Des ambulanciers débarquent dans les bureaux d’Urgences-sant (Forum)

par Jéromec, lundi 11 décembre 2023, 12:15 (il y a 349 jours)

https://www.tvanouvelles.ca/2023/12/11/des-ambulanciers-debarquent-dans-les-bureaux-dur...

Des ambulanciers débarquent dans les bureaux d’Urgences-santé

Des ambulanciers débarquent dans les bureaux d’Urgences-santé pour protester contre les nouveaux protocoles ministériels mis en place.
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Des ambulanciers débarquent dans les bureaux d’Urgences-santé pour protester contre les nouveaux protocoles ministériels mis en place.

https://www.youtube.com/watch?v=aMEpqiLAjMk

handicap: complètement abandonnée

par Jéromec, lundi 11 décembre 2023, 12:19 (il y a 349 jours) @ Jéromec

Ostie de gouvernement de marde... et tous les élus qui ont accepté les hausses de 30% ont contribué au fiasco actuel...

Le super minisse de l'éducation avec ses écoles fermées et les profs sur l'aide alimentaires!
:mouche:

https://www.tvanouvelles.ca/2023/12/11/personnes-en-situation-de-handicap--completement...

Personnes en situation de handicap: complètement abandonnées en raison de la grève

| Publié le 11 décembre 2023 à 00 h 00 - Mis à jour à 09 h 30
Irina Gagnon, Christophe D’Anjou, et Justine Bureau parlent de l’effet que la grève a sur les personnes handicapées.Photo Didier Debusschère
Irina Gagnon, Christophe D’Anjou, et Justine Bureau parlent de l’effet que la grève a sur les personnes handicapées.

Laissées à elles-mêmes depuis le début de la grève du Front commun, des personnes en situation de handicap peinent à recevoir les soins et les services de base comme se laver et aller aux toilettes, offerts par des préposés du CIUSSS de la Capitale-Nationale.


«On est réduit en services, en douches, en personnels, mais surtout en qualité de vie et c’est extrêmement dommageable et désagréable», explique Irina Gagnon, qui réside dans un immeuble appartenant au Groupe O’Drey à Québec.

«Juste pour donner un exemple, quand on a envie d’aller aux toilettes, on doit attendre au moins 10 à 15 minutes et il y en a qui ne réussissent pas à se retenir», ajoute Justine Bureau, qui réside au même endroit.

Steeve D’Anjou, le père d’un autre résident a d’ailleurs dû faire l’aller-retour depuis Clermont seulement pour venir donner une douche à son fils.

«Le gouvernement parle souvent des étudiants, j’ai vraiment l’impression qu’il nous considère comme des citoyens de deuxième classe. On aimerait vraiment que ça se règle au plus vite pour qu’on puisse avoir notre dignité s’il vous plaît», confie Christophe D’Anjou.

«Je ne peux pas comprendre que les douches ne soient pas considérées comme un service essentiel. Je serais curieux de savoir s’ils ne se laveront pas pendant une semaine eux», renchérit son père.

PAS LA FAUTE DES PRÉPOSÉS
Même s’ils sont «complètement abandonnés», les résidents qui ont témoigné de leur situation au Journal ainsi que leur famille ont tenu à préciser que les tristes événements ne relèvent pas des préposés qui offrent les soins, mais plutôt de la gestion effectuée par leurs dirigeants.

«Les services qui sont offerts ici sont exceptionnels, mais en temps de grève, il y a des décisions syndicales qui se prennent pour faire avancer leur cause, mais au détriment des personnes handicapées. Je ne peux pas concevoir qu’on prive une clientèle vulnérable comme ça», déplore le père de Justine, François Bureau.


Le Journal a d'ailleurs tenté de contacter les représentants syndicaux concernés, mais sans succès.

Pour sa part, Christophe D’Anjou croit que le gouvernement a aussi une partie du blâme à porter alors qu’il estime que les préposés en général ne reçoivent pas assez de crédit pour leur travail.

BEAUCOUP D’INQUIÉTUDE
Alors que sa fille et plusieurs autres résidents sont toujours coupés de «besoins de vie essentiels», François Bureau espère que la situation sera corrigée rapidement puisque ce ne sont pas toutes les personnes en situation de handicap habitant dans un appartement qui ont la chance d’avoir leurs parents près d’elles.

«Si c’est comme ça pour eux, c’est certain que c’est comme ça ailleurs également. Ils sont complètement abandonnés et c’est très déplorable», précise-t-il.

«On comprend leurs revendications et on est très sensibles à ça, mais est-ce qu’ils peuvent au moins être en conflit, mais sans toucher cette clientèle-là? Parce qu’en ce moment, ils abandonnent les personnes handicapées pour des considérations syndicales», a conclu M. Bureau.

Grèves Professeurs...

par Jéromec, lundi 11 décembre 2023, 12:29 (il y a 349 jours) @ Jéromec

Bref sont tout en train de dékâlisser les services publiques.. et ils ne réalisent pas que tant qu'ils tiennent à leurs augmentations de 30% ça ne peut pas se re`gler


https://www.tvanouvelles.ca/2023/12/11/personnes-en-situation-de-handicap--completement...

