C'est dangereux de boire la bière sans alcool ! (Sciences & Paranormal)
Source : La bière sans alcool serait plus dangereuse que la bière classique !
PAR CAMILLE AUCHÈRE
JOURNALISTE JUNIOR
LE 7 DÉCEMBRE 2023
Vous pensiez éviter les problèmes en sirotant des bières sans alcool ? Si cette habitude vous préserve de la gueule de bois, elle vous expose en revanche à davantage de risques de contamination par des agents pathogènes alimentaires.
A priori, la bière sans alcool semble plutôt innocente : elle a le goût de la boisson et promet des lendemains de soirée sans gueule de bois. Oui, mais voilà : d'après une étude publiée ce mois-ci dans le Journal of Food Protection, sa fabrication, son stockage et son versement peuvent créer des conditions propices à la prolifération de pathogènes d'origine alimentaire ! Autrement dit, « il faut désormais considérer la bière sans alcool comme un aliment et s'assurer que tous les paramètres sont respectés pour garantir la sécurité du produit », confie Randy Worobo, professeur de sciences alimentaires au College of Agriculture and Life Sciences et auteur principal de l'étude dans un communiqué. Or, aujourd'hui, certains fabricants de bières sans alcool utilisent les mêmes méthodes de fabrication traditionnelle que pour les bières classiques, en ajoutant par exemple du houblon, ce qui peut conduire à une contamination.
Les conditions de production de la bière sans alcool doivent évoluer
Pour arriver à de tels résultats, les chercheurs ont inoculé des échantillons de bière sans alcool et faiblement alcoolisée avec les bactéries E. coli, Salmonella enterica et Listeria monocytogenes. Ils ont ensuite stocké les boissons à deux températures différentes (3,8 °C et 13,89 °C) pendant deux mois. Résultats : dans la bière sans alcool, tous les agents pathogènes se sont développés et ont survécu, dans les deux cas. Dans la bière faiblement alcoolisée, la quantité d'E. coli et de S. Enterica a doublé dans l'échantillon conservé à 13,89 °C, mais la Listeria est restée indétectable dans toutes les conditions. « Sans la protection offerte par l'alcool, les fabricants doivent tenir compte de la manière dont les pathogènes peuvent se développer à partir des produits bruts au cours de la transformation », affirme Randy Worobo. Et cela devra notamment passer par le traitement des produits par pasteurisation.
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Je ne suis pas un buveur de bière comme autrefois dans ma jeunesse, j'ai vite vu que la bière ne me faisait pas, surtout qu'en décapsulant une bière, j'étais déjà parti dans les vapeurs éthyliques.
Réellement, je n'aime pas l'alcool mais delà à boire une bière non-alcoolisée, non merci, je n'aime pas le goût de bière alcoolisée, je ne vais certainement pas boire cette cochonnerie sans alcool.
Ce n'est pas que je n'ai pas déjà essayé pour vérifier son goût car je me disais, le goût de la bière n'est pas méchante en tant que tel. J'ai très vite déchanté en goûtant une bière sans alcool, câlisse que ce n'est pas buvable.
Avec ce rapport scientifique sur la santé de la consommation alimentaire, il est évident que je ne suis pas preneur pour boire cette cochonnerie au détriment de ma santé. Déjà que celle-ci est chancelante, je fais beaucoup plus attention à ce que je consomme pour éviter de me retrouver à mirer les pissenlits par les racines, ô que non !
Alors, prévenez vos ouailles si cela est possible, qu'il y a un danger évident pour la santé, de boire de la bière sans alcool et c'est le même principe pour les autres boissons qui sont normalement alcoolisées et qu'il y a maintenant les mêmes produits sans alcool. Les bactéries qu'ils contiennent est un danger évident s'il y a dépassement durant sa consommation puisqu'il est prouvé que la bactérie E.coli, la Salmonella enterica et du Listeria monocytogenes s'y retrouvent. La Dow a fermé pour ces mêmes raisons, pensez-y.
Dédé
C'est dangereux de boire la bière sans alcool !
