La loi 15 passe au bâillon (Forum)
Source : Réforme en santé: le projet de loi 15 adopté sous bâillon
AGENCE QMI et TVA NOUVELLES
Samedi, 9 décembre 2023 06:44
MISE À JOUR Samedi, 9 décembre 2023 07:05
Le projet de loi 15 apportant de majeures réformes au système de la santé a été adopté sous bâillon tôt samedi matin, après 15 heures de discussions.
Les députés ont débattu toute la nuit le projet de loi qui permettra notamment la création de la nouvelle agence Santé Québec.
TVA NOUVELLES
Les efforts du gouvernement seront donc consacrés, dans les prochains mois, à ériger les fondations de la nouvelle agence nationale Santé Québec, qui sera responsable de la majeure partie de la gestion du système de la santé. En premier lieu, la recherche et l’embauche de nombreux fonctionnaires haut placés pour la gestion de ce nouvel organe de gestion seront effectuées.
«Pendant ce temps, on ne règle absolument rien», a indiqué le chef par intérim du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, déplorant que ces efforts ne soient pas mis dans la résolution des problèmes actuels du système de la santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé, pour sa part, que «c’est une belle journée, parce que c’est le jour un de la transition».
Seulement une dizaine d’articles parmi les quelques centaines restants ont pu être abordés dans les délibérations.
«Près du tiers des articles» n’aurait pas été étudié du tout, a rapporté le député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, en point de presse samedi matin.
Les députés de l’opposition ont reproché chacun leur tour, en point de presse, l’incapacité du ministre Dubé de préciser les grandes lignes de son propre projet de loi. «Ce n’est pas normal qu’un ministre, qui nous dit que son projet de loi est si important qu’il faut l’adopter par bâillon, ne soit pas capable de répondre aux questions», a déploré le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, à sa sortie de l’Assemblée nationale.
Une loi qui passe mal dans le réseau lui-même
Déjà vendredi, avant même que le projet ne soit adopté, les différents syndicats du réseau de la santé avaient mentionné leur désaccord face au projet de loi.
«Nous sommes conscients qu’il faut mettre en place des solutions pour améliorer l’organisation du travail, mais jamais une réforme ne pourra réussir sans l’adhésion et la mobilisation du personnel de la santé», estime ainsi Isabelle Duhaime, présidente de la Fédération de la Santé du Québec.
Alors que les professionnels de la santé ont affirmé toujours souffrir des contrecoups de la réforme Barrette, ces derniers estiment que la mise en place de l’agence Santé Québec continuerait à concentrer les pouvoirs à un seul et même endroit.
«Encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’expliquer une telle orientation alors que les expériences passées devraient nous pousser dans la direction diamétralement opposée. La réforme Barrette est connue aujourd’hui comme un échec retentissant, en majeure partie parce que la concentration des pouvoirs a pavé la voie à une bureaucratie centrale lourde et inefficace, qui ralentit les décisions sur le terrain de façon significative et mine par conséquent l’efficacité des soins et services offerts», a souligné, pour sa part, Robert Comeau, président de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.
De plus, les organisations syndicales ont également déploré l’imposition d’un bâillon.
«Suspendre les règles démocratiques, alors qu’il reste plus de 500 articles à étudier nous semble précipité. D’autant que le travail en commission parlementaire se faisait en collégialité et permettait d’améliorer concrètement le projet de loi», a ainsi dit Magali Picard, présidente de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec, à laquelle sont associés différents syndicats du réseau de la santé.
_____________________
Le seul hic que je retrouve dans cette loi, c'est que lorsque le système atteindra des limites de capacité que les réseaux privés vont prendre la relève et seront payés publiquement par Santé Québec. Selon moi, ça risque de créer plusieurs débordement et qu'il sera trop facile d'utiliser le réseau privé pour se faire soigner, en ne réglant pas le pourquoi les limites seront atteintes en capacité de soins.
Étrangement, ça ressemble que La Santé deviendra privatisée !
Néanmoins, cette nouvelle structure administrative sera plus avantageuse afin de résoudre les problèmes plus rapidement et qu'il aura plus imputation pour l'incompétence administrative dans les hautes fonctions. Afin des diminutions de cadres accrochés au mur.