Personnes en situation de handicap: complètement abandonnées en raison de la grève

| Publié le 11 décembre 2023 à 00 h 00 - Mis à jour à 09 h 30
Irina Gagnon, Christophe D’Anjou, et Justine Bureau parlent de l’effet que la grève a sur les personnes handicapées.Photo Didier Debusschère
Irina Gagnon, Christophe D’Anjou, et Justine Bureau parlent de l’effet que la grève a sur les personnes handicapées.

Laissées à elles-mêmes depuis le début de la grève du Front commun, des personnes en situation de handicap peinent à recevoir les soins et les services de base comme se laver et aller aux toilettes, offerts par des préposés du CIUSSS de la Capitale-Nationale.


«On est réduit en services, en douches, en personnels, mais surtout en qualité de vie et c’est extrêmement dommageable et désagréable», explique Irina Gagnon, qui réside dans un immeuble appartenant au Groupe O’Drey à Québec.

«Juste pour donner un exemple, quand on a envie d’aller aux toilettes, on doit attendre au moins 10 à 15 minutes et il y en a qui ne réussissent pas à se retenir», ajoute Justine Bureau, qui réside au même endroit.

Steeve D’Anjou, le père d’un autre résident a d’ailleurs dû faire l’aller-retour depuis Clermont seulement pour venir donner une douche à son fils.

«Le gouvernement parle souvent des étudiants, j’ai vraiment l’impression qu’il nous considère comme des citoyens de deuxième classe. On aimerait vraiment que ça se règle au plus vite pour qu’on puisse avoir notre dignité s’il vous plaît», confie Christophe D’Anjou.

«Je ne peux pas comprendre que les douches ne soient pas considérées comme un service essentiel. Je serais curieux de savoir s’ils ne se laveront pas pendant une semaine eux», renchérit son père.

PAS LA FAUTE DES PRÉPOSÉS
Même s’ils sont «complètement abandonnés», les résidents qui ont témoigné de leur situation au Journal ainsi que leur famille ont tenu à préciser que les tristes événements ne relèvent pas des préposés qui offrent les soins, mais plutôt de la gestion effectuée par leurs dirigeants.

«Les services qui sont offerts ici sont exceptionnels, mais en temps de grève, il y a des décisions syndicales qui se prennent pour faire avancer leur cause, mais au détriment des personnes handicapées. Je ne peux pas concevoir qu’on prive une clientèle vulnérable comme ça», déplore le père de Justine, François Bureau.


Le Journal a d'ailleurs tenté de contacter les représentants syndicaux concernés, mais sans succès.

Pour sa part, Christophe D’Anjou croit que le gouvernement a aussi une partie du blâme à porter alors qu’il estime que les préposés en général ne reçoivent pas assez de crédit pour leur travail.

BEAUCOUP D’INQUIÉTUDE
Alors que sa fille et plusieurs autres résidents sont toujours coupés de «besoins de vie essentiels», François Bureau espère que la situation sera corrigée rapidement puisque ce ne sont pas toutes les personnes en situation de handicap habitant dans un appartement qui ont la chance d’avoir leurs parents près d’elles.

«Si c’est comme ça pour eux, c’est certain que c’est comme ça ailleurs également. Ils sont complètement abandonnés et c’est très déplorable», précise-t-il.

«On comprend leurs revendications et on est très sensibles à ça, mais est-ce qu’ils peuvent au moins être en conflit, mais sans toucher cette clientèle-là? Parce qu’en ce moment, ils abandonnent les personnes handicapées pour des considérations syndicales», a conclu M. Bureau.


https://www.tvanouvelles.ca/2023/12/11/greve-du-secteur-public-on-est-la-pour-que-ca-se...

Grève du secteur public: «On est là pour que ça se règle», dit la FAE

TVA Nouvelles| Publié le 11 décembre 2023 à 11 h 08 - Mis à jour à 12 h 18
Grève du secteur public: «on est là pour que ça se règle», dit la FAE - Explications
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Les négociations du secteur public se poursuivent entre le syndicat de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) et le gouvernement du Québec.

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«Les membres de la FAE ont été floués», estime la présidente de l’association syndicale, Mélanie Hubert. «Notre mouvement n’a pas produit l’ouverture qui nous avait été promise.»


Écoutez la rencontre politique avec Yasmine Abdelfadel et Marc-André Leclerc via QUB radio :

Mme Hubert explique que la plus récente contre-offre proposée par le gouvernement du Québec n’est toujours pas satisfaisante.


Photo Agence QMI, JOEL LEMAY

En grève depuis le 23 novembre, les enseignants de la FAE réitèrent leurs demandes au gouvernement et le somme de «prendre au sérieux l’important processus de négociations qui est en cours».

«Les membres de la FAE se sont engagés dans un combat qui est plus grand qu’eux», affirme la présidente de l’association syndicale, Mélanie Hubert. «La présente ronde de négociations doit améliorer les conditions des profs.»

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