Source : La bière sans alcool serait plus dangereuse que la bière classique !
PAR CAMILLE AUCHÈRE
JOURNALISTE JUNIOR
LE 7 DÉCEMBRE 2023Vous pensiez éviter les problèmes en sirotant des bières sans alcool ? Si cette habitude vous préserve de la gueule de bois, elle vous expose en revanche à davantage de risques de contamination par des agents pathogènes alimentaires.
A priori, la bière sans alcool semble plutôt innocente : elle a le goût de la boisson et promet des lendemains de soirée sans gueule de bois. Oui, mais voilà : d'après une étude publiée ce mois-ci dans le Journal of Food Protection, sa fabrication, son stockage et son versement peuvent créer des conditions propices à la prolifération de pathogènes d'origine alimentaire ! Autrement dit, « il faut désormais considérer la bière sans alcool comme un aliment et s'assurer que tous les paramètres sont respectés pour garantir la sécurité du produit », confie Randy Worobo, professeur de sciences alimentaires au College of Agriculture and Life Sciences et auteur principal de l'étude dans un communiqué. Or, aujourd'hui, certains fabricants de bières sans alcool utilisent les mêmes méthodes de fabrication traditionnelle que pour les bières classiques, en ajoutant par exemple du houblon, ce qui peut conduire à une contamination.
Les conditions de production de la bière sans alcool doivent évoluer
Pour arriver à de tels résultats, les chercheurs ont inoculé des échantillons de bière sans alcool et faiblement alcoolisée avec les bactéries E. coli, Salmonella enterica et Listeria monocytogenes. Ils ont ensuite stocké les boissons à deux températures différentes (3,8 °C et 13,89 °C) pendant deux mois. Résultats : dans la bière sans alcool, tous les agents pathogènes se sont développés et ont survécu, dans les deux cas. Dans la bière faiblement alcoolisée, la quantité d'E. coli et de S. Enterica a doublé dans l'échantillon conservé à 13,89 °C, mais la Listeria est restée indétectable dans toutes les conditions. « Sans la protection offerte par l'alcool, les fabricants doivent tenir compte de la manière dont les pathogènes peuvent se développer à partir des produits bruts au cours de la transformation », affirme Randy Worobo. Et cela devra notamment passer par le traitement des produits par pasteurisation.
_______________________Je ne suis pas un buveur de bière comme autrefois dans ma jeunesse, j'ai vite vu que la bière ne me faisait pas, surtout qu'en décapsulant une bière, j'étais déjà parti dans les vapeurs éthyliques.
Réellement, je n'aime pas l'alcool mais delà à boire une bière non-alcoolisée, non merci, je n'aime pas le goût de bière alcoolisée, je ne vais certainement pas boire cette cochonnerie sans alcool.
Ce n'est pas que je n'ai pas déjà essayé pour vérifier son goût car je me disais, le goût de la bière n'est pas méchante en tant que tel. J'ai très vite déchanté en goûtant une bière sans alcool, câlisse que ce n'est pas buvable.
Avec ce rapport scientifique sur la santé de la consommation alimentaire, il est évident que je ne suis pas preneur pour boire cette cochonnerie au détriment de ma santé. Déjà que celle-ci est chancelante, je fais beaucoup plus attention à ce que je consomme pour éviter de me retrouver à mirer les pissenlits par les racines, ô que non !
Alors, prévenez vos ouailles si cela est possible, qu'il y a un danger évident pour la santé, de boire de la bière sans alcool et c'est le même principe pour les autres boissons qui sont normalement alcoolisées et qu'il y a maintenant les mêmes produits sans alcool. Les bactéries qu'ils contiennent est un danger évident s'il y a dépassement durant sa consommation puisqu'il est prouvé que la bactérie E.coli, la Salmonella enterica et du Listeria monocytogenes s'y retrouvent. La Dow a fermé pour ces mêmes raisons, pensez-y.
Dédé
Je n'aime pas non plus le goût de la bière.