Ça ne peut que d'être mieux que c'est maintenant. Nous verrons bien d'ici 2 à 3 ans si cette réforme sera la meilleure que celles antérieurement.
Dédé
La loi 15 passe au bâillon
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AGENCE QMI et TVA NOUVELLES
Samedi, 9 décembre 2023 06:44MISE À JOUR Samedi, 9 décembre 2023 07:05
Le projet de loi 15 apportant de majeures réformes au système de la santé a été adopté sous bâillon tôt samedi matin, après 15 heures de discussions.
Les députés ont débattu toute la nuit le projet de loi qui permettra notamment la création de la nouvelle agence Santé Québec.
TVA NOUVELLES
Les efforts du gouvernement seront donc consacrés, dans les prochains mois, à ériger les fondations de la nouvelle agence nationale Santé Québec, qui sera responsable de la majeure partie de la gestion du système de la santé. En premier lieu, la recherche et l’embauche de nombreux fonctionnaires haut placés pour la gestion de ce nouvel organe de gestion seront effectuées.
«Pendant ce temps, on ne règle absolument rien», a indiqué le chef par intérim du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, déplorant que ces efforts ne soient pas mis dans la résolution des problèmes actuels du système de la santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé, pour sa part, que «c’est une belle journée, parce que c’est le jour un de la transition».
Seulement une dizaine d’articles parmi les quelques centaines restants ont pu être abordés dans les délibérations.
«Près du tiers des articles» n’aurait pas été étudié du tout, a rapporté le député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, en point de presse samedi matin.
Les députés de l’opposition ont reproché chacun leur tour, en point de presse, l’incapacité du ministre Dubé de préciser les grandes lignes de son propre projet de loi. «Ce n’est pas normal qu’un ministre, qui nous dit que son projet de loi est si important qu’il faut l’adopter par bâillon, ne soit pas capable de répondre aux questions», a déploré le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, à sa sortie de l’Assemblée nationale.
Une loi qui passe mal dans le réseau lui-même
Déjà vendredi, avant même que le projet ne soit adopté, les différents syndicats du réseau de la santé avaient mentionné leur désaccord face au projet de loi.
«Nous sommes conscients qu’il faut mettre en place des solutions pour améliorer l’organisation du travail, mais jamais une réforme ne pourra réussir sans l’adhésion et la mobilisation du personnel de la santé», estime ainsi Isabelle Duhaime, présidente de la Fédération de la Santé du Québec.
Alors que les professionnels de la santé ont affirmé toujours souffrir des contrecoups de la réforme Barrette, ces derniers estiment que la mise en place de l’agence Santé Québec continuerait à concentrer les pouvoirs à un seul et même endroit.
«Encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’expliquer une telle orientation alors que les expériences passées devraient nous pousser dans la direction diamétralement opposée. La réforme Barrette est connue aujourd’hui comme un échec retentissant, en majeure partie parce que la concentration des pouvoirs a pavé la voie à une bureaucratie centrale lourde et inefficace, qui ralentit les décisions sur le terrain de façon significative et mine par conséquent l’efficacité des soins et services offerts», a souligné, pour sa part, Robert Comeau, président de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.
De plus, les organisations syndicales ont également déploré l’imposition d’un bâillon.
«Suspendre les règles démocratiques, alors qu’il reste plus de 500 articles à étudier nous semble précipité. D’autant que le travail en commission parlementaire se faisait en collégialité et permettait d’améliorer concrètement le projet de loi», a ainsi dit Magali Picard, présidente de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec, à laquelle sont associés différents syndicats du réseau de la santé.
_____________________Le seul hic que je retrouve dans cette loi, c'est que lorsque le système atteindra des limites de capacité que les réseaux privés vont prendre la relève et seront payés publiquement par Santé Québec. Selon moi, ça risque de créer plusieurs débordement et qu'il sera trop facile d'utiliser le réseau privé pour se faire soigner, en ne réglant pas le pourquoi les limites seront atteintes en capacité de soins.
Étrangement, ça ressemble que La Santé deviendra privatisée !
