgences. Chaudière-Appalaches, Laval, Montréal et la Montérégie suivent.
Cet important achalandage n’est pas sans conséquence pour les patients.
Il y a beaucoup de personnes qui repartent sans être vues. On espère que ça va descendre rapidement, mais c’est sûr que plus on passe de jours à 150-200 % [d’occupation], plus ça peut être dangereux pour les patients.
Le Dr Gilbert Boucher, président de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec
Les professionnels de la santé accordent actuellement la priorité aux patients sur des civières. « Il ne nous reste vraiment pas beaucoup de ressources pour les nouveaux patients qui se présentent aux urgences », dit le Dr Boucher. Les patients qui nécessitent une prise en charge rapide, soit les priorités 2 de 3, peuvent se retrouver à attendre plusieurs heures avant d’être vus. « Alors ça, c’est beaucoup plus inquiétant », lance le Dr Boucher.
Les virus respiratoires en cause
« C’est vraiment un influx de virus qui nous cause des problèmes en ce moment », indique le Dr Boucher. Le Québec observe actuellement une forte vague d’infections respiratoires. Près de 112 000 personnes par jour contractent une telle infection, selon les sondages hebdomadaires réalisés par l’Institut national de santé publique du Québec.
Le virus de la COVID-19 n’est pas le seul à circuler abondamment. Le virus respiratoire syncytial affiche un haut taux de propagation tandis que l’influenza A commence également à se faire de plus en plus sentir.
La grève a également un impact sur l’achalandage des urgences, note le Dr Boucher. « Les services essentiels sont maintenus, mais avec les enfants qui ne vont pas à l’école, on manque quand même du personnel », dit-il. Certains rendez-vous en clinique sont annulés, alors « c’est des gens qui de temps en temps vont venir à l’urgence ».
PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
Manifestation devant le CHUM, mercredi
La deuxième séquence de grève du front commun du secteur public a débuté mardi et se poursuivra jusqu’à jeudi. Le front commun regroupe 420 000 travailleurs de quatre syndicats (CSN, CSQ, FTQ et APTS). Les secteurs de la santé, des services sociaux et de l’éducation sont touchés.
« Avec le retour du temps froid, les virus et la grève, on n’a juste plus les moyens de s’adapter. On utilise vraiment nos ressources au maximum », résume le Dr Boucher.
Soulager les urgences
Interrogé pour savoir quels gestes la population doit faire pour soulager les urgences, le Dr Boucher est sans équivoque : il faut éviter les urgences si la situation ne nécessite pas une prise en charge rapide. « Attendez une ou deux journées pour les cliniques, ça vaut la peine », dit-il.
Les personnes qui ne se sentent vraiment pas bien ne doivent toutefois pas hésiter à s’y rendre, dit le Dr Boucher. « C’est arrivé, d’autres années, où les patients se sont présentés plusieurs heures trop tard pour des AVC ou des crises cardiaques, mais ils auraient dû venir bien plus tôt. Pour ces gens-là, si vous venez à l’urgence, on va s’occuper de vous », dit-il.
Les urgences reçoivent 9881 visites par jour en moyenne. Le délai de prise en charge après le triage est de 3 heures 10 minutes, soit 20 minutes de plus que la semaine dernière.
Avec Pierre-André Normandin, La Presse
Urgences du Québec Une situation « extrêmement difficile »
Bandes de KAVES tout parti poliques provinciaux réunis!!! Estis d'imbéciloes!
https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2023-11-23/urgences-du-quebec/une-situation-ex...
Urgences du Québec Une situation « extrêmement difficile »`La circulation des virus respiratoires et la grève dans le réseau de la santé rendent la situation dans les urgences « extrêmement difficile », prévient l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec. Le taux d’occupation des civières dépasse 200 % dans plusieurs hôpitaux de la province.
Mis à jour le 23 novembrePartager
Alice Girard-Bossé
ALICE GIRARD-BOSSÉ
LA PRESSE
Ce qu’il faut savoirLa situation est « extrêmement difficile » dans les urgences depuis la fin de semaine dernière.
Le taux d’achalandage dans les urgences du Québec s’est établi à 132 % en moyenne dans la dernière semaine, mais plusieurs hôpitaux enregistrent des taux de plus de 200 %.
La circulation des virus respiratoires et la grève dans le réseau de la santé contribuent à cette situation difficile, estime l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec.
