Bonsoir,

J'ai beaucoup de difficulté à concevoir que les entités astrales nous causent du trouble à notre conscience. J'ai l'impression que les gens qui sortent cet argument, ne comprennent pas encore les rudiments de la pleine conscience pour sortir un argument si déficient pour expliquer la bêtise humaine !

Que ce soit des archontes ou ces entités, il me semble que c'est tiré par les cheveux de dire que l'humanité est aux prises de ces dangereux garnements qui manipulent notre conscience. Est-ce en réalité pour instaurer une autre façon de voir en supposant une idéologie qui rend maboule comme la supramentalité ? A-t-on besoin d'une idéologie pour se rendre compte que nous faisons des mauvais choix tout en ayant conscience des conséquences de ces dits choix ? Est-ce que nous faisons uniquement des gestes sans conscience ?

Avons-nous le droit de se planter ? Sommes-nous infaillible dans nos choix ? N'est-ce pas un déroulement que la vie nous donne qui fait en sorte que nous plantons ou que nous faisons des bons coups ?

Pourquoi s'attarder à comprendre ce genre de manipulation objecte et incrustée dans la tête des grands penseurs ? La méditation ne suffit-elle pas à y voir plus clair et à faire des choix plus éclairés ?

Ça en fait des questions, hein ?

Personnellement, je ne crois pas aux entités astrales, pour la simple raison que nous ne sommes pas astraux dans cette réalité qui nous frappe de plein fouet. Après tout, notre esprit n'est pas dans les lieux astraux mais bien établi dans ce que nous vivons quotidiennement. Prétendre le contraire serait un énorme mensonge tout en plaçant nos visions uniquement sur le plan astral et ce n'est pas du tout le cas. L'astral, c'est un monde de chimères, rien d'autre.

Il y a tellement des sujets de conspirationnisme qu'il est facile de cataloguer ce qui se présente est dû aux archontes, à la manipulation d'Illuminatis. En réalité, ce qui fait cette réalité devant nous, c'est l'effort que nous lui donnons pour que cela soit ainsi, notre inertie à refuser ce choix forcé ou à notre paresse ou même notre peur qui nous gèle sur place au lieu d'agir et contrer ces forces manipulatrices bien conscientes !

Qu'en pensez-vous ?

Dédé

J'aimerais bien que Serge réponde à ça.

L'éventualité de l'existence d'entités archontiques ou reptiliennes me paraît probable. Pour autant, je ne partage pas du tout l'hypothèse (et encore moins la certitude) de certains qui imaginent ces entités comme essentiellement préoccupées de nous voler la mémoire, sucer les émotions ou encore manipuler les pensées.

Pour ce que j'ai pu en percevoir et en déduire en ce qui concerne l'Humanité, ces entités sont surtout préoccupées par un contrôle global de l'espèce humaine et n'ont rien à faire de la plupart des individus. Elles sont trop peu nombreuses pour s'occuper du commun des mortels, mais ne manipulent que les élites (une partie d'entre elles) et des individus de conscience équivalente qui peuvent disposer d'un certain pouvoir d'influence sur les masses par leur situation sociale.

Il me paraît probable que cela ne concerne tout au plus que quelques milliers ou dizaines de milliers d'êtres humains. La masse des autres ne fait que se coller à divers égrégores produits par d'autres hommes auparavant, ceci par affinité affective.

Quant aux morts, ils ne disposent en général pas des capacités (notamment télépathiques) pour pouvoir efficacement manipuler des vivants si par hasard ils avaient des visées dans ce sens et étaient suffisamment conscients pour le faire. La plupart des morts se trouvent plutôt comme des zombis sur ce plan, peu maîtres de la direction de leurs mouvements.

Le fait que des médiums en voient errer près de vivants ne signifie nullement que ces derniers se fassent sucer ou manipuler, mais seulement qu'il existe une affinité énergétique, vibratoire ou mémorielle entre ces morts et les vivants auxquels ils s'attachent.

Quoi qu'il en soit, il n'est de toute manière pas besoin de morts, d'égrégores et même d'archontes pour expliquer les errements humains individuels. Le psychologie peut en général parfaitement y suffire.