Néanmoins, cette nouvelle structure administrative sera plus avantageuse afin de résoudre les problèmes plus rapidement et qu'il aura plus imputation pour l'incompétence administrative dans les hautes fonctions. Afin des diminutions de cadres accrochés au mur.
Ça ne peut que d'être mieux que c'est maintenant. Nous verrons bien d'ici 2 à 3 ans si cette réforme sera la meilleure que celles antérieurement.
Dédé
De beaux sous en cadeaux au ti-namis du privé. L'objectif est atteint maintenant pour la CAQ de favoriser le privé en santé à plus ou moins long terme. La prochaine étape sera Hydro à mettre dans les mains du privé tranquillement pas vite.
La loi 15 passe au bâillon
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Le projet de loi 15 apportant de majeures réformes au système de la santé a été adopté sous bâillon tôt samedi matin, après 15 heures de discussions.
Les députés ont débattu toute la nuit le projet de loi qui permettra notamment la création de la nouvelle agence Santé Québec.
TVA NOUVELLES
Les efforts du gouvernement seront donc consacrés, dans les prochains mois, à ériger les fondations de la nouvelle agence nationale Santé Québec, qui sera responsable de la majeure partie de la gestion du système de la santé. En premier lieu, la recherche et l’embauche de nombreux fonctionnaires haut placés pour la gestion de ce nouvel organe de gestion seront effectuées.
«Pendant ce temps, on ne règle absolument rien», a indiqué le chef par intérim du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, déplorant que ces efforts ne soient pas mis dans la résolution des problèmes actuels du système de la santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé, pour sa part, que «c’est une belle journée, parce que c’est le jour un de la transition».
Seulement une dizaine d’articles parmi les quelques centaines restants ont pu être abordés dans les délibérations.
«Près du tiers des articles» n’aurait pas été étudié du tout, a rapporté le député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, en point de presse samedi matin.
Les députés de l’opposition ont reproché chacun leur tour, en point de presse, l’incapacité du ministre Dubé de préciser les grandes lignes de son propre projet de loi. «Ce n’est pas normal qu’un ministre, qui nous dit que son projet de loi est si important qu’il faut l’adopter par bâillon, ne soit pas capable de répondre aux questions», a déploré le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, à sa sortie de l’Assemblée nationale.
Une loi qui passe mal dans le réseau lui-même
Déjà vendredi, avant même que le projet ne soit adopté, les différents syndicats du réseau de la santé avaient mentionné leur désaccord face au projet de loi.
«Nous sommes conscients qu’il faut mettre en place des solutions pour améliorer l’organisation du travail, mais jamais une réforme ne pourra réussir sans l’adhésion et la mobilisation du personnel de la santé», estime ainsi Isabelle Duhaime, présidente de la Fédération de la Santé du Québec.
Alors que les professionnels de la santé ont affirmé toujours souffrir des contrecoups de la réforme Barrette, ces derniers estiment que la mise en place de l’agence Santé Québec continuerait à concentrer les pouvoirs à un seul et même endroit.
«Encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’expliquer une telle orientation alors que les expériences passées devraient nous pousser dans la direction diamétralement opposée. La réforme Barrette est connue aujourd’hui comme un échec retentissant, en majeure partie parce que la concentration des pouvoirs a pavé la voie à une bureaucratie centrale lourde et inefficace, qui ralentit les décisions sur le terrain de façon significative et mine par conséquent l’efficacité des soins et services offerts», a souligné, pour sa part, Robert Comeau, président de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.
De plus, les organisations syndicales ont également déploré l’imposition d’un bâillon.
«Suspendre les règles démocratiques, alors qu’il reste plus de 500 articles à étudier nous semble précipité. D’autant que le travail en commission parlementaire se faisait en collégialité et permettait d’améliorer concrètement le projet de loi», a ainsi dit Magali Picard, présidente de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec, à laquelle sont associés différents syndicats du réseau de la santé.
_____________________Le seul hic que je retrouve dans cette loi, c'est que lorsque le système atteindra des limites de capacité que les réseaux privés vont prendre la relève et seront payés publiquement par Santé Québec. Selon moi, ça risque de créer plusieurs débordement et qu'il sera trop facile d'utiliser le réseau privé pour se faire soigner, en ne réglant pas le pourquoi les limites seront atteintes en capacité de soins.