La bière sans alcool sont déguelasse tout comme le vin QC
LA Bière sans alcool c'est purement déguelasse, une des moins pire c'est la BeCK'S ou la Groslh.... mais même à ça...
Mais le pire de tout c'est les VINS québécois... pas le climat, ni l'expertise, ni la terre pour produire du vin de qualité, sauf sur l'île d'Orléans...
sinon c'est
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La bière sans alcool sont déguelasse tout comme le vin QC
De la vraie piquette !
Pire Vins au Monde
De la vraie piquette !
De tous les vins que j'ai goûté... c'est le PIRE, et de loin, au monde.....
et ça se demande pourquoi des succursale de Titte Frette ont fermé
C'Est pas pas ce que c'est Québécois que c'Est nécessairement bon...
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La bière sans alcool sont déguelasse tout comme le vin QC
De la vraie piquette !
La Chute de Titte Frette...
Ce n'Est pas parce que c'est québécois que c'est bon, le cas des micro brasseries sont un constat flagrant les micro brasserie généralement c'est payer plus cher pour une bière moins bonne qu'une labbat 50!
J'évite les commentaires disgracieux sur les vins québécois...a part que c'est les vins parfait pour faire partir la visite trop collante en fin de party...
https://www.journaldemontreal.com/2023/11/20/une-tite-frette-pour-une-grosse-dette
Un détaillant de bières québécoises a de la broue dans le toupet
Le franchiseur Tite Frette en arrache et cause la perte de millions de dollars à des franchisés
Un détaillant de bières québécoises a de la broue dans le toupet-entrevue
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Julien McEvoy
Lundi, 20 novembre 2023 00:00
MISE À JOUR Lundi, 20 novembre 2023 00:00
Le marché de la bière vit sa crise d’adolescence au Québec. Rien de mieux pour l’illustrer que le détaillant Tite Frette et ses nombreux franchisés en faillite, qui ont perdu plus de 2 millions $ en 18 mois.
• À lire aussi: Projet de loi: les microbrasseries québécoises font du surplace (JE me demand epourquoi)
• À lire aussi: Pire trimestre en 10 ans pour la SAQ (je me demande aussi pourquoi)
«Les gens boivent moins. L’industrie est en difficulté», reconnaît Karl Magnone, patron du franchiseur de Granby.
L’homme d’affaires sait de quoi il parle. En 18 mois, son réseau de 53 boutiques spécialisées en bière de microbrasserie locale a fondu de moitié.
Tite Frette est un franchiseur qui ne possède aucun magasin. Au moins 13 franchisés ont fait faillite depuis avril 2022, pour des dettes accumulées de 2 057 212$.
Dix autres propriétaires de boutique viennent de se désaffilier de l’enseigne.
«Je ne peux rien vous dire», a tout de suite répondu au Journal une de celles-là, Valérie Lamoureux, de Saint-Jérôme, quand nous l’avons jointe au téléphone.
Karl Magnone est connu dans le milieu pour envoyer beaucoup de poursuites et de mises en demeure, affirment six sources au fait du dossier.
«Je n'ai pas la gachette facile pour les mises en demeure. J'en ai envoyé une seule et unique», répond le principal intéressé.
Écoutez Yves Daoust résumer la situation à Richard Martineau, disponible en balado ou en audiovisuel sur la plateforme audio QUB radio :
Grève : les syndiqués ne savaient pas qu’ils allaient perdre de l’argent
Il reconnaît avoir envoyé des «avis de mise en défaut» – de vraies poursuites – à des franchisés pour bris du contrat de franchise.
De nombreux franchisés en faillite – des jeunes familles, surtout – refusent de parler aux médias en raison de l’accord de non-divulgation qu’ils ont signé avec Tite Frette.
Les bonbons ou la sortie
Cette baisse de 43% des magasins Tite Frette – de 53 à 30 – ne sort pas de nulle part. Les Québécois boivent moins depuis qu’ils subissent l’inflation.
«Mes ventes ont chuté de 30%. Avant, les clients prenaient un 4-pack, là, c’est deux canettes», raconte le proprio de l’ex-Tite Frette de Rosemont, à Montréal.