« Depuis dimanche, c’est extrêmement difficile. Il manque de personnel », indique le président de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec, le Dr Gilbert Boucher. De nombreux patients nécessitant d’être hospitalisés aux étages se voient obligés de demeurer aux urgences, parfois pendant des jours.« Dans toutes les urgences sur l’île de Montréal, à une ou deux exceptions près, on a des patients qui ont passé plus que 48 heures dans le corridor », dit le Dr Boucher. Lanaudière et les Laurentides sont les régions qui enregistrent actuellement le plus haut taux d’occupation des urgences. Chaudière-Appalaches, Laval, Montréal et la Montérégie suivent.
Cet important achalandage n’est pas sans conséquence pour les patients.Il y a beaucoup de personnes qui repartent sans être vues. On espère que ça va descendre rapidement, mais c’est sûr que plus on passe de jours à 150-200 % [d’occupation], plus ça peut être dangereux pour les patients.
Le Dr Gilbert Boucher, président de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec
Les professionnels de la santé accordent actuellement la priorité aux patients sur des civières. « Il ne nous reste vraiment pas beaucoup de ressources pour les nouveaux patients qui se présentent aux urgences », dit le Dr Boucher. Les patients qui nécessitent une prise en charge rapide, soit les priorités 2 de 3, peuvent se retrouver à attendre plusieurs heures avant d’être vus. « Alors ça, c’est beaucoup plus inquiétant », lance le Dr Boucher.
Les virus respiratoires en cause
« C’est vraiment un influx de virus qui nous cause des problèmes en ce moment », indique le Dr Boucher. Le Québec observe actuellement une forte vague d’infections respiratoires. Près de 112 000 personnes par jour contractent une telle infection, selon les sondages hebdomadaires réalisés par l’Institut national de santé publique du Québec.
Le virus de la COVID-19 n’est pas le seul à circuler abondamment. Le virus respiratoire syncytial affiche un haut taux de propagation tandis que l’influenza A commence également à se faire de plus en plus sentir.
La grève a également un impact sur l’achalandage des urgences, note le Dr Boucher. « Les services essentiels sont maintenus, mais avec les enfants qui ne vont pas à l’école, on manque quand même du personnel », dit-il. Certains rendez-vous en clinique sont annulés, alors « c’est des gens qui de temps en temps vont venir à l’urgence ».
PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSEManifestation devant le CHUM, mercredi
La deuxième séquence de grève du front commun du secteur public a débuté mardi et se poursuivra jusqu’à jeudi. Le front commun regroupe 420 000 travailleurs de quatre syndicats (CSN, CSQ, FTQ et APTS). Les secteurs de la santé, des services sociaux et de l’éducation sont touchés.
« Avec le retour du temps froid, les virus et la grève, on n’a juste plus les moyens de s’adapter. On utilise vraiment nos ressources au maximum », résume le Dr Boucher.
Soulager les urgences
Interrogé pour savoir quels gestes la population doit faire pour soulager les urgences, le Dr Boucher est sans équivoque : il faut éviter les urgences si la situation ne nécessite pas une prise en charge rapide. « Attendez une ou deux journées pour les cliniques, ça vaut la peine », dit-il.Les personnes qui ne se sentent vraiment pas bien ne doivent toutefois pas hésiter à s’y rendre, dit le Dr Boucher. « C’est arrivé, d’autres années, où les patients se sont présentés plusieurs heures trop tard pour des AVC ou des crises cardiaques, mais ils auraient dû venir bien plus tôt. Pour ces gens-là, si vous venez à l’urgence, on va s’occuper de vous », dit-il.
Les urgences reçoivent 9881 visites par jour en moyenne. Le délai de prise en charge après le triage est de 3 heures 10 minutes, soit 20 minutes de plus que la semaine dernière.
Avec Pierre-André Normandin, La Presse
Ciboire! 200%? Dubé fait quoi?
Crosseurs de politiciens....
Ciboire! 200%? Dubé fait quoi?
Crosseurs de politiciens.... de la charogne, ils vont attendre après noël pour annoncer des refermetures, traitant le monde dans le système de la santé comme du bétails avec une gang de l'opposiontion complètement déconnecté de la réalité bien goinfré dans leur 30% d'augmentation
ça va bien aller...