Étrangement, ça ressemble que La Santé deviendra privatisée !
Néanmoins, cette nouvelle structure administrative sera plus avantageuse afin de résoudre les problèmes plus rapidement et qu'il aura plus imputation pour l'incompétence administrative dans les hautes fonctions. Afin des diminutions de cadres accrochés au mur.
Ça ne peut que d'être mieux que c'est maintenant. Nous verrons bien d'ici 2 à 3 ans si cette réforme sera la meilleure que celles antérieurement.
Dédé
De beaux sous en cadeaux au ti-namis du privé. L'objectif est atteint maintenant pour la CAQ de favoriser le privé en santé à plus ou moins long terme. La prochaine étape sera Hydro à mettre dans les mains du privé tranquillement pas vite.
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Pas pour rien qu'il y a de plus en plus de cliniques privées.
Ces médecins ont flairé le magot à aller chercher.
La loi 15 passe au bâillon
Source : Réforme en santé: le projet de loi 15 adopté sous bâillon
AGENCE QMI et TVA NOUVELLES
Samedi, 9 décembre 2023 06:44MISE À JOUR Samedi, 9 décembre 2023 07:05
Le projet de loi 15 apportant de majeures réformes au système de la santé a été adopté sous bâillon tôt samedi matin, après 15 heures de discussions.
Les députés ont débattu toute la nuit le projet de loi qui permettra notamment la création de la nouvelle agence Santé Québec.
TVA NOUVELLES
Les efforts du gouvernement seront donc consacrés, dans les prochains mois, à ériger les fondations de la nouvelle agence nationale Santé Québec, qui sera responsable de la majeure partie de la gestion du système de la santé. En premier lieu, la recherche et l’embauche de nombreux fonctionnaires haut placés pour la gestion de ce nouvel organe de gestion seront effectuées.
«Pendant ce temps, on ne règle absolument rien», a indiqué le chef par intérim du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, déplorant que ces efforts ne soient pas mis dans la résolution des problèmes actuels du système de la santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé, pour sa part, que «c’est une belle journée, parce que c’est le jour un de la transition».
Seulement une dizaine d’articles parmi les quelques centaines restants ont pu être abordés dans les délibérations.
«Près du tiers des articles» n’aurait pas été étudié du tout, a rapporté le député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, en point de presse samedi matin.
Les députés de l’opposition ont reproché chacun leur tour, en point de presse, l’incapacité du ministre Dubé de préciser les grandes lignes de son propre projet de loi. «Ce n’est pas normal qu’un ministre, qui nous dit que son projet de loi est si important qu’il faut l’adopter par bâillon, ne soit pas capable de répondre aux questions», a déploré le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, à sa sortie de l’Assemblée nationale.
Une loi qui passe mal dans le réseau lui-même
Déjà vendredi, avant même que le projet ne soit adopté, les différents syndicats du réseau de la santé avaient mentionné leur désaccord face au projet de loi.
«Nous sommes conscients qu’il faut mettre en place des solutions pour améliorer l’organisation du travail, mais jamais une réforme ne pourra réussir sans l’adhésion et la mobilisation du personnel de la santé», estime ainsi Isabelle Duhaime, présidente de la Fédération de la Santé du Québec.
Alors que les professionnels de la santé ont affirmé toujours souffrir des contrecoups de la réforme Barrette, ces derniers estiment que la mise en place de l’agence Santé Québec continuerait à concentrer les pouvoirs à un seul et même endroit.
«Encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’expliquer une telle orientation alors que les expériences passées devraient nous pousser dans la direction diamétralement opposée. La réforme Barrette est connue aujourd’hui comme un échec retentissant, en majeure partie parce que la concentration des pouvoirs a pavé la voie à une bureaucratie centrale lourde et inefficace, qui ralentit les décisions sur le terrain de façon significative et mine par conséquent l’efficacité des soins et services offerts», a souligné, pour sa part, Robert Comeau, président de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.
De plus, les organisations syndicales ont également déploré l’imposition d’un bâillon.