Philippe Boehm est devenu indépendant le mois dernier quand Tite Frette a offert à tout le monde de quitter l’enseigne.
Philippe Boehm a lancé une franchise Tite Frette à Rosemont, à Montréal, en 2021. Il fait maintenant cavalier seul sous le nom Le Ravitailleur à la suite de sa désaffiliation du réseau. Photo Julien McEvoy
La volonté de se diversifier du franchiseur de Granby l’a mené à s’associer avec les bonbons Sugar Daddy’s. L’Alsacien, qui s’est lancé dans la bière en 2021, n’avait pas envie de vendre des bonbons.
«Je vais tenter de me diversifier dans d’autres choses», propose le patron du Ravitailleur – son nouveau nom –, lui qui vend déjà beaucoup de bouffe locale.
Chez Tite Frette, on pense avoir trouvé une façon de se maintenir à flot avec la double franchise aux identités distinctes. Les bonbons d’un côté, la bière de l’autre.
«Ça amène plus de clients en magasin. Les ventes augmentent d’au moins 50%, le projet-pilote est un succès», jure Karl Magnone.
Un contrat béton
Oui, les ventes ont baissé, avoue Nicolas Ratthé, de l’association des détaillants de bières spécialisés du Québec (DBSQ).
«Il faut appeler un chat un chat. Le marché local vit une crise d’adolescence et va éventuellement grandir», illustre l’homme qui dirige aussi la boutique Au Vent du Nord, à Sherbrooke, depuis 21 ans.
Mais les points de vente de Tite Frette, qui ne fait pas partie de la DBSQ et qui existe depuis 2018 seulement, ont poussé comme des champignons, avec comme engrais la pandémie.
Puis boum, le retour à la normale a été brutal.
«Ils nous ont vendu du rêve avec de faux chiffres non vérifiés», accusent trois franchisés en faillite dont nous tairons les noms pour leur éviter des problèmes.
Tite Frette oblige par exemple ses franchisés à vendre des produits en exclusivité. «Ces produits-là ne se vendaient souvent pas et devaient compter pour 15% de notre budget, alors que dans les faits, c’était plus entre 22% et 30%», raconte un ex-franchisé.
La moyenne des dettes des 13 franchisés en faillite atteint 158 000$.
Le franchiseur demande au moins 25 000$ – voire bien davantage – pour ouvrir une boutique. La vente se fait au moyen d’un contrat de 100 pages.
Le Journal a consulté une copie du document.
Lorsqu’un franchisé tombe en faillite avec des dettes de 424 546 $, comme c’est le cas à Mont-Saint-Hilaire, Tite Frette peut tout de même lui réclamer 25 000$ pour bris de contrat.
C’est ce qu’on lit dans l’article sur les effets de la fin du contrat. L’entreprise l’a d’ailleurs réclamé à de nombreux franchisés en faillite, ce qui a eu le don de soulever leur ire.
Dans un autre article, on remarque qu’il n’y a pas de limite fixée à la caution du franchisé : il est personnellement responsable face au franchiseur. Même si le franchisé est une corporation dotée d'une personnalité juridique distincte de l'entrepreneur qui a acheté la franchise, cet entrepreneur devient responsable de toutes les obligations du franchisé.
Il est même prévu qu'en cas de faillite du franchisé, la caution devienne le nouveau franchisé. Il est aussi prévu que la caution soit responsable des futurs engagements que prend le franchisé (renouvellement ou amendements du contrat).
8% des ventes
Quand les ventes se sont mises à chuter, en 2022, Tite Frette a embauché Gildor Roy et Michel Barette à gros prix comme porte-paroles.
Les franchisés, qui devaient donner 8% de leurs ventes au franchiseur, tombaient alors comme des mouches.
Dès que quelqu’un émettait un commentaire négatif sur les réseaux sociaux, Karl Magnone envoyait une demande de retrait sous peine de poursuite, disent nos six sources.
«Non. C'est arrivé une fois, il y a très longtemps», dit le chef de Tite Frette.