«Suspendre les règles démocratiques, alors qu’il reste plus de 500 articles à étudier nous semble précipité. D’autant que le travail en commission parlementaire se faisait en collégialité et permettait d’améliorer concrètement le projet de loi», a ainsi dit Magali Picard, présidente de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec, à laquelle sont associés différents syndicats du réseau de la santé.
_____________________Le seul hic que je retrouve dans cette loi, c'est que lorsque le système atteindra des limites de capacité que les réseaux privés vont prendre la relève et seront payés publiquement par Santé Québec. Selon moi, ça risque de créer plusieurs débordement et qu'il sera trop facile d'utiliser le réseau privé pour se faire soigner, en ne réglant pas le pourquoi les limites seront atteintes en capacité de soins.
Étrangement, ça ressemble que La Santé deviendra privatisée !
Néanmoins, cette nouvelle structure administrative sera plus avantageuse afin de résoudre les problèmes plus rapidement et qu'il aura plus imputation pour l'incompétence administrative dans les hautes fonctions. Afin des diminutions de cadres accrochés au mur.
Ça ne peut que d'être mieux que c'est maintenant. Nous verrons bien d'ici 2 à 3 ans si cette réforme sera la meilleure que celles antérieurement.
Dédé
De beaux sous en cadeaux au ti-namis du privé. L'objectif est atteint maintenant pour la CAQ de favoriser le privé en santé à plus ou moins long terme. La prochaine étape sera Hydro à mettre dans les mains du privé tranquillement pas vite.
_______________
Pas pour rien qu'il y a de plus en plus de cliniques privées.
Ces médecins ont flairé le magot à aller chercher.
Tu devrais voir ça ici à Québec. Un film d'horreur. On dirait que les cliniques privées sont toutes ici.
La loi 15 passe au bâillon
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AGENCE QMI et TVA NOUVELLES
Samedi, 9 décembre 2023 06:44MISE À JOUR Samedi, 9 décembre 2023 07:05
Le projet de loi 15 apportant de majeures réformes au système de la santé a été adopté sous bâillon tôt samedi matin, après 15 heures de discussions.
Les députés ont débattu toute la nuit le projet de loi qui permettra notamment la création de la nouvelle agence Santé Québec.
TVA NOUVELLES
Les efforts du gouvernement seront donc consacrés, dans les prochains mois, à ériger les fondations de la nouvelle agence nationale Santé Québec, qui sera responsable de la majeure partie de la gestion du système de la santé. En premier lieu, la recherche et l’embauche de nombreux fonctionnaires haut placés pour la gestion de ce nouvel organe de gestion seront effectuées.
«Pendant ce temps, on ne règle absolument rien», a indiqué le chef par intérim du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, déplorant que ces efforts ne soient pas mis dans la résolution des problèmes actuels du système de la santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé, pour sa part, que «c’est une belle journée, parce que c’est le jour un de la transition».
Seulement une dizaine d’articles parmi les quelques centaines restants ont pu être abordés dans les délibérations.
«Près du tiers des articles» n’aurait pas été étudié du tout, a rapporté le député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, en point de presse samedi matin.
Les députés de l’opposition ont reproché chacun leur tour, en point de presse, l’incapacité du ministre Dubé de préciser les grandes lignes de son propre projet de loi. «Ce n’est pas normal qu’un ministre, qui nous dit que son projet de loi est si important qu’il faut l’adopter par bâillon, ne soit pas capable de répondre aux questions», a déploré le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, à sa sortie de l’Assemblée nationale.
Une loi qui passe mal dans le réseau lui-même
Déjà vendredi, avant même que le projet ne soit adopté, les différents syndicats du réseau de la santé avaient mentionné leur désaccord face au projet de loi.
«Nous sommes conscients qu’il faut mettre en place des solutions pour améliorer l’organisation du travail, mais jamais une réforme ne pourra réussir sans l’adhésion et la mobilisation du personnel de la santé», estime ainsi Isabelle Duhaime, présidente de la Fédération de la Santé du Québec.
Alors que les professionnels de la santé ont affirmé toujours souffrir des contrecoups de la réforme Barrette, ces derniers estiment que la mise en place de l’agence Santé Québec continuerait à concentrer les pouvoirs à un seul et même endroit.
«Encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’expliquer une telle orientation alors que les expériences passées devraient nous pousser dans la direction diamétralement opposée. La réforme Barrette est connue aujourd’hui comme un échec retentissant, en majeure partie parce que la concentration des pouvoirs a pavé la voie à une bureaucratie centrale lourde et inefficace, qui ralentit les décisions sur le terrain de façon significative et mine par conséquent l’efficacité des soins et services offerts», a souligné, pour sa part, Robert Comeau, président de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.
De plus, les organisations syndicales ont également déploré l’imposition d’un bâillon.
«Suspendre les règles démocratiques, alors qu’il reste plus de 500 articles à étudier nous semble précipité. D’autant que le travail en commission parlementaire se faisait en collégialité et permettait d’améliorer concrètement le projet de loi», a ainsi dit Magali Picard, présidente de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec, à laquelle sont associés différents syndicats du réseau de la santé.
_____________________Le seul hic que je retrouve dans cette loi, c'est que lorsque le système atteindra des limites de capacité que les réseaux privés vont prendre la relève et seront payés publiquement par Santé Québec. Selon moi, ça risque de créer plusieurs débordement et qu'il sera trop facile d'utiliser le réseau privé pour se faire soigner, en ne réglant pas le pourquoi les limites seront atteintes en capacité de soins.
Étrangement, ça ressemble que La Santé deviendra privatisée !
Néanmoins, cette nouvelle structure administrative sera plus avantageuse afin de résoudre les problèmes plus rapidement et qu'il aura plus imputation pour l'incompétence administrative dans les hautes fonctions. Afin des diminutions de cadres accrochés au mur.
Ça ne peut que d'être mieux que c'est maintenant. Nous verrons bien d'ici 2 à 3 ans si cette réforme sera la meilleure que celles antérieurement.
Dédé
De beaux sous en cadeaux au ti-namis du privé. L'objectif est atteint maintenant pour la CAQ de favoriser le privé en santé à plus ou moins long terme. La prochaine étape sera Hydro à mettre dans les mains du privé tranquillement pas vite.
_______________
Pas pour rien qu'il y a de plus en plus de cliniques privées.
Ces médecins ont flairé le magot à aller chercher.
Tu devrais voir ça ici à Québec. Un film d'horreur. On dirait que les cliniques privées sont toutes ici.
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C'est comme ça partout ou presque, ici à Granby, ça pousse comme des champignons magiques !
Baillon
avez vous remarqué le nombre d'absent pour le vote
Tout ce qu'essaie le gouvernMENT pour améliorer avec des gros projet ça finit par dégrader les services
Par exemple en éducation chaque réforme a été échec par dessus échec
[img]images/uploaded/202312100129016575145d227f5.jpg[/img
[img]images/uploaded/202312100129116575146717104.jpg[/img
Il y a beaucoup de monde pas content ces temps ci.... mais le gouvernement crampé de rires d'économiser de l'argent sur les salaires... au final les grèvistes seront les perdants et le gouvernement va pouvoir redonner aux petits amis du parti
La loi 15 passe au bâillon
Source : Réforme en santé: le projet de loi 15 adopté sous bâillon
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Samedi, 9 décembre 2023 06:44MISE À JOUR Samedi, 9 décembre 2023 07:05
Le projet de loi 15 apportant de majeures réformes au système de la santé a été adopté sous bâillon tôt samedi matin, après 15 heures de discussions.
Les députés ont débattu toute la nuit le projet de loi qui permettra notamment la création de la nouvelle agence Santé Québec.
TVA NOUVELLES
Les efforts du gouvernement seront donc consacrés, dans les prochains mois, à ériger les fondations de la nouvelle agence nationale Santé Québec, qui sera responsable de la majeure partie de la gestion du système de la santé. En premier lieu, la recherche et l’embauche de nombreux fonctionnaires haut placés pour la gestion de ce nouvel organe de gestion seront effectuées.
«Pendant ce temps, on ne règle absolument rien», a indiqué le chef par intérim du Parti libéral du Québec, Marc Tanguay, déplorant que ces efforts ne soient pas mis dans la résolution des problèmes actuels du système de la santé.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a affirmé, pour sa part, que «c’est une belle journée, parce que c’est le jour un de la transition».
Seulement une dizaine d’articles parmi les quelques centaines restants ont pu être abordés dans les délibérations.
«Près du tiers des articles» n’aurait pas été étudié du tout, a rapporté le député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, en point de presse samedi matin.
Les députés de l’opposition ont reproché chacun leur tour, en point de presse, l’incapacité du ministre Dubé de préciser les grandes lignes de son propre projet de loi. «Ce n’est pas normal qu’un ministre, qui nous dit que son projet de loi est si important qu’il faut l’adopter par bâillon, ne soit pas capable de répondre aux questions», a déploré le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, à sa sortie de l’Assemblée nationale.
Une loi qui passe mal dans le réseau lui-même
Déjà vendredi, avant même que le projet ne soit adopté, les différents syndicats du réseau de la santé avaient mentionné leur désaccord face au projet de loi.
«Nous sommes conscients qu’il faut mettre en place des solutions pour améliorer l’organisation du travail, mais jamais une réforme ne pourra réussir sans l’adhésion et la mobilisation du personnel de la santé», estime ainsi Isabelle Duhaime, présidente de la Fédération de la Santé du Québec.
Alors que les professionnels de la santé ont affirmé toujours souffrir des contrecoups de la réforme Barrette, ces derniers estiment que la mise en place de l’agence Santé Québec continuerait à concentrer les pouvoirs à un seul et même endroit.
«Encore aujourd’hui, j’ai du mal à m’expliquer une telle orientation alors que les expériences passées devraient nous pousser dans la direction diamétralement opposée. La réforme Barrette est connue aujourd’hui comme un échec retentissant, en majeure partie parce que la concentration des pouvoirs a pavé la voie à une bureaucratie centrale lourde et inefficace, qui ralentit les décisions sur le terrain de façon significative et mine par conséquent l’efficacité des soins et services offerts», a souligné, pour sa part, Robert Comeau, président de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux.
De plus, les organisations syndicales ont également déploré l’imposition d’un bâillon.
«Suspendre les règles démocratiques, alors qu’il reste plus de 500 articles à étudier nous semble précipité. D’autant que le travail en commission parlementaire se faisait en collégialité et permettait d’améliorer concrètement le projet de loi», a ainsi dit Magali Picard, présidente de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec, à laquelle sont associés différents syndicats du réseau de la santé.
_____________________Le seul hic que je retrouve dans cette loi, c'est que lorsque le système atteindra des limites de capacité que les réseaux privés vont prendre la relève et seront payés publiquement par Santé Québec. Selon moi, ça risque de créer plusieurs débordement et qu'il sera trop facile d'utiliser le réseau privé pour se faire soigner, en ne réglant pas le pourquoi les limites seront atteintes en capacité de soins.
Étrangement, ça ressemble que La Santé deviendra privatisée !
Néanmoins, cette nouvelle structure administrative sera plus avantageuse afin de résoudre les problèmes plus rapidement et qu'il aura plus imputation pour l'incompétence administrative dans les hautes fonctions. Afin des diminutions de cadres accrochés au mur.
Ça ne peut que d'être mieux que c'est maintenant. Nous verrons bien d'ici 2 à 3 ans si cette réforme sera la meilleure que celles antérieurement.
Dédé
De beaux sous en cadeaux au ti-namis du privé. L'objectif est atteint maintenant pour la CAQ de favoriser le privé en santé à plus ou moins long terme. La prochaine étape sera Hydro à mettre dans les mains du privé tranquillement pas vite.
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Pas pour rien qu'il y a de plus en plus de cliniques privées.
Ces médecins ont flairé le magot à aller chercher.
Tu devrais voir ça ici à Québec. Un film d'horreur. On dirait que les cliniques privées sont toutes ici.
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C'est comme ça partout ou presque, ici à Granby, ça pousse comme des champignons magiques !
Incroyable! La valse des crosseurs du privé.
Légros respire la confiance...
La Gaffe la LA a réussit à faire monter le PQ même s'ils n'ont pas d'idées à part l'indépance et la piasse à PPS
Faut le faire...
LA CAQ c'est un concentreux de pouvoir entre leurs mains pour réaliser... RIEn... à Québec il ne s'est RIEN passé a part des dépenses...